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"Corps, Travail et Genre"
1ère partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
RIVOAL Haude, JACQUELIN Anne, MORENO PESTANA José Luis
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Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Accueil par Anne Jacquelin & Haude Rivoal, doctorantes en sociologie (CRESPPA-GTM)
Introduction par Jose Luis Moreno Pestaña, professeur de philosphie (Université de Cadiz)
La valorisation du corps sur le marché de travail -morphologie, allure...- a été théorisée comme une
forme de capital, en l’occurence comme un capital érotique. Ces exigences de transformation du corps
selon les formes de beauté “légitimes” dominantes, sont plus présentes dans les métiers féminisés.
Dans notre approche, nous établissons des liens entre ces exigences de valorisation du corps et les troubles
alimentaires : ceux-ci permettent d’analyser certains traits structurels du capital érotique au travail. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
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"Corps, Travail et Genre" 2ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
GUICHARD-CLAUDIC Yvonne, PAÏVA Michèle, BERCOT Régine
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Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Session 1: Séance présidée par Anne Jacquelin, doctorante en sociologie au CRESPPA-GTM et discutée par Régine Bercot, Professeure à Université Paris 8, UFR Philosophie-SHS, et chercheure du CRESPPA UMR 7217 - Genre, Travail, Mobilités
Ce que l’anatomie-politique des corps cancéreux donne à voir du travail des femmes.
Michelle Paiva, doctorante en sociologie (CRESPPA-GTM)
Le cancer est une maladie chronique et la première cause de mortalité en France. Le poumon est en tête de
liste des tumeurs les plus meurtrières : 21 326 décès chez les hommes et 8 623 décès chez les femmes
(INCa, 2015). Par ailleurs, les études sur les inégalités sociales de santé constatent le désavantage des ouvriers
par rapport aux cadres face au cancer, conséquence de l’inégale sollicitation de leur corps au travail.
Or, que se passe-t-il si, au-delà de la position sociale, on s’intéressait à la relation entre genre et cancer ?
Alors que le cancer ronge indistinctement des corps d’hommes et de femmes, le statut qu’on lui accorde
semble cependant respecter des logiques genrées. Dans cette communication, nous allons tenter de montrer
que si la relation entre le travail réalisé par les hommes et leur cancer est difficile à établir, pour les
femmes, elle demeure souvent impensée. À partir de l’exemple du cancer du poumon et du cancer du sein,
nous allons tenter d’illustrer le fait que la distinction des organes atteints par le cancer, suit une anatomie aussi
biologique que politique, dans laquelle l’(in)visibilité du travail des femmes représente un enjeu majeur.
Le corps féminin à l’épreuve du travail en mer
Yvonne Guichard-Claudic, Maîtresse de conférence en sociologie à l’Université de Brest
La profession de marin est traditionnellement considérée comme masculine et le groupe professionnel s’est
historiquement construit comme sexué. Les différences physiologiques entre hommes et femmes et surtout les
représentations qui leur sont associées ont longtemps conduit à considérer la féminisation de cette profession
comme impensable. Désormais, cette féminisation varie selon les métiers mais l’hégémonie masculine reste très
marquée. Comment dès lors, les femmes « font-elles avec » un corps souvent considéré comme un frein ou un
obstacle à leur intégration professionnelle ? On abordera ici la question de la force physique, et de l’adoption
ou non des manières de faire masculines. On évoquera la neutralisation du corps sexué dans un espace restreint
où femmes et hommes se côtoient jour et nuit. On s’intéressera aussi au traitement juridique et institutionnel
de la grossesse et de la maternité. Au final, à travers le prisme du corps au travail, en mettant en perspective ce
qui change et ce qui résiste, on se demandera dans quelle mesure cette féminisation affecte l’ordre de genre. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
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"Corps, Travail et Genre" 3ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
LE LAY Stéphane, RENAHY Nicolas, DEJOURS Christophe, RIVOAL Haude
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Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Séance présidée par Haude Rivoal, doctorante en sociologie au CRESPPA-GTM et discutée par Nicolas Renahy, directeur de recherches en sociologie au CESAER
“Corps, travail et genre en psychodynamique du travail”
Christophe Dejours, professeur titualaire de la chaire de Psychanalyse-Santé-Travail au CNAM.
L’introduction du genre dans la théorie psychanalytique de la sexualité par Laplanche sera au départ de la
présentation. Mis à l’épreuve de la clinique du travail, le concept d’assignation dégagé par Laplanche peut
être étendu aux catégories de classe, genre, race. L’identité subjective qui se constitue dans l’enfance en
réponse à l’assignation peut être remaniée par l’expérience du travail. Si les tâches sont genrées par la division
sociale du travail, l’intelligence requise pour les accomplir ne semble pas l’être : l’intelligence au travail
mobilise en effet dans le corps des propriétés qui semblent échapper aux différences de sexe et de
genre. Le travail de production (poièsis) exige pourtant, dans l’ombre, un autre travail de soi sur soi (Arbeit)
qui se traduit par des remaniements du corps subjectif. Ces derniers sont parfois une ressource
pour remettre en cause la domination de genre, tant dans la vie sociale que dans l’économie amoureuse.
« Le corps en-jeu-x »
Stéphane Le Lay, sociologue associé à l’équipe “psychodynamique du travail et de l’action” - CNAM-Paris 5
L’observation attentive des transformations intervenues depuis plusieurs années dans divers champs professionnels
amène à poser sans relâche la question de la place du corps dans l’organisation du travail.
Le corps est un enjeu de pouvoir, on le sait depuis longtemps, puisqu’il est ce sans quoi aucun travail
ne saurait être engagé, aucune production réalisée, aucun capital – économique, culturel, social
– accumulé, pour soi ou par autrui. Le corps est « outillé » par nos dispositions sociales. Mais il est également
« instrumentalisé » par le jeu des rapports sociaux interpénétrés qui forment une configuration sociale
donnée. Or, quoi de mieux que le jeu pour le travail d’incorporation ? Jouer pour développer ses dispositions.
Jouer pour s’incorporer à l’organisation du travail. Jouer pour tenter de s’en arracher, et souffler un peu. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
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"Filiation, origine, parentalité" : Comment le rapport ministériel fut-il rendu public à l'EHESS?
/ 05-05-2015
/ Canal-u.fr
THERY Irène
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La sociologue Irène Théry, qui présidait le groupe de travail "Filiation, origines, parentalité" réuni à la demande de la ministre déléguée à la Famille, revient sur les difficultés politiques rencontrées pour la remise du rapport. Mot(s) clés libre(s) : filiation, Débat scientifique et politique, PMA, parenté, couple de même sexe
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"Vers une dénaturalisation du genre, de la sexualité et de la famille ?", semi-plénière avec la participation de Louise Dejeans, Éric Fassin et Irène Théry
/ 02-07-2015
/ Canal-u.fr
FASSIN Eric, THERY Irène
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Vers une dénaturalisation du genre, de la sexualité et de la famille ?
Coordination : Salima Amari (RT24, université Paris 8, CRESPPA-GTM) et Gilda Charrier (RT33, Université de Bretagne Occidentale, LABERS)
Intervenant.e.s :
- Louise Dejeans, Université Paris Descartes, CERLIS.
- Éric Fassin, Professeur, Université de Paris 8, LEGS : « Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre. Du PaCS au "mariage pour tous" »
- Irène Théry, directrice d’Études à l’EHESS, Centre Norbert Elias : « Les métamorphoses de l’institution de la parenté face aux deux formes de naturalisation de la famille »
Cette table ronde se propose d’interroger les conceptions de la famille aujourd’hui en France en termes de rapports sociaux de sexe et de genre à l’aune des débats publics lors du vote de la loi relative à l’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Dans quelle mesure le débat autour du mariage pour tous remet-il en cause la place constitutive de la différence des sexes dans le fondement de la famille ? Comment une telle conception redessine-t-elle le lien entre mariage et droits reproductifs ? Il paraît pertinent de porter une attention particulière à la diversité des modèles familiaux qu’auraient révélés et ramenés sur le devant de la scène publique les débats qui ont eu lieu. Il s’agira en outre de rendre compte des types de résistance, de dérogation à la norme dominante, dont relèvent ces modèles familiaux, ainsi que de la redéfinition de la famille qu’ils impliquent. Mot(s) clés libre(s) : homosexualité, sexualité, famille, genre, rapports sociaux de sexe (genre), dénaturalisation
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2001, l'odyssée d'Eros (entre monts et merveilles, répression et régression)
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 22-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
REYES Alina
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Nous vivons dans un monde pornographique (cf. l'étymologie du terme) dans le sens où il est soumis aux lois du marché, qui font du sexe, comme des autres secteurs de l'activité humaine, une grande industrie rentable. Tout se vend, tout est objet, à commencer par les corps. La société de consommation est aussi une société consommatrice de chair humaine, une sorte d'ogresse. Nous nous laissons aspirer par sa bouche parce qu'elle est aussi une image maternelle nourricière. Cette fuite en avant s'accomplit entre les deux pôles de la répression et de la régression, dans un fantasme de retour à la mère qui peut s'accompagner des émerveillements et des déboires d'Ulysse en chemin pour son foyer. Mot(s) clés libre(s) : érotisme, pornographie, prostitution, sexe, voyeurisme
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2015 - Cerveau, Sexe et Préjugés
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
/ Canal-u.fr
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Cycle : quand les scientifiques observent le sexe »
« Cerveau, Sexe et Préjugés »
par Catherine Vidal, Directrice de Recherche
Honoraire à l’Institut Pasteur de Paris :
Comment se fabriquent les filles et les garçons ?
Comment se forgent nos identités de femmes et d’hommes ?
La découverte de la « plasticité cérébrale » apporte un éclairage fondamental sur les mécanismes neurobiologiques de construction de nos identités sexuées, en interaction avec l’environnement social et culturel.
Rien n’est à jamais figé ni programmé dans le cerveau depuis la naissance. C’est une véritable révolution pour la compréhension de l’humain. Néanmoins, les préjugés qui font croire à un déterminisme biologique inné des différences d’aptitudes et de comportements entre les sexes sont encore vivaces. Une réflexion éthique s’impose : le risque est toujours bien présent de justifier l’ordre social par un ordre biologique, ouvrant la porte au sexisme, au racisme et à l’intolérance.
Catherine Vidal est neurobiologiste, directrice de recherche honoraire à l’Institut Pasteur de Paris. Elle travaille actuellement au Comité d’Éthique de l’Inserm où elle est co-responsable du groupe « Genre et Recherches en Santé ». Elle mène de front ses recherches et une réflexion sur les rapports entre science et société, concernant en particulier le déterminisme en biologie, le cerveau et le sexe. Elle est membre de l’Institut Émilie du Châtelet, de ONU Femmes France, du Laboratoire de l’Égalité, et co-directrice de la collection Égale à Égal (Belin). Mot(s) clés libre(s) : cerveau, égalité des sexes, préjugés, neurosciences, plasticité cérébrale, neuobiologie
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50ème Semaine Médicale de Lorraine Nancy 2015 : Différences du sevrage tabagique hommes (H) femmes (F) ?
/ 18-11-2015
/ Canal-u.fr
PEIFFER Gérard
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Titre : 50ème Semaine Médicale de Lorraine Nancy 2015 : Différences du sevrage tabagique hommes (H) femmes (F) ?
Intervenant : Dr Gérard PEIFFER
---- PROGRAMME Mercredi 18 Novembre ----
9h00
- 12h30 Séance
thématique de DPC
T0502
Femmes et addictions : quelles spécificités ?
Pr
F. PAILLE - Pr F. RAPHAËL - Dr G. PEIFFER
Dr
H. MARTINI - Pr A. MAHEUT BOSSER - Dr P. PISSOCHET
Mme
A. JACQUEMIN - Dr F. LIGIER - Dr S. VIENNET
Dr
C. HINGRAY - Mme C. ZAFFARONI
Résumé
Les
conduites addictives restent en France un problème majeur de santé
publique
et les femmes n’en sont pas exclues. Bien au contraire, elles
présentent
des spécificités qui doivent être prises en compte dans le repérage et
l’accompagnement.
C’est pourquoi nous proposons un séminaire de formation
sur
ce thème permettant : d’aborder les représentations et contre attitudes vis à
vis
des
conduites addictives des femmes, de comprendre les différences d’usage et
de
comportement, d’analyser les incidences pratiques sur l’accompagnement
et
le traitement.
Programme
*
Présentation du sujet - Histoire et culture
*
Représentations et contre attitudes aux différents âges.
Les
conséquences sur l’accès aux soins
*
Usages et comportements. Les différences s’organisent autour de
3
dimenstions (biologie, psychique, sociale et environnementale)
*
Accompagnement et traitement : Le réseau familial et social, Grossesse et TSO,
périnatalité
et parentalité, traumatisme et violence, précarité et tabac
14h30
- 18h00 Séance
thématique de DPC
T0601
Prescription et dispensation des orthèses : action concertée
Médecins,
Pharmaciens, Kinésithérapeutes.
Pr
B. FAIVRE - Dr R. THIRIAT
Dr J. CALLANQUIN - M. C. ISRAEL
Objectif
: - Savoir identifier la bonne orthèse répondant à la pathologie et à la
réducation
ultérieure
éventuelle
-
Savoir identifier les fonctions attendues de l’orthèse
-
Savoir trouver l’orthèse qui réponde à ces critères et notamment préserve la
qualité
de la rééducation
-
Savoir prescrire l’orthèse (médecin) ou l’appliquer (pharmacien) et donner les
conseils
de son port
Résumé
Donner
les moyens aux prescripteurs et aux dispensateurs d’identifier la bonne
orthèse
en fonction de la pathologie et de la réducation ultérieure éventuelle.
Programme
14h00
Accueil
14h00
- 14h30 Pré-TEST : QCM / QUIZZ
Analyses
de cas proposés par participants
14h30
- 15h00 Retour de quizz et échanges de pratiques
15h00
- 15h45 Conférence : Rappels des recommandations,
rappels
des orthèses et prises en charges
15h45
- 16h30 Présentations des problèmes et/ou mode de prise en charge
par
MG et Pharmaciens , ainsi que des
kinésithérapeutes
pour la rééducation
Pharmaciens
:
compréhension prescription, appel aux médecins, etc
Médecins
:
choix de l’orthèse
Kinésithérapeutes
:
difficulté de remobilisation du membre et de l’articulation
Débats
libres entre MG, Pharmaciens et kinésithérapeutes sur
cas
proposés par participants
16h30
- 17h00 Synthèses des indicateurs de la séance des MG et Pharmaciens
et
retours des débats, discussion
17h00
- 17h30 Post-TEST : QCM / QUIZZ
Analyses
de cas proposés par participants
Réalisation, production : Canal U/3S.
Tous droits réservés. Mot(s) clés libre(s) : femmes, Nancy, 2014, Semaine Médicale de Lorraine, SML, DPC, CHU, Université de Lorraine, DPC Lor – Santé U, UDL, cancer, colo-rectal, prostate, ovarien, sein, voyage en zone tropicale, l’hypertension artérielle, L’hygiène, les infections urinaires, sommeil, Migr, droits des femmes, hommes, différences entre sexe, sevrage, alcoolisme, différence, violences, alcool, dépendance, 2015
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Anthropologie de la famille
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 09-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
HERITIER Françoise
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"Parler de l'anthropologie de la famille nous confronte immédiatement au difficile problème de sa définition, ce qui peut paraître surprenant au commun des mortels que nous sommes, car comme le temps pour Saint-Augustin ; nous croyons tous savoir, d'expérience intime, ce que c'est. Il n'a pas été possible à ce jour d'en établir une définition qui ait valeur universelle alors même que la réalité de ce que ce terme recouvre se rencontre dans toutes les sociétés présentes et passées. Il est même avéré que le mode conjugal et monogamique que nous avons en tête, dans la mesure où il correspond à l'expérience vécue des sociétés occidentales, est le plus répandu. Mais il n'est pas le seul. L'expérience des sociétés qui non seulement admettent mais sont construites sur un principe de polygamie, polygynie ou polyandrie, montrent que la monogamie n'est pas un fait qui découle d'un ordre naturel. " Mot(s) clés libre(s) : clonage, contraception, exogamie, homosexualité, inceste, mariage, monogamie, PACS, procréation artificielle, religion musulmane, sexe
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Bases génétiques de la détermination du sexe
/ BioMedia-UPMC
/ 13-04-2010
/ Unisciel
Furelaud Gilles, Devos Nabila, Sabouret Amélie
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Tout corps humain contient 23 paires de chromosomes, portant les gènes, dans le noyau de chaque cellule. Ce bagage génétique provient en partie de la mère (23 chromosomes) et du père (23 chromosomes). La 23ème paire est différente selon le sexe : Les femmes héritent d'un chromosome X de chaque parent ; tandis que les hommes ont un chromosome Y provenant du père et un chromosome X de la mère. Les femmes sont donc XX et les hommes XY. Mot(s) clés libre(s) : génétique, sexe, caryotype, Cytogénétique
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