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“La camorra des consommateurs” : Benjamin lit-il Proust en sociologue ?
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
KAHN Robert, MACÉ Marielle
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Proust et les sciences sociales : allers-retours organisée par Marielle Macé et Anne SimonEHESS, 27 mars 2015, 9h-18h30Salle du Conseil, 190 avenue de France, 75013 ParisJournée organisée dans le cadre du projet « Arts, littérature et sciences sociales » célébrant les quarante ans de la création de l’EHESSProust, une ressource pour les sciences socialesRobert Kahn (Université de Rouen)« “La camorra des consommateurs” : Benjamin lit-il Proust en sociologue ? » Mot(s) clés libre(s) : Marcel Proust, sociologie de la culture, Walter Benjamin (1892-1940)
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Cinéma, Télévision : entre réalité et fiction
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
JOST François
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Tout le monde sait à peu près ce qu'est mentir. Chacun trace la frontière entre ce qu'il vit et ce qu'il invente. Même pour la fiction, qui prête à bien des discussions depuis quelques dizaines de siècles, il est possible de s'accorder sur une définition minimale comme « création, invention de choses imaginaires, irréelles » (Larousse 1996). D'où vient alors que, dès qu'intervient l'image, nos certitudes vacillent ? Les uns affirment sans ambages que les images mentent, les autres qu'elles sont manipulées, d'autres que, dès qu'il y a récit, il y a fiction. D'où vient la fiction, s'agissant de l'image animée ? De l'image elle-même ? De ses utilisateurs ? du récit ? Pour répondre à cette question, il faut interroger aussi bien les façons dont nous regardons les images que les croyances qui s'y rattachent. Dans un premier temps, de l'examen des divers sens que l'on donne au terme fiction depuis Platon se dégagent trois figures - l'imitateur, le menteur, la faussaire -, qui révèlent aussi trois façons pour les images d'être signes. Cette classification n'est pourtant pas qu'un premier pas pour comprendre comment réalité et la fiction s'entrecroisent sur nos écrans depuis quelques années : qu'il s'agisse de la retransmission télévisée en direct du 11 septembre, de Blair Witch ou, encore, de la télé-réalité, les fluctuations de la réception ont montré que les croyances jouent un rôle bien plus déterminant que les savoirs sur l'image dans son interprétation. Comment se structurent ces croyances, que visent directement les promesses que font au public les producteurs et les diffuseurs par le biais de la publicité et de la promotion ? Pour répondre à cette question, on se propose, dans un second temps, d'explorer les mondes de l'image qui construisent le terrain commun à la conception, la structuration et la réception des documents audiovisuels. Mot(s) clés libre(s) : communication visuelle, interprétation des images, perception des images, sémiotique et audiovisuel, sémiotique et cinéma, sociologie visuelle, télévision, théorie de la fiction, vérité et mensonge
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Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible : introduction / Christian Joachim
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
JOACHIM Christian
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Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible : introduction à la première thématique du colloque / Christian Joachim. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Mot(s) clés libre(s) : art contemporain (21e siècle), arts et sciences, arts visuels, création artistique (XXIe siècle), imagerie scientifique (influence), imagerie scientifique (réception), nanosciences, sociologie de l'art
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Paris, ville de riches? Les évolutions de la sociologie parisienne
/ UTLS - la suite
/ 07-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
JEAN-MARIE Audry
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Depuis un demi siècle, les recensements de population successifs montrent une augmentation continue des cadres dans la population de Paris, au détriment des ouvriers et des employés. Un seuil a été franchi avec le dernier recensement de 1999 : pour la première fois - et cela n'est vrai qu'à Paris et dans certaines banlieues cossues - le nombre de « cadres et de professions intellectuelles supérieures » (394 000) a dépassé celui des ouvriers et des employés réunis (392 000). Un risque se précise dans le long terme : celui d'une population aisée homogène qui étendrait son empire à tous les quartiers, réduisant le Paris populaire à ses franges périphériques. Paris deviendrait une ville de riches. Qu'on l'appelle ségrégation, embourgeoisement ou gentrification, cette tendance est à l'opposé des valeurs de mixité qui sont l'essence de la ville. Le scénario est-il écrit d'avance ? Oui si l'on s'en tient aux conditions qui déterminent aujourd'hui la valorisation de l'espace parisien : une situation de ville capitale au coeur d'une des grandes métropoles mondiales ; une évolution de la structure des emplois favorable aux cols blancs très qualifiés ; des évolutions immobilières favorables aux locataires les plus solvables et aux acquéreurs aisés ; un effet culturel de regain d'intérêt des ménages à hauts revenus pour les quartiers du centre et les anciens faubourgs. Pour tenter d'enrayer la machine à exclure ou freiner son rythme, il faut continuer à augmenter le nombre de logements sociaux dans la capitale mais aussi développer une politique ambitieuse d'aménagement du territoire régional. Mot(s) clés libre(s) : embourgeoisement, gentrification, Paris, ségrégation, sociologie urbaine, urbanisme
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Paris, ville de riches ? Les évolutions de la sociologie parisienne
/ UTLS - la suite
/ 07-11-2003
/ Canal-u.fr
JEAN-MARIE Audry
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Depuis un demi siècle, les recensements de population successifs montrent une augmentation continue des cadres dans la population de Paris, au détriment des ouvriers et des employés. Un seuil a été franchi avec le dernier recensement de 1999 : pour la première fois - et cela n'est vrai qu'à Paris et dans certaines banlieues cossues - le nombre de « cadres et de professions intellectuelles supérieures » (394 000) a dépassé celui des ouvriers et des employés réunis (392 000). Un risque se précise dans le long terme : celui d'une population aisée homogène qui étendrait son empire à tous les quartiers, réduisant le Paris populaire à ses franges périphériques. Paris deviendrait une ville de riches.
Qu'on l'appelle ségrégation, embourgeoisement ou gentrification, cette tendance est à l'opposé des valeurs de mixité qui sont l'essence de la ville. Le scénario est-il écrit d'avance ? Oui si l'on s'en tient aux conditions qui déterminent aujourd'hui la valorisation de l'espace parisien : une situation de ville capitale au coeur d'une des grandes métropoles mondiales ; une évolution de la structure des emplois favorable aux cols blancs très qualifiés ; des évolutions immobilières favorables aux locataires les plus solvables et aux acquéreurs aisés ; un effet culturel de regain d'intérêt des ménages à hauts revenus pour les quartiers du centre et les anciens faubourgs. Pour tenter d'enrayer la machine à exclure ou freiner son rythme, il faut continuer à augmenter le nombre de logements sociaux dans la capitale mais aussi développer une politique ambitieuse d'aménagement du territoire régional. Mot(s) clés libre(s) : urbanisme, sociologie urbaine, Paris, embourgeoisement, gentrification, ségrégation
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Naître fille ou garçon : trois siècles d’enquêtes
/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
JAISSON Marie, Brian Eric
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Marie Jaisson, sociologue, professeur des universités, Université Paris 13Éric Brian, historien des sciences, directeur d’études, École des hautes études en sciences socialesCompter les filles et les garçons à la naissance a préoccupé pendant plus de trois siècles nombre de savants. Diverses questions à ce sujet ont été agitées depuis 1680. Ces dénombrements sont-ils pertinents ? Que montrent-ils ? Comment les analyser ? Est-on dans le domaine du hasard ou dans celui de la nécessité ? Peut-on vraiment compter ? Quelles causes sont en jeu ? Autant de questions dont se sont emparées d’abord l’arithmétique politique, les sciences morales et l’histoire naturelle, et plus tard les statistiques, la biologie et la sociologie. La conférence donnera certaines des réponses qui y ont été formulées par des savants reconnus. On verra ainsi se transformer les analyses des comparaisons entre les nombres de filles et de garçons dans des disciplines changeantes jusqu’à celles qui nous sont aujourd’hui familières. Mot(s) clés libre(s) : démographie, analyse statistique, enquête, recherches en sociologie
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Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - A.Ivanovitch
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
IVANOVITCH Alexandra
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La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
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CIDMEF Libreville 2011 - Enseignement des Sciences Sociales dans les Facultés de Médecine.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 16-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
GUEYE Lamine
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XVIIIème Journées Universitaires Francophones de Pédagogie des Sciences de la Santé de la CIDMEF.3ème Congrès International Francophone de Pédagogie des Sciences de la Santé 16-19 avril 2011 Faculté de Médecine de Libreville (Gabon). Université des Sciences de la Santé.Titre : CIDMEF Libreville 2011 - Atelier : L’enseignement des Sciences Humaines et savoirs intégrés.Intervenant : Lamine GUEYE (Neurophysiologie - Dakar, Sénégal)Résumé : Atelier : Enseignement des Sciences Humaines et Savoirs Intégrés. Importance de l’enseignement des Sciences Sociales dans les Facultés de Médecine.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère - enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3S.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, CIDMEF Libreville 2011, enseignement, épilepsie, évaluation, hypertension, paludisme, santé publique, sociologie
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Comprendre les mondes sociaux : introduction / Michel Grossetti
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
GROSSETTI Michel
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Comprendre les mondes sociaux : introduction / Michel Grossetti. In "Comprendre les mondes sociaux 2014", colloque organisé par Le Labex Structuration des Mondes Sociaux (SMS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail. Toulouse, Centre de congrès Dominique Baudis, 7-9 avril 2014.Dans un monde devenu opaque et incertain, un moment historique de crise et de doute, les sciences sociales sont plus que jamais indispensables, non pour proposer des solutions toutes faites, ou une « grande théorie » qui offrirait une grille de lecture universelle, mais plus modestement pour partager leurs résultats, leurs démarches, leurs questionnements. Il y quelques décennies, on s’en remettait à des sciences sociales encore en construction pour décrypter le monde et ses évolutions. On parlait à l’époque de « société », de « système » ou de « structure ». Enthousiasmés par leurs théories encore neuves, les chercheurs n’hésitaient pas à se lancer dans des interprétations globales, des « grands récits », parfois contradictoires et insuffisamment fondés empiriquement, mais qui séduisaient de nombreux lecteurs, parfois guidaient des mouvements sociaux ou des choix politiques. Certaines de ces œuvres sont à présent des références incontournables, d’autres sont tombées dans l’oubli. Et puis, les temps ont changé, certaines utopies transformatrices ont perdu de leur séduction. D’un questionnement du social, les préoccupations se sont déplacées vers l’individu, sa réussite personnelle, son entourage proche. Les gouvernements se sont de plus en plus appuyés sur des formes mathématisées d’analyse économique en phase avec des postulats individualistes et les logiques supposées des marchés.Mais, dans le même temps, les sciences sociales ont poursuivi leur progression. Leurs méthodes se sont raffinées, les études se sont accumulées, les chercheurs ont mieux pris la mesure de la complexité de ce qu’ils ont appris à nommer plus prudemment qu’auparavant le «monde social » ou, encore plus prudemment, des « mondes sociaux », sans préjuger de l’organisation et de la cohérence de ce qu’ils observaient. Ils ont pu vérifier toutefois la justesse des intuitions qui sont à l’origine de leurs sciences : la vie sociale est plus qu’une somme d’activités individuelles, elle n’est pas réductible à un vaste marché, elle est faite de multiples liens, de solidarités, de normes, de formes sociales complexes dotées d’une certaine inertie. Elle est inscrite dans des processus historiques multiples et ancrée dans des lieux hétérogènes, irréductibles à un espace indifférencié et parfaitement fluide. Elle n’obéit pas à des lois similaires à celles de la physique : on ne peut ni la mettre en équation, ni produire sur elle des prévisions certaines. Mais elle n’est cependant pas dénuée de régularités d’ordres, de logiques, que l’on peut décrire, comprendre et analyser. On peut réfuter certaines interprétations ou certaines analyses et en défendre d’autres, sur la base de données empiriques et d’arguments logiques. Il faut pour cela un travail patient de collecte d’informations, de confrontation des analyses. C’est ce travail qui est effectué dans les laboratoires, partout dans le monde.A Toulouse, la recherche en sciences sociales est effectuée dans des unités de recherches qui comprennent plusieurs centaines de chercheurs en sociologie, anthropologie, géographie, histoire, économie, science politique, science de la communication. Ces chercheurs se sont dotés d’un outil commun, le « Laboratoire d’excellence » Structurations des mondes sociaux. Mot(s) clés libre(s) : sociologie (recherche)
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EEMIS Corte 2009 - Promenade philosophique en terre épidemiologique
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 26-07-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GREMY François
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EEMIS Corte 2009 - Promenade philosophique en terre épidémiologique.Résumé : Vol au dessus d'un nid de coucou : de l'éthique à l'épidémiologie en passant par l'écologie et les facteurs de risque.Intervenant : François GremySCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : EEMIS Corte 2009, épidémiologie, éthique, mortalité, sociologie, statistiques
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