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Les aptitudes et capacités professionnelles des étudiants en sciences humaines / Jean Wemaëre
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 28-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
WEMAËRE Jean
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Les aptitudes et capacités professionnelles des étudiants en sciences humaines. Jean WEMAËRE. Dans "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème II : Compétences littéraires et transfert de compétences : compétences littéraires, 28 mai 2010. Quelles compétences peuvent apporter les étudiants des filières littéraires dans les entreprises et quelle valeur ont les diplômes obtenus à l'issue des cursus de formation en lettres et sciences humaines ?Selon l'avis de Jean Wemaëre, la capacité à s'exprimer, la maîtrise de la langue, la "culture", la pensée analytique, la sensibilité aux autres, l'imagination, la capacité à innover et à créer de nouveaux usages ainsi que l'aptitude à donner du sens au travail d'une équipe... forment un socle de capacités et de connaissances propres à permettre aux étudiants des filières littéraires d'exercer des fonctions d'encadrement et de gestion de projet dans les entreprises. Mot(s) clés libre(s) : études en sciences humaines (débouchés), étudiants en sciences humaines (aptitudes), insertion professionnelle, orientation professionnelle des étudiants, qualification professionnelle des étudiants
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Les animats
/ UTLS - la suite
/ 02-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
MEYER Jean-Arcady
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Contrairement aux ambitions affichées aux origines de la discipline, en 1956, les recherches en intelligence artificielle ont à ce jour largement échoué à reproduire l'intelligence de l'homme, même si un programme d'ordinateur a réussi à battre le champion du monde aux échecs. Quant aux robots modernes, ils ne brillent pas non plus par leur intelligence, même si certaines machines caniformes ou humanoïdes sont de véritables merveilles de technologie. De nombreux chercheurs estiment qu'il est largement prématuré d'espérer reproduire directement l'intelligence de l'homme tant qu'on n'aura pas compris comment elle s'est mise en place au cours de l'évolution. Aussi, dans le but de rechercher en quoi l'intelligence humaine s'explique à partir des processus adaptatifs les plus simples hérités des animaux - et plutôt que de viser directement à comprendre et à reproduire les performances les plus élaborées dont est capable le cerveau - ces chercheurs visent d'abord à synthétiser des animats, c'est-à-dire des animaux artificiels ou des robots réels dont les lois de fonctionnement sont aussi inspirées de la biologie que possible. L'objectif est d'attribuer à ces animats certaines des capacités d'autonomie et d'adaptation basiques qui caractérisent les animaux réels, de façon à leur permettre de "survivre" ou d'assurer leur mission dans des environnements plus ou moins imprévisibles et dangereux. Cette conférence évoquera quelques automates célèbres - du pigeon d'Archytas de Tarente au canard de Vaucanson, en passant par l'androïde de Léonard de Vinci - pour rappeler que la conception de machines inspirées du vivant a été de tout temps une préoccupation humaine. La structure générale d'un animat et son mode de fonctionnement seront ensuite décrits. Ils se caractérisent par le fait que l'animat acquiert des comportements efficaces par interaction étroite avec son environnement, grâce à son architecture de contrôle - équivalent du système nerveux d'un animal - reliant ses capteurs - équivalents des récepteurs sensoriels- à ses actionneurs - équivalents des organes moteurs. Puis divers exemples illustreront la façon dont les animats peuvent eux-mêmes améliorer ou se constituer une architecture de contrôle ou une morphologie adaptées, par des processus inspirés de la biologie comme le développement, l'apprentissage ou l'évolution des espèces. Enfin, à partir notamment de l'évocation des "biobots" - robots hybrides constitués à la fois d'éléments artificiels et d'éléments vivants - les avantages et les risques liés à ces recherches seront discutés. Mot(s) clés libre(s) : animal artificiel, apprentissage des robots, biobot, ethologie, intelligence artificielle, processus biomimétique, réseaux de neurones, robotique, sciences cognitives
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Les alliages métalliques pour conditions extrêmes
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 07-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PINEAU André
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Les métaux et leurs alliages ont toujours joué un rôle primordial dans le développement de nos sociétés. Ils ont toujours contribué à la résolution de bon nombre de problèmes de société incontournables. Plutôt que de faire un inventaire, on s'efforcera de montrer les diverses étapes à franchir dans le développement d'un alliage métallique destiné à remplir une fonction donnée. On illustrera également les développements des grandes disciplines (Chimie, Physique, Mécanique, Simulation Numérique) qui ont largement contribué à la métallurgie. A cet effet, on rappellera tout d'abord les spécificités physiques des métaux et alliages métalliques. On montrera à ce propos comment il a été possible de profiter de certains traits spécifiques favorables et de surmonter quelques handicaps, comme la densité. Parmi les situations extrêmes envisagées, on se restreindra à celles qui font appel à la résistance mécanique des métaux et des alliages métalliques en traitant successivement le cas des très basses températures (transport de gaz liquéfiés), des très grandes vitesses de déformation (" crash " automobile), des températures élevées (turbines aéronautiques) et celui de l'irradiation aux neutrons (réacteurs électronucléaires). On conclura en envisageant un certain nombre d'applications pour lesquelles le développement de nouveaux alliages métalliques reste un verrou technologique et pose de réels défis scientifiques et techniques. Mot(s) clés libre(s) : alliage métallique, déformation, irradiation neutronique, métallurgie, physique du solide, plasticité, résistance mécanique, science des matériaux, structure granulaire, température élevée, très basse température
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Le travail de recherche en master / Hélène Deville
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-11-2014
/ Canal-u.fr
DEVILLE Hélène
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Le travail de recherche en master / Hélène Deville, in "La construction d'un objet de recherche dans les mondes ibériques. Expériences de jeunes chercheurs", séminaire organisé par Hélène Deville et Emilie Cadez Ortola, doctorantes à Institut de recherche et d'études culturelles (IRIEC), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 14 novembre 2014.Dans le cadre d'un séminaire intitulé "La construction d'un objet de
recherche dans les mondes ibériques", Hélène Deville, actuellement
doctorante en Sciences humaines, présente la démarche méthodologique
qu'elle avait adoptée en master et la manière dont elle avait organisé son parcours. Mot(s) clés libre(s) : recherche en sciences humaines et sociales, thèses et écrits académiques, recherches scientifiques (méthodologie)
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Le temps et sa flèche
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 06-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
KLEIN Etienne
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Conférence du 6 juillet 2000 par Etienne Klein. Chacun comprend de quoi nous voulons parler lorsque nous prononçons le mot temps, mais personne ne sait vraiment quelle réalité se cache derrière lui. Si le mot est clair, la chose ne l'est pas, qui se perd dans les brumes dès qu'on tente de la saisir. Pourtant les sciences, en particulier la physique, interrogent sans relâche la nature et les propriétés du temps. Quel statut faut-il lui donner ? S'écoule-t-il de façon régulière ? Est-il réversible ? Comment est-il relié à l'espace ? Peut-on concilier temps physique et temps psychologique ? Nous verrons comment chacune des révolutions qui ont agité la physique a remis en cause notre représentation du temps et des liens qu'entretient ce dernier avec l'espace et la matière. Mot(s) clés libre(s) : charge, épistémologie, espace, flèche du temps, interaction faible, matière, parité, philosophie des sciences, physique des particules, physique quantique, symétrie CPT, temps, théorie de la relativité
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Le temps du climat
/ Michel ALBERGANTI
/ 30-06-2015
/ Canal-u.fr
WISMANN Heinz
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" Chez les Anciens, le climat n’a aucune connotation temporelle. C’est un phénomène purement spatial,la zone terrestre délimitée par les tropiques, c’est par un glissement métonymique qu’il est venu à désigner le temps qu’il fait dans cette zone. "
...." Le problème majeur qui se pose à l’homme ce n’est pas l’épuisement des ressources naturelles physiques, mais
l’épuisement des ressources naturelles psychiques, l’usure de la capacité de continuer à désirer " Mot(s) clés libre(s) : climat, changement climatique, utopie, sciences et société
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Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Blamont
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 03-05-1999
/ Canal-U - OAI Archive
BLAMONT Jacques Émile
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Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Émile Blamont. Conférence donnée dans le cadre de L'Institut des Études Doctorales (IED) et présentée par Michel Eliard, directeur de l'URF de Sociologie de l'université du Mirail. Université Toulouse II-Le Mirail, 3 mai 1999. Mot(s) clés libre(s) : bibliothèque d'Alexandrie, centres publics de recherche, compétitivité (économie politique), histoire des sciences et techniques (20e siècle), politique scientifique (Etats-Unis), politique scientifique (France), politique scientifique (URSS), progrès sci
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Le relief de l'invisible: les céramiques
/ Science en Cours, Cité des Sciences et de l'Industrie, ALTO MEDIA, Aune Production, Ex-Nihilo
/ 01-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
LEVY Pierre-Oscar
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GénériqueProduction : CO Prod CSI /Alto-média / ex-nihilo / Aune production DPA / Livrozet Maud Mot(s) clés libre(s) : alumine, céramique, microscope électronique, oxyde d'aluminium, science des matériaux, structure moléculaire
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Le régime climatique onusien : une expertise à repenser
/ Michel ALBERGANTI
/ 02-07-2015
/ Canal-u.fr
DAHAN-DALMEDICO Amy
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Amy Dahan aborde la question de la gouvernance climatique et plus précisément celle de l’expression de l’expertise dans le cadre du régime climatique onusien et sur la scène internationale. Au départ de son analyse, un rappel : celui de la vision hégémonique des relations entre science et politique qui a présidé aux négociations climatiques.
Ce sont en effet en premier lieu les chercheurs qui ont alerté sur le risque climatique. Dès 1978, les rapports scientifiques, à destination du politique, ont ainsi contribué à rendre centrale la question de l’incertitude. De fait, le problème climatique s’est construit sur le modèle du « science first ». Dans ce contexte, l’expertise s’est quant à elle construite selon un modèle linéaire revendiqué par les scientifiques eux-mêmes. L’idée de ce modèle est la suivante : les scientifiques produisent des analyses pertinentes pour les politiques mais non prescriptives. Les deux mondes - science et politique - sont alors présentés comme clairement séparés. Or une analyse du fonctionnement du résumé pour les décideurs réalisés par le GIEC permet de mettre en évidence le décalage entre le mode opératoire affiché du modèle et la réalité. En effet, contrairement au millier de pages du rapport, ce résumé de 30 pages, adopté avec les représentants des Etats, doit faire l’objet d’un consensus où chaque mot est pesé. Il s’agit donc là d’un processus éminemment politique. Le GIEC lui-même a été très critiqué à partir des années 90. On lui a notamment reproché une trop grande proximité avec la science du nord et son manque de considération de la variété des réalités du globe. Il a par ailleurs été attaqué sur sa vision trop globale du problème climatique - limitant de fait la prise en compte des problématiques des pays en voie de développement. Une vision globale considérée pour beaucoup comme responsable de l’échec de Copenhague. Rien d’étonnant donc à ce que cette focalisation sur la science - qui a elle-même conduit à un globalisme politique - ait progressivement conduit à un rejet du GIEC, notamment dans les années 90. Conscient des critiques qui lui était adressées, le GIEC a alors eu l’intelligence de faire un effort de réforme.
De nombreux rapports spéciaux relatifs aux préoccupations des pays du sud ont alors été mis en chantier et a vu se développer les co-présidences Nord-Sud. Quoi qu’il en soit, le modèle d’expertise du GIEC a aujourd’hui besoin d’être revu. « Plus généralement, c’est la construction même du problème climatique qui a besoin d’être revue. Nous ne pouvons pas continuer à considérer que la gouvernance climatique ne se fonde que sur la science. En fixant des objectifs à l’horizon 2100, la science seule semble aujourd’hui trop éloignée des problèmes locaux, concrets, matériels. Nous de- vons par ailleurs commencer à repenser le climat comme un problème, non pas uniquement environnemental, mais aussi économique, géopolitique, de civilisation », conclut Amy Dahan. Mot(s) clés libre(s) : gouvernance, ONU, GIEC, relations science et politique
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Le raisonnement sociologique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 02-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PASSERON Jean-Claude
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"Qu'est-ce que parler veut dire en sociologie ? Que signifie ""faire preuve"" dans une science historique ? Décrire le ""raisonnement sociologique"" - c'est-à-dire ce qui le distingue d'une ""démonstration"" mathématique ou de l'établissement d'une ""loi"" dans une science expérimentale - ne conduit pas à conclure que ses démarches ne relèveraient pas de l'approximation ou de la littérature, du reportage subjectif ou d'une libre interprétation des faits. Comment raisonnent les sociologues - et avec eux tous ceux qui travaillent dans une science historique ? Sur quoi s'appuient-ils lorsqu'ils affirment ou nient la vérité d'une description, d'un récit, lorsqu'ils affirment ou nient la force probante d'une comparaison, d'un calcul statistique, lorsqu'ils affirment ou refusent une causalité ? La sociologie n'est pas ce que la plupart des sociologues en disent : ni lorsqu'ils la vantent orgueilleusement comme un savoir totalisant la société, ni lorsque, se faisant ingénument ""scientistes"", ils la pressent de devenir enfin, à grand renfort de mathématiques, une ""science dure"" comme les autres ; ni, bien sûr, lorsqu'ils se résignent à la considérer comme une ""science molle"" en se consolant de cette position subalterne de la valeur ""humaniste"" qu'ils lui prêtent." Mot(s) clés libre(s) : raisonnement, science, sociologie
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