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USING GENERAL RELATIVITY TO STUDY CONDENSED MATTER
/ Jean MOUETTE
/ 22-03-2013
/ Canal-u.fr
HOROWITZ Gary
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It has recently been shown that in addition to
describing black holes, gravitational waves, and other gravitational
phenomena, general relativity can also describe aspects of
nongravitational physics including condensed matter. This is a result of
a remarkable gauge/gravity duality that has emerged from string theory.
I will explain this surprising development and illustrate it by showing
how general relativity can reproduce aspects of superconductivity. It
can even reproduce novel aspects of the mysterious high temperature
superconductors. Mot(s) clés libre(s) : General Relativity, superconductivity, condensed matter
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Colloque "Elle fête ses 70 ans" - 3
Karine Grandpierre, L’internationalisation du magazine ELLE dans les 1980’s
/ Maud BASS-KRUEGER, Sophie KURKDJIAN, Thomas GUIFFARD
/ 20-11-2015
/ Canal-u.fr
GRANDPIERRE Karine
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Karine Grandpierre, L’internationalisation du magazine ELLE dans les 1980’s
46 éditions actuellement; 80 pays; 21 millions de lecteurs; 6,6 millions d’exemplaires par mois; 42 sites;20 licences internationales; 60 appli mobiles et 86 appli tablettes
L’internationalisation de ELLE est précoce: en1946 un numéro belge mais c’est un échec car seule la couleur en couverture était différente par rapport à a couverture française.
En 1970: parution de An-An ELLE Japon qui joue rôle important dans l’émancipation de la femme japonaise 19549
1983 : publication du 1er numéro de ELLE aux Etats-Unis
L’enjeu de l’internationalisation de ELLE: diffuser le « parfum français » dans le monde, la culture
ellearoundtheworld.com : promouvoir la diversité Mot(s) clés libre(s) : mode, Elle
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Archives ouvertes : qu’est-ce qu’il se passe ailleurs ? / Françoise Gouzi
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2014
/ Canal-u.fr
GOUZI Françoise
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Archives ouvertes : qu’est-ce qu’il se passe ailleurs ? / Françoise Gouzi. In Journée d'études "Generation Open : Open Science", organisée dans le cadre de l'Open Access Week par Françoise Gouzi (Direction en Appui à la
Recherche-DAR) et Marc Lavastrou (Centre de Recherches et d'Études Germaniques-CREG), avec le soutien de Foster (Facilitate Open Science Training for European Research) et le consortium Couperin. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 13 octobre 2014.Françoise Gouzi propose un tour
d’horizon des politiques en matière d’Open Access en Europe et dans le
monde : incitation à
déposer sur des plateformes d’archives ouvertes nationales ou
institutionnelles (France), règles et lois permettant de statuer sur les
conditions de diffusion et partage de la recherche financée sur fonds
publics (Argentine, Mexique), ou réglementation sur le droit d’auteur
modifiée comme en Allemagne. Trois angles d’approche sont mis en avant :
le politique, le juridique et le technique, comme autant de moyens
permettant d’assurer le développement d’une politique du libre accès aux
résultats scientifiques. Mot(s) clés libre(s) : archives ouvertes, édition scientifique, libre accès à l'information scientifique et technique, archives institutionnelles, open access, diffusion des résultats de la recherche
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Le documentariste et ses outils à travers les âges (Penser le cinéma documentaire : leçon 1, 1/2)
/ Catherine Goupil
/ 04-04-2003
/ Canal-U - OAI Archive
Goupil Catherine
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Le cinéma documentaire est né de la rencontre entre le désir des cinéastes d'explorer le monde et la passion des inventeurs d'enregistrer le réel :Entre Louis et Auguste Lumière, filmant le déjeuner en famille avec une caméra cinématographe noir et blanc muette et Dominique Cabréra se filmant elle-même avec une caméra DV numérique en couleurs et sonore, il y a cent ans d'écriture documentaire et d'inventions techniques.Les cinéastes ont cherché à transmettre, avec leur point de vue, la vie quotidienne de leurs contemporains en s'approchant progressivement au plus près de leur intimité, jusqu'à parfois devenir les propres "acteurs" de leurs films.Pour en arriver là, un dialogue permanent s'est établi entre eux, des inventeurs et des ingénieurs. il a fallu alléger les caméras, les installer sur des trépieds fluides, domestiquer la couleur de la pellicule, mener une véritable conquête pour entendre en direct les personnes que l'on filme, réunir sur un même support l'image et le son avec l'arrivée de la vidéo, inventer de nouvelles techniques de montage plus simples et plus rapides, miniaturiser tous ces équipements pour parvenir aux caméscopes que nous connaissons actuellement. Mot(s) clés libre(s) : cinema, cinématographie, documentaire, histoire du cinéma, invention, technique, théorie du cinéma
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Les stratégies de réalisation documentaire (Penser le cinéma documentaire : leçon 7)
/ Pascal CESARO
/ 01-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GHEERBRANT Denis
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Cette leçon est une invitation à découvrir l’œuvre de Denis Gheerbrant et à s'interroger sur notre rapport au réel :Pourquoi a t-il choisi le Cinéma Documentaire ? Est-ce pour se confronter à l'imaginaire du monde ? Qu’est-ce qui se répète d’un film à l’autre : L'expérience de la parole ?Comment perçoit -il les évolutions d’une œuvre à l'autre ?Quelle est sa manière d'organiser le champ sonore dans ses films (le réalisateur n’ajoute pas de commentaire à ses films, utilise que des sons directs...) ? Quels sont les moyens d’expression cinématographique qu'il a choisi pour raconter la « réalité » : Le rapport Filmeur - Filmé Quels sont les notions du cinéma qu'il utilise principalement : la voix off, le montage, le plan séquence, le hors champ...Comment conçoit-il une écriture documentaire singulière sur chaque film (scénario, tournage et montage)DENIS GHEERBRANT: « Le cinéaste en situation documentaire agit comme le bricoleur, il a un projet avec une forme et souvent des couleurs dans la tête. Pour moi le projet, en ce sens, n’est pas tant un sujet qu’une question, une question à l’œuvre tout au long du processus d’un film, des repérages au mixage, je pourrais même dire jusque dans son achèvement par le spectateur. Ce qui me permet d’articuler le déroulement d’un film, qui vient travailler cette question, c’est une parole dans un corps qui émerge comme dans une première fois d’abord pour celui qui l’énonce. C’est cela que je cherche à provoquer, cette émotion de la pensée qui affleure, là, devant nous. C’est dans cette émotion que je peux construire une ligne d’image, comme on dit une ligne mélodique, souvent des paysages, des fragments de l’espace urbain, comme de haïkus. » « La rencontre du cinéma direct, c’est justement quand les scénarios du réel rencontrent nos scénarios imaginaires. L’imaginaire des gens qu’on filme rencontre notre propre imaginaire et ils se construisent un scénario. » « Le problème n’est pas d’être discret, ni d’être derrière la porte mais d’être encore plus là. Notre problème, c’est de filmer par rapport à quelqu’un d’autre, le grand absent de cette histoire : le spectateur. Nous sommes en train de faire quelque chose pour quelqu’un d’autre, qui est signifié par la caméra. » « Quand je filme seul, ce qui m’intéresse, c’est de casser le flux du vécu : on est dans une relation, on interrompt la relation, et on entre dans un film. Mon regard ne soutient plus la relation. C’est le fait de filmer qui est la relation. C’est violent, c’est beau et c’est fort, et là on fait un film pour les autres qui n’est jamais l’enregistrement d’une relation. » Mot(s) clés libre(s) : cinéma, documentaire, gheerbrant, imaginaire, montage documentaire, réalité, réel, scénario documentaire
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Création, intermédialité, dispositif : ouverture du colloque / Emmanuelle Garnier, Philippe Ortel
/ Nathalie MICHAUD, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 12-02-2014
/ Canal-u.fr
GARNIER Emmanuelle, ORTEL Philippe
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Création, intermédialité, dispositif : ouverture / Emmanuelle Garnier, Philippe Ortel. In colloque international organisé, sous la responsabilité scientifique de Philippe Ortel, par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 12-14 février 2014.Les questions trans-sémiotiques et trans-artistiques, devenues classiques en critique littéraire, s'élargissent aujourd'hui aux relations entre médias, prenant ainsi en compte les supports, canaux et institutions permettant aux messages de circuler. Elles s'enrichissent de nouveaux niveaux d'analyses intégrant les considérations techniques et pragmatiques qui entrent dans la définition des dispositifs de communication en général. Ainsi a émergé dans plusieurs pays simultanément la notion d'intermédialité, forgée au début des années 1960 par Jürgen Ernest Müller à partir de la notion d'intertextualité.Ce colloque aborde la question de l'intermédialité en termes de création. A quelle finalité ou à quelle urgence la collaboration entre médias répond-elle ? Sa vocation est-elle ludique, critique, politique, compensatoire, réflexive ? Tout en exploitant les possibilités, notamment techniques, du milieu dans lequel elle s'inscrit, l'intermédialité réagit-elle aux tensions ou ruptures tranversant un tel milieu ?Le colloque tente aussi de repenser la notion d'intermédialité à la lumière d'une poétique des dispositifs. On voit notamment quels effets figuratifs produit la convergence des médias au sein des oeuvres, que ce soit sur scène, au cinéma, dans une installation ou dans un texte littéraire. Mot(s) clés libre(s) : art et littérature, médias, créations artistiques hybrides, relations entre les arts, intermédialité (théorie)
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SPINTRONIQUE : ORIGINES, DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES
/ Jean MOUETTE
/ 12-06-2009
/ Canal-u.fr
FERT Albert
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La spintronique, qui exploite l’influence du spin
sur la conduction électrique et prend racine dans des recherches
fondamentales sur les propriétés de transport des métaux
ferromagnétiques, s’est développée après la découverte de la
Magnétorésistance Géante (GMR) en 1988 et est aujourd’hui en pleine
expansion. Elle a des applications importantes. L’utilisation de la GMR à
la lecture des disques durs est la plus connue. Elle a conduit à une
augmentation considérable des densités de stockage d’information.
Aujourd’hui la spintronique se développe sur de nombreux axes. Le
transfert de spin, par exemple, permet de manipuler l’aimantation d’un
ferromagnétique sans appliquer de champ magnétique mais seulement par
transfert de moment angulaire de spin amené par un courant, c’est à dire
plus par transport électrique d’aimantation. Il sera bientôt appliqué à
l’écriture de mémoires magnétiques (MRAM pour nos ordinateurs) et à la
génération d’ondes hyperfréquence (application en télécommunications).
La spintronique associant matériaux magnétiques et semi-conducteurs, la
spintronique moléculaire et la nanospintronique se développent
également. L’exposé passera en revue les avancées récentes et leur
potentiel technologique. Mot(s) clés libre(s) : spintronique, matériaux semi-conducteurs, spintronique moléculaire, nanospintronique
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Not just pretty pictures ou L'importance des belles images / Vincent Durastre
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DUSASTRE Vincent
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Not just pretty pictures ou L'importance des belles images / Vincent Durastre. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 8 : Langages et codes visuels des nanos. Conventions et espaces de liberté pour le scientifique et l'artiste, 10 décembre 2010.Images used in science communication do not always show the subject matter in the best or most informative way. The role of striking and beautiful visual representations and the responsibility of scientific publications -in the case, "Nature"- as a successful and compelling way to communicate complex ideas will be discussed. Mot(s) clés libre(s) : arts visuels et sciences, imagerie scientifique, nanosciences (réception), nanotechnologies (représentation), presse scientifique (illustrations)
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L'invention de la mise en scène documentaire (Penser le cinéma documentaire : leçon1, 2/2)
/ Gilles DELAVAUD
/ 19-12-1994
/ Canal-U - OAI Archive
DELAVAUD Gilles
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Robert Flaherty et l'invention de la mise en scène documentaire"Documentaire"L'adjectif qualificatif est attesté dès 1876 (Dictionnaire Robert). Appliqué au film , il apparaît en 1896. Le mot, en langue française, devient substantif en 1915. L'abréviation "docu" est attestée en 1967, mais on peut supposer qu'elle existait bien auparavant dans le langage parlé. Le familier (et péjoratif) "docucu" est encore plus récent.En langue anglaise, "documentary" apparaît en 1926, dans un article du New York Sun écrit par John Grierson sur Moana de Flaherty : "Moana, being a visual account of events in daily life of polynesian youth and family, has documentary value." D'après Paul Rotha, le mot est emprunté au français, et sert alors à qualifier "des films de voyage et d'expédition qui ne seraient pas d'ennuyeux comptes rendus de voyage".Sans doute cet article de Grierson a-t-il contribué à donner à Robert Flaherty la figure mythique de "père du documentaire".Historiquement, cette statufication est sujette à examen: dès 1895, des films pourraient être qualifiés de documentaires. Le débat historique et théorique sur la question risque d'être infini et inextricable, sauf à se tenir aux observations suivantes: Comme pour la littérature, on devra dater l'apparition d'un genre cinématographique au moment où il est reconnu et identifié. Les films qui précèdent cette date seront à voir comme des promesses, des prémices, des frayages que seule une conception téléologique de l'histoire de l'art permettrait d'annexer a posteriori au genre , et qu'on valorise alors arbitrairement sous la rubrique des origines. Il n'y aurait pas une origine, mais des commencements. Il est donc vain de chercher à tout prix un "premier documentaire de l'histoire du cinéma français". Le genre naît progressivement, et apparaît entre 1915 (France) et 1926 (Grande - Bretagne)."Documentaire", comme tous les mots de la langue, a subi des glissements de sens, au point qu'un spectateur d'aujourd'hui a une certaine difficulté à accepter comme tels, par exemple, L'homme d'Aran ou Louisiana Story; pour un oeil contemporain, la direction d'acteurs non-professionnels, le procédé du slight narrative (expression de Paul Rotha), rangeraient plutôt ces films du côté de la fiction. Il faut donc admettre que des films classés comme documentaires peuvent maintenant ne plus être perçus selon les mêmes catégories, et que ce changement fait partie de l'histoire du genre. "Documentaire": film didactique montrant des faits réels et non imaginaires" (Robert)La veine didactique du documentaire est inscrite dans son nom même, étymologiquement dérivé du latin docere : enseigner, instruire, montrer, faire voir. Un documentum est un exemple, un modèle, une leçon, un enseignement, une démonstration. ici encore, le glissement historique des mots est à prendre en compte. Actuellement, on en vient à considérer que la transmission des connaissances, dans un documentaire, est peut être un effet secondaire, et pas forcément indispensable, l'essentiel étant alors la donation d'un point de vue à propos d'une réalité. Notes extraites d'un article de Pierre Baudry : Quelques notions de base pour réflechir sur le documentaire, in La mise en scène documentaire, textes réunis par Gilles Delavaud, TOTEM Productions, 1994. Mot(s) clés libre(s) : analyse cinématographique, cinema, documentaire, esthétique, Flaherty, histoire du cinéma, invention du documentaire, mise en scène
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La presse : qui fait l'info ? - Valerie de Senneville
/ UTLS au lycée
/ 26-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DE SENNEVILLE Valérie
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLa presse : qui fait l'info ? Différence entre information et communication ? par Valerie de Senneville, journalisteLycées des Graves (33 Gradignan) Mot(s) clés libre(s) : communication, information, journalisme, mass media
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