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Les taux d'épargne
/ AUNEGE, IAE Lyon, Université Jean-Moulin Lyon 3
/ 04-01-2016
/ Canal-u.fr
SERDON Nicolas
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« Celui qui veut être riche,
n’apprend pas seulement la manière de gagner, mais apprend aussi celle
d’épargner ». Comme le suggère ce proverbe, le taux d’épargne mérite que l’on
analyse cette notion, et ceci à travers les axes tel que la fiscalité, le marketing
bancaire, les instruments d’Asset Management…
Mot(s) clés libre(s) : livret A, livret développement durable, livret jeune, épargne populaire, assurance vie, taux plancher, effet de cliquet
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012 La question pédagogique
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
PUDAL Bernard
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Session Effets sociaux et politiques de mai 68. Pratiques, acteurs, représentations
Colloque Mai 68 en quarantaine
Dans les années 60, en Mai-Juin 68 et après, la question pédagogique jusqu’alors confinée dans le primaire, voire le secondaire, devient un enjeu dans l’enseignement supérieur. Elle fait l’objet de revendications, d’analyses et d’expériences. Après avoir distingué les principales positions et tenté de les caractériser sociologiquement, on s’interrogera sur les impensés ou les contradictions qui les habitent.
Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : guerre civile, légitimité, majorité silencieuse, minorités agissantes, soulèvement populaire
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Schnaps theater
/ Luc MEICHLER, Gisèle MEICHLER, Les Films de l'Observatoire, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M), LGM, Images Plus
/ 31-10-1997
/ Canal-U - OAI Archive
MEICHLER Luc, MEICHLER Gisèle
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En compagnie de Jean-Michel Clavey, acteur et metteur en scène du Théâtre Alsacien de Guebwiller, travailleur frontalier à Bâle, nous traversons les coulisses d’une certaine qualité de vie dans le Haut-Rhin.Les bouilleurs de cru constituent une espèce en voie de disparition. Le théâtre alsacien subit le recul du dialecte. Mais leurs pratiques font encore bel et bien partie de la réalité villageoise de l’Alsace d’aujourd’hui.De distillation en répétition théâtrale, nous approchons ses paradoxes, son histoire, sa culture populaire, son petit théâtre quotidien… Mot(s) clés libre(s) : Alsace, amateur, art, bouilleur de cru, changements culturels, culture, dialecte, distillation, eau de vie, héritage culturel, identité, populaire, savoir-faire, schnaps, spectacle, théâtre, tradition, travail
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François Arago et l'observatoire de Paris
/ Observatoire de Paris, Ministère de la Recherche
/ 2003
/ Unisciel
Lequeux James, Bobis Laurence
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François Arago a été l'une des grande figure de la vie scientifique et politique de la première moitiée du XIXème siècle. L'observatoire de Paris a été le centre de ces activités: directeur des observations en 1834 puis directeur en 1843. Cette exposition virtuelle retrace son parcours divers des sciences à la politique. Mot(s) clés libre(s) : Arago, observatoire de Paris, cours d'astronomie populaire, bureau des longitudes, mesure de la méridienne
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"Le consentement des classes populaires à la domination politique : une évidence sociologique ?", semi-plénière avec la participation de Stéphanie Guyon, Violaine Girard et Julian Mischi
/ 03-07-2013
/ Canal-u.fr
GUYON Stéphanie, GIRARD Violaine, MISCHI Julian
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Le consentement des classes populaires à la domination politique : une évidence sociologique ?
Organisée par le Comité Exécutif
Modérateur : Romain Pudal, CURAPP, CNRS, RT 27
- Stéphanie Guyon (Université de Picardie Jules Verne) "Outsiders et établis amérindiens face à la relation de clientèle : dominations politiques dans un village amérindien de Guyane"
- Violaine Girard (Université de Rouen) "Entre scepticisme et défiance : quels rapports à la politique parmi les classes populaires périurbaines ?"
- Julian Mischi (INRA) « Reproduction et subversion des mécanismes de la domination sociale dans les espaces politiques locaux »
Cette vidéo a été réalisée par les services de la WebTV de l'Université de Nantes. L'UFR de Sociologie et le Centre Nantais de Sociologie (CENS) de l’Université de Nantes accueillaient du 2 au 5 septembre 2013 le 5e congrès international de l'association française de sociologie. Mot(s) clés libre(s) : domination, consentement, classes populaires
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Un "car rapide", un transport en commun sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire.
Diaporama du 28 juillet 2015
/ 28-07-2015
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Montage de photos de la réalisation des peintures par les peintres El Hadj Kane & Pape Omar Pouye à Dakar, puis arrivée du car au Musée de l'Homme de Paris.Auteurs-réalisateurs Alain Epelboin et Ndiabou Sega TouréPhotos : Alain Epelboin, Jean Christophe Domenech et Vincent BattestiCommentaires de El Hadj Kane & Pape Omar Pouye, extraits du film en cours de production : "Un car rapide au MDH de Paris : un chef d'oeuvre d'art populaire, un art parlant." 46 mnCes "cars rapides", au départ, ce sont des objets du Nord mis au rebut, qui ont été revendus dans les pays du Sud. Mais ils ont été réinvestis à la fois par des savoir-faire techniques, de mécanique, de débrouillardise et en même temps, réinvestis en termes d’objets esthétiques par des peintures spécifiques, mais également par toute une série de protections magiques correspondant aux cultures sénégalaises.Le commentaire des deux peintres, El Hadj Kane & Pape Omar Pouye, soukigne le caractère emblèmatique du chef d'eouvre d'art populaire qu'ils ont réalisés et leur propre fierté d'artiste.Les photos du car montrent :- des motifs ornementaux (fleurs, fruits, oiseaux), comparables à ceux que les jeunes filles éduquées par les religieuses catholiques, puis par leurs grands mères reproduisent sur des draps depuis le début du XX eme siècle- un paon échappé du palais présidentiel sénégalais, un lapin grignotant une carotte, jailli d'un abécédaire...- des évocations historiques d'opposants à la colonisation, Lath Dior sur son cheval, Cheikh Amadou Bamba priant devant une famille de djonns au Gabon, le masssacre de tirailleurs sénégalais à leur retour de guerre en 1944 à Thyaroy, l'Indépendance du Sénégal, la victoire du Sénégal sur la France en 2002, le naufrage du Diola en 2002, les "Barsa barkhat", ceux qui meurent en mer en voulant se rendre en Europe...Il ya aussi de nombreuses formules sentiencieuses, religieuses, protectrices en wolof, arabe et françaishttp://www.ambafrance-sn.org/Un-car-rapide-va-faire-son-entree-au-musee-de-l-Homme-de-Paris Mot(s) clés libre(s) : Sénégal, chef-d'œuvre, mondialisation muséologie, Musée de l'Homme, Paris, Saint Louis, transport en commun, art populaire, rebut, Saviem Goellette SG2, football, video, Dakar, récupération, histoire, peinture, Camp Thyaroue 1944
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Le Théâtre Picard "Chés Cabotans d'Amiens"
/ Pauline MASSOL, Adeline SPRIET, Archives audiovisuelles Langes et Cultures du Monde (ALCM)
/ 03-04-2016
/ Canal-u.fr
DUPONT Jean-Bernard
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En plein essor pendant le XIXe siècle, les théâtres de marionnettes disparaissent peu à peu après la première guerre mondiale notamment à cause de l'arrivée du cinéma. Cependant, à Amiens on voit naître une troupe de marionnettistes picards, appelée "Chés Cabotans d'Amiens" et dont le but est de continuer à faire vivre le patrimoine culturel de la région.
Le Théâtre Chés Cabotans d'Amiens, c'est aussi une manière de faire perdurer la Langue Picarde. Depuis le début du XXe siècle, alors que l'on prône le français "national", l'usage du picard s'est vu peu à peu disparaître. Le théâtre est le dernier lieu en Picardie où la langue régionale est parlée de manière officielle, d'où l'importance de celui-ci.
Le théâtre qui se situe au coeur du quartier Saint Leu à Amiens se produit aujourd'hui encore plusieurs fois par semaine pour le plaisir des plus jeunes comme des plus âgés. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, Picardie, Picard, Théâtre de marionnettes, Chés Cabotans, Saint Leu, Marionnettes, Théâtre, arts et traditions populaires, langues régionales, amiens, protection du patrimoine culturel, patrimoine culturel populaire
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Les sons du Black Peru / Claude Chastagner
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHASTAGNER Claude
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Les sons du Black Peru / Claude Chastagner, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014.
Thématique 5 : Entendre et voir les Amériques noires.
Cette communication se propose d'examiner une forme musicale syncrétique propre aux villages côtiers du Pérou résultant du contact entre les populations noires issues de l'esclavage, leurs maîtres blancs, d'origine espagnole pour la plupart, et les communautés indigènes. L'oeuvre de quelques artistes iconiques de la musique afro-péruvienne (Susana Baca, Manuel Donayre) sert à explorer un exemple spécifique de processus d'acculturation (à moins qu'il ne s'agisse de transculturation ?) et ses corollaires (muséification, folklorisation, performativité patrimoniale) ainsi que leur dimension politique -aussi bien en termes de revendication identitaire que d'opposition à des formes étasuniennes d'impérialisme- qui s'appuie sur des stratégies allant de l'afrocentrisme au "criollismo". Plus qu'une étude de la musique elle-même, cette communication est consacrée au processus de commercialisation et de popularisation de cette musique, au Pérou mais aussi aux USA et en Europe. Claude Chastagner examine les conditions culturelles et économiques et les concepts -en particulier celui de "Black Peru" et les références à la notion de "Blackness"- qui ont servi de cadre à son expansion à l'international. Il questionne enfin les potentielles raisons de la relative confidentialité dans laquelle cette musique demeure. Mot(s) clés libre(s) : musique populaire (Pérou)
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L’histoire par le bas
/ L'équipe technique des auditoriums de la BnF, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 17-06-2016
/ Canal-u.fr
CERUTTI Simona, BLUM A., CALAFAT Guillaume, ANHEIM Étienne, BARBOT Michela
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L’histoire de l’Europe moderne constitue l’un des terrains privilégiés du dialogue entre l’histoire et les sciences sociales. Ces sociétés qui à la fois se trouvent à distance de ce que nous considérons comme contemporain et en forment le creuset ont permis l’élaboration d’œuvres intellectuelles de grande ampleur, comme celle d’E. P. Thompson (1924-1993), dont le travail sur la classe ouvrière ou l’économie morale a marqué l’historiographie internationale. À l’occasion de la récente traduction en français par Jean Boutier et Arundhati Virmani des Usages de la coutume, l’historienne Simona Cerutti s’est livrée à une relecture de la notion essentielle d’« histoire par le bas » (history from below), une approche qui désigne à la fois une méthode et un objet historiographiques, tout en prêtant attention à des pratiques sociales qui demeurent souvent dans l’ombre de l’histoire traditionnelle. Nous proposons de revenir sur cette notion, ce qui permettra de confronter les approches d’E. P. Thompson et de S. Cerutti et, plus largement, d’aborder des questions méthodologiques qui concernent l’ensemble de l’histoire et des sciences sociales.
Pour en savoir plus Mot(s) clés libre(s) : histoire sociale, identité, pauvreté, relations sociales, couches populaires, juridiction, monde soviétique, société russe
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Les croyances collectives
/ UTLS - la suite
/ 29-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
BOUDON Raymond
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On prend ici le mot croyance dans le sens le plus large (le fait de croire à une proposition, à une théorie, etc.). L'analyse des croyances collectives est un des sujets essentiels de la sociologie. Elle pose une question fondamentale : par quels mécanismes des individus appartenant à un groupe (au sens le plus large de ce mot) croient-ils la même chose ? S'agissant de croyances scientifiques, on n'a guère de peine à discerner ces mécanismes. L'explication peut ne pas être immédiate et impliquer de laborieuses recherches (voir les monographies sur le langage des abeilles, la controverse Pasteur-Pouchet sur la génération spontanée, les études sur la disparition de la croyance au phlogistique, etc.) ; mais, s'agissant des croyances scientifiques, celles-ci peuvent être vues comme le résultat d'une discussion rationnelle. Qu'en est-il lorsqu'il s'agit de croyances qui paraissent infondées (comme les croyances en des relations de causalité imaginaires qui définissent la magie) ou de croyances qui, par principe, ne paraissent pas pouvoir être fondées, comme les croyances prescriptives : celles qui traitent, non de l'être, mais du devoir-être ? La coupure entre les croyances scientifiques et les autres types de croyances est peut-être moins nette qu'on ne le croit : il n'est pas plus facile d'expliquer pourquoi Descartes croyait que la nature a horreur du vide que d'expliquer les croyances magiques.Une première ligne de pensée répond à ces questions, en évoquant l'existence de forces psychologiques ou culturelles, pour parler comme le prix Nobel G. Becker, qui feraient que, dans telle culture, dans tel groupe ou tel ensemble d'individus, l'esprit humain obéirait à des règles d'inférence particulières, serait affecté par des biais, fonctionnerait dans des cadres mentaux invalides. Cette hypothèse a été mise sur le marché par Lévy-Bruhl ; elle est toujours présente dans les sciences sociales. L'autre ligne de pensée, inaugurée par Durkheim est également très présente dans les sciences sociales contemporaines. Elle paraît devoir l'emporter en raison de son efficacité scientifique. Elle consiste à admettre que les croyances ordinaires se forment selon des mécanismes fondamentalement identiques à ceux qui expliquent la cristallisation des croyances scientifiques. Des exemples démontrant son efficacité peuvent être facilement empruntés aux sciences sociales classiques et contemporaines. La même ligne de pensée apparaît comme très prometteuse s'agissant de l'explication des croyances prescriptives : des études portant sur divers sujets et notamment sur les sentiments de justice le suggèrent. Mot(s) clés libre(s) : croyance, croyances collectives, croyances populaires, Emile Durkheim, Lucien Lévy-Bruhl, rationalité
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