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Mots-clefs > U > urbanisme
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Le Paris de Haussmann

/ UTLS - la suite / 26-10-2003 / Canal-U - OAI Archive
CARMONA Michel
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C'est en 1853 que Napoléon III nomme à l'Hôtel de Ville un administrateur qui a déjà prouvé son efficacité dans plusieurs préfectures, à Bordeaux en particulier, et dont le nom va devenir le symbole de la modernisation de Paris. En seize ans à peine, Haussmann mène à bien la gigantesque mission que lui a confiée l'empereur : transformer une capitale trop indocile et en faire une métropole prestigieuse. Paris restait une ville d'aspect médiéval, où la circulation se faisait difficilement dans des rues étroites, mal pavées, transformées en cloaques à la moindre pluie ; l'eau potable comme les égouts sont rares. L'opinion publique réclame des grands travaux. Le nouveau préfet de la Seine se révèle vite l'homme de la situation. Alors que commence la grande fête impériale, des dizaines de chantiers s'ouvrent dans la capitale. On détruit des milliers de maisons, on perce de larges boulevards rectilignes le long desquels s'élèvent des immeubles bourgeois, et l'on construit des mairies, des théâtres, des églises, mais aussi des jardins publics, des conduites d'eau et de gaz. Les moyens ? D'abord, une grande science administrative chez Haussmann, travailleur infatigable, sachant stimuler ses collaborateurs, architectes, ingénieurs, techniciens, employés, tous de grande valeur et dévoués à leur tâche. Ensuite, des moyens financiers à la hauteur des ambitions, grâce à un large recours à l'emprunt, une pratique nouvelle à l'époque pour financer les travaux de transformation urbaine. Enfin, l'appui jamais démenti de Napoléon III, qui est l'âme et l'inspirateur premier des grands travaux. Energique, autoritaire, cynique, pas toujours très regardant sur les moyens, Haussmann, qui réalise en 1860 l'extension de Paris jusqu'à ses limites d'aujourd'hui (la capitale passe de 12 à 20 arrondissements, qui reçoivent leurs délimitations actuelles), fait bientôt l'unanimité contre lui. Le climat de spéculation et d'affairisme qui entoure ses travaux lui vaut le surnom de Haussmann Pacha. Certains lui reprochent de chasser les ouvriers et les pauvres, d'autres de ne pas se soucier du patrimoine architectural. Tous s'accordent à critiquer le coût pharaonique des grands travaux, qui, en s'amplifiant et en s'éternisant, donnent l'impression que Paris court à l'abîme. Aux premiers jours de janvier 1870, Napoléon III finit par sacrifier son préfet de la Seine. Mais l'oeuvre de Haussmann se poursuit après lui. Ses collaborateurs, restés aux commandes, continuent d'haussmanniser Paris. Et les nouveaux chefs de la Troisième République, qui l'ont durement attaqué sous l'Empire, lui rendent désormais hommage, tel Jules Simon, hier son ennemi, qui déclare à présent : « Peu nous importe aujourd'hui que les comptes de M. Haussmann aient été fantastiques. Il avait entrepris de faire de Paris une ville magnifique et il y a complètement réussi… Son oeuvre était au moins aussi fantastique que ses comptes. »
Mot(s) clés libre(s) : Georges Eugène Haussmann (1809-1891), Paris (administration), Paris (grands travaux), urbanisme (france)
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Le redéveloppement urbain de Mission Bay à San Francisco

/ Bruno BASTARD, UOH - Université Ouverte des Humanités, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 13-07-2006 / Canal-U - OAI Archive
LERICHE Frédéric, VIDAL Franck
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L'histoire du quartier de Mission Bay à San Francisco est révélatrice des enjeux politiques économiques et sociaux du développement urbain aux Etats-Unis. Au-delà des intérêts des différents lobbys engagés dans le réaménagement d'un secteur urbain en friche (parmi les plus chères au monde !), se dessinent des politiques foncières et des plans d'aménagements successifs où les petites histoires ont rejoint la grande. Comment expliquer qu'au coeur de San Francisco un tel trésor foncier soit resté en friche pendant plus de 20 ans ? (Entretien enregistré le 13 juillet 2006)GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et post-production : Bruno BASTARD - Cadreur : Nathalie MICHAUD - Production et moyens techniques : CAM, Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09
Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, baie de san francisco (californie), économie urbaine, friches urbaines, politique urbaine, réhabilitation urbaine, urbanisme, villes
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Le rôle du logement dans la structuration du Nord Est parisien - 2/4

/ 08-11-2011 / Canal-u.fr
VOLDMAN Danièle
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La création en 1915 de l’Office départemental d’habitations à bon marché de la Seine est à l’origine de la construction d’un grand nombre de logements destinés aux classes populaires. Mais cet organisme n’a pas seulement été un grand constructeur. Ses membres, longtemps recrutés parmi les personnalités réformatrices et de gauche, avaient une pensée du territoire et de l’aménagement de la région parisienne. Tout au long du siècle, la création de cités-jardins, les projets de réseaux de transport, l’attention au rapport entre le lieu d’habitation et celui du travail, ont donné aux promoteurs du logement social un rôle de structuration dans cette portion du territoire francilien.Toutes les conférences Campus Condorcet
Mot(s) clés libre(s) : urbanisme, Bassin Parisien, logement social, développement territorial
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Les relations Paris-banlieue à l'ère des régions urbaines

/ UTLS - la suite / 25-10-2003 / Canal-U - OAI Archive
BECKOUCHE Pierre
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Introduction. L'ère des régions urbaines La révolution de la mobilité et des transports change les territoires en profondeurs. Les villes, particulièrement les métropoles dynamiques et attractives, redéploient leurs hommes, leurs équipements et leurs activités sur des territoires plus vastes, qui dépassent les délimitations institutionnelles traditionnelles de la « ville ». Dans tous les pays, il faut désormais raisonner en terme de vastes régions urbaines. 1. Etalement urbain et fragmentation institutionnelle : le cas parisien La fragmentation institutionnelle - particulièrement communale - propre à la France, se vérifie bien entendu en région parisienne. Cela complique le passage à une gestion intégrée de l'espace urbain. Elle est accentuée par l'ancienneté et la dureté de la séparation entre Paris et sa banlieue. 2. Les éléments de discontinuité entre Paris et sa banlieue Rappel des repères historiques : le rejet de l'activité ouvrière en périphérie ; les choix du système de transport de la fin du XIXème siècle (métro) ; le découpage départemental des années 1960 entre Paris et banlieue rouge. Epoque actuelle : persistance de la coupure urbaine du périphérique ; persistance des effets institutionnels du découpage départemental ; concurrence entre Paris et banlieue pour l'attraction des entreprises, des centres commerciaux et des grands équipements publics. 3. Les éléments d'intégration Le système de transport ; le desserrement des activités économiques parisienne par-delà le périphérique ; la conquête de la proche banlieue par les classes bourgeoises ; la tradition d'une planification et d'un aménagement menés à l'échelle régionale (Schéma directeur d'Ile-de-France). 4. La nouvelle donne de l'aménagement La revalorisation de la zone dense (Paris plus proche couronne) depuis une dizaine d'années. L'ouverture des mairies de Paris et de proche couronne ; les projets d'aménagement des portes de Paris.
Mot(s) clés libre(s) : banlieues, croissance urbaine, géographie urbaine, paris (france), politique urbaine, transports urbains, urbanisme
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Les rythmes urbains de la ville à la non-ville

/ Mission 2000 en France / 19-04-2000 / Canal-U - OAI Archive
MONGIN Olivier
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Ce thème est une invitation à spécifier certains caractères propres à la ville et à mettre en scène des évolutions qui donnent lieu à l'hypothèse de la fin de la ville. S'interroger sur les rythmes urbains permet de mieux saisir la nature de la ville et de prendre en considération les rythmes inédits du monde post-urbain qui est en train de se dessiner. Comment se présente dans ce contexte le discours relatif à l'ordre urbain et à la ville traditionnellement liée à la notion d'urbanité ? Un premier discours renvoie à un savoir global, celui de l'urbaniste, de l'ingénieur, alors qu'un second discours évoque plutôt des fictions, une poétique. Ou bien l'on valorise une approche macroscopique, celle qui associe l'urbain à un plan et à une maquette, celle qui valorise le dessin et le sens de la vue et l'art de l'ingénieur. Ou bien l'on met en avant un imaginaire de la ville, celui des passants, des vagabonds, des passages, un imaginaire qui se confond avec la posture du créateur, du poète et de l'artiste. Ces deux approches, la première marquée par le développement technologique et économique est perçue comme progressiste, la seconde renvoyant à une poétique de caractère nostalgique, ont sous-tendu la grande exposition de Beaubourg de 1994 sur la Ville (Art et Architecture en Europe, 1870- 1993) au sein de laquelle coexistaient, les artistes (écrivains, photographes, cinéastes), les architectes, les ingénieurs et les urbanistes. La ville des artistes et la ville des ingénieurs- urbanistes ? Y a t-il là une opposition insurmontable entre celui qui sent la ville à travers la déambulation subjective qu'elle permet et celui qui réduit la ville à une maquette qu'il dessine objectivement en se mettant à distance. L'un s'aventure dans la ville de l'intérieur, l'autre l'imagine de l'extérieur.
Mot(s) clés libre(s) : géographie urbaine, lieux imaginaires, maquettes (architecture), projets d’urbanisme, urbanisme, villes
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Les seuils de Paris : des fortifications au périphérique

/ UTLS - la suite / 28-10-2003 / Canal-U - OAI Archive
COHEN Jean-Louis
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Jean-Louis Cohen retrace ici l'histoire de l'anneau de Paris, véritable scène architecturale. En 1840, une enceinte est construite autour de Paris, l'enceinte dite de Thiers. Depuis, les projets se sont succédés pour remplacer cette enceinte. Pourquoi cette ceinture? Que signifie-t-elle?
Mot(s) clés libre(s) : conception et construction, enceinte de thiers (paris), enceintes, fortifications, périphériques, routes de ceinture, urbanisme
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Les ventres de Paris : géographie de l'alimentation à Paris

/ UTLS - la suite / 29-10-2003 / Canal-U - OAI Archive
CHEMLA Guy
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Malgré ses énormes besoins, Paris, capitale protégée, n'a, à l'exception de quelques périodes difficiles, que rarement souffert d'une pénurie de produits alimentaires. Très tôt, le marché des Halles Centrales a pu lui fournir l'essentiel des produits nécessaires à l'approvisionnement des Parisiens. Modernisé à plusieurs reprises il a un temps été complété, au nord-Est de la capitale, par un marché aux bestiaux et un marché de gros des produits carnés qui ont fonctionné jusqu'à la charnière des années 60/70. C'est ensuite le Marché d'Intérêt National de Paris-Rungis, premier marché de produits frais du monde, qui a pris le relais pour satisfaire aux besoins alimentaires de l'ensemble de l'agglomération parisienne. Durant toute cette période, les modes de consommation et d'approvisionnement des Parisiens ont progressivement évolué, passant d'un recours préférentiel au commerce traditionnel à celui de la grande distribution, ce qui a eu un fort impact sur l'aménagement de la région Ile-de-France.
Mot(s) clés libre(s) : aliments, approvisionnement, magasins d'alimentation, marchés, paris (france), urbanisme
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Les villes en Chine

/ UTLS - la suite / 09-01-2003 / Canal-U - OAI Archive
GED Françoise
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En une décennie, la population urbaine chinoise a augmenté de 10% environ. Au regard d'une population globale évaluée à 1,3 milliard de personnes, cela revient à considérer que le double de la population de la France est devenue citadine en une dizaine d'années. L'impact sur le territoire est considérable, qu'il s'agisse des centres anciens, disparus ou en voie de l'être, des modes de vie, des mutations sociales et économiques des années 1990 qui ont transformé en biens marchands les prestations sociales du régime maoïste, en matière de santé, d'éducation, de logement notamment.Quels principes ont régi cette urbanisation forte et rapide ? La civilisation chinoise est par ailleurs célèbre pour la tradition urbaine qui servit de modèle à la construction de nombreuses capitales en Chine et jusqu'au Japon, ou encore par la déclinaison de modèles d'habitations, véritables entités urbaines au coeur des cités marchandes. Quelle considération a-t-on pour ce patrimoine hors pair et peut-on véritablement parler d'une stratégie de protection, face à la pression spéculative ou à la montée du tourisme intérieur ?
Mot(s) clés libre(s) : chine, histoire, politique urbaine, quartiers anciens, spéculation financière, urbanisation, urbanisme, villes, villes (croissance)
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/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 06-10-2011 / Canal-U - OAI Archive
GALSTER George
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Mot(s) clés libre(s) : diversité sociale, mixité sociale, politique du logement, ségrégation urbaine, urbanisme (aspect social)
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Mourir à Tokyo / Natacha Aveline

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 01-01-1999 / Canal-U - OAI Archive
AVELINE Natacha
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La bulle foncière des années 1985-1990 a profondément modifié le visage de Tokyo. Une bonne partie du tissu pavillonnaire s’est brutalement verticalisé pour donner à la capitale nippone l’allure d’une capitale mondiale. Pris dans la tourmente, les cimetières ont également connu des mutations, parfois même assez spectaculaires. Reste t-il une place pour les cimetières dans la capitale nippone, considérant les fortes contraintes foncières auxquelles elle est soumise ?Le film Mourir à Tokyo témoigne de la résistance opiniâtre des espaces de la mort en dépit de l'explosion urbaine et des mutations, parfois radicales, qui les affectent. L'éclatement du modèle rural de la tombe familiale au profit de tombes individuelles a accru la demande d'emplacements funéraires, rendant ce marché très lucratif. Celui-ci fonctionne désormais selon des logiques très proches des marchés immobiliers, d'où l'intervention très remarquée des sociétés immobilières, en particulier dans deux domaines : l'aménagement de grands cimetières privés en banlieue et l'assistance technique auprès des communautés bouddhiques pour l'aménagement de nouveaux espaces funéraires dans l'enceinte de leurs temples.Version japonaise sous-titrée en français.
Mot(s) clés libre(s) : cimetières, croissance urbaine, économie urbaine, spéculation foncière, Tokyo (Japon), urbanisme, utilisation du sol
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