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La révolution des satellites de Jupiter
/ Observatoire de Paris
/ 2003
/ Unisciel
Roques Françoise, Henry Florence
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Déterminer la masse de Jupiter en mesurant les propriétés des orbites des satellites de Jupiter et en les analysant à l'aide de la troisième loi de Kepler.
Interpréter un mouvement d'aller et retour comme la projection d'un mouvement circulaire et d'utiliser cette interprétation pour mesurer les orbites des satellites.
Découvrir la relation entre le rayon d'une orbite et la période pour un système lié par la gravitation.
Porter ces résultats sur un graphique et y ajuster une courbe sinusoïdale.
Appliquer la loi gouvernant ce mouvement (troisième loi de Kepler) pour calculer la masse de Jupiter.
Estimer la période orbitale ou le rayon pour une autre lune de Jupiter. Mot(s) clés libre(s) : satellites de Jupiter, troisième loi de Kepler, masse, rayon, orbite
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Mesure du rayon de la Lune et de la distance Terre-Lune
/ Observatoire de Paris
/ 12-2004
/ Unisciel
Robichon Noël
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Le but de ce TP est de comparer la taille du disque lunaire avec la taille de l'ombre de la Terre et d'en déduire le rayon lunaire et la distance Terre-Lune. Mot(s) clés libre(s) : rayon de la Lune, distance Terre-Lune, troisième loi de Kepler
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Pourquoi il fait nuit ?
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 20-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
REEVES Hubert
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Les questions les plus simples sont quelque fois les plus potentiellement riches d'informations. L'obscurité de la nuit est demeurée une énigme sans réponse jusqu'au début de ce siècle. Aujourd'hui nous savons qu'il y a deux éléments complémentaires qui interviennent dans la réponse que donne à cette question l'astronomie contemporaine. 1) La nuit est noire parce que l'univers n'existe pas depuis toujours. 2) La nuit devient de plus en plus noire parce que l'univers est en expansion et en refroidissement. Je décrirai les observations et les développements théoriques qui rendent cette réponse hautement crédible. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, Big Bang, cosmologie, étoile, expansion de l'univers, fond diffus cosmologique, galaxie, lumière, nuit, onde lumineuse, origines de l'univers, particule élémentaire, rayonnement fossile, univers, univers primordial
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Observation et cosmologie
/ UTLS au lycée, UTLS - la suite
/ 19-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
PUGET Jean Loup
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La cosmologie occupe dans les sciences observationnelles une place particulière. Elle se trouve en effet à la frontière entre physique fondamentale et astrophysique aussi bien par les questions auxquelles elle essaie de répondre que par son mode de relation entre théorie et observations. Les grandes questions sur la géométrie de l'univers, son histoire, son contenu ou sa dynamique ont été posées dés le début du vingtième siècle juste après la mise au point de la relativité générale comme théorie de la gravitation. L'histoire de la cosmologie est pavée depuis près d'un siècle par des prédictions très précises et souvent basées sur des considérations de physique fondamentale ou la philosophie n'était pas absente (si on pense en particulier à l'origine de l'inertie et au principe de Mach). Certaines de ses prédictions allaient même à l'encontre des premières observations comme le principe cosmologique supposant que l'univers est homogène a grande échelle. Il est frappant que beaucoup de ces prédictions, qui étaient pour certaines très difficile à tester, soient en passe d'être vérifiées. L'astrophysique, comme les sciences de la Terre, se heurte à une difficulté essentielle : la physico-chimie des objets étudiés est en général complexe et les prédictions liées à un modèle particulier ne peuvent être testées qu'avec une précision médiocre liée aux limitations évidentes de ces modèles eux même. Par contre en cosmologie, certaines prédictions peuvent être mesurées avec une précision qui les rapproche plus des expériences de physique fondamentale. L'exemple le plus spectaculaire est certainement le caractère Planckien du rayonnement cosmologique découvert par Penzias et Wilson et vérifié par le satellite COBE. L'histoire de cette prédiction née dans les années 40 de déductions hardies basées sur la physique nucléaire et finalement vérifiée dans les années 90 est un des meilleurs exemples. Il n'est pas le seul ; l'histoire de la constante cosmologique, celle de la matière noire ou surtout de la géométrie de l'Univers sont tout aussi passionnantes. Le caractère Euclidien ou non de la géométrie de notre univers est une de ces questions qu'il est difficile d'attacher à une seule discipline. Elle vient dans les dernières années d'entrer de plein pied dans la science expérimentale. Les moyens observationnels spatiaux liés à des progrès technologiques très pointus sur les détecteurs ont permis une part importante de ces vérifications spectaculaires. On retracera leur histoire durant le vingtième siècle. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, cosmologie, courbure, étoile, expansion de l'univers, fond diffus cosmologique, galaxie, géométrie de l'univers, matière noire, modèle cosmologique, observation de l'espace, principe cosmologique, rayonnement électromagnétique, relativité g
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Au cœur des matériaux cristallins
/ Ecole des Mines d'Albi-Carmaux
/ 23-01-2009
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Lours Philippe
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Ce cours de science des matériaux a été conçu à l'Ecole des Mines d'Albi-Carmaux pour les élèves-ingénieur de 2ième année.
Il n'a pas d'autre ambition que d'introduire les principaux concepts de la science des matériaux utiles à l'ingénieur généraliste que nous formons. Il contribue par ailleurs au socle scientifique sur lequel seront construits de nombreux enseignements dédiés aux matériaux et proposés à nos élèves plus tard dans leur cursus, notamment au niveau des options de dernière année "Matériaux pour l'Aéronautique et le Spatial" et "Ingénierie des Matériaux".
Dans un premier temps, le cours traite de l'architecture et de la cohésion des solides, essentiellement cristallins, et de leur caractérisation cristallographique par diffraction des rayons X. Dans un second temps, les différents types de défauts présents dans les solides sont décrits en insistant particulièrement sur le rôle qu'ils jouent sur les propriétés d'usage. La constitution des alliages métalliques et les diagrammes de phases qui régissent les équilibres thermodynamiques sont ensuite présentés. Enfin, après avoir détaillé les bases des processus de diffusion à l'état solide, les transformations de phases, avec et sans diffusion, sont décrites.
Une grande part des micrographies, illustrations et vidéo proposées dans le document proviennent des travaux de recherche et d'expertise de l'auteur. Mot(s) clés libre(s) : génie mécanique, matériau, cohésion des solides, solides cristallins, caractérisation cristallographique, diffraction des rayons X, défauts cristallins, alliages métalliques, diagrammes de phases, transformations de phases
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L'utilisation des rayons X pour l'analyse de la matière
/ Mission 2000 en France
/ 16-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PETROFF Yves
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Le rayonnement synchrotron est devenu en quelques années la principale source de rayons X. Il est émis par des particules chargées (électrons) qui sont accélérées par des champs magnétiques dans des machines construites au départ pour étudier la physique des particules. Ce rayonnement est très intense et sa brillance peut atteindre 1011 fois celle d'un tube à rayons X. Ceci a ouvert des possibilités complètement nouvelles dans de nombreux domaines : possibilité de faire des images sur des objets qui absorbent très peu les rayons X et de faire des hologrammes, possibilité d'étudier la structure de la matière dans des conditions extrêmes de pression et de température qui règnent au centre de la terre, résolution de structures biologiques complexes tels que le ribosome, le nucléosome ou des virus de grande taille, étape importante pour la réalisation de nouveaux médicaments. Le but de cette conférence est d'illustrer ces possibilités par des résultats récents. Mot(s) clés libre(s) : accélérateur de particules, biologie moléculaire, diffraction, imagerie X, matière, onde électromagnétique, rayon X, rayonnement synchrotron
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De la nature du neutrino...à la datation du vin
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 15-01-2016
/ Canal-u.fr
PERROT Frédéric
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On connait peu de chose sur le neutrino, particule neutre
sensible uniquement à la force faible mais qui possède une masse environ un
million de fois plus faible que celle de l’électron. En étudiant la
radioactivité double béta, Frédéric Perrot
pourra déterminer non seulement la masse exacte du neutrino mais aussi sa
nature, particule ou anti-particule. Mais la première étape est de construire
un instrument d’analyse composé de matériaux ayant le moins de radioactivité
naturelle possible pour ne pas interférer avec la mesure de la radioactivité béta, si rare et difficile à observer.
C’est en mettant au point le détecteur de rayons gamma ultra-sensible destiné à
choisir les matériaux les moins radioactifs, que Frédéric Perrot et son équipe
ont trouvé une application originale à cet outil, la mesure de la
radioactivité contenue dans… le vin. Ce détecteur est depuis utilisé par
les services de répression des fraudes pour identifier les contrefaçons. Comme
quoi, à Bordeaux, on en revient toujours au vin !
Frédéric Perrot est Maitre de Conférences à l'Université de Bordeaux et développe ses recherches dans l'équipe Neutrino Basses Radioactivités du Centre d'Etudes Nucléaires de Bordeaux Gradignan
Site du CENBG
Ce document a été réalisé dans la cadre de « Physique
des objets du quotidien », un MOOC coordonné par Ulysse Delabre, Maître de Conférences en physique à l'Université de Bordeaux, et développé par la Mission d’Appui à la
Pédagogie et à l’Innovation (MAPI) de l'Université de Bordeaux Mot(s) clés libre(s) : physique nucléaire, neutrino, rayon gamma
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Anisotropie
/ Université Lyon-I, Unisciel
/ 2008
/ Unisciel
Perries Stéphane
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Anisotropie du Fond cosmologique diffus à 3°K : il s'agit d’une animation avec la terre se déplaçant par rapport à un ensemble de photons isotropes. On ajoute la visualisation de la température du rayonnement 3K en fonction de l'angle de visée depuis la terre. L'idée de l'animation est de connecter un calcul d'application avec des distributions de températures du rayonnement 3K telles qu'on peut les voir dans des revues scientifiques. Une relique du Big Bang à l'origine de l'univers est le fond cosmologique micro-onde. Il s'agit d'un rayonnement électromagnétique fossile qui aujourd'hui rayonne dans le domaine des micro-ondes. Ce rayonnement est de type 'corps noir' et à ce titre, il a une température. Dans son référentiel, ce rayonnement est à température uniforme. Comme la Terre se déplace par rapport à ce rayonnement, il est ressenti plus chaud dans le sens du déplacement et plus froid dans l'arrière du déplacement. L'animation permet de régler la vitesse de la Terre par rapport au rayonnement fossile et de représenter par des surfaces de niveau en couleur la température du rayonnement vu de la Terre. Cette représentation est faite en coordonnées galactiques et peut se comparer à une image de référence réalisée par la NASA à partir des données du satellite COBE. Cette image de référence est montrée dans l'animation. Ainsi l'animation permet par comparaison du résultat de l'animation avec l'image de référence d'estimer grossièrement la vitesse de la Terre (en direction et en kilomètre/heure) par rapport au rayonnement micro-onde et donc par rapport au référentiel du Big Bang. Mot(s) clés libre(s) : anisotropie, calcul d'application, fond cosmologique micro-onde, rayonnement électromagnétique, rayonnement fossile, corps noir
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Voyage au centre des protéines
/ UTLS - la suite
/ 20-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
PéBAY-PEYROULA
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Les protéines sont les principaux acteurs du vivant, non seulement par leur quantité, mais surtout par la diversité des fonctions qu'elles exercent, allant de la catalyse de réactions chimiques jusqu'à la structuration de la matière vivante. Elles sont formées de longues chaînes d'acides aminés, qui se replient dans l'espace ; et cette structure tri-dimensionnelle est à la base de la fonction assurée par la protéine. Connaître la structure aux détails atomiques près, comprendre ses propriétés dynamiques, suivre les changements de conformation d'une protéine en action, intégrer ces connaissances aux données biochimiques et fonctionnelles constituent le coeur de la biologie structurale et permet d'avancer considérablement dans la compréhension de la fonction des protéines. Au cours de cet exposé, après avoir introduit quelques notions de base sur la composition des protéines, nous montrerons l'apport de la physique aux méthodes expérimentales permettant de sonder la structure des protéines et illustreront ensuite l'intérêt de ces études par quelques exemples. Mot(s) clés libre(s) : acide aminé, adénosine triphosphate, ADP, ATP, biologie structurale, cristallographie, infiniment petit, macromolécule biologique, protéine, protéine membranaire, rayonnement synchrotron, repliement des protéines
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Vues de l'étranger : le rayonnement de l'œuvre
/ 27-01-2015
/ Canal-u.fr
MONNET Pierre, CASAGRANDE Carla, LETT Didier, PYSIAK Jurek, GEARY Patrick, KLANICZAY Gábor
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Table-ronde
Modérateur : Didier Lett, Université Denis Diderot, Paris 7
Le Moyen Âge de Jacques Le Goff en Italie : Carla Casagrande, Université de Pavie
Jacques Le Goff en Pologne, « c’est-à-dire nulle part » : Jurek Pysiak, Université de Varsovie
Jacques Le Goff en Hongrie : Gábor Klaniczay, Central European University, Budapest
Jacques Le Goff et l'Allemagne, Jacques Le Goff en Allemagne : Pierre Monnet, École des hautes études en sciences sociales
Jacques Le Goff chez les médiévistes de langue anglaise : Patrick Geary, Institute for Advanced Study, Princeton
Intervention enregistrée
Les illustrations des traductions européennes de L'Europe expliquée aux jeunes : Bernhard Jussen, Goethe Universität, Francfort/Main Mot(s) clés libre(s) : historiographie, anthropologie historique, traductions, rayonnement international
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