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Psychiatrie et prison – La place du soin dans les politiques pénales.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DORON Claude-Olivier
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Titre : Psychiatrie et prison – La place du soin dans les politiques pénales.Intervenant(s) : Claude-Olivier DORON (philosophe, Université Paris VII, centre Georges Canguilhem – Paris).Résumé : La place du soin dans les politiques pénales.Trente ans après la création des premiers secteurs de psychiatrie en milieu pénitentiaire, force est de constater l’extraordinaire extension du soin psychique dans la société contemporaine et dans ses politiques pénales, en particulier.Par la nature des contraintes et les particularités de l’exercice, les soignants ont toujours été amenés à s’interroger sur les fondements de la psychiatrie en milieu pénitentiaire et à questionner la légitimité des soins dispensés.Aujourd’hui, quelles sont donc la place, la fonction et les finalités du soin psychiatrique en prison et hors les murs ?Son champ, ses limites et ses pratiques ne sont-ils pas sans cesse modifiés par l’évolution permanente des connaissances scientifiques et des commandes sociale et politique ?Qu'en est-il alors du secret et de l'intime de la relation thérapeutique au regard des injonctions et obligations diverses de transparence, d’évaluation et d’objectivité ?Comment, dans ce contexte, continuer à préserver la part invisible du soin, garante d'un processus thérapeutique à l'œuvre ?La prison, révélateur social, suscite l’interrogation sur les questions fondamentales et actuelles qui traversent l’ensemble de la psychiatrie.Ce questionnement autour du soin est décisif : Il invite au débat, oblige à l’échange et nécessite d’ouvrir la réflexion avec d’autres disciplines.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des XXIIèmes Journées Nationales des Secteurs de Psychiatrie en Milieu Pénitentiaire (Faculté de Médecine de la Timone). Session : situer le soin : du visible à l’invisible. Président de séance : Gérard LAURENCIN (psychiatre des hôpitaux, chef de pôle, secteur de psychiatrie en milieu pénitentiaire Midi-Pyrénées, CH Gérard Marchant – Toulouse). Discutant : Daniel UOTTA (philosophe – Marseille).Réalisation, production : Canal U/3S - CERIMESMots clés : Marseille 2011, psychiatrie, prison, Psychiatrie et prison Mot(s) clés libre(s) : Marseille 2011, prison, psychiatrie, Psychiatrie et prison
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Processus conscients vs. non-conscients / Conscious and non-conscious processing
/ 01-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
DEHAENE Stanislas
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The cognitive neuropsychology approach to brain dysfunction was largely founded on a modular approach: individual patient's deficits were explained by a local impairment within a modular architecture of specialized subsystems. I will suggest, however, that in addition to specialized processors, which can operate without consciousness, the human brain also comprises a brain-scale communication infrastructure, the "global neuronal workspace", that breaks modularity by allowing conscious flexible recombination of new processing chains. Impairments at the level of workspace neurons, which are particularly dense in prefrontal and anterior cingulate cortices, might provide a new level of explanation for some of the cognitive deficits underlying psychiatric diseases such as schizophrenia. Preliminary behavioral and neuro-imaging data suggest a dissociation between preserved subliminal processing and impaired conscious access in schizophrenia. Le paradigme de la neuropsychologie cognitive a fondé son explication des dysfonctionnements cérébraux sur une approche modulaire, selon laquelle les troubles des patients s'expliquent par une atteinte locale au sein d'une architecture composée de processeurs spécialisés. Je voudrais suggérer qu'outre ces processeurs spécialisés opérant de façon automatique et non-consciente, le cerveau humain comprend une infrastructure de communication plus large, l'espace de travail neuronal global, qui brise la modularité en autorisant la recombinaison flexible et consciente des processeurs en des chaînes de traitement nouvelles. Des dysfonctionnements au niveau des neurones de l'espace de travail, qui sont particulièrement denses dans le cortex préfrontal et cingulaire, pourraient apporter des éléments d'explication nouveaux á certains déficits cognitifs observés dans des maladies psychiatriques telles que la schizophrénie. Des données préliminaires de comportement et de neuroimagerie suggèrent, chez les patients schizophrènes, une dissociation avec préservation du traitement visuel non-conscient et perturbation de l'accès á la conscience.
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport
Générique
Auteur : Stanislas Dehaene Collège de France Paris et Unité INSERM CEA de Neuroimagerie Cognitive, Centre Neurospin, Saclay Mot(s) clés libre(s) : cognitive, College de France, cortex, psychiatrie, schizophrénie
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6ième rencontres nationales de l'information médicale en psychiatrie. Coût activité, coût population. L'expérience Aquitaine de réduction des inégalités en psychiatrie
/ 11-05-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DE RICCARDIS
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Avant la VAP, certaines région comme l'Aquitaine ont utilisées les données du PMSI expérimental en psychiatrie pour réduire les inégalités entre établissements. Mr De Riccardis présente les indicateurs utilisés et les résultats obtenus.
Origine
Canal U/Médecine
Générique
Réalisation Canal U/Médecine Mot(s) clés libre(s) : inégalité, Mirecourt, PMSI, psychiatrie, retraitement comptable, VAP
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Collège de France Mémoire et pathologies psychiatriques/Memory in psychiatric disorders.
/ 01-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
DANION Jean-Marie
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Humans have the ability to engage in mental time travel and to project themselves back into the past and forward into the future in order to mentally re-experience or pre-experience a specific event. Impaired ability to project back into the past has been described in various pathological conditions, including schizophrenia (Danion et al 2005), depression, post-traumatic stress disorder, organic amnesia, frontal lesions and Alzheimer's disease. To investigate further the impaired ability of patients with schizophrenia to engage in mental time travel, we explored their ability to project themselves forwards in time to pre-experience future events. Twenty-five patients with schizophrenia and 23 comparison participants were assessed using a future event questionnaire. They were asked to describe plans they had for the future, to imagine a future event relating to this plan, and to indicate the subjective experience associated with anticipating what was going to happen, where and when. They were also asked to indicate whether their anticipation of the future event was sustained by their remembering an event that had happened in the past. Results showed that patients had fewer plans than comparison participants and anticipated fewer specific future events. Their ability to pre-experience future events was also impaired. They retrieved few specific past events linked to anticipated events. Moreover, the frequency of both specific future events and specific past events was significantly correlated with verbal fluency performance. In conclusion, schizophrenia is associated with an impaired ability to envision oneself into the future. This impairment, which is likely to be related to defective remembering of the past, may reflect an executive dysfunction. L'être humain a la capacité de voyager mentalement dans le temps et de se projeter dans le passé et le futur de façon á revivre ou á anticiper un événement spécifique. La capacité de revivre mentalement un événement passé est perturbée dans des situations pathologiques variées, notamment dans la schizophrénie (Danion et al 2005), la dépression, le stress post-traumatique, l'amnésie organique, les lésions frontales et la maladie d'Alzheimer. Pour mieux caractériser la perturbation de la capacité des patients schizophrènes á voyager mentalement dans le temps, nous avons exploré leur capacité de se projeter dans le futur. Vingt-cinq patients schizophrènes et 23 témoins ont été évalués á l'aide d'un questionnaire spécifique. Il leur était demandé de décrire leurs projets, d'imaginer un événement pouvant survenir en lien avec ce projet et d'indiquer l'expérience subjective associée au contenu et á la localisation spatio-temporelle de cet événement. Il leur était également demandé d'indiquer s'ils anticipaient l'événement á venir en se remémorant un événement passé. Les résultats montrent que les patients formulent moins de projets et anticipent moins d'événements á venir que les témoins. Leur capacité de vivre mentalement un événement futur est diminuée. Les patients récupèrent moins de souvenirs en lien avec les événements futurs que les témoins. Enfin, la fréquence des événements spécifiques futurs et passés est significativement corrélée á la fluence verbale. En conclusion, la schizophrénie est associée á une perturbation de la capacité de se projeter dans le futur. Cette perturbation, vraisemblablement liée á une diminution de la capacité de se remémorer le passé, pourrait être l'expression d'un trouble des fonctions exécutives.
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport
Générique
Auteur : Jean-Marie DANION CHU de Strasbourg INSERM U666 Mot(s) clés libre(s) : autobiographie, Collège de France, mémoire, psychiatrie, schizophrénie
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RMJCA N7 - Le psychiatre : Vérité et Psychiatrie
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 15-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DALIGAND Liliane
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Le Professeur Liliane DALIGAND, psychiatre et professeur de Médecine Légale, explique comment la psychiatrie peut nous aider à trouver la vérité. Mot(s) clés libre(s) : Faculté de Médecine de Reims, Manifestation de la Vérité, Psychiatre, Psychiatrie
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RMJCA 2011 Crime et Psychiatrie
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 21-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DALIGAND Liliane
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Conférence enregistrée lors des rencontres médico-judiciaires de Champagne-Ardenne le vendredi 20 mai 2011.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Mot(s) clés libre(s) : 2011, crime, justice, légiste, psychiatrie, Reims, RMJCA
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RMJCA 2010 – Reims : L’enfant et la Loi
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 21-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DALIGAND Liliane
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Rencontres Médico-Judiciaires de Champagne-Ardenne 2010.Thème : L’enfant et la Justice – Mineur victime et Mineur violent.Titre : RMJCA 2010 – Reims : L’enfant et la Loi.Intervenant : Liliane DALIGAND (Psychiatre et Professeur de Médecine Légale - Lyon).Résumé : La Loi protège l’enfant et le fonde dans l’humanité ou il occupe 3 places- Une place générationnelle - Une place parentale- Sujet de la Loi et de la paroleDès l’âge de 3 ans se produisent une coupure créatrice avec sa mère (moi et l’autre) et une place dans la parenté (maillon de génération). De façon symbolique l’enfant fait son entrée dans le monde de l’humain et devient sujet de la Loi et de la Parole.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : confusion, délinquant, enfant, inceste, mineur, parents, pédiatrie, psychiatrie, RMJCA 2010 Reims, violence
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Collège de France Conduite suicidaire : des gènes à la prise de décision
/ 01-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
COURTET Philippe
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Suicidal behaviour is a major public health problem. The increasing knowledge of the pathophysiology and the aetiology of suicidal behaviour is critical in the aim to enhance early detection of at risk patients and to propose efficient prevention strategies. However, the number of risk factors and the complex nature of their interactions do not allow sufficiently accurate prediction of the suicide risk for a given individual. The « stress vulnerability » model initially suggested by clinical facts is increasingly supported by biological data. The vulnerability to suicidal behaviour is related to a central dysfunction of the serotonin system particularly in the orbitofrontal cortex, influenced by genetic factors and yielding cognitive deficits and emotional dysregulation. Indeed, studies of genetic epidemiology suggest the existence of a specific genetic susceptibility independently from the vulnerability to psychiatric disorders related to suicidal behaviour. Recent molecular genetic studies suggest that genes coding for proteins involved in the metabolism of the serotonin (tryptophan hydroxylase, serotonin transporter) are involved in this susceptibility. These genes confer the vulnerability to suicidal acts by shaping personality traits, such as impulsivity and anger dyscontrol, or cognitive factors such as decision-making. Indeed, we suggest that decision-making impairment may 1) confer a vulnerability to suicidal behaviour, 2) represent an endophenotype that would enhance the success in the identification of the susceptibility genes, and 3) mediate the effect of environmental triggers of suicidal behaviour. Further developments in neuroscientific works of suicidal behaviour aim to identify a functional neuro-anatomy of suicidal behaviour, using neuroimaging tools, and to study the interaction with environmental factors and the stress axis. Les conduites suicidaires (CS) sont de déterminisme complexe et multifactoriel. La connaissance de la physiopathologie et de l'étiopathogénie des conduites suicidaires est essentielle afin de proposer un jour des moyens de dépistage précoce et d'envisager des stratégies de prévention enfin efficaces. Si de nombreux facteurs de risque ont été identifiés, des progrès importants sont actuellement réalisés dans la connaissance des facteurs biologiques permettant une meilleure appréhension de leur physiopathologie. Le modèle « vulnérabilité stress » initialement suggéré par les faits cliniques, est étayé au niveau biologique. La vulnérabilité suicidaire est sous-tendue par un dysfonctionnement sérotoninergique central, notamment au niveau du cortex orbitofrontal, influencé par des facteurs génétiques, et générant déficits cognitifs et dysrégulation émotionnelle. En effet, les études de génétique épidémiologique suggèrent l'existence d'une vulnérabilité génétique pour les CS, spécifique et indépendante de la vulnérabilité génétique aux affections psychiatriques associées aux CS. Les études génétiques d'association ont permis d'impliquer les gènes codants pour des protéines impliquées dans le métabolisme de la sérotonine (tryptophane hydroxylase, transporteur de la sérotonine). Ces gènes confèrent une vulnérabilité aux CS en influençant la constitution de traits de personnalité tels que l'impulsivité, le déficit de contrôle de la colère, ou de traits cognitifs comme la prise de décision. Ainsi, nous proposons que la prise de décision soit un trait de vulnérabilité suicidaire, qu'il puisse s'agir d'un endophenotype, dans le but de faciliter l'identification des gènes de susceptibilité, et que ce trait puisse influencer la survenue d'événements de vie précipitants des CS. Les développements en cours permettront d'individualiser une neuro-anatomie fonctionnelle des CS, á l'aide des outils de la neuro-imagerie, mais aussi d'étudier les interactions avec les facteurs environnementaux et l'axe du stress.
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport
Générique
Auteur: Philippe Courtet Professeur de Psychiatrie, Université Montpellier 1 CHU Montpellier, Hôpital Lapeyronie, Service de Psychologie Médicale et Psychiatrie; Inserm U 888, Montpellier, 34000 France Mot(s) clés libre(s) : Collège de France, cortex, dépression, gènes, neurobiologie, prise de décision, psychiatrie, stress, suicide
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Emois 2005 : Valorisation du recueil complémentaire PMSI psychiatrie
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 18-03-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CHOMON F.
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Etablissement Public de Santé Mentale de la Réunion
Origine
Journées émois 2005. XVIIIè Congrès national, Nancy
Générique
Indexation : SCD Médecine Nancy I Mot(s) clés libre(s) : emois, groupes homogènes malades, psychiatrie, service santé mentale, statistique
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Psychiatrie et prison – La relation thérapeutique et l’intime.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CHAMOND Jeanine
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Titre : Psychiatrie et prison – La relation thérapeutique et l’intime.Intervenant(s) : Jeanine CHAMOND (psychologue, Université Paul Valéry – Montpellier).Résumé : La relation thérapeutique et l’intime.Trente ans après la création des premiers secteurs de psychiatrie en milieu pénitentiaire, force est de constater l’extraordinaire extension du soin psychique dans la société contemporaine et dans ses politiques pénales, en particulier.Par la nature des contraintes et les particularités de l’exercice, les soignants ont toujours été amenés à s’interroger sur les fondements de la psychiatrie en milieu pénitentiaire et à questionner la légitimité des soins dispensés.Aujourd’hui, quelles sont donc la place, la fonction et les finalités du soin psychiatrique en prison et hors les murs ?Son champ, ses limites et ses pratiques ne sont-ils pas sans cesse modifiés par l’évolution permanente des connaissances scientifiques et des commandes sociale et politique ?Qu'en est-il alors du secret et de l'intime de la relation thérapeutique au regard des injonctions et obligations diverses de transparence, d’évaluation et d’objectivité ?Comment, dans ce contexte, continuer à préserver la part invisible du soin, garante d'un processus thérapeutique à l'œuvre ?La prison, révélateur social, suscite l’interrogation sur les questions fondamentales et actuelles qui traversent l’ensemble de la psychiatrie.Ce questionnement autour du soin est décisif : Il invite au débat, oblige à l’échange et nécessite d’ouvrir la réflexion avec d’autres disciplines.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des XXIIèmes Journées Nationales des Secteurs de Psychiatrie en Milieu Pénitentiaire (Faculté de Médecine de la Timone). Session : qualifier le soin : du visible à l’invisible. Président de séance : Mario Eduardo COSTA PEREIRA (psychologue, directeur du laboratoire de psychopathologie clinique Université de Provence – Aix-Marseille). Discutant : Jean-Marc HENRY (responsable du service des Urgences Psychiatriques de la Conception).Réalisation, production : Canal U/3S - CERIMESMots clés : Marseille 2011, psychiatrie, prison, Psychiatrie et prison Mot(s) clés libre(s) : Marseille 2011, prison, psychiatrie, Psychiatrie et prison
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