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Chronique aka 2006 : Békélé, Toilette d'un enfant à la rivière par sa mère
/ Canal-u.fr
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Dans la rivière proche du campement Békélé, juin 2006 (Bagandou, Lobaye République centrafricaine)Toilette de son dernier-né par Akungu. Mot(s) clés libre(s) : hygiène, Békélé, pleur, rivière, Lobaye, aka, pygmée, Afrique, petite enfance, toilette, République Centrafricaine, film ethnographique, vidéo, eau
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Ebola en 2012, R.D. du Congo, Province orientale, Haut Uélé : visite de l'hôpital sécurisé d'Isiro
/ Canal-u.fr
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Film ethnographique tourné le 25 et le 26 septembre 2012 à l'hôpital sécurisé par MSF Espagne au sein de l'hôpital général de référence d'Isiro (République démocratique du Congo, Province orientale, Haut Uélé).Il montre l’organisation des lieux et de la gestion de l’hygiène, en suivant l’accompagnement de la visite médicale et de la distribution de nourriture et de médicaments aux personnes hospitalisées, dont certaines sont décédées depuis, en respectant leur anonymat.Il a été réalisé grâce à la collaboration des personnels congolais de MSF Espagne, des malades hospitalisés et de leurs familles et du Comité international de coordination de la lutte contre la fièvre hémorragique à virus Ebola à Isiro (CILE).La musique originale Stop Ebola (lingala, yogo, zandé, français...) est l'oeuvre de l'Orchestre St Dominique d'Isiro reprenant les recommandations en vigueur au moment de sa réalisation début septembre 2012.Ce film a été projeté durant l'épidémie pour montrer à la population et aux personnels engagés dans la réponse à l'épidémie la qualité de la prise en charge au sein de l'hôpital sécurisé.La caméra est tenue par un opérateur en tenue de protection individuelle, identique à celles du personnel médical, se tenant à distance des malades et des objets et meubles potentiellement contaminés. Non soumise à une contamination virologique, elle est ressortie immédiatement, poursuivant son travail, après que l'opérateur se soit soumis au protocole en vigueur de déshabillage et de désinfection.Description : Entrée dans l’hôptal général de référence d’Isiro1 mn 47. Entrée dans l’hôpital sécurisé, marquée par une ablution obligatoire à l’eau chlorée 0,05% des mains et des semelles des visiteurs. Arrivée par taxi moto du pain et du thé chaud qui sont partagés entre les familles garde-malades et les personnes hospitalisées, suspectes, contaminées ou guéries du virus Ebola Bundibugyo.3 mn 20. Description de l’espace médical, constitué d’un bureau, de vestiaires et d’un espace d’habillage des tenues de protection individuelle (TPI). On suit le médecin et les deux infirmières congolais de MSF Espagne qui revêtent leur TPI, avant d’effectuer la première viste médicale avec distributiuon de nourriture. 8 mn 25 Entrée dans l’espace à haut risque, marqué par une barrière et un pédiluve.Visite des deux salles de personnes suspectes, occupées par une seule femme dont la température est redevenue normale. 11 mn 46. Visite de la salle de traitement de quatre femmes contaminées : distribution de remèdes et d’aliments et désinfection des zones souillées par les malades.Visite des WC et douche réservées aux malades.17 mn 25. Visite de la salle de traitement des hommes contaminés, occupée par un malade.18 mn 21. Entrée dans le sas de sortie de la zone à haut risque, décontamination à l’eau chlorée et déshabillage de la TPI.22 mn 27 Présentation de l’espace de lavage des tenues de protection à usage multiple, préalablemnt désinfectées.22 mn 46. Présentation de la gestion de l'eau, de la pompe au stockage, jusqu’à la préparation des différentes eaux chlorées. Mot(s) clés libre(s) : éthique, épidémiologie, tenues de protection individuelle, fièvre hémorragique Ebola, épidémie, hôpital sécurisé, Isiro, Bas-Uelle, République démocratique du Congo, Afrique centrale, médecine traditionnelle, anthropologie médicale, film ethnographique, contamination, vidéo, hygiène, hospitalité
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Le singe et le tigre : Mao, un destin chinois d'Alain Roux
/ Canal-u.fr
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Traduction de l'ouvrage d'Alain Roux intitulé Le singe et le tigre : Mao, un destin chinois en chinois aux éditions du peuple à Pékin.
阿兰·鲁林 (Alain Roux) 著, «毛泽东: 雄关漫道» Le singe et le tigre : Mao, un destin chinois, 毕笑(译),广州,中国人民大学出版社,2014,804页,ISBN 978-7-300-19895-8De sa naissance dans la province du Hunan le 26 décembre 1893 à
l’instauration d’un des plus durs régimes dictatoriaux du XXe siècle,
toute la biographie de Mao, le dernier empereur… S’appuyant sur nombre
d’ouvrages et de documents inédits, notamment ceux parus en Chine ces
dernières années, l’auteur retrace l’itinéraire de celui qui fut à la
fois un dirigeant totalitaire responsable de millions de morts et un
chef d’Etat capable d’insuffler un nouveau dynamisme et une nouvelle
fierté à ses compatriotes. C’est la complexité de cette image que cette
biographie s’attache à comprendre et expliquer.
Lien vers présentation de l'ouvrage sur Carnets du Centre Chine http://cecmc.hypotheses.org/17628
Page personnelle d'Alain Roux : http://cecmc.ehess.fr/index.php?2681 Mot(s) clés libre(s) : Chine, traduction, Mao Zedong, république, biographie
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Comment étudier une langue orale ?
/ Céline Ferlita
/ Canal-u.fr
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Comment éudier une langue qui n'a ni dictionnaire, ni grammaire, ni traces écrites ? Ce sont les défis que relèvent les linguistes de terrain. Ce 4ème épisodes nous expliquent leurs méthodes, leurs difficultés rencontrées mais pas seulement : les bonnes surprises sont aussi au rendez-vous.Avec : Paulette Roulon-Doko, ethno-linguiste au LLACAN (Langage, langues et cultures d'afrique noire), CNRS /INALCOIsabelle Bril, linguiste au LACITO (Laboratoire
de Langues & Civilisations à Tradition Orale) CNRS, université Paris 3, UNIVERSITE
PARIS-SORBONNE PARIS 4 Mot(s) clés libre(s) : République Centrafricaine, Nouvelle calédonie
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Cassava in the Gbaya Region
/ Paulette Roulon-Doko
/ Canal-u.fr
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Version anglaise du film "Le manioc en pays Gbaya" Mot(s) clés libre(s) : République Centrafricaine
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La parole du soufflet de forge en pays Gbaya
/ Paulette Roulon-Doko
/ Canal-u.fr
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Au cœur de l’Afrique centrale, en
République Centrafricaine, vivent les Gbaya 'bodoe, qui sont des villageois
vivant, à 900 mètres d’altitude, dans une savane arborée où ils s’adonnent à la
chasse, à la cueillette et aussi aux cultures vivrières. Culture de tradition
orale, ils accordent une très grande importance à la parole dont le maniement
constitue un savoir très valorisé.
Dans cette culture, un certain nombre
de bruits, quelle qu’en soit l’origine, sont interprétés en terme de paroles.
Souvent, lorsqu’un bruit est traduit en parole, il y a dans l’onomatopée même
qui permet d’imiter ce bruit, un rythme qui fait croire à un énoncé. Il ne
s’agit pas là d’une interprétation individuelle. Il y a consensus sur
l’interprétation donnée. Ainsi les feux allumés pour les grandes chasse font
entendre gɛ̀lɛ̀m báà qui signifie
« promptement attrape [les herbes] » et est compris comme un
encouragement que s’envoient entre elles les flammes qui brûlent les herbes
sèches. Quant au bruit de la toux il est
toujours rendu par ʔám tɛ́ ʔɔ́ hɛ̰̀
qui signifie « je vais dormir ici ». Il
en va de même pour la simple reproduction des bruits sous forme d’onomatopées
dont la forme, parfaitement figée,
renvoie toujours à la même référence. Ainsi la musique du balafon ou la
sanza est exprimée par une suite de ʔílɛ́ŋ
ʔílɛ́ŋ et celle du tambour par gìɗɛ̰̀ gìɗɛ̰̀.
De même, le bruit des soufflets de forge qu’on peut entendre dans l’extrait
suivant est rendu par une suite rythmée de tìkpìrí
ou de tùkpùrú.
Dans ce conte pour décrire l’activité
de la forge, c’est la mention du bruit fort et régulier du soufflet tùkpùrú tùkpùrú qui est systématiquement utilisée. Mot(s) clés libre(s) : conte, forges, République Centrafricaine
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Le manioc en pays gbaya
/ Paulette Roulon-Doko
/ Canal-u.fr
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Ce
film consacré au manioc témoigne de la sagesse traditionnelle d’une
culture, les Gbaya de République Centrafricaine, qui utilise au mieux
les moyens de son milieu naturel, sans souci de productivité ni de
rentabilité, et dispose ainsi d’une variété d’aliments lui assurant une
nourriture abondante.
Les habitants de l’Afrique Centrale ont su s’approprier ce manioc si
souvent décrié et lui ont donné une place centrale dans leur
alimentation. Ils ont ce faisant innové en le traitant par rouissage et
en en consommant les feuilles, deux pratiques inconnues en Amérique,
son pays d’origine.
Le manioc combine ainsi plusieurs atouts : une culture simple, une
disponibilité sur toute l’année, une préparation rapide qui laisse du
temps aux femmes et une conservation facile. C’est un élément
glucidique très nourrissant constituant une excellente base de repas
s’il est accompagné d’un véritable plat d’accompagnement ce qui est le
cas en pays gbaya. A l’heure où l’on dénonce la faim dans le monde
qu’on se propose de résoudre par une assistance alimentaire, l’auteur
veut montrer qu’en Afrique Centrale, des cultures traditionnelles
entretiennent un rapport harmonieux avec leur environnement. De cette
manière, elles respectent la biodiversité qu’elles exploitent – pour
leur nourriture quotidienne – tout en la préservant.
Les images de ce film ont été tournées par Paulette Roulon-Doko entre
1980 et 1996 et constituent donc un document d’archives dont la
conservation n’a pas toujours été parfaite mais dont l’intérêt
ethnographique justifie leur utilisation. Mot(s) clés libre(s) : agriculture, République Centrafricaine
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004 - Justice et mémoire : continuités de l'antagonisme entre Etat et peuple en Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Résumé de la communication par Walter Ruf, Professeur émérite (Université de Kassel)Sans mémoire il ne peut y avoir légitimité. C’est ainsi que la mémoire, c’est-à-dire la construction de l’histoire, est continuellement sujette à des luttes politiques [1]. Ce débat continuel, s’il peut avoir lieu, a besoin d’un système démocratique ouvert et pluraliste. Dans ce cas il y a concurrence, voire lutte autour de cette construction du « nous » qui est le résultat de la construction de mémoire.En Algérie indépendante, la prise « réelle » du pouvoir par l’armée des frontières et la mise en place d’un système de parti unique, dominé de fait par l’Armée de libération nationale - ALN -, a eu pour conséquence la création partisane d’une histoire qui ne tenait pas compte notamment : - de l’histoire complexe de l’Algérie, - du multiculturalisme de l’Algérie, - des contradictions du colonialisme français, - des forces et courants différents qui ont formé le Front de libération nationale (FLN). Cela a eu pour conséquence qu’il fut impossible de « rendre justice » aux courants non-officiels qui font partie de la société algérienne.L’argumentation de la communication traitera le terme « justice » dans sa double sémantique : 1) justice dans le sens moral de rendre justice à tous les acteurs sociaux et politiques de la société algérienne depuis le début de la colonisation ; 2) justice dans le sens juridique du terme. Seul un système démocratique qui connaît et respecte la division des pouvoirs est capable d’assurer que le droit soit appliqué de façon égale à tous les citoyens et citoyennes, et qu’une culture politique se développe dans laquelle la justice soit acceptée comme institution morale de la société.C’est sous ces prémisses que les déficits du système algérien actuel seront analysés, notamment : -la construction d’une histoire unidimensionelle, -la construction de la « révolution algérienne » au détriment de la lutte pour l’indépendance, -la construction d’un « islam national » comme élément de cohésion de la société et ses contradictions, -le pluralisme de façade du système actuel, -le rôle de la justice comme instrument de répression et de reproduction du système actuel.Ainsi, l’antagonisme qui - entre autres - existe entre l’État et le peuple provient du fait que ce n’est pas du peuple que provient, dans un débat libre, la production identitaire de la nation algérienne, mais d’un régime autoritaire qui non seulement occupe le pouvoir, mais aussi la production d’une mémoire qui est en flagrante contradiction avec la réalité - et le passé - vécusEquipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, colonialisme (idée politique), FLN, front de libération nationale (algérie), histoire, justice, politique et gouvernement, république, révolution algérienne
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016 - Une politique économique de moyen terme entre intégration et indépendance
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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1958-1962 par Hartmut Elsenhans (Université de Leipzig)Le soubassement économique : session thématique (prés. René Gallissot)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne La France rejette l’intégration de l’Algérie et refuse l’indépendance immédiate, préférant une solution intermédiaire. L’évolution politique de la France pendant la guerre d’Algérie est centrée, pendant une très longue période, sur les modalités de cette solution intermédiaire. Elle doit garantir certains intérêts de la minorité européenne, ainsi que des liens privilégiés avec la France. Cette solution intermédiaire correspond à l’objectif stratégique qui consiste à maintenir le statut de grande puissance de la France.La France ne peut dilapider ses ressources pour une œuvre coloniale démesurée qui est de moins en moins importante pour ses intérêts à long terme. Cependant, le nationalisme algérien ne peut accepter une négociation ne reconnaissant pas au préalable le fait national algérien et le droit à l’indépendance qui en découle. Les deux adversaires s’enferment dans un cercle vicieux.Afin de faire avaliser une solution intermédiaire que le FLN refuse, même à titre de transition, la France de l’Algérie française doit nier le caractère représentatif du FLN et le combattre sans merci sur le plan militaire. Afin de faire reconnaître le fait national algérien, le FLN doit s’opposer à toutes les évolutions françaises sous prétexte qu’elles dépouilleraient l’Algérie de son droit de choisir son indépendance. Dès que la France s’aperçoit de la charge que l’Algérie représente pour la modernisation de son armée, pour ses relations avec un tiers-monde engagé dans le tiers-mondisme, et pour la compétitivité des secteurs modernes de l’économie, elle se met à considérer une solution avec le FLN comme garantissant le mieux son influence dans le monde. De Gaulle transforme cette issue, sur le plan des apparences, en succès de la France, qui aurait généreusement accordé son indépendance à l’Algérie. Le blocage français est constitué par le refus du statut de l’Algérie comme nation égale à la France dans son droit à l’indépendance. Ce refus est reflété par l’historiographie française, même libérale, insistant sur l’intransigeance du FLN/GPRA - qui somme tout représente une nation encore en voie de formation, mais non encore constituée. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), algérie (république / gouvernement provisoire), autonomie et mouvements indépendantistes, charles de gaulle (1840-1970), FLN, front de libération nationale, GPRA, guerre d'indépendance, histoire, intégration
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Chronique aka 1988, Gouga: Le bébé malade et le chevrotain aquatique
/ 23-09-1998
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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A Gouga, dans une petite bananeraie pygmée en République centrafricaine, les activités quotidiennes et les chants qui accompagnent les sons émis par une harpe sont interrompus par les pleurs d'une petite fille saisie d'une crise de convulsions hyperthermiques. La maladie de l'enfant est attribuée à une rupture d'interdit alimentaire, kila, par la mère. La fillette est soignée en urgence par les femmes du campement qui insufflent la poudre d'os d'un gibier carbonisé dans ses narines et l'en frictionnent.
Un chevrotain aquatique est préparé pour le repas. La consommation de cet animal risquant de provoquer une maladie d'interdit alimentaire kila, on lui coupe la queue, afin de la conserver pour préparer éventuellement un remède. Ce chevrotain ci va être mangé par les hommes uniquement. Mot(s) clés libre(s) : afrique, gibier, nganga, mère/enfant, convulsion, thérapie, interdit alimentaire, aïeule, os, chevrotain aquatique, kila, aka, pygmée, remède, musique, alimentation, maladie, diagnostic, vidéo, ethnomédecine, film ethnographique, République Centrafricaine, petite enfance, guérissage, Gouga
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