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Le concept d'image
/ UTLS - la suite
/ 06-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
TIERCELIN Claudine
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Qu'est-ce qu'une image ? Une copie, un reflet, une ressemblance, une visée intentionnelle, une manière d'être de la conscience imageante ? En quoi se distingue-t-elle d'un concept, d'un signe, d'un symbole ? Faut-il y voir un décalque de la réalité physique, un prolongement de la perception, de l'intuition sensible, une idée, un auxiliaire, une étape de la pensée abstraite, le moteur essentiel de l'imagination créatrice ou bien plutôt une illusion trompeuse, un obstacle à la pensée discursive ? Pense-t-on même par image ? La notion d'image mentale a t-elle un sens ? L'image pure n'est-elle pas un mythe ? Tout n'est-il pas image ? Autant de questions qui, depuis l'Antiquité, n'ont cessé d'opposer partisans et adversaires de l'image. Dans les vingt dernières années, plusieurs phénomènes à bien des égards révolutionnaires obligent à reprendre ces discussions avec un regard neuf D'abord la prolifération d'images de toute nature, mais plus encore l'apparition de nouveaux types d'images (photos, films, vidéos, images de synthèse, virtuelles, numériques, etc.) et la complexification galopante des réseaux et médias dans lesquels elles s'insèrent. Ensuite, l'apparition de nouvelles techniques d'imagerie et parmi elles, l'imagerie cérébrale fonctionnelle qui vise à établir des cartographies du cerveau en fonctionnement. Enfin, et grâce à ces nouvelle technologies, un renouvellement des méthodes en neuroscience, en psychologie cognitive et en philosophie de l'esprit. Il devient possible non seulement d'obtenir des informations morphologiques relatives à l'anatomie du cerveau (IRM, scanner X), mais, grâce à des techniques telles que l'électroencéphalographie (EEG), la tomographie par émission de positons (TEP), l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) ou la magnéto-encéphalographie (MEG), d'observer in vivo le cerveau engagé dans des activités cognitives telles que celles, notamment, d'imagerie. A partir d'exemples concrets, on commencera par préciser les caractéristiques communes aux images (physiques ou psychiques) et plus généralement, ce qui définit la fonction image (ou iconique) relativement à d'autres fonctions telles que celles d'indication et de symbolisation de la réalité et l'on s'interrogera sur la pertinence de la catégorie ou de l'objet image. Puis on rappellera quelques une des expériences récemment menées en psychologie cognitive qui permettent en particulier de préciser le lien qu'ont les images mentales avec la perception et l'imagination, et de façon générale de mieux cerner leur structure et la nature de leur contribution au fonctionnement cognitif (en matière de résolution de problèmes, de mémorisation, de simulation ou d'anticipation). On essaiera alors de voir en quoi ces nouvelles approches permettent d'éclairer et dans certains cas de dissoudre certains des problèmes et débats classiques qui continuent d'animer philosophes mais aussi artistes, psychologues, linguistes, logiciens ou mathématiciens, en vérité pour des raisons sur lesquelles on pourra d'ailleurs s'interroger tout un chacun. Mot(s) clés libre(s) : image, images mentales, perception, philosophie, représentation mentale
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Le déferlement des techniques contemporaines : la mobilisation générale des organismes
/ ENS-LSH/SCAM
/ 15-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
TIBON-CORNILLOT Michel
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Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession La représentation du cerveau par les neurosciences Michel Tibon-Cornillot s'intéresse ici à des problèmes qui relèvent de la philosophie des technologies. Dans le contexte de la critique du développement des sciences et des techniques, il introduit et interroge la notion de "brandung", le "ressac", qu'il traduit par "déferlement". L'interrogation centrale à propos des techniques contemporaines ne concerne plus leur régulation mais leur déferlement sans mesure. De nombreux phénomènes doivent être analysés en fonction de leur déferlement, c'est-à-dire de leurs effets incontrôlables dans des domaines aussi différents que le nucléaire civil, la reproduction humaine, les modifications génétiques... Les sciences et les techniques modernes peuvent-elles peuvent-elles élaborer à partir de leur propre logique des questions sur leur propre dangerosité, leurs limites, en un mot sur leur capacité d'autorégulation ?Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Brandung, Sciences -- Innovations, Techniques -- Effets des innovations, Techniques -- Philosophie, Théorie de la connaissance
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Colloque la pluralité interprétative - discussion matinée
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 13-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Stock Brian
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CHAIRE DE PHYSIOLOGIE DE LA PERCEPTION ET DE L'ACTIONM. Alain BERTHOZ, ProfesseurSéminaire 2007-2008 sous forme de colloque internationalLA PLURALITÉ INTERPRÉTATIVEFONDEMENTS HISTORIQUES ET COGNITIFS DE LA NOTION DE POINT DE VUE.Organisé avec les Professeurs Brian Stock et Carlo Ossola12 et 13 Juin 2008Amphithéâtre Marguerite de NavarreDiscussion fin de matinéeVoir la liste des vidéos Mot(s) clés libre(s) : interprétation, non-contradiction, pluralisme, pluralité, point de vue, représentation
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Colloque la pluralité interprétative - discussion générale
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 12-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Stock Brian
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CHAIRE DE PHYSIOLOGIE DE LA PERCEPTION ET DE L'ACTIONM. Alain BERTHOZ, ProfesseurSéminaire 2007-2008 sous forme de colloque internationalLA PLURALITÉ INTERPRÉTATIVEFONDEMENTS HISTORIQUES ET COGNITIFS DE LA NOTION DE POINT DE VUE.Organisé avec les Professeurs Brian Stock et Carlo Ossola12 et 13 Juin 2008Amphithéâtre Marguerite de Navarre Mot(s) clés libre(s) : interprétation, pluralisme, pluralité, point de vue, représentation
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Brian Stock, Sources historiques de la pluralité
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 12-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Stock Brian
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CHAIRE DE PHYSIOLOGIE DE LA PERCEPTION ET DE L'ACTIONM. Alain BERTHOZ, ProfesseurSéminaire 2007-2008 sous forme de colloque internationalLA PLURALITÉ INTERPRÉTATIVEFONDEMENTS HISTORIQUES ET COGNITIFS DE LA NOTION DE POINT DE VUE.Organisé avec les Professeurs Brian Stock et Carlo Ossola12 et 13 Juin 2008Amphithéâtre Marguerite de Navarre2-9h30 Brian Stock (Université de Toronto), Sources historiques de la pluralitéVoir la liste des vidéos Mot(s) clés libre(s) : interprétation, mondialisation, pluralisme, universalisme
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, C.E.R.I.M.E.S., COLLEGE DE FRANCE
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Sperber Dan
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Mot(s) clés libre(s) : comportement collectif, interaction sociale, prise de décision, rationalité, sagesse
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Giordano Bruno, "Le banquet des cendres" : dialogue entre Teofilo et Prudenzio [Lecture] / Philippe Solal
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe
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Giordano Bruno, "Le banquet des cendres" : dialogue entre Teofilo et Prudenzio [Lecture] / Philippe Solal. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de
Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session I : Giordano Bruno, figure de l'errance, 9 octobre 2014.Dialogue entre Teofilo, le philosophe, et Prudenzio, le pédant, sur la question : comment reconnaitre le savant ? extrait du "Banquet des cendres (1554). Le Banquet des cendres est le compte rendu
d'un échange entre Bruno et deux docteurs de l'université d'Oxford
en Angleterre ayant eu lieu le mercredi des Cendres du 14 février
1584. Bruno l'a rédigé sous forme de dialogue où il tient lui-même
le rôle de Teofilo qui explique ses thèses à trois interlocuteurs.
Les quatre personnages mis en scène s'entretiennent des propos tenus
à la cour Whitehall par le Nolain (Bruno), dont les idées nouvelles
furent malmenées par les théologiens Torquato et Nundinio (John
Underhill). Pour comprendre, il faut savoir que Bruno, le Nolain et
Teofilo sont le même personnage. Mot(s) clés libre(s) : philosophe
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Hommage à Stanley Cavell - Mettre en images la parole des femmes
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 07-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SIMON Claire
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mélodrames au planning familial Penser les genres cinématographiques Présidence : Sandra Laugier Un second souffle pour la philosophie du cinéma en France L’ambition de ce colloque interdisciplinaire est de contribuer à la réception de la pensée du cinéma du philosophe américain Stanley Cavell, en interrogeant ses travaux dans une perspective croisant la théorie cinématographique et philosophique avec la création cinématographique. Ce colloque est porté par la section arts de l’École normale supérieure Lyon en collaboration avec la section philosophie. À cette occasion seront présentées au public une nouvelle traduction française et deux rééditions d’ouvrages de Stanley Cavell : Dire et vouloir dire (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Le Cerf, 2009), Qu’est-ce que la philosophie américaine ? De Wittgenstein à Emerson (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Folio Gallimard, 2009), et Le cinéma nous rend-il meilleurs ? (éd. augmentée, éd. E. Domenach, trad. fr. E. Domenach et C. Fournier). Ces publications récentes constituent une avancée décisive dans notre connaissance de l’œuvre de Stanley Cavell, puisqu’elles permettront de découvrir en français un aspect méconnu de sa philosophie du langage (constitué de ses lectures d’Austin et de Wittgenstein), et de redécouvrir ses travaux sur les penseurs fondateurs de la philosophie américaine et la réflexion morale engagée à partir des films. Une séance de signature de ces livres, à l’issue du colloque, sera l’occasion de réfléchir à la diffusion de sa pensée en France, alors que ses ouvrages de philosophie de la connaissance (Les Voix de la raison), ses écrits sur Shakespeare (Le Déni de savoir dans six pièces de Shakespeare) et sur Thoreau (The Senses of Walden) sont désormais considérés comme des classiques. Une cérémonie de remise du Doctora Honoris Causa de l’ENS Lyon à Stanley Cavell, en présence de Monsieur le Directeur général de l’ENS Lyon, Olivier Faron, conclura le colloque, et permettra de nouer un dialogue pérenne avec sa pensée au sein de l’École. Cavell est reconnu outre-Atlantique depuis une trentaine d’années déjà pour son apport décisif au champ des études cinématographiques et à la philosophie du langage et de la connaissance, mais la dimension philosophique de ses travaux sur le cinéma n’a pas encore reçu toute l’attention qu’elle mérite, en France ni dans le monde. Promouvoir la philosophie de l’art de Cavell demande un décloisonnement des champs disciplinaires de la littérature, du cinéma, de la philosophie, et l’appropriation des grandes voix de la culture que cette œuvre incorpore ; de la philosophie du langage ordinaire d’Austin et Wittgenstein au transcendantalisme américain d’Emerson et Thoreau, en passant par Shakespeare, Kant, Nietzsche et Freud. L’ENS Lyon s’impose comme le lieu adapté pour créer un espace de pensée ouvert, au croisement des disciplines, pour la philosophie du cinéma. 1999-2009 : les deux actes de la réception de la pensée du cinéma de Cavell en France Dix ans après le premier (et, jusqu’à présent, unique) colloque consacré à la philosophie du cinéma de Stanley Cavell en France (à l’Université de Paris III Sorbonne Nouvelle en 1999, organisé par S. Laugier et M. Cerisuelo. Stanley Cavell. Cinéma et philosophie, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2001), ce colloque permettra de prendre en compte des dernières ressources de la recherche sur Stanley Cavell, en France et dans le monde. Une telle recherche doit se faire dans l’optique d’une collaboration élargie entre laboratoires et institutions. C’est la raison pour laquelle nous mettons en commun les ressources distinctes et les spécialisations complémentaires des sections arts et philosophie au sein de l’ENS Lyon, mais aussi des deux laboratoires de l’École, le CEP, avec sa vocation d'expérimentation poétique et d'engagement dans la création contemporaine, et le CERPHI UMR 5037, avec ses méthodes d'histoire des idées, de contextualisation des textes et des débats qui structurent le champ intellectuel. Trois autres laboratoires français sont associés au colloque (et représentés au comité d’organisation) : le CURAPP de l’Université de Picardie Jules Verne qui associe sociologues, politistes et philosophes dans des travaux sur l’action publique, le politique, et deux laboratoires trans-artistiques, l’ARIAS de l’ENS Ulm/Paris III et le LESA de l’Université d’Aix-Marseille, qui travaillent en esthétique et théorie du cinéma. Enfin, il est décisif que ce colloque se tienne à Lyon, dans la ville du cinéma, et avec le soutien du Département du Rhône. L’écran de nos pensées Considérer le cinéma comme écran de nos pensées implique de corréler la théorie avec la création cinématographique. C’est pourquoi nous sollicitons des cinéastes réalisateurs et scénaristes, lecteurs de Stanley Cavell ; soit qu’ils s’intéressent aux possibilités spécifiques d’expression du medium cinématographique (Luc Dardenne, Jacques Audiard, Agnès Varda), soit qu’ils s’inspirent directement de Stanley Cavell (Claire Simon, Emmanuel Bourdieu) ou ambitionnent d’« adapter » sa pensée à l’écran (comme aime à le dire Arnaud Desplechin). Nous souhaitons faire place à des projections de films et d’extraits de films d’Arnaud Desplechin et de Terrence Malick, tous deux « disciples » de Stanley Cavell, car on ne peut dissocier la pensée cinématographique, critique et philosophique, de l’expérience des films. Cette variété d’approches vise à explorer la manière dont le film devient l’écran de nos pensées. Interroger cette dimension, c’est accepter avec Stanley Cavell une profonde rénovation critique du discours philosophique, l’ancrer dans notre expérience ordinaire du monde et des autres, et mettre en question notre expérience des films, sans préjuger de la clarté de nos pensées projetées, ni des difficultés que l’écran permet ou non de lever. C’est pourquoi nous voulons articuler ce colloque autour des concepts cavelliens de projection, d’éducation, de perception, de mythe pour examiner ce qu’il advient de nos pensées et de leurs objets lors de leurs projections ; ce que la perception cinématographique altère ou révèle de la nature de nos perceptions ordinaires ; ce qui distingue et lie l’expérience cinématographique à l’expérience ordinaire, et l’effet de retour de l’image projetée sur la pensée. Si le cinéma hollywoodien nous fait rêver à la possibilité de réconcilier ses héros, d’éduquer le faible, de moraliser les vilains, c’est pourtant au cinéma que nous trouvons l’expression d’un sentiment d’exil du monde, d’étrangeté, que Cavell a appelé scepticisme, qui traverse nos vies ordinaires. Dans le mélodrame américain, Cavell a poursuivi une interrogation menée d’abord sur le terrain de l’étude des tragédies shakespeariennes, sur nos dénis du monde et des autres. Le cinéma devient ainsi l’écran de nos pensées, parce qu’il s’offre comme le miroir de nos doutes et incertitudes, tout en nous donnant les moyens d’en « guérir », dit Wittgenstein, et Cavell après lui. Il s’agira donc d’interroger ces rapports entre image, émotion, projection et pensée, sur le double versant de la création cinématographique et de la réflexion philosophique. Mot(s) clés libre(s) : Cavell, paroles des femmes, philosophie du cinéma
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, C.E.R.I.M.E.S., COLLEGE DE FRANCE
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Servan Schreiber Emile
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Mot(s) clés libre(s) : comportement collectif, interaction sociale, prise de décision, rationalité, sagesse
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Le concept de crise
/ Sébastien Boudin, ENS de Lyon, Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 01-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Regards synthétiques de philosophes, de politistes, d’historien/nes, d’économistes sur ce qu’est une « crise ». Ces vidéos d’études s’interrogent, au-delà des évidences parfois aveuglantes, sur les différentes facettes de ce qu’est, a été ou sera une crise. Diverses approches sont dès lors mises en jeu : celle de la philosophie qui interroge le concept même de crise et son passage du domaine de la médecine à celui de l’histoire ; l’approche langagière qui s’interroge sur les emplois du mot « crise » et leurs enjeux ; l’approche historienne et politiste qui analyse les crises récentes (1971-2008) et leurs effets politiques et sociaux ; et enfin l’approche économiste enfin, qui relate les crises économiques passées et s’interroge sur le sens de la crise actuelle : s’agit-il d’une crise financière ou de la crise du système de croissance ? Dans cette série, retrouvez aussi : L’analyse de la crise du XXIème siècle, par Pierre Dockès. Marx, les crises et notre crise, par Pierre Dockès. De la crise Fragmentée à la crise célébrée, par Michelle Zancarini-Fournel. Sortie de crise, stagnation ou rechute. Par Pierre Dockès. Mot(s) clés libre(s) : concept de crise, crise
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