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CIDMEF Libreville 2011 - Les coopérations institutionnelles et professionnelles.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 16-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DEHBI Fatima
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XVIIIème Journées Universitaires Francophones de Pédagogie des Sciences de la Santé de la CIDMEF.3ème Congrès International Francophone de Pédagogie des Sciences de la Santé 16-19 avril 2011 Faculté de Médecine de Libreville (Gabon). Université des Sciences de la Santé.Titre : CIDMEF Libreville 2011 - Les coopérations institutionnelles et professionnelles en éducation dans les Sciences de la Santé Intervenant : Fatima DEHBI (Casablanca, Maroc)Résumé : Les coopérations institutionnelles et professionnelles en éducation dans les Sciences de la Santé. La médecine solidaire : un programme de formation axée sur le partenariat et la participation communautaire.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère - enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3S.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CIDMEF Libreville 2011, enseignement, évaluation, FSP mère-enfant, médecine solidaire, partenariat multi-sectoriel, santé publique
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SFSP Lille 2011 – Les Profils Nutritionnels : concept, validation, utilisation
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 03-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DARMON Nicole
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Titre : SFSP Lille 2011 – Les Profils Nutritionnels : concept, validation, utilisationIntervenant(s) : Darmon Nicole - UMR "Nutriments lipidiques et Prévention des Maladies Métaboliques", INRA 1260/ Université Aix-Marseille I & II - Campus santé la Timone, Marseille.Résumé : Concept : Le profil nutritionnel d'un aliment synthétise sa qualité nutritionnelle et doit permettre d'estimer sa capacité à favoriser l’équilibre alimentaire global. Ce concept implique un jugement de valeur sur les aliments et suppose qu'il est possible de les classer et de les comparer entre eux sur la base de leurs caractéristiques nutritionnelles.Validation : Si la plupart des travaux confirment que tous les aliments peuvent s'intégrer dans une alimentation équilibrée, ces travaux montrent aussi que plus la proportion des aliments de bon profil est importante, meilleure est la qualité nutritionnelle globale de l'alimentation. Les systèmes de profilage nutritionnel existants, qu'ils soient publics ou privés, sont généralement en accord avec les classements opérés par des expert. Ils sont également compatibles avec le respect des recommandations basées sur les aliments (guides alimentaires) et sur les nutriments (apports nutritionnels conseillés). On peut noter cependant un manque d'études sur la relation entre profils nutritionnels et santé. Utilisation : Le profil nutritionnel est amené à devenir un outil majeur des politiques nutritionnelles. Outre la proposition initiale d'utiliser les profils pour règlementer l'accès à la publicité et aux allégations, Leur utilisation est également envisagée pour décider de taxer ou de subventionner certains produits. Les profils pourraient être utiles aux industriels pour faire évoluer la qualité nutritionnelle de leurs produits, aux distributeurs et aux restaurateurs pour orienter les choix des produits à référencer, aux professionnels de santé amenés à dispenser des conseils diététiques. Enfin, les profils sont déjà utilisés pour véhiculer une information nutritionnelle synthétique dans le cadre de l'étiquetage, sur le produit lui-même ou sur les linéaires, ce qui est susceptible de modifier l'offre (des études ont montré que l'introduction de tels logos avait incité les industriels à reformuler leurs produits) comme la demande (les études sont moins concordantes concernant l'impact de l'introduction de logos sur les ventes).L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Congrès pluri-thématique de la Société Française de Santé Publique : les expertises en santé publique. Session : que sont devenues les propositions des sociétés savantes et des groupes d’experts dans le PNNS 3 ? Animation : François Bourdillon (SFSP). Lille du 2 au 4 novembre 2011 sous le haut patronage du Ministre du Travail, de l’Emploi et de la santé et le parrainage du Ministre de l’Enseignement.Réalisation, production : Canal U/3S, CERIMES Mot(s) clés libre(s) : experts, PNNS 3, santé publique, SFSP Lille 2011
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SFSP Lille 2011 – Nouvelles expertises en prévention - discussion
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 03-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DANZON Marc, NOUGUEZ Etienne, OULLIER Olivier
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Titre : SFSP Lille 2011 – Nouvelles expertises en prévention - discussionIntervenant(s) : Danzon Marc, Nouguez Etienne, Oullier Olivier - Professeur des universités, Laboratoire de Psychologie Cognitive (UMR 6146) – Aix-Marseille UniversitéRésumé : Les domaines de la prévention et de la promotion de la santé requièrent des expertises différentes ou au moins complémentaires de celles traditionnelles de la médecine et de la santé publique. Faire bouger des comportements individuels ou collectifs demande des connaissances dans des domaines aussi divers que ceux de l'éducation, la communication, la sociologie et même la politique. Les doutes sur l'existence de preuves scientifiques à l'appui des actions menées et les griefs de manipulation sont anciens et très fréquents. Pourtant l'expertise existe aussi dans ces domaines. Est-il condamnable de réaliser des études marketing pour comprendre les motivations des comportements des fumeurs ou des consommateurs abusifs de boissons alcoolisées ? Est-t-il légitime de faire appel à des techniques éprouvées de communication pour faire passer des messages forts sur l'usage de la drogue ou la vitesse excessive ? La question de l'efficacité et des limites de telles approches, posée par de nombreux scientifiques, mérite sans aucun doute des réponses plus précises et de vrais efforts en matière d'évaluation en particulier à long terme. Le questionnement est encore plus fort quant aux motivations réelles de la décision politique. Quelles sont les raisons qui déterminent le choix des décideurs ? Quel est le poids de l'opinion publique dans ces décisions et comment l'analyse-t-on ? Au-delà du jugement sur la légitimité et l'opportunité, la question de l'expertise dans ces domaines mérite d'être explicitée et débattue pour éviter les jugements hâtifs et abrupts.Il est temps d'aborder ces questions avec sérieux et sérénité en acceptant de dépasser les limites habituelles de ce que l'on considère la science avec un grand S.On pourra intégrer dans cette réflexion la connaissance de ce qui se fait ailleurs qu'en France et la position d'organisations internationales comme l'OMS qui attache une grande importance à la prévention et à la promotion de la santé et travaille sur la relation entre science et décision et l'interface entre les scientifiques et les politiques.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Congrès pluri-thématique de la Société Française de Santé Publique : les expertises en santé publique. Session : A-t-on besoin de nouvelles expertises en prévention ? Animation : Pierre Arwidson (INPES), Yves Charpak (SFSP). Lille du 2 au 4 novembre 2011 sous le haut patronage du Ministre du Travail, de l’Emploi et de la santé et le parrainage du Ministre de l’Enseignement.Réalisation, production : Canal U/3S, CERIMESMots clés : SFSP Lille 2011, santé publique, expertise, science et prévention, innovation en prévention, décideurs et experts, lieux de dialogues, experts décideurs Mot(s) clés libre(s) : décideurs et experts, expertise, experts décideurs, innovation en prévention, lieux de dialogues, santé publique, science et prévention, SFSP Lille 2011
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SFSP Lille 2011 – sur quelle(s) expertise(s) s’appuyer pour agir en santé publique?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 03-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DANZON Marc
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Titre : SFSP Lille 2011 – Remarques conclusives et perspective internationale : sur quelle(s) expertise(s) s’appuyer pour agir en santé publique, y compris au-delà de la science ?Intervenant(s) : Danzon MarcRésumé : Les domaines de la prévention et de la promotion de la santé requièrent des expertises différentes ou au moins complémentaires de celles traditionnelles de la médecine et de la santé publique. Faire bouger des comportements individuels ou collectifs demande des connaissances dans des domaines aussi divers que ceux de l'éducation, la communication, la sociologie et même la politique. Les doutes sur l'existence de preuves scientifiques à l'appui des actions menées et les griefs de manipulation sont anciens et très fréquents. Pourtant l'expertise existe aussi dans ces domaines. Est-il condamnable de réaliser des études marketing pour comprendre les motivations des comportements des fumeurs ou des consommateurs abusifs de boissons alcoolisées ? Est-t-il légitime de faire appel à des techniques éprouvées de communication pour faire passer des messages forts sur l'usage de la drogue ou la vitesse excessive ? La question de l'efficacité et des limites de telles approches, posée par de nombreux scientifiques, mérite sans aucun doute des réponses plus précises et de vrais efforts en matière d'évaluation en particulier à long terme. Le questionnement est encore plus fort quant aux motivations réelles de la décision politique. Quelles sont les raisons qui déterminent le choix des décideurs ? Quel est le poids de l'opinion publique dans ces décisions et comment l'analyse-t-on ? Au-delà du jugement sur la légitimité et l'opportunité, la question de l'expertise dans ces domaines mérite d'être explicitée et débattue pour éviter les jugements hâtifs et abrupts.Il est temps d'aborder ces questions avec sérieux et sérénité en acceptant de dépasser les limites habituelles de ce que l'on considère la science avec un grand S.On pourra intégrer dans cette réflexion la connaissance de ce qui se fait ailleurs qu'en France et la position d'organisations internationales comme l'OMS qui attache une grande importance à la prévention et à la promotion de la santé et travaille sur la relation entre science et décision et l'interface entre les scientifiques et les politiques.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Congrès pluri-thématique de la Société Française de Santé Publique : les expertises en santé publique. Session : A-t-on besoin de nouvelles expertises en prévention ? Animation : Pierre Arwidson (INPES), Yves Charpak (SFSP). Lille du 2 au 4 novembre 2011 sous le haut patronage du Ministre du Travail, de l’Emploi et de la santé et le parrainage du Ministre de l’Enseignement.Réalisation, production : Canal U/3S, CERIMESMots clés : SFSP Lille 2011, santé publique, expertise, science et prévention, innovation en prévention, décideurs et experts, lieux de dialogues, experts décideurs Mot(s) clés libre(s) : décideurs et experts, expertise, experts décideurs, innovation en prévention, lieux de dialogues, santé publique, science et prévention, SFSP Lille 2011
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SFSP Lille 2011 – L’expertise sanitaire - Discussion.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 02-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DANIEL Christine, TABUTEAU Didier
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Titre : SFSP Lille 2011 – L’expertise sanitaire - DiscussionIntervenant(s) : Christine Daniel, Inspectrice générale des affaires sociales, Didier Tabuteau, Vice-président de la SFSP et directeur de la Chaire de santé de Sciences-PoRésumé : La mission de l’IGAS a défini l’expertise sanitaire comme « une synthèse de connaissances, élaborée à l’intention des pouvoirs publics, dans le but de garantir la sécurité sanitaire ». Cette définition marque la spécificité du positionnement de l’inspection, placée sous l’autorité du ministre et dès lors amenée à intégrer les préoccupations des pouvoirs publics nationaux dans son analyse et à formuler des recommandations. Les conclusions de la mission sont fondées sur ses investigations dans quatorze organismes et dans quatre champs (santé, alimentation, environnement, nucléaire). Quatre risques principaux ont été identifiés, qui peuvent menacer la qualité et la légitimité de l’expertise destinée à appuyer la décision publique. Ne reposant par sur une approche théorique, cette contribution repose sur des analyses concrètes, issues d’enquêtes de terrain et d’entretiens. Un risque lié à la place de l’expertise dans le processus de décision publique, d’abord. Le principe de séparation entre l’évaluation des risques et la gestion des risques, à l’origine de la création des agences sanitaires, est d’application complexe, ce qui engendre malentendus et tensions avec les pouvoirs publics. Un autre risque est lié à la formulation de la commande publique : des questions mal posées, notamment quand elles interviennent dans l’urgence, peuvent conduire à des réponses inadaptées. La qualité et la légitimité d’une expertise dépendent aussi de l’indépendance individuelle et collective des experts qui la formulent. Au-delà de l’affirmation nécessaire de ce principe et de sa traduction dans des règles juridiques, les difficultés de mise en œuvre restent nombreuses. Enfin, l’ouverture de l’expertise, largement revendiquée, suppose de trouver une voie médiane entre deux écueils, le confinement d’une part, la confusion des genres et des intérêts de l’autre.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Congrès pluri-thématique de la Société Française de Santé Publique : Les expertises en santé publique. Session : Expertises et politiques de santé du national au régional. Lille du 2 au 4 novembre 2011 sous le haut patronage du Ministre du Travail, de l’Emploi et de la santé et le parrainage du Ministre de l’Enseignement.Réalisation, production : Canal U/3S, CERIMESMots clés : SFSP Lille 2011, santé publique, expertise, IGAS Mot(s) clés libre(s) : expertise, IGAS, santé publique, SFSP Lille 2011
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SFSP Lille 2011 – L’expertise sanitaire, un regard fondé sur l’analyse des pratiques
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 02-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DANIEL Christine
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Titre : SFSP Lille 2011 – L’expertise sanitaire, un regard fondé sur l’analyse des pratiquesIntervenant(s) : Christine Daniel, Inspectrice générale des affaires socialesRésumé : La mission de l’IGAS a défini l’expertise sanitaire comme « une synthèse de connaissances, élaborée à l’intention des pouvoirs publics, dans le but de garantir la sécurité sanitaire ». Cette définition marque la spécificité du positionnement de l’inspection, placée sous l’autorité du ministre et dès lors amenée à intégrer les préoccupations des pouvoirs publics nationaux dans son analyse et à formuler des recommandations. Les conclusions de la mission sont fondées sur ses investigations dans quatorze organismes et dans quatre champs (santé, alimentation, environnement, nucléaire). Quatre risques principaux ont été identifiés, qui peuvent menacer la qualité et la légitimité de l’expertise destinée à appuyer la décision publique. Ne reposant par sur une approche théorique, cette contribution repose sur des analyses concrètes, issues d’enquêtes de terrain et d’entretiens. Un risque lié à la place de l’expertise dans le processus de décision publique, d’abord. Le principe de séparation entre l’évaluation des risques et la gestion des risques, à l’origine de la création des agences sanitaires, est d’application complexe, ce qui engendre malentendus et tensions avec les pouvoirs publics. Un autre risque est lié à la formulation de la commande publique : des questions mal posées, notamment quand elles interviennent dans l’urgence, peuvent conduire à des réponses inadaptées. La qualité et la légitimité d’une expertise dépendent aussi de l’indépendance individuelle et collective des experts qui la formulent. Au-delà de l’affirmation nécessaire de ce principe et de sa traduction dans des règles juridiques, les difficultés de mise en œuvre restent nombreuses. Enfin, l’ouverture de l’expertise, largement revendiquée, suppose de trouver une voie médiane entre deux écueils, le confinement d’une part, la confusion des genres et des intérêts de l’autre.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Congrès pluri-thématique de la Société Française de Santé Publique : Les expertises en santé publique. Session : Expertises et politiques de santé du national au régional. Lille du 2 au 4 novembre 2011 sous le haut patronage du Ministre du Travail, de l’Emploi et de la santé et le parrainage du Ministre de l’Enseignement.Réalisation, production : Canal U/3S, CERIMESMots clés : SFSP Lille 2011, santé publique, expertise, IGAS Mot(s) clés libre(s) : expertise, IGAS, santé publique, SFSP Lille 2011
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SFSP Lille 2011 – Les conditions du succès, les enseignements de l’expérience québécoise
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 04-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DAB William
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Titre : SFSP Lille 2011 – Expertise, décision, action : les conditions du succès, les enseignements de l’expérience québécoiseIntervenant(s) : Dab William - Professeur titulaire de la chaire d'hygiène et de sécurité, Conservatoire national des arts et métiersRésumé : De façon générale, la question des niveaux de risques et de preuves requis pour justifier des actions de santé publique est une des grandes questions qui se pose à tous les niveaux de nos sociétés. L’expérience québécoise a ceci de remarquable qu’elle rapproche les acteurs de terrain et les experts scientifiques. Quelles sont les caractéristiques du système de santé publique québécois qui favorisent ce lien et celles-ci sont-elles transposables ? En miroir des présentateurs du Québec, cet exposé posera les termes de cette discussion à la lumière de dossiers ayant fait l’objet de controverses en FranceL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Congrès pluri-thématique de la Société Française de Santé Publique : les expertises en santé publique. Session : expertise québécoise en santé publique : organisation, gestion, diversité, rôles des experts, relation avec les décideurs et la population. Animation : Hélène Valentini (INSPQ). Lille du 2 au 4 novembre 2011 sous le haut patronage du Ministre du Travail, de l’Emploi et de la santé et le parrainage du Ministre de l’Enseignement.Réalisation, production : Canal U/3S, CERIMESMots clés : SFSP Lille 2011, santé publique, ion de santé publique, expertise, décision, expérience québécoise, dossiers français Mot(s) clés libre(s) : décision, dossiers français, expérience québécoise, expertise, ion de santé publique, santé publique, SFSP Lille 2011
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SFSP Lille 2011 – Alerte et expertise : le cas des perturbateurs endocriniens
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 04-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CICOLELLA André
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Titre : SFSP Lille 2011 – Alerte et expertise : le cas des perturbateurs endocriniensIntervenant(s) : André Cicolella, Président du Réseau Environnement Santé (RES), Conseiller Scientifique à l’INERI SRésumé : La notion de perturbateurs endocriniens (PE) a été forgée en 1991 par un groupe de 21 scientifiques réunis à Wingspread autour de Theo Colborn pour qualifier un mécanisme explicatif commun des dérèglements de la santé humaine et de celle de la faune. La 1re traduction réglementaire s'est faite en France à l'occasion du vote par le Sénat en mars 2010 de l'interdiction du Bisphénol A (BPA) dans les biberons. Une 2nde loi a été votée par l'Assemblée Nationale en mai 2011 interdisant 3 familles de PE (alkylphénols, parabènes et phtalates). Ces décisions font suite à la campagne de sensibilisation menée par le RES depuis sa création en mars 2009 par plusieurs types d'ONG. Celle-ci s'est appuyée sur une veille scientifique systématique concernant l'impact du BPA, ainsi que sur l'organisation de deux colloques autour de la notion du changement de paradigme des PE.Cette affaire soulève plusieurs questions de fond relatives au fonctionnement de la sécurité sanitaire à la lumière du principe de précaution :- à partir de quel niveau de certitude scientifique, les décisions de gestion du risque doivent-elle être prises et quelle est la place des citoyens dans le dispositif?- sur quels critères reposent les méthodologies d'évaluation des risques utilisées par les agences de sécurité sanitaire et comment doivent-elles évoluer au vu du progrès des connaissances ?- comment faire en sorte que les conflits d'intérêts n'interfèrent pas dans le processus d'évaluation des risques ?Pour améliorer l'efficacité du système de sécurité sanitaire, il apparaît nécessaire aujourd'hui de disposer d'une loi de protection de l'alerte et de l'expertise, créant notamment une haute autorité pour recueillir les alertes, définir les principes de la déontologie de l'expertise et les faire respecter.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Congrès pluri-thématique de la Société Française de Santé Publique : les expertises en santé publique. Session : session plénière de clôture, expertises et société. Lille du 2 au 4 novembre 2011 sous le haut patronage du Ministre du Travail, de l’Emploi et de la santé et le parrainage du Ministre de l’Enseignement.Réalisation, production : Canal U/3S, CERIMESMots clés : SFSP Lille 2011, santé publique, expertise, BPA Mot(s) clés libre(s) : BPA, expertise, santé publique, SFSP Lille 2011
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SFSP Lille 2011 – Actualités du PNNS
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 03-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CHAULIAC Michel
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Titre : SFSP Lille 2011 – Actualités du PNNSIntervenant(s) : Chauliac Michel - Direction générale de la santé. Ministère du travail, de l’emploi et de la santéRésumé : Initié en 2001, renforcé en 2006, le Programme national nutrition santé a été évalué en 2010 par l’IGAS. L’article L. 3231-1 du code de la santé publique prévoit un programme gouvernemental quinquennal relatif à la nutrition et à la santé. La loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche de 2010 a introduit la politique publique de l’alimentation définie dans le programme national pour l’alimentation (PNA). L’élaboration du PNNS 2011-2015 a fait l’objet d’une très large consultation auprès des professionnels, des sociétés savantes, ainsi que de réseaux d’élus et du milieu associatif. Le PNNS est articulé avec le PNA et le plan obésité voulu par le Président de la République. Reprenant les objectifs de nutrition formulés par le Haut conseil de la santé publique et fondé sur des principes qui guident les grandes options stratégiques, le PNNS est orienté autour de quatre axes majeurs : la réduction des inégalités sociales de santé en matière de nutrition , le développement de l’activité physique et la réduction de la sédentarité, l’organisation du dépistage et de la prise en charge du patient en nutrition, la valorisation du PNNS comme référence et l’implication des parties prenantes. Il s’appuie sur la surveillance, l’évaluation et le développement de la formation en nutrition. Il prolonge les orientations qui ont montré impact et contribué à atteindre des résultats positifs pour la santé de la population et prévoit diverses options complémentaires. L’intervention sera l’occasion de faire le point sur la mise en œuvre du PNNS 2011-2015 quelques mois après son annonce.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Congrès pluri-thématique de la Société Française de Santé Publique : les expertises en santé publique. Session : que sont devenues les propositions des sociétés savantes et des groupes d’experts dans le PNNS 3 ? Animation : François Bourdillon (SFSP). Lille du 2 au 4 novembre 2011 sous le haut patronage du Ministre du Travail, de l’Emploi et de la santé et le parrainage du Ministre de l’Enseignement.Réalisation, production : Canal U/3S, CERIMESMots clés : SFSP Lille 2011, santé publique, experts, PNNS 3 Mot(s) clés libre(s) : experts, PNNS 3, santé publique, SFSP Lille 2011
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Emois Nancy 2009 : Utilisation du PMSI pour évaluer une mesure de santé publique
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 05-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CHATELLIER G.
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Emois Nancy 2009 : Session actualités Utilisation du PMSI pour évaluer une mesure de santé publique : évaluation du nombre d'admissions pour infarctus du myocarde (IDM) suite à la mise en place des lois anti-tabac en France.E. Guennec, S. Baron, L. Trinquart, G. Chatellier.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Emois Nancy 2009, épidémiologie, IDM, PMSI, santé publique, tabagisme passif
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