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Autour de littérature et philosophie (1) / Anne Coignard
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-06-2014
/ Canal-u.fr
COIGNARD Anne
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Autour de littérature et philosophie (1) / Anne Coignard, in journée d'études "Le lecteurs et ses autres (2)" organisée, sous la responsabilité scientifique de Marie-Josée Fourtanier, par le
laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence,
en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA CREATIS) en collaboration avec l'Équipe de Recherche sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs (ERRAPHIS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 20 juin 2014. Dans le prolongement des travaux sur la lecture subjective menés autour du "Texte du lecteur" et du séminaire "Réception des oeuvres et créativité des lecteurs-auditeurs-spectateurs", les différents intervenants de la seconde saison ont interrogé, sans souci d'inventaire, les autres du
lecteur. Par ce vocable, dont l'emploi peut sembler énigmatique, nous
entendons, entre autres, les souvenirs enfouis issus de l'histoire
personnelle du lecteur, les scénarios fantasmatiques tissés par son
inconscient et activés par les oeuvres de fiction, le bruissement des
diverses communautés interprétatives auxquelles il participe, le frayage
des langages et des langages qui médiatisent son apport aux autres et
au monde. Mot(s) clés libre(s) : lecture (subjectivité), réception des oeuvres, lecture (appréciation), esthétique de la réception, philosophie et littérature, Marcel Proust (1871-1922), herméneutique littéraire
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Comment de jeunes élèves apprennent à construire leur parole de lecteur / Sophie David
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DAVID Sophie
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Entre singularité et altérité : comment de jeunes élèves apprennent à construire leur parole de lecteur / Sophie David. L’acte de lecture se pose en réception, ce qui suppose pour le sujet repli vers une intériorité qui ne se laisse pas forcément dévoiler. Mais ce serait un leurre de s’en tenir à cette conception car la lecture est aussi projection (de soi dans le texte) et distanciation (de soi face aux effets du texte), autant de signes de la singularité du lecteur.À l’inverse, le cadre de l’école impose, dans un processus d’élaboration collective des compétences, la présence et l’écoute de l’autre dans sa différence et sa diversité.Comment concilier ces deux mouvements dans la mise en œuvre scolaire d’une lecture littéraire ? Comment les poser de manière dialectique plutôt qu’antagoniste ? Pour quelles visées ? Pour aboutir à quel texte ?Nous analyserons dans ce sens la mise en œuvre d’un travail mené en classe de sixième où il s’agira, à la fois, de considérer la parole subjective de l’élève et sa mise en relation au sein d’une communauté d’interprétation, dans un jeu de constructions interactives.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : lecture (aspect psychologique), lecture (pédagogie), lecture (subjectivité), lecture littéraire, livres et lecture, réception des oeuvres
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Du texte du lecteur élève, de celui du maître... /Jean-Louis Dumortier, Micheline Dispy
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DUMORTIER Jean-Louis, DISPY Micheline
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Du texte du lecteur élève, de celui du lecteur maître et de quelques problèmes qu’ils posent au didacticien /Jean-Louis Dumortier, Micheline Dispy. Soit une œuvre littéraire, un maître et des élèves. Le « texte du lecteur maître », c’est le modèle mental que le professeur a élaboré, à partir du texte de cette œuvre, en vue d’enseigner quelque chose, ou, plus fréquemment, c’est le modèle mental qu’il a élaboré à partir du texte en question et de divers discours (du commentaire savant au questionnaire pédagogique) s’y rapportant. Le « texte du lecteur élève » est un modèle mental moins lourd de sédiment métatexuel que le « texte du lecteur maître ». S’ouvre alors, pour l’enseignant, une alternative. Soit il prend des initiatives visant à réduire l’écart entre l’œuvre telle qu’il la comprend et l’œuvre telle qu’il pense que peuvent la comprendre la plupart de ses élèves : dans ce cas, il s’expose au danger de coucher la compréhension des élèves sur le lit de Procuste de sa propre production de sens. Soit, conscient de ce danger-là, doutant que, dans l’entreprise d’imposer d’entrée de jeu une démarche de lecteur expert, les chances de gain soient supérieures aux risques de perte, il s’accommode du fait que les élèves et lui-même n’ont pas lu (tout à fait) la même œuvre. Dans ce cas, il prête attention au « texte du lecteur élève » -de chaque lecteur élève- et il s’expose au danger du babélisme ou à celui de l’enfermement dans un discours « premier » qui limite les occasions de progrès et laisse sceptique quant aux bénéfices de la scolarisation. L’alternative est donc un dilemme : ce que l’on peut gagner d’un côté est indissociable de ce que l’on s’expose à perdre de l’autre. Envisageons cette branche du dilemme où le maître met sous le boisseau son « texte » personnel pour prêter attention au « texte du lecteur élève ». Surgit un double problème. Comment faire pour rendre communicable le modèle mental élaboré par chaque individu à partir de la chaîne des mots forgée par l’auteur. Comment faire pour organiser des échanges fructueux autour des « textes des lecteurs élèves » ? Nous émettons l’hypothèse que toutes les procédures ne se valent pas. Nous en expérimenterons donc plusieurs et feront part des résultats. Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008.>> Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque.> Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : lecture (didactique), lecture (méthode pédagogique), lecture littéraire, littérature (appréciation), littérature et enseignement, livres et lecture, réception des oeuvres
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Écrire en pays dominé. Patrick Chamoiseau et la Pologne : lecture postcoloniale / Tomasz Swoboda
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-10-2014
/ Canal-u.fr
SWOBODA Tomasz
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Écrire en pays dominé. Patrick Chamoiseau et la Pologne : lecture postcoloniale / Tomasz Swoboda. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le
laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 1 : Situation de Chamoiseau. Jusqu’à présent, les éditeurs polonais n’ont publié qu’une
traduction des ouvrages de Patrick Chamoiseau, Texaco, et un
recueil d’études consacrés à cet écrivain. Cependant, dans cette communication, il s'agit non seulement d'étudier la réception
de l'oeuvre de Chamoiseau en Pologne mais aussi d'envisager la
situation postcoloniale de ce pays (colonisé jadis par l'Union
Soviétique, relation étudiée notamment par Ewa Thompson) à la
lumière d’Écrire en pays dominé. Cet axe permet
d'examiner le caractère universaliste de la réflexion de Chamoiseau
et, dans le même temps, le statut de la pensée postcoloniale dans
un pays qui semble éloigné des problèmes soulevés par cette
philosophie.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : réception des oeuvres, littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature postcoloniale
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Écriture, relecture : les métamorphoses du texte du lecteur engagé / Marina Arias-Vikhil
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ARIAS-VIKHIL Marina
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L’écriture comme relecture : les métamorphoses du texte du lecteur engagé / Marina Arias-VikhilDans l’univers aragonien le lecteur est un miroir qui renvoie au poète sa propre image. « Nous utilisons les livres comme des miroirs qui nous renvoient notre réflexion » écrit Aragon dans la postface de son roman "La Mise à mort". Si Sartre comprend la lecture comme une rencontre dramatique de deux libertés dans l’espace de l’œuvre qui souvent se présentait sous une forme de théorème à prouver ou de problème à résoudre, Aragon entraîne son lecteur dans un jeu de reflets de miroir dans son roman "La Mise à mort". Il tente de séduire le lecteur en créant en même temps l’image de l’auteur évolutive, à contours dédoublés, non focalisée afin de suggérer l’idée de la liberté de l’auteur insaisissable et insoumis au jugement du lecteur. Lecteur comme miroir fidèle de l’auteur, lecteur qui le suit dans toutes ses divagations et dont l’esprit critique est détourné, devient un engagé de l’auteur qui reste à son tour engagé. Dans cet esprit on se propose d’observer comment Aragon devient lecteur de ses propres textes : en nous basant sur l’analyse du texte du roman La Mise à mort" (1965) , notamment de l’épisode concernant le voyage à Moscou d’Aragon en été de 1936, nous essayons de démontrer que la narration d’Aragon, où l’écrivain raconte l’histoire de la mort et de l’enterrement de Gorki, représente la relecture de ses textes écrits bien avant "Les jours de Gorki" (1936) et "Les jeunes gens" (1955). La figure de Gorki permet à Aragon de formuler le problème de son engagement qui reste au centre de sa réflexion sous différents aspects. Les métamorphoses de cet épisode, recréé plusieurs fois, ne finissent pas en 1965 : c’est encore en 1977, dans sa préface à "L'Œuvre poétique", qu’Aragon nous offre une nouvelle relecture de ce récit qui démontre que la dernière version est étroitement liée au désengagement politique du poète dans les années 70.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, engagement politique, lecture (subjectivité), livres et lecture, Louis Aragon (1897-1982), Louis Aragon (La mise à mort), réception des oeuvres
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Entre posture et imposture du lecteur : sur le fonctionnement symbolique / François Quet
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
QUET François
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L’exemplification est l’un des symptômes de l’esthétique (Goodman, 1998) : appeler certaines propriétés de l’œuvre à fonctionner symboliquement, c’est inviter à extraire de la fable une thèse (Suleiman, 1983), des valeurs (Jouve, 2001 ; Dufays, 2004). La sélection des signes qui permet la lecture allégorique renvoie à une expertise et à un libre arbitre qui s’exercent de façon contradictoire au sein des communautés interprétatives (Fish, 2007). François Quet essaie de définir ici quelques enjeux de la situation didactique : - Quels partages entre discours d’experts et discours d’amateurs ? si la « pluralisation des signifiés » (Starobinski, 1970) appartient de fait à la doxa didactique, de fait qu’en est-il du statut, ou de la légitimité, des textes et des lectures dans l’enseignement ?- Qu’est-ce qui est enseignable du fonctionnement symbolique ? Puisque c’est ici que s’origine le discours interprétatif, comment faire la part du savoir, de la technique, ou du positionnement institutionnel et discursif ? - Quelle est la place enfin de la production « symbolique » dans le tissage évaluatif (Dufays, 2000) que chacun instaure au cours de la lecture ?Intervention de François Quet faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : littérature (didactique), livres et lecture, réception des oeuvres, situation pédagogique
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Geste et voix : le rituel sacré de l'événement de poésie / Joséane Beaulieu-April
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-03-2015
/ Canal-u.fr
BEAULIEU-APRIL Joséane
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Geste et voix : le rituel sacré de l'événement de poésie / Joséane Beaulieu-April, in colloque international "Performances poétiques", organisé par l'équipe "Textes, Contextes, Frontières" du Centre Universitaire Jean-François Champollion, le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail. Albi, Centre Universitaire Champollion, 19-20 mars 2015. Thématique 1 : Théorie, dispositif, poétique.Ce
colloque réunit des spécialistes de six pays différents, issus de
disciplines diverses
(littéraires, spécialistes des arts de la scène, sociologues, etc.),
pour réfléchir sur les enjeux de la diffusion orale de textes poétiques
et embrasser leur profération comme dispositif, dans toute sa
complexité, depuis l'écriture littéraire jusqu'au mode d'intervention
public, en s'attachant aussi bien au texte, à l'interprétation, à la
scénographie, à la réception, aux praticiens, aux publics, aux cadres de
diffusion, aux enjeux poétiques mais aussi sociaux, éducatifs,
éthiques, politiques. Sont ainsi étudiées les multiples voies (et voix)
qu'a prises la performance poétique ce dernier siècle dans l'espace
francophone, depuis les références incontournables que sont Ghérasim
Luca, Bernard Heidsieck (disparu le 22 novembre 2014) ou l'OuLiPo,
jusqu'aux formes émergentes du slam contemporain, avec ses joutes ou ses
scènes ouvertes, dans une approche globalisante qui aborde aussi les
enjeux de la récitation scolaire ou la définition d'un code
typographique pour incarner la voix dans l'écriture. Mot(s) clés libre(s) : réception des oeuvres, performance artistique (poésie)
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Joueur-lecteur et autoconstruction du sens dans un environnement vidéoludique / Toviraaj Ramcharit
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
RAMCHARIT Toviraaj
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Le joueur/lecteur et l’autoconstruction du sens dans un environnement vidéoludique : le dirigisme comme constante / Toviraaj Ramcharit. Le dispositif « écranique » réfracte souvent les projecteurs loin du joueur, cet "acteur" devenu simple "spectateur" de la strate logicielle. En effet, pris entre le cognitif (i.e. ses émotions, sa subjectivité naturelle) -incarnée par la manette de jeu, les périphériques d’entrée et de contrôle et le volitif (i.e. une certaine objectivité)- l’implacable écran, l’homo ludens [1] voit sa lecture du jeu lui échapper. A ce titre, Émile Benveniste fut suffisamment lucide pour discerner le réel enjeu du « programme ». Quel que soit le jeu, activité ludique la plus banale ou le jeu vidéo « c’est le jeu qui détermine les joueurs, non l’inverse. Il crée ses acteurs, il leur confère place, rang, figure : il règle leur maintien, leur apparence physique, et les fait selon les cas morts ou vivants » [1]. D’une certaine manière, le jeu vidéo se définit avant tout par sa réception, par son principe de dévoilement, par sa reconnaissance, en d’autres mots, par l’affichage, par son portage à l’écran, par le déploiement final du dispositif producteur et véhicule de sens, de son et de lumière. L’écran et la navigation lectorielle, voilà les axes du dispositif. Nous éprouverons ainsi la structure dirigiste des modalités du jeu -ces mêmes modalités qui organisent, régissent et délimitent les actions ainsi que le plaisir tiré de l’expérience vidéoludique [2].[1] Benveniste, Émile, « Le jeu comme structure », in. Deucalion, n° 2, Paris, 1947, p. 162.[2] Cf. la définition proposée par Johan Huizinga dans Homo Ludens – Essai sur la fonction du jeu.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : interaction homme-ordinateur, jeux vidéo, réception des oeuvres
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L'enseignant lecteur : implications individuelles et didactiques / Erick Falardeau
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
FALARDEAU Erick
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L'enseignant lecteur : implications individuelles et didactiques, Erick Falardeau. Dans une étude sur le rapport à la culture d’enseignants de français au secondaire, Erick Falardeau tente de comprendre la relation qui se tisse entre la façon dont un enseignant vit la culture et les pratiques enseignantes auxquelles il recourt pour accompagner ses élèves dans leur développement culturel.Une portion importante des questions posées aux enseignants participant à notre étude au cours d’entretiens semi-dirigés cherchaient à comprendre l’activité du sujet lecteur sous deux angles complémentaires, individuels et pédagogiques :1) comment les enseignants, eux-mêmes lecteurs, investissent-ils leurs lectures d’œuvres littéraires et dans quelle mesure sont-ils conscients de leur apport au texte littéraire ?2) comment les enseignants accompagnent-ils leurs élèves dans cette prise de conscience du caractère créatif de la lecture littéraire et quelle place laissent-ils en classe aux lectures singulières de leurs élèves ?Les résultats que Erick Falardeau présente et l’analyse qu'il en fait amènent à étudier la relation étroite qui se tisse entre les deux plans étudiés de l’activité du sujet lecteur, soit les plans individuel et pédagogique.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : lecture (didactique), littérature (enseignement), livres et lecture, réception des oeuvres, situation pédagogique
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L'imparfait du subjectif ou le lecteur ravi / Karl Canvat
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CANVAT Karl
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De toutes les instances de lecture dégagées par Michel Picard et Vincent Jouve, celle du « lu » est paradoxalement la moins bien connue, alors qu’elle joue un rôle fondamental dans l’activité de lecture. Dans cet exposé à orientation heuristique, Karl Canvat tente de répondre aux questions suivantes : - comment savoir ce qui se passe et se parle d’inconscient dans la lecture ? - comment écouter ce qui ne se lit pas d’abord ? - quels sont les éclairages de la psychanalyse, dans ses formes anciennes (de Freud à Lacan) et plus récentes (Leclaire, Green, Anzieu, Assoun, Bayard, Glaudes …), et de la textanalyse (Bellemin-Noël …) ? - comment conduire l’apprenti lecteur à appréhender ce qui se passe en lui pendant sa propre lecture (pourquoi ce texte me (dé)plaît-il ?), en évitant soigneusement de l’« encombrer » ou de lui faire passer simplement un bon moment (ce qui est parfois pire qu’un mauvais) ? - comment conjuguer (alterner/confondre) réaction affective (« subjective ») et construction interprétative (« objective ») ?- comment construire un bagage minimal de connaissances sur la psychanalyse mobilisables par le lecteur (« l’analisant ») ? - comment amener à (d)écrire sans gêne, inquiétude ou inhibition les raisons d’un retentissement intérieur dans un texte destiné (peut-être) à une lecture collective ?...Intervention de Karl Canvat, lue par son épouse, dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'Equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts" (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : goût de la lecture, lecture (appréciation), lecture (subjectivité), livres et lecture, psychanalyse et lecture, réception des oeuvres
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