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Redécouvrir la biodiversité végétale cultivée - E. Hainzelin, CIRAD
/ Canal-u.fr
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<p>Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : agriculture, variabilité génétique, Agroécologie, sélection végétale, critères de productivité
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Qu'est-ce que la compétitivité ? Et comment l'améliorer ?
/ Pedago SYDO
/ Canal-u.fr
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En 3 minutes, cette vidéo explique la compétitivité et ses possibles voies d'amélioration. Mot(s) clés libre(s) : productivité, rapport Gallois
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Nouveaux cycles et nouvelle croissance économique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 23-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DIDIER Michel
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"Mesdames, messieurs, existe-t-il une notion qui tombe plus sous le sens que celle de marché ? L'expansion quasi-générale et la vague d'innovation dans les technologies de la communication annoncent-t-elles une phase économique nouvelle ? Après quatre régimes économiques différents au cours du vingtième siècle (une période "" paisible et prospère "" : 1900-1913, une période de repliement conflictuel : 1913-1950, un âge d'or : 1950-1973 et une période de perturbations inflationnistes : 1973 aux années 90), entrons-nous maintenant dans une économie nouvelle ? La clé de la croissance à long terme est la productivité globale des facteurs de production. Le caractère déroutant de certaines observations récentes sur l'économie d'Internet et des nouvelles technologies suggère de nouveaux mécanismes économiques. Il s'avère toutefois qu'on peut en rendre compte par les analyses traditionnelles. Une autre approche consiste à comparer la diffusion de la vague d'innovation actuelle (ordinateurs, téléphones mobiles, Internet) et les vagues antérieures (chemins de fer, électricité, téléphone). On observe des similitudes (effervescence financière, attentes sociales fortes), mais aussi des différences (les vagues antérieures débouchaient sur des monopoles, la vague actuelle se développe dans un contexte d'ouverture à la concurrence). On constate aussi que les innovations mettent généralement des décennies à s'installer. Aujourd'hui, le développement du mobile est plus rapide que toutes les vagues antérieures. En revanche les ordinateurs personnels pénètrent pour l'instant moins vite que la machine à laver. " Mot(s) clés libre(s) : chômage, croissance, économie, inflation, informatique, institution, internet, mondialisation, productivité
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Nouveaux cycles et nouvelle croissance économique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 23-05-2000
/ Canal-u.fr
DIDIER Michel
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Mesdames, messieurs, existe-t-il une notion qui tombe plus sous le sens que celle de marché ? L'expansion quasi-générale et la vague d'innovation dans les technologies de la communication annoncent-t-elles une phase économique nouvelle ? Après quatre régimes économiques différents au cours du vingtième siècle (une période "" paisible et prospère "" : 1900-1913, une période de repliement conflictuel : 1913-1950, un âge d'or : 1950-1973 et une période de perturbations inflationnistes : 1973 aux années 90), entrons-nous maintenant dans une économie nouvelle ? La clé de la croissance à long terme est la productivité globale des facteurs de production. Le caractère déroutant de certaines observations récentes sur l'économie d'Internet et des nouvelles technologies suggère de nouveaux mécanismes économiques. Il s'avère toutefois qu'on peut en rendre compte par les analyses traditionnelles. Une autre approche consiste à comparer la diffusion de la vague d'innovation actuelle (ordinateurs, téléphones mobiles, Internet) et les vagues antérieures (chemins de fer, électricité, téléphone). On observe des similitudes (effervescence financière, attentes sociales fortes), mais aussi des différences (les vagues antérieures débouchaient sur des monopoles, la vague actuelle se développe dans un contexte d'ouverture à la concurrence). On constate aussi que les innovations mettent généralement des décennies à s'installer. Aujourd'hui, le développement du mobile est plus rapide que toutes les vagues antérieures. En revanche les ordinateurs personnels pénètrent pour l'instant moins vite que la machine à laver. Mot(s) clés libre(s) : Internet, mondialisation, croissance, institution, productivité
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Management et imaginaire social
/ Mission 2000 en France
/ 18-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LE GOFF Jean-Pierre
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"Le management se présente volontiers comme une simple activité visant à améliorer l'efficacité, la productivité et la qualité dans la production de biens et de services, mettant en oeuvre des outils et des techniques qui se veulent de simples instruments. L'examen des discours et des outils managériaux montre, s'il en était besoin, que le management va bien au-delà de la dimension pragmatique et fonctionnelle dont il se réclame : il dresse un tableau chaotique des évolutions du monde dans tous les domaines, développe une conception de l'homme nouveau adapté à ces évolutions, et véhicule la représentation d'un pouvoir qui effacerait les liens de subordinations pour laisser la place à un collectif horizontal tout entier organisé en réseau. Ces représentations ne concernent pas seulement l'entreprise, mais elles sont symptomatiques de la décomposition d'un imaginaire qui s'est développé avec l'industrie et qui est aujourd'hui en crise. L'inflation du discours managérial, de ses thèmes et de ses outils, dans l'ensemble des sphères de l'activité sociale accompagne une modernisation qui "" tourne à vide "" et cède aux pressions de l'idéologie libérale." Mot(s) clés libre(s) : autonomie, entreprise, informatique, management, manipulation, productivité, responsabilité, travail
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Management et imaginaire social
/ Mission 2000 en France
/ 18-05-2000
/ Canal-u.fr
LE GOFF Jean-Pierre
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Le management se présente volontiers comme une simple activité visant à améliorer l'efficacité, la productivité et la qualité dans la production de biens et de services, mettant en oeuvre des outils et des techniques qui se veulent de simples instruments. L'examen des discours et des outils managériaux montre, s'il en était besoin, que le management va bien au-delà de la dimension pragmatique et fonctionnelle dont il se réclame : il dresse un tableau chaotique des évolutions du monde dans tous les domaines, développe une conception de l'homme nouveau adapté à ces évolutions, et véhicule la représentation d'un pouvoir qui effacerait les liens de subordinations pour laisser la place à un collectif horizontal tout entier organisé en réseau. Ces représentations ne concernent pas seulement l'entreprise, mais elles sont symptomatiques de la décomposition d'un imaginaire qui s'est développé avec l'industrie et qui est aujourd'hui en crise. L'inflation du discours managérial, de ses thèmes et de ses outils, dans l'ensemble des sphères de l'activité sociale accompagne une modernisation qui "" tourne à vide "" et cède aux pressions de l'idéologie libérale. Mot(s) clés libre(s) : travail, responsabilité, entreprise, informatique, autonomie, management, manipulation, productivité
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Les enjeux présents et futurs de la répartition mondiale des ressources cognitives
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BLONDEL Danièle
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Théoriciens et praticiens s'accordent aujourd'hui pour voir dans la connaissance le facteur déterminant de la compétitivité des firmes et de la croissance des économies. Les signes sont clairs : tandis que des économistes, de plus en plus nombreux, modélisent la Knowledge-Based Economy, les conseillers d'entreprise en Knowledge Management prennent peu à peu le pas sur ceux qui traitent de la gestion financière. Le problème de la production et de la distribution de cette source de richesse est donc au coeur de la question de l'inégalité entre les nations, entre les firmes et entre les individus. Ce nouveau régime économique que certains ont appelé « capitalisme cognitif » est-il plus ou moins égalitaire que le capitalisme industriel ? La réponse est ambiguë. La connaissance semble- a priori- un bien libre et non-rival : celui qui possède un savoir et le transmet à quelqu'un d'autre ne le perd pas pour autant ; ce pourrait donc être une grande chance pour les pays pauvres puisque leur capacité de développement pourrait être enrichie par des transferts de savoirs gratuits qui ne priveraient en rien leurs donateurs ; en outre, cette diffusion pourrait être accélérée par les nouveaux moyens d'information et de communication, rapides et peu coûteux. Pourtant, une réflexion plus approfondie sur la nature même de la connaissance utile pour créer de la richesse, montre que tous les individus et tous les pays ne sont pas forcément dans de bonnes conditions pour valoriser les informations qu'ils reçoivent. L'appropriation de la connaissance, étape préalable nécessaire à sa valorisation, requiert des compétences très particulières qui ne sont pas transférables en temps réel par les TIC. Le nouveau savoir pour être fructueux doit être ensemencé dans un terreau fertilisé de longue date par l'éducation, la formation et la culture. Confrontés à cette dynamique cumulative qui intègre les différents apprentissages, certains pays en voie de développement ont su profiter du nouveau modèle ; pour d'autres au contraire, l'éviction semble encore plus grave et définitive qu'auparavant. Quelles leçons peut-on tirer de ces expériences pour le rééquilibrage durable du développement mondial ? Mot(s) clés libre(s) : brevet, migration, mondialisation, productivité
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Les enjeux présents et futurs de la répartition mondiale des ressources cognitives
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2003
/ Canal-u.fr
BLONDEL Danièle
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Théoriciens et praticiens s'accordent aujourd'hui pour voir dans la connaissance le facteur déterminant de la compétitivité des firmes et de la croissance des économies. Les signes sont clairs : tandis que des économistes, de plus en plus nombreux, modélisent la Knowledge-Based Economy, les conseillers d'entreprise en Knowledge Management prennent peu à peu le pas sur ceux qui traitent de la gestion financière. Le problème de la production et de la distribution de cette source de richesse est donc au coeur de la question de l'inégalité entre les nations, entre les firmes et entre les individus. Ce nouveau régime économique que certains ont appelé « capitalisme cognitif » est-il plus ou moins égalitaire que le capitalisme industriel ? La réponse est ambiguë. La connaissance semble- a priori- un bien libre et non-rival : celui qui possède un savoir et le transmet à quelqu'un d'autre ne le perd pas pour autant ; ce pourrait donc être une grande chance pour les pays pauvres puisque leur capacité de développement pourrait être enrichie par des transferts de savoirs gratuits qui ne priveraient en rien leurs donateurs ; en outre, cette diffusion pourrait être accélérée par les nouveaux moyens d'information et de communication, rapides et peu coûteux. Pourtant, une réflexion plus approfondie sur la nature même de la connaissance utile pour créer de la richesse, montre que tous les individus et tous les pays ne sont pas forcément dans de bonnes conditions pour valoriser les informations qu'ils reçoivent. L'appropriation de la connaissance, étape préalable nécessaire à sa valorisation, requiert des compétences très particulières qui ne sont pas transférables en temps réel par les TIC. Le nouveau savoir pour être fructueux doit être ensemencé dans un terreau fertilisé de longue date par l'éducation, la formation et la culture. Confrontés à cette dynamique cumulative qui intègre les différents apprentissages, certains pays en voie de développement ont su profiter du nouveau modèle ; pour d'autres au contraire, l'éviction semble encore plus grave et définitive qu'auparavant. Quelles leçons peut-on tirer de ces expériences pour le rééquilibrage durable du développement mondial ? Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, productivité, brevet, migration
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Le roman à thèse. Idéologie et histoire au cœur de la fiction
/ Christian Bailly, ENS de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Martine Watrelot
/ 29-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Gugelot Frédéric
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Texte prétexte, le roman à thèse sature tout l’espace d’interprétation offert aux lecteurs, il atteint ainsi son but idéologique mais il se condamne à dépendre pour sa postérité des aléas historiques. La logique d’interprétation de l’ouvrage doit alors faire appel aux enjeux du moment de sa réception pour en saisir toutes les logiques de production. Mot(s) clés libre(s) : attente sociale, Église, Gilbert Cesbron, Henri Perrin, Michel de Saint-Pierre, productivité symbolique, public catholique, réception
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La ville portuaire : modèle de productivité dans la mondialisation (Thierry Baudouin)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 13-11-2008
/ Canal-u.fr
BAUDOUIN Thierry, WORMSER Gérard
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Les villes mondialisées ont besoin d'interfaces de plus en plus complexes : un port maritime, fluvial, aérien, routier, numérique... Disposer de beaucoup de ces ports dépend bien plus des stratégies des villes que de leur taille. La mondialisation est une opportunité à saisir et à construire par chaque acteur. Mais nos villes sont en général mal placées pour organiser les branchements sur les flux de la mondialisation. Le système fordien, jacobin et industriel ne favorise nullement la réussite des villes, parce que jouer la compétition classique entre territoires relativement à un centre permanent n'est pas pertinent dans la concurrence mondiale. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, productivité, réseaux, responsabilités, risques, ville, port, ville portuaire
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