Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Journée d'études - Table ronde
Sujets déviants, sujets pervers
Pathologie mentale, sexualité et expérience de l'autre
/ FMSH Production
/ 17-11-2015
/ Canal-u.fr
De Eugenio Guillermo, González Quijano Lola, Paz Rodríguez Diéguez Mari, Mazaleigue-Labaste Julie, Malivin Amandine, Yampolsky Eva, SCARFONE Marianna, GIARD Agnès
Voir le résumé
Voir le résumé
Journée d'étude organisée par Guillermo de Eugenio Pérez et Marianna Scarfone
Cette journée entend
développer une réflexion critique par rapport à la problématique du
processus de formation des subjectivités divergentes. Le but est de
rassembler un groupe de chercheur.e.s à caractère interdisciplinaire
pour discuter des recherches en cours à partir de trois perspectives
différentes : celle de l'expérience de l'autre (l'anormal, le pervers,
le déviant) correspondant à la construction d'un type de subjectivité,
celle de la sexualité comme élément fondamental pour la constitution de
l'identité contemporaine, et celle du champ épistémologique des sciences
psy.
Les sujets déviants ou
pervers sont ceux qui, par leur conduite ou leur apparence, ne
s'adaptent pas à ce que la société dans laquelle ils évoluent considère
comme normal, comme adéquat. Ils sont donc des « anormaux », des «
autres ». Par l'expérience qu'ils ont de leur propre subjectivité, de
leur désir, de leur corps, de leur vie, ce sont des sujets; mais ils
sont souvent aussi l'objet d'un savoir scientifique et d'un processus de
pathologisation mis en œuvre par ce même savoir scientifique.
Cependant, les sujets ne peuvent être considérés exclusivement comme des
objets passifs. On retrouve partout, de la part des individus, des
formes d'action qui modifient les contextes où ils subissent la
normalisation : des pratiques de résistance, provocation, négociation,
adaptation ou assimilation. Nous partons de la prémisse selon laquelle
la déviation morale et la perversion mentale ne sont pas des catégories
anhistoriques, mais des objets contingents dont il est possible et même
nécessaire d'examiner les itinéraires.
Cette activité est
organisée dans le cadre de l'EHESS, avec la collaboration de la
Fondation Maison des Sciences de l'Homme et du Centre Alexandre Koyré.
Programme :
MARDI 17 NOVEMBRE
190-198 Avenue de France (salle 318)
9:30-10:00 ACCUEIL DES PARTICIPANT.E.S
10:00-10:30
Ouverture
Antonella Romano, directrice du Centre Alexandre Koyré (CAK- EHESS-CNRS)
Introduction
Guillermo de Eugenio et Marianna Scarfone (CAK- Braudel-IFER- FMSH)
10:30-11:45
Julie Mazaleigue-Labaste (Univ. de Picardie Jules Verne, CHSSC)
Les limites de l’acceptable : petites et grandes « perversions »
Amandine Malivin (Univ. Paris 7, ICT)
Le nécrophile, pervers insaisissable (France, XIXe siècle)
12:00-13:15
Guillermo de Eugenio Pérez (CAK- Braudel-IFER-FMSH)
Le parcours du masochiste: de la Perversion à la Transgression
Mari Paz Rodríguez Diéguez (Univ. Paris 8 - Hôpital Ville-Evrard)
La psychanalyse, est-elle homophobe?
15:00-16:15
Marianna Scarfone (CAK- Braudel-IFER-FMSH)
L’incorporation de l’ordre colonial : lois raciales, psychiatrie, sexualité
Agnès Giard (Sophiapol EA3932)
La fille en boîte : naissance d’une perversion au Japon
17:00-18:15
Lola González Quijano (EHESS-CRH-LaDéHis-GENRE)
Performer un mauvais genre : la demi-mondaine au XIXe siècle
Eva Yampolsky (CAK - Univ. Lausanne IUHMSP)
Le suicide, entre perversion de l’instinct et perversion morale
18:15-19:00
Table Ronde Remarques finales Mot(s) clés libre(s) : homosexualité, psychologie, perversion (psychanalyse), sexualité et genre
|
Accéder à la ressource
|
|
Qu'est-ce que le style
/ Mission 2000 en France
/ 30-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DARRIEUSSECQ Marie
Voir le résumé
Voir le résumé
Style : " manière d'écrire ". C'est la définition que l'on trouve que l'on trouve dans la plupart des dictionnaires. " Style " est un mot fourre-tout qui semble désigner ce qu'on ne sait pas nommer dans l'écriture. Tenu à distance par la critique universitaire contemporaine, souvent utilisé par la critique journalistique à défaut d'un mot plus juste, " style " embarrasse plus qu'il n'éclaire. Occupons nous de son cas. Mot(s) clés libre(s) : esthétique, philosophie, style
|
Accéder à la ressource
|
|
Mourir pour...
/ ENS/UOH
/ 12-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Crépon Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
Le passage le plus critique de Sartre envers l’analytique existentielle d’Heidegger dans L’Etre et le néant porte sur sa conception de l’être-pour-la-mort. La conception sartrienne de l’absurdité de la mort et du mourir-pour, esquissée dans cet ouvrage mais dramatisée de manière profonde dans les grandes pièces théâtrales qui suivent l’essai d’ontologie phénoménologique, est une tentative pour relire de manière lucide le rapport de l’homme libre à l’aspect tragique et non totalisable de la mort, mettant en évidence sa relation avec les autres et avec la politique, aspect oublié par Heidegger. Mot(s) clés libre(s) : Jean-Paul Sartre, mort
|
Accéder à la ressource
|
|
Heidegger, l’art, la technique (par Jean-François Courtine)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 03-02-2014
/ Canal-u.fr
COURTINE Jean-François
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence de Jean-François CourtineHeidegger, l’art, la techniqueRésumé de la première séance(lundi 3 février 2014)Dans cette première séance, il s’est agi de montrer en quoi la pensée de Heidegger sur l'essence de la technique était redevable aux deux essais de Ernst Jünger sur la « totale Mobilmachung » (La Mobilisation totale 1930, traduit par Marc Buhot de Launay dans L'État universel, TEL, Gallimard, 1990) et sur la figure du travailleur (Le Travailleur, 1932, traduit par Julien Hervier, Christian Bourgois, 1989). Ces essais témoignent de l'acuité du regard de l'écrivain allemand sur le monde moderne dominé par la technique. Jünger – alors auteur connu pour ses célèbres récits de guerre, Les orages d'acier, Le Boqueteau 125 etc. – y met en lumière certains traits de la technique moderne qu’il analyse sous l’angle de la « mobilisation du monde par la figure du Travailleur ». Cette « figure » (all. die Gestalt) du « Travailleur » (all. der Arbeiter) est à concevoir comme un nouveau type humain propre à l'époque moderne. C’est un type universel qui ne saurait être rapporté à une classe sociale au sens où l’entendait Marx (et les courants de pensée qui s’en réclament auxquels Jünger s’opposait). La figure du « Travailleur » serait plutôt, ainsi que devait le remarquer Heidegger plus tard, « une sobre dénomination de ce que Nietzsche appelle le surhomme » [GA 90, p. 257]. Quoi qu’il en soit, pour Jünger, le formidable bouleversement qui s’était accompli avec la Grande Guerre exigeait un nouveau regard, une nouvelle manière de voir clair dans ce qui est. Avec la guerre industrielle et totale, c’est le « caractère de puissance inhérent à la technique » qui se serait dévoilé. Jünger aborde ce phénomène de la technique moderne en en excluant « tout élément économique ou progressiste » (Le Travailleur, p. 207). Ce processus dynamique de la « mobilisation totale » sous la figure du « Travailleur » a encore pour caractéristique d’échapper à tout contrôle et pour conséquence de transformer le monde d'un côté en un « gigantesque chantier perpétuel » et de l'autre en « un musée » (ibid. p.253). Dans cette perspective, une mobilité sans limites (ni dans le temps, ni dans l’espace) et un incessant affairement organisationnel créent « un mode de vie [qui] ressemble […] à une course mortelle où il faut bander toutes ses énergies pour ne pas rester sur le carreau » (ibid. p.223).Dans un deuxième temps, on s’est efforcé de montrer en quoi la réflexion heideggérienne sur la technique se distinguait de celle de Jünger [1]. On a ainsi rappelé que, mu par la relecture/réinterprétation de l’œuvre de Nietzsche et par ses analyse du "nihilisme" comme trait de l'époque contemporaine, Heidegger avait articulé certains aspects de la description de Jünger à sa propre conception de l'histoire de la métaphysique entendue comme « histoire de l'être » (Seinsgeschichte). Il a alors été question plus particulièrement d’un "concept" clé de la réflexion de Heidegger, celui de la Machenschaft – un mot qu’on rend d’ordinaire par "machination", "manœuvre", "manigance", mais qui désigne dans le contexte le "règne de l'efficience", de la "faisabilité". Le mot est formé à partir du verbe allemand machen "faire". La Machenschaft préfigure et annonce, dans le cheminement heideggérien, le fameux Gestell – "dispositif d'arraisonnement" ou "dispositif", autre « Grundwort » (terme fondamental) qui désigne, à partir de la fin des années 1940, « l'essence de la technique » (das Wesen der Technik). Dans cette dernière expression, il faut souligner que Wesen (essence) ne doit pas être compris de la manière abstraite et anhistorique qui est traditionnellement associée à la notion d’essence ou d’essentia. Au contraire, dans l’usage qu’en fait Heidegger, Wesen doit être entendu comme ce qui porte, de manière sous-jacente et immédiatement inapparente, le déploiement du phénomène auquel il est associé (ici la technique) et ce dans une temporalité spécifique, en l’occurrence celle de l'être, temporalité qui diffère de la conscience historique que les hommes en ont. Cette analyse de la Machenschaft a été esquissée en fin de séance à partir de la lecture du début du § 61 des Beiträge zur Philosophie (traduit en français récemment sous le titre: Apports à la Philosophie, cf. texte 1 de l'exemplier distribué). L'accent a été mis sur un paradoxe tout à fait surprenant : ce qui étend son règne sans partage aujourd'hui, à savoir le déferlement planétaire de la toute puissance de la technique (et les types de rapports au monde et à ce qui est qui en est induit), aurait son noyau germinatif dans une « décision » [2] de la philosophie grecque, décision qui se lit dans les œuvres de Platon et d’Aristote [3] réinterprétées en la circonstance (non sans une certaine violence herméneutique) par Heidegger. Cette « décision » aurait tenu dans le fait de penser la « nature » (en grec, la phusis, φύσις) à l'horizon de la technè (« le « savoir faire », « l’art » gr. τέχνη) comme « fabriquer », comme « faire humain ». Ce moment originaire de la Machenschaft aurait constitué le premier temps d’une Entmachtung de la phusis (comprendre « d’une "dépotentialisation" », « de l'évidement du pouvoir de la nature », de son « émasculation », pourrait-on presque dire en forçant le trait). Cette Entmachtung de la nature ne se peut comprendre que relativement à la conception de la phusis qui, selon Heidegger, prédominait chez les premiers penseurs grecs avant donc Platon et Aristote. Chez ces penseurs qualifiés significativement par Aristote de « physiologues », (oi phusiologoi = « ceux qui parlent de et à partir de la nature »), dominait la représentation d’une phusis sur-puissante (übermächtig) à ce point que toute pensée (noein, νοεῖν) et toute parole (logos, λόγος) étaient éprouvées comme appartenant au déploiement essentiel de la phusis (exemplier, texte n°3). En contrepoint, on peut aussi se faire une idée de la « surpuissance » de la nature en prenant la mesure de la violence et du pouvoir propres de la technè qui y répond en relisant avec les lunettes de Heidegger (et de Hölderlin – cf. GA 40, p.168, texte 5 de l'exemplier, v. aussi le cours sur « L’Ister » GA 53, été 1942) le premier Stasimon (« chant » qu’exécutait le chœur dans la Tragédie antique) de l’Antigone de Sophocle. Heidegger commente en effet « τὸ μηχανόεν τέχνας [...] ἔων » des v. 364-365 en s’appuyant sur ce terme de Machenschaft qu’il comprend en un sens « non péjoratif » comme ce « qui s’annonce à nous dans le mot grec τέχνη », lequel est un « savoir [Wissen] » qui « consiste à pouvoir “mettre-en-œuvre” l’être au titre d'un étant à chaque fois tel et tel ». À ce stade, la puissance ou le pouvoir violent de la τέχνη ne dégénère pas encore en puissance sans mesure, en violence déchainée ou en sauvagerie barbare. C’est en ce point que se noue le lien entre la réflexion sur la Machenschaft et la τέχνη d’un côté et la pensée heideggérienne de l'œuvre d'art de l’autre.Ce serait donc dans ce premier pas encore imperceptible, dans ce “premier commencement” que, de manière “destinale”, se serait amorcé ce qui ne se réalisera pleinement que bien plus tard comme accomplissement de la métaphysique : le règne de l’essence de la technique moderne. Cet empire de la Machenschaft, devenu celui du Gestell, s’atteste notamment dans le fait que, pour l'homme contemporain, il n'y a plus d'objets, autrement dit plus de choses qui lui font face (en allemand, Gegenstände). L’homme arraisonné par le Dispositif a affaire désormais à des choses qu’il a toujours déjà prises en vue comme fonds ou stock disponible (en allemand, Bestände) : « Ce qui se tient au sens du fonds disponible [Bestand] ne se tient plus en nous faisant face comme objet [Gegenstand] [GA 7, 17- Essais et conférences, « La question de la technique », p. 23]. La sur-puissance initiale de la nature, vidée de sa puissance propre (l’Entmachtung) est, au terme du processus, supplantée par la “puissance de sommation” du Gestell. Cette puissance n’est pas le fait de quelques uns (les « chefs » ou tous ceux qui croient pouvoir en contrôler le déchaînement). Le danger qui menace essentiellement l’homme est qu'il n’atteigne pas son propre (ni dans son agir, ni dans sa parole, ni dans rapport aux choses) et soit exproprié de son être.[1] On lit, dans le tome 90 (p.40) de la GA, intitulé Zu Jünger : « Le Travailleur d’Ernst Jünger constitue la métaphysique (élaborée à partir de la position de fond de la métaphysique nietzschéenne) du “communisme” impérial bien compris, c’est-à-dire débarrassé de toutes ses représentations “bourgeoises”».[2] Ici décision n’est pas à comprendre comme s’il s’agissait un acte réfléchi de la volonté éclairée par la raison. Dans la pensée de Heidegger, la “décision” dont il s’agit ici relève non de l’idiosyncrasie des philosophes, mais de ce qu’il appelle l’ouverture de la vérité de l’être, ouverture où se joue à chaque fois la différence entre l’étant et l’être et auxquels les philosophes ont à faire face.[3] Dans les Beiträge, Heidegger emploie l’expression de « philosophie platonico-aristotélicienne » (GA 65, p.211) Mot(s) clés libre(s) : technè, Essence (philosophie), efficience (philosophie), der Arbeiter, La Mobilisation totale, Machenschaft, Wesen, Gestell, Technik, phusis, arraisonnement (philosophie)
|
Accéder à la ressource
|
|
Lacan, du sujet au symptôme / Jean-Claude Coste
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 25-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
COSTE Jean-Claude
Voir le résumé
Voir le résumé
Lacan, du sujet au symptôme / Jean-Claude COSTE. Colloque international organisé par le Laboratoire ERRAPHIS (Equipe de Recherches sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs) et EuroPhilosophie dans le cadre du programme ANR “Subjectivité et aliénation. Université Toulouse II-Le Mirail, 24-25 juin 2010. Mot(s) clés libre(s) : Jacques Lacan (1901-1981), sujet (psychologie)
|
Accéder à la ressource
|
|
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, C.E.R.I.M.E.S., COLLEGE DE FRANCE
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Colonomos Ariel
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : comportement collectif, démocratie, interaction sociale, prise de décision, rationalité, sagesse
|
Accéder à la ressource
|
|
Collège de France - Wilfrid Sellars : Science et métaphysique-Jean-Baptiste Rauzy
/ Damien POIVET, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 29-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COLLEGE DE FRANCE
Voir le résumé
Voir le résumé
Wilfrid Sellars : Science et métaphysique28-29 mai 2009amphithéâtre Guillaume BudéCollège de France - 11, place Marcelin-Berthelot, 75005 Pariscolloque organisé par la chaire de Philosophie du Langage et de la Connaissance(Pr. Jacques Bouveresse) du Collège de France11h10 Jean-Baptiste Rauzy, Université de ProvenceLa conception citationnelle de l’abstraction Mot(s) clés libre(s) : abstraction, citations, philosophie du langage, Wilfrid Sellars
|
Accéder à la ressource
|
|
/ Damien POIVET, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 29-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COLLEGE DE FRANCE
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : expérience, théorie de la connaissance, Wilfrid Sellars
|
Accéder à la ressource
|
|
/ Damien POIVET, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 28-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COLLEGE DE FRANCE
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : empirisme, théorie de la connaissance, Wilfrid Sellars
|
Accéder à la ressource
|
|
Collège de France - Wilfrid Sellars : Science et métaphysique - Michael Williams
/ Damien POIVET, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 28-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COLLEGE DE FRANCE
Voir le résumé
Voir le résumé
Wilfrid Sellars : Science et métaphysique28-29 mai 2009amphithéâtre Guillaume BudéCollège de France - 11, place Marcelin-Berthelot, 75005 Pariscolloque organisé par la chaire de Philosophie du Langage et de la Connaissance(Pr. Jacques Bouveresse) du Collège de France9h30 Michael Williams, Johns Hopkins University Inferentialism and Ontology Mot(s) clés libre(s) : philosophie du langage, pragmatisme, vérité, Wilfrid Sellars
|
Accéder à la ressource
|
|