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vidéo n°1 Faire face aux inondations : constats et besoins de recherche
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Mercredi 25 mars 2015vidéo n°1Faire face aux inondations : constats et besoins de recherche
8h30 - 12h45 Faire face aux inondations : constats et besoins de recherche
8h30-8h45 Accueil des participants
8h45-9h00 Ouverture du séminaire par le comité d'organisation
9h00-9h30 « L’évolution de l’information préventive », Jacques Faye
(Chef du Bureau de l'information préventive, coordination et
prospective), Ministère de l'Environnement, du Développement Durable et
de l'Energie (MEDDE)
9h30-10h00 « Le système d’alerte et la prévention des populations », Christophe Renou
(Chef du bureau de l’alerte, sensibilisation et éducation des publics),
Direction Générale de la Sécurité Civile et Gestion de Crise, Ministère
de l’Intérieur (DGSCGC)
10h00-10h30 « Quelle importance les chercheurs accordent-ils aux initiatives citoyennes ? » Jérôme Gensel
(Professeur d'Informatique) et Johnny Douvinet (MCF Géographie),
Université Grenoble Alpes (UMR LIG) et Université d'Avignon (UMR ESPACE)
10h30 - 10H45 - Pause café
10H45-11H15 « La simulation des réseaux sociaux dans les exercices de gestion de crise », Caroline Saisou (Chargée de mission exercices), Haut Comité Français pour la Défense Civile (HCFDC)
11h15-11h45 « Applications, réseaux sociaux et gestion des risques, un nouveau référentiel ? » Vincent Boudières (Co-directeur), Pôle Alpin Risques Naturels (PARN)
11h45-12h15« La radio, un outil complémentaire et fédérateur en situation de crise ? » Bruno Lenormant (Délégué à la Défense et Continuité d'Activité) Radio France
12h15-12h45 Échanges et discussions avec la salle Mot(s) clés libre(s) : Internet, réseaux sociaux
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Vidéo 1 Aux frontières de l'urbain - At the frontiers of urban space
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Séance du mercredi 22 Janvier 2014 9:45-12:00Ouverture de la conférence - Conference openingPhilippe Obert (Univ. d'avignon)Julien Bordagi (UMR ESPACE)Cathy Chatel (UMR ESPACE)François Moriconi-Ébrard (UMR ESPACE) Mot(s) clés libre(s) : Internet, réseaux sociaux
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Quel est le statut de la preuve scientifique dans le débat public ?
/ Canal-u.fr
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François Rastier traite d'un texte qui décrit un « plan d'action » des entreprises Syngenta et Bayer Crop Science pour traiter du problème de la disparition des abeilles.
Il s'intéresse à un court extrait de ce texte : « Ce
plan résulte de l'incapacité de la Commission européenne à trouver un
accord avec les États membres pour fournir une réponse appropriée au
rapport de l'Autorité européenne de sécurité des aliments sur le risque
théorique de l'usage des pesticides néonicotinoïdes pour la santé des
abeilles ».
François Rastier relève la posture
qu'adoptent les entreprises à l'égard de la Commission européenne : une
posture qui entend, en dernière analyse, exiger de cette commission de
contredire la position de la communauté scientifique au sujet de la
disparition des abeilles, en remettant en question l'importance des
insecticides dans la disparition des abeilles.
Le « risque théorique » qu'évoquent les auteurs s'oppose à la preuve empirique des articles de recherche et renvoie ainsi les résultats scientifiques à de simples hypothèses.
Dans la suite de la séquence filmée, François Rastier montre que les auteurs de ce plan d'action cherchent à minimiser le danger des insecticides
en mettant en avant d'autres causes de la disparition des abeilles.
Leur plan ne fait que retarder la prise de décisions politiques pour
traiter du problème environnemental posé par la santé des abeilles.
On
voit, par cet exemple, que la preuve scientifique peut toujours être
considérée comme insuffisante, notamment par ceux qui défendent des
intérêts opposés aux conclusions des recherches.
Dans ce cadre, les critiques peuvent toujours(1) évoquer des biais dans les protocoles expérimentaux ou dans le traitement des résultats,(2) nier les causalités qui dérangent,(3) évoquer d'autres causes possibles. Ces éléments de langage permettent de constituer un brouillard argumentatif. Mot(s) clés libre(s) : complot, argumentation, défiance, doute, controverse
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Présentation de la pédagothèque LUNAM
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La péd@gothèque est une initiative du PRES LUNAM. C'est un service en ligne qui permet d’accéder, en ligne, à
plus de 1300 ressources pédagogiques réalisées par les enseignants des
universités régionales.
C’est un outil d’autoformation adaptée aux étudiants (ressources
pérennes, transversales et interdisciplinaires de type méthodes de travail,
exercices corrigés, annales, guides…),Toutes les ressources pérséentées sont en accès libre sous une licence adaptée.La pédagothèque LUNMA regroupe l'ensemble des disciplines universitaires.
Coté enseignant la
péd@gothèque permet valoriser leurs ressources et de leur donner une véritable
visibilité par une publication reconnue et indexéePour y accèder ? : http://pedagotheque.lunam.fr Mot(s) clés libre(s) : indexation, ressources électroniques
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La preuve scientifique reste-t-elle toujours insuffisante pour certaines entreprises auxquelles on impute un problème sanitaire ou environnemental ?
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Le statut de la preuve scientifique dans le débat public est aujourd'hui âprement discuté. Ce statut est important parce qu'il détermine la fonction des sciences dans notre société.
Par
exemple, les premières preuves scientifiques de l'origine humaine du
réchauffement climatique datent de 1981. Or, elles sont toujours
contestées en dépit du large consensus qui existe dans la communauté
scientifique. Il en est de même au sujet du rôle des néonicotinoïdes
dans la disparition des abeilles, qui est pourtant bien attesté depuis
1995, mais qui reste contesté, notamment par les fabricants de ces
insecticides.
Pour traiter de ces formes de contestations des résultats scientifiques, François Rastier établit un distinguo entre la controverse scientifique et la polémique anti-scientifique. Mot(s) clés libre(s) : complot, argumentation, défiance, doute, controverse
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L'industrie du déni
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Dans certaines
controverses, le statut des données scientifiques est contesté par une
pensée antirationaliste qui considère la science comme une forme de
pensée unique qu'il importerait selon eux de transgresser. Un
exemple quelque peu emblématique est constitué par une thèse de doctorat
d'astrologie soutenue sous l'autorité d'un sociologue connu
mondialement. Cette pensée repose pour l'essentiel sur l'émotionnel et
s'oppose à la pensée rationnelle de la science.
Une industrie du déni s'est mise en place durant les dernières décennies.
On lui donne ce nom car elle vise à dénier leur valeur aux résultats
scientifiques qui vont à l'encontre des intérêts de certaines industries
polluantes, agro-alimentaires, ou encore productrices de tabac ou
d'alcool. Il s'agit de lobbys intervenant dans les médias et auprès des
responsables politiques, de scientifiques et d'historiens recrutés pour
susciter le doute à l'encontre des recherches scientifiques reconnues,
ou encore de linguistes chargés de créer des éléments de langages
permettant de disséminer ce doute dans la population et auprès des
décideurs.
Par exemple, dans les années 90, cette « industrie du doute » est parvenue à faire signer par des chercheurs de renom l'Appel de Heidelberg qui visait à stigmatiser les chercheurs qui alertaient au sujet des causes du réchauffement climatique.
La
finalité de cette industrie du déni est d'empêcher toute régulation au
sujet des produits polluants ou dangereux, tant par la voie législative
que par la voie scientifique. Cette stratégie du déni a pu être
mise à jour à la suite du jugement d'un tribunal américain qui a imposé
au cigarettier Philip Morris de rendre publics des centaines de
milliers d'archives dans lesquelles étaient exposées les méthodes de
cette industrie du déni. On découvre notamment comment ce cigarettier a
recruté un large réseau de scientifiques et d'historiens partout dans le
monde. Ils avaient pour mission de forger une narration des faits qui
serait favorable aux industriels. Mot(s) clés libre(s) : complot, argumentation, défiance, doute, controverse
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Introduction au cycle de conférences
« Vivre et faire vivre la laïcité »
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Les origines historiques et philosophiques du concept de la laïcité - par M. Abdennour BIDARProfesseur agrégé de philosophie, essayiste, chroniqueur radio, Chargé de missionsur la pédagogie de la Laïcité au Ministère de l’Education nationaleet Le vote de la loi de 1905 et son application jusqu’à nos jours - par M. Gérard DELFAUSénateur honoraire, ancien maître de conférences à l’Université Paris VII,président de l’association EGALE (Égalité. Laïcité. Europe). Mot(s) clés libre(s) : Internet, réseaux sociaux
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Forum Nîmois - Charles GIDE - SERVAN SCHREIBER - 28 avril 2016
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 28 avril 2016, à la maison du protestantisme à Nîmes Jean
Louis Servan Schreiber.
Pour que nul ne s’étonne que je te tutoie, je révèle en
exergue de ta conférence que nous nous connaissons depuis 70 ans sauf erreur et
notre entrée à St Louis de Gonzague. C’est un bail ! C’est rare que des
amitiés durent aussi longtemps
J’ai eu du mal à te convaincre de venir ! Ta vie a été
tellement remplie ! Tu as été, en premier
lieu, un journaliste et un « patron de presse » plein de dynamisme et
de réussite. Il faut dire que tu as baigné dans ce milieu des ta naissance.
C’est en effet, en 1908 que ton père Emile Schreiber et ton oncle Robert,
créèrent le mensuel Les Echos, qui a servi d’abord d’outil de promotion à la
vente de leur matériels divers. En 1913
il devient hebdomadaire sous le titre« Les Echos de l’exportation ».C’est
en 1937 qu’il devient un quotidien généraliste de l’économie et des affaires. Suspendu
évidemment pendant la guerre, il reparait en 1945, ses fondateurs ayant modifié
leur nom pour des raisons évidentes, en y ajoutant Servan. Tu y entreras en
1960. Il sera vendu à la famille Beytout en 1963, laquelle le revendra au
groupe Financial Times en 1988.
Mais entretemps ton frère Jean Jacques a, en 1954, créé
L’Express qui reste le grand hebdomadaire que l’on connait aujourd’hui, avec sa
devise si objective : Dire la
vérité, telle que nous la voyons
Après un stage dans la presse américaine, tu y entres en
1964, et y parfait ta formation, puis
en, 1967, renouant avec la tradition économique familiale, tu crées
l’Expansion, avec Jean Boissonnat comme directeur de la rédaction. Création
précédé d’une étude très précise du futur lectorat, menée par la SEMA. Cette
prudence méthodologique explique sans doute ton premier très grand succès. J’ai
eu l’honneur d’y écrire. Il devient Groupexpansion, en absorbant L’Entreprise,
la Vie financière et La Tribune. Il fera ensuite, par le hasard des mouvements
capitalistique, après un passage chez Vivendi, retour dans le groupe
Express-Expansion. Tu en es resté président jusqu’en 1999.
Mais toi-même, entre temps, en tant que patron de presse, tu
auras déjà vogué vers de nouveaux rivages, au sens propre, puisque tu auras
créé au Maroc, le premier hebdomadaire
économique du pays : « La vie économique ». Tu la revendras
trois ans plus tard – certains bonnes langues à ton égard disent que la clarté et la franchise des
analyses du journal ne plaisaient pas trop à Hassan II-, et va racheter alors,
en 1997, Psychologie. Ce magazine avait été créé en 1970, et tu allais en faire
un nouveau succès d’édition sous le titre
Psychologies magazine, dont le tirage, de 70.000 à l’achat est passé, disent les gazettes, à 350.000 exemplaires et
dans la gestion duquel on voit nettement la patte experte de ton épouse Perla.
Le groupe Lagardère y prend 49% en 2004, ce qui te permet de décliner le
magazine en Italie, Espagne, Belgique, Grande Bretagne, Russie, Chine. Bref un
troisième succès de presse !
Peu d’hommes, Jean Louis, peuvent se targuer d’avoir ainsi
réussi d’eux-mêmes trois succès de ce type. Certes, comme je le disais au
début, tu es né avec une plume dans la bouche, et quelques moyens financiers.
Mais ces succès ne sont pas ceux d’un fils à papa ! Ils sont ton œuvre. Tu
as eu, chaque fois, l’intuition d’un « besoin » nouveau en termes
culturels. Tu étais, comme on dit, parfaitement dans l’air du temps en 1967,
époque d’émergence de ceux qu’on appelait les cadres, qui se souciaient de
mieux comprendre le développement économiques, quand tu as créé l’Expansion
qui, sans l’astreinte de la lecture quotidienne, permettait à ces cadres de se
tenir informés
De même que tu as humé intelligemment l’air culturel du Maroc
en 1994, alors qu’apparaissait aussi , dans ce pays en émergence, le souci de
comprendre l’économie. De même, en cette fin du vingtième siècle, tu avais
senti la vogue nouvelle de la psychologie, la psychanalyse, et ce besoin subtil
de se « connaitre soi-même, le « gnoti séauton » de Socrate, d’aller
au-delà de la confrontation directe avec autrui, en cherchant comment cet
autrui construit lui-même sa pensée. J’ose dire aussi que tu as bénéficié de ce
début de développement d’un narcissisme assez généralisé, dont Facebook et les
selfies sont les expressions les plus courantes. Mais je puis témoigner, pour
avoir très longtemps lu ce magazine, que même ceux qui, depuis toujours,
avaient les plus grandes réserves sur la masse d’étudiants qui se ruaient sur
la « psycho-socio », trouvaient un grand intérêt théorique à ce
magazine.
Enfin, en 2010, avec Perla vous repreniez le magazine
« Nouvelles clés » de Marc de Smedt, que vous rebaptisiez « Clés »,
qui, à l’origine était dit « de développement spirituel et
spiritualité » destiné principalement aux créatifs culturels. Je n’ai
aucunement la prétention d’être un créatif culturel. Je serais déjà heureux si
j’avais pu créer un concept en sciences économiques. Mais je dois dire que la
lecture de « Clés » tous les mois est toujours un grand moment, et
aussi une source abondante de personnes à connaître et, si possible, à inviter
au Forum, et d’idées pour mes propres productions intellectuelles. Si le tirage
n’a pas été ce que tu espérais, je dis que c’est encore, qualitativement, une très
grande réussite indiscutable de vous deux.
Durant ces trois aventures, tu avais, par ailleurs écris
quatorze livres. Trois d’entre eux ont trait à la gestion du temps :
« L’Art du temps » en 1983, puis « Le nouvel art du temps »
en 2000, puis « Trop vite » en 2010. Le temps qui passe trop vite
quand on agit et qui est si long quand on s’ennuie, est ton thème préféré. J’avais
été très impressionné par le premier, m’avouant cependant vite incapable de
respecter la discipline que tu y préconisais. En 1977, ton « A mie
vie », m’avait laissé rêveur. J’avais 40 ans comme toi, et les quatre-vingt
ans que tu visais implicitement me paraissaient bien loin. En même temps à l’époque,
c’était plutôt un horizon long, donc plein d’espoir. On mourrait autour de nous
plus jeune en moyenne. Eh, bien Jean Louis, nous y sommes ou presque ! En
2014, « Pourquoi les riches ont gagné » m’a beaucoup plus car c’est
une analyse sans concessions d’un milieu que tu as toujours tangenté, mais sans
t’y perdre.
Ton dernier livre est « C’est la vie ». Pourquoi
avais-tu choisi comme thème de ce soir « Eloge de l’ignorance », et
quel est le rapport avec ce livre. Est-ce une réminiscence de la deuxième béatitude
de Mathieu : « Heureux les pauvres d’esprit, car le Royaume des cieux
est à eux ». Le savoir est-il un
tel puits sans fond qu’il rend malheureux ? Vaste débat depuis 2000 ans,
vaste sujet. A toi Jean Louis, old chap ! Mot(s) clés libre(s) : journalisme, journalisme d'information
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Forum Nîmois - Charles GIDE - KAHN - 14 Novembre 2013
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 14 novembre 2013, à la maison du protestantisme à Nîmes Jean-François Khan.
Comment s'en sortir" Je vous en supplie, lisez ça !
Auteur : Jean-François KAHN
Editeur : Plon
Collection : Actualité
ISBN : 2259220290
Jean-François Kahn est un journaliste et écrivain français, historien de formation, né le 12 juin 1938 à Viroflay (Yvelines). En 1984, il crée L'Événement du jeudi puis, en 1997, l'hebdomadaire d'information Marianne dont il est le directeur jusqu'en 2007
S'en sortir, se redresser et aller de l'avant, c'est possible ! Jean-François Kahn nous propose les solutions pour agir et reconstruire la France.« Tout va mal et, si on continue comme ça, cela ira de plus en plus mal. A un bilan calamiteux risque de succéder un bilan épouvantable avec, à la clé, non pas une explosion pour le meilleur, mais une implosion pour le pire. Sauf si... sauf si la France emprunte le chemin qui lui a toujours permis, même aux heures les plus sombres de son Histoire, de rebondir et même de bondir. Sauf si, renversant les barrières, sortant de leurs tranchées, bravant des clivages de guerre civile, les forces vives de la République convergent, pour imposer, porter et réaliser ensemble, oui ensemble, le projet de salut public qui permettrait à la nation de s'en sortir. Car nous pouvons nous en sortir. Ça dépend de vous. Ça dépend de nous. Voilà comment... » J.-F. Kahn Mot(s) clés libre(s) : actions politiques, médias, jounalisme
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Forum Nîmois - Charles GIDE - CHEBEL-GODIN - 25 mars 2013
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charles GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 25 mars 2013, à la maison du protestantisme à Nîmes Malek Chebel et Christian Godin sur le thème « Vivre ensemble et diversité des religions »Paru : 2011 Editeur : Éditions First-Gründ Collection : First Document Nb. de pages : 352 pages ISBN : 978-2-7540-2759Un entretien avec l'islamologue progressiste Malek Chebel sur les différentes façons qu'ont les êtres humains de se représenter les autres. En 13 chapitres,les différents modes de ces relations,de l'amour à la haine en passant par l'indifférence, entre sympathie et antipathie, familiarité et étrangeté, sont évoqués dans un style ouvert, chaleureux mais sans complaisance. À partir de nombreux exemples empruntés à l'Histoire, à l'actualité et à la vie quotidienne, ce dialogue porte sur des questions aujourd'hui aussi essentielles que l'identité, les droits de l'homme, la laïcité, le racisme, le terrorisme.Pour plus d'information voir le site de Christian Godin http://www.christian-godin.com/prog/base.php?destina=bibliographiePour plus d'information voir Wikipédia sur Malek ChebelMalek Chebel est un anthropologue des religions et philosophe1 algérien né en 1953 à Skikda ex- Philippeville. Il a étudié en Algérie, puis en France à Paris, où il a également étudié la psychanalyse, activité qu’il a un temps exercée1,2,3. Il a enseigné dans de nombreuses universités à travers le monde. Mot(s) clés libre(s) : conditions sociales, philosophie et religion
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