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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

L'autorité -Yves Michaud

/ UTLS au lycée / 12-11-2010 / Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Une conférence de l'UTLS au lycéeL'autorité par Yves Michaud (philosophe)Lycée Pasteur (59 Lille)
Mot(s) clés libre(s) : autorité, éducation, philosophie, pouvoir, règles, respect
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La concentration économique et ses limites

/ Mission 2000 en France / 24-05-2000 / Canal-U - OAI Archive
CHEVALIER Jean-Marie
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La concentration économique recouvre un processus dynamique de regroupement des entreprises, qui tend à conférer aux firmes concernées un certain pouvoir d'influence sur les marchés dont l'aboutissement extrême serait un pouvoir de monopole. Selon la théorie économique, la meilleure forme d'organisation des marchés est celle de la concurrence pure et parfaite. Pour préserver l'intérêt général, il faut donc surveiller la concentration et les conséquences qu'elle peut avoir sur la vigueur de la concurrence. C'est aux États-Unis que cette fonction de surveillance a été établie, dès 1890 à la suite de la première loi antitrust, le Sherman Act. La concentration économique a une longue histoire qui se déroule dans une problématique qui demeure invariante. En revanche les changements qui interviennent dans l'environnement de l'entreprise nous obligent à revoir notre approche opérationnelle de la concentration.
Mot(s) clés libre(s) : antitrust, croissance, économie, entreprise, internet, marché, monopole, pouvoir, production
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La concentration économique et ses limites

/ Mission 2000 en France / 24-05-2000 / Canal-u.fr
CHEVALIER Jean-Marie
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La concentration économique recouvre un processus dynamique de regroupement des entreprises, qui tend à conférer aux firmes concernées un certain pouvoir d'influence sur les marchés dont l'aboutissement extrême serait un pouvoir de monopole. Selon la théorie économique, la meilleure forme d'organisation des marchés est celle de la concurrence pure et parfaite. Pour préserver l'intérêt général, il faut donc surveiller la concentration et les conséquences qu'elle peut avoir sur la vigueur de la concurrence. C'est aux États-Unis que cette fonction de surveillance a été établie, dès 1890 à la suite de la première loi antitrust, le Sherman Act. La concentration économique a une longue histoire qui se déroule dans une problématique qui demeure invariante. En revanche les changements qui interviennent dans l'environnement de l'entreprise nous obligent à revoir notre approche opérationnelle de la concentration.
Mot(s) clés libre(s) : Internet, entreprise, économie, marché, monopole, croissance, production, pouvoir, antitrust
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La prolifération des images

/ UTLS au lycée / 06-12-2010 / Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée, VANOYE Francis
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLa prolifération des images par Francis VanoyeLycée Henri Matisse (93 Montreuil)
Mot(s) clés libre(s) : iconographie, image, imagination, mémoire, pouvoir de l'image, puissance de l'image, représentation
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La Société du risque. Risque et Politique

/ Mission 2000 en France / 20-10-2000 / Canal-U - OAI Archive
EWALD François
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En 1986, le sociologue allemand, Ulrich Beck publie un livre sur la " société du risque " et remporte un grand succès. Son livre n'est pas un manifeste écologique, ni une dénonciation de la multiplication des risques technologiques caractérisant la société contemporaine, mais plutôt une interrogation sur les caractéristiques d'une société considérant tous ses problèmes comme des risques, faisant du risque le principe de ses valeurs. Ainsi Ulrich Beck montre que la question du risque est au coeur de la politique moderne. Le risque est au coeur du contrat de solidarité qui représente la forme du contrat social pour le XXe siècle industrialisé. Il est aujourd'hui au centre d'un débat en raison même de la transformation dans la nature des risques sociaux : maladie, retraite, chômage. D'où la recherche de formes de protections alternatives qui caractériseront sans doute le XXIe siècle. Une autre forme de politisation par le risque est apparue dans les années 1970 avec la montée de la conscience écologique. Les grands risques technologiques (le nucléaire en particulier), les catastrophes industrielles, les interrogations sur les évolutions du climat, la montée des risques sanitaires (transfusion sanguine), alimentation (vache folle) ont conduit les États à définir une nouvelle politique du risque liée à la notion de " principe de précaution ". Elle porte sans doute avec elle la naissance d'une nouvelle organisation de l'État dans ses fonctions de sécurité. En son coeur, à la fois la question du savoir - à travers le problème de l'expertise - dans les procédures qui conduisent à décider que tel ou tel risque est acceptable.
Mot(s) clés libre(s) : assurance, incertitude, pouvoir, prudence, responsabilité, retraite, risque, sécurité sociale
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La vérité : conclusion / Olivier Guerrier

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail / 04-04-2013 / Canal-u.fr
GUERRIER Olivier
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La vérité : conclusion / Olivier Guerrier. In "La vérité", Journées Scientifiques annuelles de l'Institut Universitaire de France, organisées par le Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) de Toulouse, l'Université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Universitaire de France. Toulouse : Hôtel-Dieu, 2-4 avril 2013. Miracle au SertãoSite dédié au film APAEB ValenteAssociation des Petits Agriculteurs de l'Etat de Bahia
Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, objectivité, vérité (épistémologie), relation pouvoir-vérité, preuve (épistémologie)
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La vérité : ouverture et introduction / Marie-France Barthet, Marie-Claude Maurel, Olivier Guerrier

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail / 02-04-2013 / Canal-u.fr
BARTHET Marie-France, MAUREL Marie-Claude, GUERRIER Olivier
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La vérité : ouverture et introduction / Marie-France Barthet, Marie-Claude Maurel, Olivier Guerrier. In "La Vérité", Journées Scientifiques annuelles de l'Institut Universitaire de France, organisées par le Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) de Toulouse, l'Université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Universitaire de France. Toulouse : Hôtel-Dieu, 2-4 avril 2013. Définir la vérité est chose ardue et engage des notions elles-mêmes complexes, comme celles de réalité, preuve, perception, représentation, expérience, fiabilité, objectivité, et encore erreur, mensonge, leurre, fiction... La vérité n’est en tout cas pas toujours saisie comme un absolu. Les échanges pluridisciplinaires que le colloque a pour vocation de susciter reposent sur un double postulat : la vérité a une étoffe historique et elle constitue un objet pluriel et changeant que chaque discipline appréhende selon des modalités et des pratiques différentes. Philosophie, théologie, droit, éthique, histoire, littérature, mathématiques, physique, biologie, sciences de l’homme, du social, du vivant, sciences fondamentales ou appliquées ont toutes un horizon de vérité. Celui-ci constitue un point d’observation intéressant pour analyser les évolutions (ou révolutions) scientifiques dans la mesure où la conception même que l’on se fait de la vérité, ou que l’on vise, est un agent important de mutation des pratiques scientifiques, des concepts et de leurs champs d’application. Si aux yeux de la société, la vérité est une sorte de marque de fabrique de la science en général, on s’attachera à diffracter cette image d’Epinal en explorant la perception et la représentation de la vérité, sa transmission et sa réfutation dans tous les secteurs de la vie intellectuelle et créative, par le biais d’un ample dialogue transdisciplinaire. Miracle au SertãoSite dédié au film APAEB ValenteAssociation des Petits Agriculteurs de l'Etat de Bahia
Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, objectivité, vérité (épistémologie), relation pouvoir-vérité, preuve (épistémologie)
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Le faible rôle de l’État dans l’évolution de la langue française

/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie / Canal-u.fr
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Cette manifestation a été organisée dans le cadre de la conférence annuelle de l’Association for French Language Studies (AFLS,) organisée par le CRISCO du 17 au 19 juin 2015 : La linguistique du français vernaculaire : analyses synchroniques, perspectives diachroniques et applications didactiques.Anthony Lodge est, depuis 2008, professeur émerite de linguistique française à l’Université de Saint-Andrews (R-U). Il a enseigné la linguistique française dans trois universités britanniques – Aberdeen (1967-1984), Newcastle (1984-1995), Saint Andrews (1995-2008). Tout au long de sa carrière il s’est intéressé à l’enseignement du français langue étrangère (publ. Le Français en faculté -1979) et à l’édition de textes médiévaux (publ. Le Livre des Manières d’Etienne de Fougères - 1979, The Earliest Branches of the Roman de Renart - 2001). Il s’est intéressé également à la langue occitane, et en particulier aux archives médiévales de Montferrand (Puy-de-Dôme) (publ. Les comptes des consuls de Montferrand -1985, 2006, 2010). En linguistique historique il a publié deux ouvrages importants – Le Français. Histoire d’un dialecte devenu langue (1997) et A Sociolinguistic History of Parisian French (2004). Avec Jacques Durand et Richard Towell il a fondé en 1989 la revue Journal of French Language Studies (CUP).Résumé de la communicationDans la grande tradition républicaine, l'histoire de la langue française est surtout le fait de l'état et de la grande littérature. Le français entre dans la vie de la Nation au IXe siècle (Serments de Strasbourg 843), et s'élabore progressivement au cours du moyen âge sous la plume de poètes, chroniqueurs et administrateurs. Il est pris directement en main, à la Renaissance, par une monarchie qui vise, d'un côté, l'anéantissement des dialectes (Villers-Cotterêts 1539), et, de l'autre, la création d'une langue classique modèle de logique, de clarté et d'élégance (Académie française 1637). Cette grande tâche fut menée à bien par les grammairiens et grands auteurs de l'Ancien Régime, mais il a fallu la Révolution et surtout la Troisième République, pour que la population générale puisse en bénéficier. Le grand regret de nos jours c'est que ce précieux héritage national soit si souvent négligé et défiguré.Tout cela serait bien beau, s'il donnait une vision quelque peu réaliste du passé de la langue. Peut-on réduire le français à la seule langue officielle, à la belle langue ? Les millions de Français ordinaires n'ont-ils joué aucun rôle dans l'évolution de leurs propres façons de parler ? Chacun sait que le français est issu non pas de la belle langue latine, du latin officiel, mais du latin parlé par des millions de Romains ordinaires. Qu'en serait-il d'une histoire du français qui mette au milieu de la scène les locuteurs français ordinaires, agissant collectivement et inconsciemment ? On y verrait une réduction du rôle de l'état et des grands auteurs, mais le résultat ne serait-il pas plus conforme à ce que nous savons aujourd'hui sur les modalités du changement linguistique ?
Mot(s) clés libre(s) : pouvoir, evolution, Linguistique
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Le peu

/ Mission 2000 en France / 28-12-2000 / Canal-U - OAI Archive
SANSOT Pierre
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Un voyage au coeur du peu…. Le peu n'est pas un destin, mais on découvre parfois dans le peu le plus, le trop, la démesure. Un point de vue où l'on exclue le « trop peu » mais où l'on explore le peu face au trop, existe-t-il quelque chose entre le peu et le trop, le trop est il condamnable ? L'art du peu manifeste une manière de vivre de la sagesse. «Puisque l'abondance nous est désormais refusée, sachons vivre dans la qualité le peu qui nous est attribué», préconise Sansot.
Mot(s) clés libre(s) : peu, pouvoir, trop, valoir
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Le pouvoir

/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France / 30-05-2000 / Canal-U - OAI Archive
LEFORT Claude
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"Dans cette Université de tous les savoirs, il semble que vienne naturellement prendre place une étude du pouvoir. Je suis conscient de ce qu'il y avait de téméraire à la prendre en charge. Il n'est pas, en effet, de discipline scientifique dont l'objet spécifique soit la nature, l'origine et l'exercice du pouvoir, bien que ce phénomène ait suscité depuis longtemps la réflexion de grands esprits. Je doute d'ailleurs qu'une telle discipline ait quelque chance de se former, pour des raisons qui apparaîtront au cours de cet exposé. Rien, en tout cas, ne permet de croire que nous puissions bénéficier des acquis d'un savoir cumulatif. Qu'appelle-t-on pouvoir ? Question préalable, semble-t-il. Mais, pour répondre, il faudrait énoncer un critère qui permette aussitôt de trancher un noeud de représentations dont chacune porte la marque d'une expérience collective. Si l'on veut bien admettre que le pouvoir ne peut se réduire à la domination, à la puissance, au commandement ou à l'autorité, ce n'est pas toutefois sans raison qu'on en reconnaît le signe, soit à la capacité de décider des affaires publiques, soit à celle de disposer des moyens de coercition, soit à celle de commander, soit à celle d'incarner ou de représenter quelque puissance au-dessus des hommes ou bien d'en participer, soit à celle de posséder un savoir-faire qui échappe à l'intelligence commune. Bref, il peut être associé à l'image du prince, du gouvernant, du guerrier, du prêtre ou du magicien. Dans tous les cas, le caractère du pouvoir est lié à celui de l'obéissance, et l'obéissance elle-même implique un certain mode de croyance. D'une domination établie par la force on peut même se demander, comme nous y invitait La Boétie, si elle a jamais pu s'entretenir durablement sans bénéficier d'une "" servitude volontaire "". "
Mot(s) clés libre(s) : despotisme chinois, état, politique, pouvoir
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