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Benoît TUDOUX (LISST-CNRS) : "De la réutilisation des données en sciences humaines et sociales : le cas des données d'enquêtes"
/ Canal-u.fr
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Intervention à la journée d'étude "Données en partage : enjeux et
acteurs des données de la recherche aujourd’hui", organisée par Médiad’Oc, l’Observatoire Midi-Pyrénées et l'URFIST de Toulouse à la Maison de la Recherche et de la Valorisation de Toulouse le 15 juin 2015. Mot(s) clés libre(s) : Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Données de la recherche, Journée d'étude
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Christine GASPIN (MIAT, INRA) : "Les données de la recherche dans le domaine des sciences du vivant : évolution et perspectives à la lumière des nouvelles technologies du numérique et d'exploration du Vivant"
/ Canal-u.fr
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Intervention à la journée d'étude "Données en partage : enjeux et
acteurs des données de la recherche aujourd’hui", organisée par Médiad’Oc, l’Observatoire Midi-Pyrénées et l'URFIST de Toulouse à la Maison de la Recherche et de la Valorisation de Toulouse le 15 juin 2015. Mot(s) clés libre(s) : Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Données de la recherche, Journée d'étude
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Christine GASPIN (MIAT, INRA), Frédéric PALETOU (IRAP/OV-GSO, OMP) : Échanges avec le public
/ Canal-u.fr
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Interventions à la journée d'étude "Données en partage : enjeux et
acteurs des données de la recherche aujourd’hui", organisée par Médiad’Oc, l’Observatoire Midi-Pyrénées et l'URFIST de Toulouse à la Maison de la Recherche et de la Valorisation de Toulouse le 15 juin 2015. Mot(s) clés libre(s) : Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Données de la recherche, Journée d'étude
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Comment de jeunes élèves apprennent à construire leur parole de lecteur / Sophie David
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DAVID Sophie
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Entre singularité et altérité : comment de jeunes élèves apprennent à construire leur parole de lecteur / Sophie David. L’acte de lecture se pose en réception, ce qui suppose pour le sujet repli vers une intériorité qui ne se laisse pas forcément dévoiler. Mais ce serait un leurre de s’en tenir à cette conception car la lecture est aussi projection (de soi dans le texte) et distanciation (de soi face aux effets du texte), autant de signes de la singularité du lecteur.À l’inverse, le cadre de l’école impose, dans un processus d’élaboration collective des compétences, la présence et l’écoute de l’autre dans sa différence et sa diversité.Comment concilier ces deux mouvements dans la mise en œuvre scolaire d’une lecture littéraire ? Comment les poser de manière dialectique plutôt qu’antagoniste ? Pour quelles visées ? Pour aboutir à quel texte ?Nous analyserons dans ce sens la mise en œuvre d’un travail mené en classe de sixième où il s’agira, à la fois, de considérer la parole subjective de l’élève et sa mise en relation au sein d’une communauté d’interprétation, dans un jeu de constructions interactives.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : lecture (aspect psychologique), lecture (pédagogie), lecture (subjectivité), lecture littéraire, livres et lecture, réception des oeuvres
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Du texte du lecteur élève, de celui du maître... /Jean-Louis Dumortier, Micheline Dispy
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DUMORTIER Jean-Louis, DISPY Micheline
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Du texte du lecteur élève, de celui du lecteur maître et de quelques problèmes qu’ils posent au didacticien /Jean-Louis Dumortier, Micheline Dispy. Soit une œuvre littéraire, un maître et des élèves. Le « texte du lecteur maître », c’est le modèle mental que le professeur a élaboré, à partir du texte de cette œuvre, en vue d’enseigner quelque chose, ou, plus fréquemment, c’est le modèle mental qu’il a élaboré à partir du texte en question et de divers discours (du commentaire savant au questionnaire pédagogique) s’y rapportant. Le « texte du lecteur élève » est un modèle mental moins lourd de sédiment métatexuel que le « texte du lecteur maître ». S’ouvre alors, pour l’enseignant, une alternative. Soit il prend des initiatives visant à réduire l’écart entre l’œuvre telle qu’il la comprend et l’œuvre telle qu’il pense que peuvent la comprendre la plupart de ses élèves : dans ce cas, il s’expose au danger de coucher la compréhension des élèves sur le lit de Procuste de sa propre production de sens. Soit, conscient de ce danger-là, doutant que, dans l’entreprise d’imposer d’entrée de jeu une démarche de lecteur expert, les chances de gain soient supérieures aux risques de perte, il s’accommode du fait que les élèves et lui-même n’ont pas lu (tout à fait) la même œuvre. Dans ce cas, il prête attention au « texte du lecteur élève » -de chaque lecteur élève- et il s’expose au danger du babélisme ou à celui de l’enfermement dans un discours « premier » qui limite les occasions de progrès et laisse sceptique quant aux bénéfices de la scolarisation. L’alternative est donc un dilemme : ce que l’on peut gagner d’un côté est indissociable de ce que l’on s’expose à perdre de l’autre. Envisageons cette branche du dilemme où le maître met sous le boisseau son « texte » personnel pour prêter attention au « texte du lecteur élève ». Surgit un double problème. Comment faire pour rendre communicable le modèle mental élaboré par chaque individu à partir de la chaîne des mots forgée par l’auteur. Comment faire pour organiser des échanges fructueux autour des « textes des lecteurs élèves » ? Nous émettons l’hypothèse que toutes les procédures ne se valent pas. Nous en expérimenterons donc plusieurs et feront part des résultats. Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008.>> Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque.> Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : lecture (didactique), lecture (méthode pédagogique), lecture littéraire, littérature (appréciation), littérature et enseignement, livres et lecture, réception des oeuvres
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Écriture, relecture : les métamorphoses du texte du lecteur engagé / Marina Arias-Vikhil
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ARIAS-VIKHIL Marina
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L’écriture comme relecture : les métamorphoses du texte du lecteur engagé / Marina Arias-VikhilDans l’univers aragonien le lecteur est un miroir qui renvoie au poète sa propre image. « Nous utilisons les livres comme des miroirs qui nous renvoient notre réflexion » écrit Aragon dans la postface de son roman "La Mise à mort". Si Sartre comprend la lecture comme une rencontre dramatique de deux libertés dans l’espace de l’œuvre qui souvent se présentait sous une forme de théorème à prouver ou de problème à résoudre, Aragon entraîne son lecteur dans un jeu de reflets de miroir dans son roman "La Mise à mort". Il tente de séduire le lecteur en créant en même temps l’image de l’auteur évolutive, à contours dédoublés, non focalisée afin de suggérer l’idée de la liberté de l’auteur insaisissable et insoumis au jugement du lecteur. Lecteur comme miroir fidèle de l’auteur, lecteur qui le suit dans toutes ses divagations et dont l’esprit critique est détourné, devient un engagé de l’auteur qui reste à son tour engagé. Dans cet esprit on se propose d’observer comment Aragon devient lecteur de ses propres textes : en nous basant sur l’analyse du texte du roman La Mise à mort" (1965) , notamment de l’épisode concernant le voyage à Moscou d’Aragon en été de 1936, nous essayons de démontrer que la narration d’Aragon, où l’écrivain raconte l’histoire de la mort et de l’enterrement de Gorki, représente la relecture de ses textes écrits bien avant "Les jours de Gorki" (1936) et "Les jeunes gens" (1955). La figure de Gorki permet à Aragon de formuler le problème de son engagement qui reste au centre de sa réflexion sous différents aspects. Les métamorphoses de cet épisode, recréé plusieurs fois, ne finissent pas en 1965 : c’est encore en 1977, dans sa préface à "L'Œuvre poétique", qu’Aragon nous offre une nouvelle relecture de ce récit qui démontre que la dernière version est étroitement liée au désengagement politique du poète dans les années 70.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, engagement politique, lecture (subjectivité), livres et lecture, Louis Aragon (1897-1982), Louis Aragon (La mise à mort), réception des oeuvres
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Emballements, rumeurs, infos : du vrai, du faux, et du virtuel
/ Canal-u.fr
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Pascal Froissart, enseignant-chercheur en sciences de l’information, Université de Paris 8 - Vincennes - Saint-Denis
Sans doute la rumeur a-t-elle existé de tout temps ; pourtant, les théories sur la rumeur n’apparaissent étrangement qu’au début du XXe siècle. De même, si les emballements médiatiques sont aussi vieux que les médias, ils ne sont « nommés » que depuis le début du XXIe siècle. Se pourrait-il que ces notions, si faciles à manipuler, si courantes dans le vocabulaire, ne relèvent pas seulement des fonctionnements particuliers de nos sociétés médiatiques, mais qu’elles recèlent des a priori et des préconceptions liés à notre manière de voir l’information, les médias et la société ? Le pessimisme contemporain qui entoure notre vision de la société peut-il se révéler dans la description de symptômes supposés du mal moderne ? Mot(s) clés libre(s) : rumeurs, média, information
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EMOIS Nancy 2011 - Alimentation d’un registre épidémiologique de pédiatrie
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BAYAT Sahar
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Alimentation d’un registre épidémiologique de pédiatrie. Comparaison d’une recherche plein texte sur le dossier médical versus PMSI.Résumé : L’alimentation des registres épidémiologiques repose sur un recueil manuel de l’information. Avec le développement des SIH apparaît la possibilité d’alimenter semi automatiquement ces registres à partir des dossiers patients informatisés. Cependant, les données médicales numériques sont encore largement en plein texte. Nous démontrons l’intérêt d’utiliser ces sources de données non structurées, pour l’alimentation du registre breton des malformations congénitales. Nous comparons notre méthode au PMSI.Méthode : Le système repose sur un entrepôt de documents et de données biocliniques associé à un système de recherche d’information. La recherche est basée sur des mots clefs décrivant les pathologies « spina bifida » et « épi/hypospadias ». Un enrichissement sémantique avec la terminologie Snomed internationale a été effectué. Les requêtes PMSI sont basées sur les codes des deux pathologies. Les requêtes concernaient une période identique, en excluant pour la comparaison avec le PMSI les consultations externes.Résultats : La population d’intérêt comptait 6620 patients (16 512 comptes rendus). La meilleure requête plein texte identifie pour spina : 14 cas (dont 11 vrais positifs (précision 78,5%)) et pour Epi/Hypospadias 116 cas (dont 102 vrais positifs (précision 87 ,9%)). En excluant les consultations, le PMSI repère pour spina : 6 cas (dont 5 VP) versus 10 cas pour le plein-texte (dont 8 VP) avec une couverture plein texte/PMSI=83%. Pour hypospadias, le PMSI retrouve 88 cas (dont 87 VP), couverture plein-texte/PMSI=96,5%. Pour les deux pathologies, le plein-texte a identifié, à partir des consultations, 22 cas (dont 15 VP). Aucun gain n’est constaté avec l’enrichissement sémantique. Les FP étaient dus au contexte (ex : antécédent familial).Discussion/Conclusion : Le système démontre un excellent recouvrement du PMSI. Il était impossible de se comparer aux données du registre puisque celui-ci n’existait pas encore. L’étape ultérieure sera de le faire. D’autre part le système a montré son intérêt pour repérer des cas au-delà du PMSI, dans les courriers de consultation (non utilisé dans le codage).Intervenant : BAYAT Sahar (Unité Inserm U936, IFR 140, Faculté de Médecine, Université de Rennes 1, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : PMSI et épidémiologie. Modérateurs : V. GILLERON (CHU de Bordeaux), E. SAULEAU (CHU de Strasbourg).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : codage, EMOIS Nancy 2011, épidémiologie, indexation, pédiatrie, PMSI, registre, SIH, système d'information hospitalier
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Enseignement de la littérature au secondaire au Burundi : l'élève lecteur / Mechior Ntahonkirye
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
NTAHONKIRIYE Melchior
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L’enseignement de la littérature au secondaire au Burundi : quelle place pour l’élève lecteur ? / Mechior Ntahonkirye. Nourris d’un imaginaire collectif plutôt raconté que graphisé, les enseignants et les élèves burundais de l’enseignement secondaire confrontés à la littérature écrite y voient davantage un apprentissage neutre, objectif et détaché plutôt qu’un espace de projection fictionnelle personnelle et intime. Dans un tel contexte, l’œuvre littéraire ne donne pas suffisamment lieu à ce que Langlade et Fourtanier (2007) appellent « l’activité fictionnalisante » du lecteur, mais à une exploration de nature référentielle de l’univers décrit par la fiction.Cette hypothèse est confortée par le fait que la tradition scolaire qui débute avec la colonisation du pays au 20ème siècle, les programmes de littérature ainsi que les méthodes d’enseignement ont toujours considéré le français comme une discipline comme les autres, la littérature apparaissant comme un simple support de l’apprentissage des formes de la langue. Chez l’élève, ce n’est pas l’univers fictionnel suscité par l’œuvre littéraire qui est sollicité, mais sa capacité à explorer passivement l’histoire racontée et à s’approprier, au meilleur des cas, les subtilités formelles induites par l’œuvre.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : écriture (méthode d'apprentissage), enseignement de la littérature (Burundi), français (langue), lecture (didactique), lecture (subjectivité)
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Entre posture et imposture du lecteur : sur le fonctionnement symbolique / François Quet
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
QUET François
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L’exemplification est l’un des symptômes de l’esthétique (Goodman, 1998) : appeler certaines propriétés de l’œuvre à fonctionner symboliquement, c’est inviter à extraire de la fable une thèse (Suleiman, 1983), des valeurs (Jouve, 2001 ; Dufays, 2004). La sélection des signes qui permet la lecture allégorique renvoie à une expertise et à un libre arbitre qui s’exercent de façon contradictoire au sein des communautés interprétatives (Fish, 2007). François Quet essaie de définir ici quelques enjeux de la situation didactique : - Quels partages entre discours d’experts et discours d’amateurs ? si la « pluralisation des signifiés » (Starobinski, 1970) appartient de fait à la doxa didactique, de fait qu’en est-il du statut, ou de la légitimité, des textes et des lectures dans l’enseignement ?- Qu’est-ce qui est enseignable du fonctionnement symbolique ? Puisque c’est ici que s’origine le discours interprétatif, comment faire la part du savoir, de la technique, ou du positionnement institutionnel et discursif ? - Quelle est la place enfin de la production « symbolique » dans le tissage évaluatif (Dufays, 2000) que chacun instaure au cours de la lecture ?Intervention de François Quet faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : littérature (didactique), livres et lecture, réception des oeuvres, situation pédagogique
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