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Adhésion entre l’eau et le carton
/ SEMM Lille1, UNISCIEL
/ 01-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BLONDEAU Jean-Marie, BONNEL Bernard, DESTRUN Gérard, MIKOLAJCZYK Bernard
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Ce sont les forces d’adhésion entre l’eau et le carton qui assurent l’équilibre d’un morceau de carton. Mot(s) clés libre(s) : adhésion, équilibre d’un solide mobile autour d’un axe, moment d'une force, tpe
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Au cœur des matériaux cristallins
/ Ecole des Mines d'Albi-Carmaux
/ 23-01-2009
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Lours Philippe
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Ce cours de science des matériaux a été conçu à l'Ecole des Mines d'Albi-Carmaux pour les élèves-ingénieur de 2ième année.
Il n'a pas d'autre ambition que d'introduire les principaux concepts de la science des matériaux utiles à l'ingénieur généraliste que nous formons. Il contribue par ailleurs au socle scientifique sur lequel seront construits de nombreux enseignements dédiés aux matériaux et proposés à nos élèves plus tard dans leur cursus, notamment au niveau des options de dernière année "Matériaux pour l'Aéronautique et le Spatial" et "Ingénierie des Matériaux".
Dans un premier temps, le cours traite de l'architecture et de la cohésion des solides, essentiellement cristallins, et de leur caractérisation cristallographique par diffraction des rayons X. Dans un second temps, les différents types de défauts présents dans les solides sont décrits en insistant particulièrement sur le rôle qu'ils jouent sur les propriétés d'usage. La constitution des alliages métalliques et les diagrammes de phases qui régissent les équilibres thermodynamiques sont ensuite présentés. Enfin, après avoir détaillé les bases des processus de diffusion à l'état solide, les transformations de phases, avec et sans diffusion, sont décrites.
Une grande part des micrographies, illustrations et vidéo proposées dans le document proviennent des travaux de recherche et d'expertise de l'auteur. Mot(s) clés libre(s) : génie mécanique, matériau, cohésion des solides, solides cristallins, caractérisation cristallographique, diffraction des rayons X, défauts cristallins, alliages métalliques, diagrammes de phases, transformations de phases
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Comment les révolutions de l'information et des communications ont-elles été possibles ?
/ Mission 2000 en France
/ 12-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
WEISBUCH Claude
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Les révolutions de l'information et des communications vont continuer à bouleverser tous les domaines de l'activité humaine. Ces révolutions sont nées du codage de l'information sous forme de paquets d'électrons ou de photons et de la capacité de manipuler et transmettre ces paquets d'électrons ou de photons de manière de plus en plus efficace et économique. À la base de cette capacité se trouvent les matériaux semi-conducteurs. Rien ne prédisposait ces matériaux à un tel destin : ils ont des propriétés " classiques " médiocres qui les rendent " commandables " : par exemple, leur comportement électrique a longtemps semblé erratique, car très sensible aux " impuretés ". Cette capacité à changer de conductivité électrique, devenue " contrôlée " par la compréhension physique des phénomènes et l'insertion locale d'impuretés chimiques, permet de commander le passage de courant par des électrodes. On a alors l'effet d'amplification du transistor, à la base de la manipulation électronique de l'information. La sensibilité des semi-conducteurs aux flux lumineux en fait aussi les détecteurs de photons dans les communications optiques, et le phénomène inverse d'émission lumineuse les rend incontournables comme sources de photons pour les télécommunications, et bientôt pour l'éclairage. Les progrès des composants et systèmes sont liés aux deux démarches simultanées d'intégration des éléments actifs sur un même support, la " puce ", et de miniaturisation. Une des immenses surprises a été le caractère " vertueux " de la miniaturisation : plus les composants sont petits, meilleur est leur fonctionnement ! On a pu ainsi gagner en trente-cinq ans simultanément plusieurs facteurs de 100 millions à 1 milliard, en termes de complexité des circuits, réduction de coût, fiabilité, rendement de fabrication. Le problème des limites physiques est cependant aujourd'hui posé : jusqu'où la miniaturisation peut-elle continuer ? Combien d'atomes faut-il pour faire un transistor qui fonctionne encore ? Y-a t'il d'autres matériaux que les semi-conducteurs qui permettraient d'aller au delà des limites physiques, ou encore d'autres moyens de coder l'information plus efficaces que les électrons ou les photons ? Ce sont les questions que se pose aujourd'hui le physicien, cherchant à mettre en difficulté un domaine d'activité immense qu'il a contribué à créer. Mot(s) clés libre(s) : circuit intégré, codage de l'information, conductivité électrique, matériau semi-conducteur, microélectronique, miniaturisation, physique quantique des solides, silicium, transistor
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Cristaux quantiques : Pourquoi l'hélium solide devient plus rigide quand il coule ?
/ Département de Physique, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 13-10-2010
/ Unisciel
Balibar Sébastien
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Une conférence de Sébastien Balibar, chercheur au Laboratoire de Physique Statistique
de l'École Normale Supérieure de Paris, présentée dans le cadre des séminaires du département de physique
de l'École Normale Supérieure de Lyon. Sébastien Balibar évoque de nombreux aspects de
la physique de l'hélium liquide (normal ou superfluide) et solide. Il présente quelques propriétés surprenantes des cristaux d'hélium 4, comme
la supersolidité. Mot(s) clés libre(s) : hélium, hélium liquide, superfluide, superfluidité, hélium solide, supersolidité, supersolide, basses températures
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De la mayonnaise aux avalanches : les comportements surprenants des fluides
complexes
/ Département de Physique, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 02-05-2007
/ Unisciel
Manneville Sébastien
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Une conférence de Sébastien Manneville, professeur à l'ENS Lyon.
Les lessives liquides, les mousses, les shampooings, les peintures, les boues ou
encore le béton sont des fluides « complexes ». En illustrant son propos par
quelques travaux et résultats récents, Sébastien Manneville répond à la question
"Comment coule un fluide complexe ?", question naturelle qui possède à la fois un
intérêt fondamental passionnant et une importance industrielle et commerciale
considérable. Mot(s) clés libre(s) : fluide, fluide complexe, matière molle, rhéologie, savon, mousse, liquide, solide, tensioactif, polymère, cristaux liquides, suspension, ségrégation, granulaire, sable, granulaire humide, colloïde, émulsion, agrégat, mayonnaise, vinaigrette, matériau vitreux, avalanche, coalescence, viscoélasticité, micelle, écoulement, écoulement cisaillé
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Détermination de centres d'inertie
/ Université Lille-I, Unisciel
/ 10-06-2009
/ Unisciel
Toubin Céline
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Détermination de centres d’inertie Mot(s) clés libre(s) : centres de masse, centre d’inertie, solide
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Disque en contact avec un plan ou avec un guide circulaire en mouvement
/ Université Lille-I, Unisciel
/ 10-06-2009
/ Unisciel
Toubin Céline
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Exercice d’entraînement : Disque en contact avec un plan ou avec un guide circulaire en mouvement. Mot(s) clés libre(s) : vitesse de glissement, contact entre 2 solides
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La chimie du solide à l'école de la nature
/ UTLS - la suite
/ 26-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LIVAGE Jacques
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Les verres et céramiques modernes sont fabriqués par chauffage à très haute température de précurseurs solides comme l'argile ou le sable. Pourtant, l'observation des processus naturels nous montre que depuis des centaines de millions d'années, les micro-organismes ont su créer de tels matériaux dans des conditions beaucoup plus douces. Ces processus de biominéralisation posent un véritable défi au chimiste du solide qui tente d'y répondre en développant des méthodes dites de "chimie douce". Suivant l'exemple des diatomées qui élaborent de fines architecture de verre à partir de la silice dissoute dans les océans, nous avons développé une chimie "sol-gel" qui permet de construire un réseau de silice à partir de précurseurs moléculaires en solution. Cette chimie de polymérisation inorganique débouche aujourd'hui sur de véritables applications industrielles. Compatible avec la chimie organique, elle permet l'élaboration d'hybrides organo-minéraux, véritables matériaux nanocomposites à l'échelle moléculaire. Les conditions de synthèse des verres de silice sont même suffisamment douces pour être compatible avec la vie. Elles permettent d'immobiliser des protéines, des anticorps et même des cellules vivantes au sein de matrices de silice. Cet exposé fera le point des résultats les plus récents en mettant plus particulièrement l'accent sur les applications biologiques des procédés sol-gel. Mot(s) clés libre(s) : biominéralisation, chimie douce, chimie du solide, diatomée, matériau composite, microporeux, morphogenèse chimique, polymérisation, synthèse, transformation de la matière, verre
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Lasers solides de puissance continus et impulsionnels : état de l'art et applications
/ Physique au Printemps 2010, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 17-03-2010
/ Unisciel
Georges Patrick
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Une conférence de Patrick Georges, chercheur au CNRS et responsable de l'équipe « Lasers et Biophotonique »
du Laboratoire Charles Fabry à l'Institut d'Optique Graduate School, présentée dans le cadre de "Physique au Printemps" 2010.
Une présentation du principe et des performances des lasers à solide et lasers à fibre
pompés par diodes laser de puissance. Illustrations par de très nombreuses applications. Mot(s) clés libre(s) : laser, laser solide, laser à fibre, diode laser, laser impulsionnel, cavité laser, laser visible, laser à disque mince
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Les alliages métalliques pour conditions extrêmes
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 07-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PINEAU André
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Les métaux et leurs alliages ont toujours joué un rôle primordial dans le développement de nos sociétés. Ils ont toujours contribué à la résolution de bon nombre de problèmes de société incontournables. Plutôt que de faire un inventaire, on s'efforcera de montrer les diverses étapes à franchir dans le développement d'un alliage métallique destiné à remplir une fonction donnée. On illustrera également les développements des grandes disciplines (Chimie, Physique, Mécanique, Simulation Numérique) qui ont largement contribué à la métallurgie. A cet effet, on rappellera tout d'abord les spécificités physiques des métaux et alliages métalliques. On montrera à ce propos comment il a été possible de profiter de certains traits spécifiques favorables et de surmonter quelques handicaps, comme la densité. Parmi les situations extrêmes envisagées, on se restreindra à celles qui font appel à la résistance mécanique des métaux et des alliages métalliques en traitant successivement le cas des très basses températures (transport de gaz liquéfiés), des très grandes vitesses de déformation (" crash " automobile), des températures élevées (turbines aéronautiques) et celui de l'irradiation aux neutrons (réacteurs électronucléaires). On conclura en envisageant un certain nombre d'applications pour lesquelles le développement de nouveaux alliages métalliques reste un verrou technologique et pose de réels défis scientifiques et techniques. Mot(s) clés libre(s) : alliage métallique, déformation, irradiation neutronique, métallurgie, physique du solide, plasticité, résistance mécanique, science des matériaux, structure granulaire, température élevée, très basse température
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