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Les expatriés japonais en France : la sauvegarde de leur patrimoine
/ Canal-u.fr
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Etudiantes en licence de japonais, c'est tout naturellement que nous nous sommes tournées sur le sujet de l'expatriation pour tourner notre projet audiovisuel. Nous avons choisi d'interwiever trois ressortissants japonais, sur des thèmes précis afin de montrer les différences et similitudes qui pouvaient se dégager de leur vie en tant qu'expatriés en France. Mot(s) clés libre(s) : émigration et immigration, Japon, protection du patrimoine culturel, patrimoine, expatriés, expatriation, France, culture
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Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : conclusions du colloque
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BARLANGUE Luce, COMPAIN-GAJAC Catherine
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Conclusions du colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" / Luce BARLANGUE et Catherine COMPAIN-GAJAC. Colloque organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010. Mot(s) clés libre(s) : architecture (conservation et restauration), France (20e siècle), Mouvement moderne (architecture), protection du patrimoine
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHIVALLON Christine
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014.
Thématique 1 : Esclavage et mémoire.
Cette communication s'intéresse aux nouvelles pratiques patrimoniales et muséographiques relatives à l'esclavage trasatlantique dans la France contemporaine et ses lointains "Départements d'outre-mer" de la Caraïbe. Elle envisage de manière critique les discours que proposent ces nouveaux dispositifs patrimoniaux au vu de l'ambition qu'ils visent de représenter l'esclavage. A partir d'expériences concrètes de scénographies de l'esclavage, plutôt muséographiques, il s'agit de faire émerger les questions que pose la mise en visibilité de l'esclavage par le langage patrimonial dans un contexte politico-mémoriel saturé de signes. La visée stratégique de la prise en compte du passé esclavagiste fait en effet massivement appel aux « machines du souvenir », outils de la modernité occidentale, pour tenter de convaincre de la prise en compte des histoires douloureuses des peuples noirs. A partir de quelques exemples, Christine Chivallon veut ainsi montrer que ce langage muséographique et monumental, fortement mobilisé dans le contexte de frénésie mémorielle, n'est pas adapté pour traduire les expériences sociales issues de la matrice esclavagiste. Celles-ci semblent comme leur échapper ou être de nouveau rendues silencieuses par des dispositifs qui oblitèrent des pans de réalités sociales encore vives ou qui viennent à produire des régimes de représentations encore étroitement liées aux spécificités de sociétés restées clivées par les héritages coloniaux. Cette commuication envisage successivement quatre stratégies discursives : celle de la périodisation historique, celle du récit national, celle du lieu-témoin, celle enfin de la monumentalité du Mémorial. Ces stratégies ne sont pas exclusives l'une de l'autre mais expriment plutôt des dominantes où les discours, par leurs procédures de sélection et d'exclusion, installent certaines visions de l'esclavage qui brouillent les manières d'atteindre le sens de l'expérience humaine formée dans le creuset esclavagiste. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, lieux de mémoire, politique culturelle (protection du patrimoine), esclavage (mémoire collective), scénographie d'exposition (muséologie)
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Introduction à la notion de conservation-restauration de l'architecture / Catherine Compain-Gajac
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
COMPAIN-GAJAC Catherine
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Introduction à la notion de conservation-restauration de l'architecture. Catherine COMPAIN-GAJAC. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Pour donner les éléments nécessaires à la compréhension de la notion de conservation du patrimoine architectural, Catherine Compain-Gajac retrace à grands traits l'historique de la politique de préservation du patrimoine architectural en France, du XVIIe siècle au lendemain de la Révolution française jusqu'au XXe siècle en passant par le rôle des inspecteurs des monuments historiques, Ludovic Vitet et Prosper Mérimée et la politique d'André Malraux qui, en 1958, fait dresser un classement des édifices modernes. Depuis 1980, s'est développé un intérêt pour l'architecture moderne et la mise en oeuvre de sa protection, avec, notamment, plusieurs dates importantes : les rencontres de Paris et Grenade en 1985, qui voient la rédaction de la recommandation pour la protection et la mise en valeur du patrimoine du XXe siècle. En 1988, sera créé un organisme pour la documentation et la conservation de l'architecture moderne, Docomomo International. A partir des années 1990, les différents organismes multiplient les rencontres d'experts, les colloques internationaux et les programmes d'études, ce qui ne va cependant pas suffire à faire reconnaître la valeur patrimoniale des édifices modernes. « Bien que l'architecture se soit développée de manière spectaculaire au 20ème siècle du fait de la très rapide explosion démographique, bien que pendant cette période on ait construit plus que pendant tous les siècles antérieurs, si on le compare au patrimoine ancien, celui du 20e est largement sous-représenté dans la liste du patrimoine mondial ». Catherine Compain-Gajac explique les raisons multiples de cette sous-représentation, parmi lesquelles la difficulté d'appliquer les critères fixés par la Convention du patrimoine mondial de l'Unesco, habituellement destinés à protéger des bâtiments anciens. Mot(s) clés libre(s) : architecture moderne (1945-1970), France (20e siècle), Mouvement moderne (architecture), patrimoine architectural, politique culturelle (protection du patrimoine), protection patrimoniale
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Transmettre la littérature. Table-ronde / Denis Labouret, Sophie David, Christian Thorel
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 03-05-2015
/ Canal-u.fr
DAVID Sophie, LABOURET Denis, THOREL Christian, BOUCHET Florence
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Transmettre la littérature. Table-ronde / Denis Labouret, Sophie David, Christian Thorel, in 5ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1. Conservation, transmission", animée par Florence Bouchet et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 3 mars 2015.
À l'heure d'une marchandisation de la culture,
d'une mutation des pratiques de lecture (internet, liseuses) et d'une
crise des études littéraires, comment la littérature fait-elle sens dans
notre société ?
Comment le patrimoine littéraire, largement
identifiable aux programmes scolaires et universitaires, fait-il face à
la concurrence de « best-sellers » fabriqués en série ?
Comment donner ou redonner aux élèves, aux étudiants et au grand public le goût de la lecture et de la littérature ?
Intervenants :
Florence Bouchet, professeur
de littérature médiévale (Université Toulouse Jean Jaurès),
Sophie DAVID, inspectrice
pédagogique régionale de lettres,
Denis LABOURET, maître de conférences
en littérature française moderne et contemporaine (Université
Paris-Sorbonne),
Christian THOREL, directeur de la librairie Ombres blanches et fondateur des éditions Ombres (Toulouse). Mot(s) clés libre(s) : transmission du savoir, protection du patrimoine culturel, goût de la lecture, patrimoine littéraire
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Le Théâtre Picard "Chés Cabotans d'Amiens"
/ Pauline MASSOL, Adeline SPRIET, Archives audiovisuelles Langes et Cultures du Monde (ALCM)
/ 03-04-2016
/ Canal-u.fr
DUPONT Jean-Bernard
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En plein essor pendant le XIXe siècle, les théâtres de marionnettes disparaissent peu à peu après la première guerre mondiale notamment à cause de l'arrivée du cinéma. Cependant, à Amiens on voit naître une troupe de marionnettistes picards, appelée "Chés Cabotans d'Amiens" et dont le but est de continuer à faire vivre le patrimoine culturel de la région.
Le Théâtre Chés Cabotans d'Amiens, c'est aussi une manière de faire perdurer la Langue Picarde. Depuis le début du XXe siècle, alors que l'on prône le français "national", l'usage du picard s'est vu peu à peu disparaître. Le théâtre est le dernier lieu en Picardie où la langue régionale est parlée de manière officielle, d'où l'importance de celui-ci.
Le théâtre qui se situe au coeur du quartier Saint Leu à Amiens se produit aujourd'hui encore plusieurs fois par semaine pour le plaisir des plus jeunes comme des plus âgés. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, Picardie, Picard, Théâtre de marionnettes, Chés Cabotans, Saint Leu, Marionnettes, Théâtre, arts et traditions populaires, langues régionales, amiens, protection du patrimoine culturel, patrimoine culturel populaire
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Le cinéma comme art
/ Mission 2000 en France
/ 23-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MAKOWSKI Claude
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Le cinéma comme art par Claude Makovski Abel Gance disait : " Il y a le cinéma et l'art du cinéma ". Il savait de quoi il parlait, lui qui nous a laissé quelques chef-d'oeuvres incontestés du 7ème art : La Roue, J'Accuse ou le prodigieux Napoléon. Après une description introductive à la praxis cinématographique, puis une seconde partie consacrée aux aléas qui jalonnent la jeune histoire du cinéma (105 ans, bientôt 106 : quatre générations d'imaginaires renouvelés), la troisième partie de l'exposé sera dévolue au récit de quelques exemples choisis qui montreront en outre la fragilité de la pérennité des oeuvres cinématographiques, dont l'avenir dépendra de nouvelles vigilances de conservation et d'une prise de conscience non exclusivement sectaire ni marchande du patrimoine filmé, source inépuisable de culture et de création. Enfin, les nouvelles technologies permettront-elles à la fois de desserrer l'étau parfois oppressant des " décideurs " (ceux, qui, tenant les cordons de l'industrie, commandent aux créateurs) et d'apporter des techniques inédites de protection et de prolongement vital des films dont l'existence affirme la présence de l'Art du Cinéma ? Mot(s) clés libre(s) : art cinématographique, cinéma, cinéma (technique), cinéma numérique, femmes et cinéma, films (conservation et restauration), protection du patrimoine culturel
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Enjeux et pratiques de la protection du patrimoine du XXe: témoignage de la COREPHAE/ Gérard Monnier
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MONNIER Gérard
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Les enjeux et les pratiques de la protection du patrimoine du XXe : un témoignage de la COREPHAE à Docomomo France. Gérard MONNIER.In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010. Mot(s) clés libre(s) : architecture (Mouvement moderne), architecture (XXe siècle), protection du patrimoine
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Les grands ensembles "au pied du mur" : l'exemple de la Seine-Saint-Denis / Benoît Pouvreau
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
POUVREAU Benoît
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Démolition ? Protection ? Les grands ensembles "au pied du mur" : l'exemple de la Seine-Saint-Denis. Benoît POUVREAU. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010. Mot(s) clés libre(s) : architecture (reconstruction), architecture moderne, grands ensembles (Seine-Saint-Denis), politique de rénovation urbaine, protection du patrimoine
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Cinéma, adaptation, restauration : autour des "Misérables" d’Henri Fescourt (1925). Table ronde / Philippe Ragel, Yves Reboul, Béatrice de Pastre
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 12-12-2014
/ Canal-u.fr
REBOUL Yves, DE PASTRE Béatrice, RAGEL Philippe
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Cinéma, adaptation, restauration : autour des Misérables d’Henri Fescourt (1925). Table ronde / Philippe Ragel, Yves Reboul, Béatrice de Pastre, in 2ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1. Conservation, transmission", animée par Philippe Ragel et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 12 décembre 2015.
Connu
jusqu’à présent uniquement en noir et blanc et dans une version de
courte durée, le film d’Henri Fescourt "Les Misérables" -adapté du roman de Victor Hugo- a fait l'objet d'une restauration qui lui a permis de retrouver sa durée initiale (6 heures, en 4 actes) et
la richesse des différentes techniques de couleurs utilisées son réalisateur afin d'être restitué dans une version très proche de celle présentée aux spectateurs en 1925, qualifiée à l’époque de "chef d’œuvre de la cinématographie mondiale". Grâce à une facture esthétique classique, une narration filmique maîtrisée et un montage aussi efficace que discret, le film Les Misérables d'Henri Fescourt adapte et transmet fidèlement le texte de l'oeuvre de Victor Hugo, tout en se conformant à une image assez conventionnelle du grand écrivain.
Intervenants
- Franck Loiret, directeur délégué de la
Cinémathèque de Toulouse,
- Jean-Yves Laurichesse, professeur de
littérature (Université Toulouse-Jean-Jaurès, campus Mirail),
- Philippe Ragel, maître de conférences HDR en histoire et esthétique du
cinéma, (Université Toulouse-Jean-Jaurès, campus Mirail),
- Béatrice de
Pastre, directrice des collections aux Centre National de la
Cinématographie,
- Yves Reboul, spécialiste de littérature du XIXe
siècle et de cinéma. Mot(s) clés libre(s) : films (conservation et restauration), protection du patrimoine culturel, adaptations cinématographiques, Victor Hugo (1802-1885), Henri Fescourt (1880-1966)
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