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05 Tu n’as rien vu à Hiroshima…

/ Canal-u.fr
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Vincent Amiel Professeur à l'université de Caen, enseigne l'histoire du cinéma à l'école Louis-Lumière et à l'ESRA, Paris. Il est membre du comité de rédaction de la revue Positif et critique pour la revue Esprit. Essayiste, théoricien du cinéma, de l'image et des médias, Vincent Amiel a publié de nombreux ouvrages sur le cinéma et plus largement sur le monde télévisuel.  Tu n’as rien vu à Hiroshima…  Dès les années 50, dans Hiroshima mon amour, Alain Resnais et Marguerite Duras interrogent la capacité des médias (du cinéma en particulier, et de toute médiation en général) à témoigner d’un événement, d’une catastrophe, d’une destruction. Le film oscille en particulier entre le témoignage et la reconstitution, mettant l’accent sur cette dernière comme ressource ultime de la mémoire, et donc du récit. Nous examinerons les caractéristiques de ce « blocage » testimonial, son contexte, et son héritage.
Mot(s) clés libre(s) : catastrophe, Destruction, mémoire, Hiroshima
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04 Incidemment l’apocalypse – pour un portrait-robot de l’Homme-Catastrophique

/ Canal-u.fr
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Gérard Larnac Philosophe, écrivain, essayiste et journaliste, Gérard Larnac est l'auteur de  Après la Shoah - raison instrumentale et barbarie (Ellipses, 1997). Membre fondateur des Cahiers de Géopoétique dirigés par Kenneth White (1989), Gérard Larnac a publié ses premiers récits dans les pages de la Nouvelle Revue Française (Gallimard). Il a grandi à Caen, dans la ville reconstruite sur les ruines de la destruction. A l’écart des institutions, son travail porte essentiellement sur la philosophie de la perception, la critique de l’âge techniciste et l’art d’habiter le monde, ici maintenant et ensemble. Incidemment l’apocalypse – pour un portrait-robot de l’Homme-Catastrophique Autrefois la catastrophe était l’expression de la colère des dieux. En se laïcisant, le monde de la catastrophe est devenu une affaire d’hommes. Du coup la question qu’il pose relève moins d’une fatalité que d’une responsabilité. C’est pourquoi grande est la tentation des potentats de la réduire à de simples dommages collatéraux. Et si au contraire la question de la catastrophe était centrale ; le centre impensé de ce temps ? Vivant ici et maintenant dans une époque coincée entre les catastrophes mémorielles (Auschwitz, Hiroshima, Cambodge, Rwanda, Tchernobyl, 11-Septembre, Fukushima…) et les catastrophes annoncées (pénuries des ressources et changement climatique, dont la convergence prochaine nous promet le chaos civilisationnel et la fin de la biosphère), l’Homme-Catastrophique se définit à la fois comme victime et comme coupable. Comme le rappelle Günther Anders, ce n’est plus seulement que l’homme est mortel : c’est l’humanité toute entière qui peut être détruite. En esquissant le portrait-robot de cet Homme-Catastrophique que nous sommes devenus, nous tenterons de saisir ce qui, dans l’événement même de la catastrophe contemporaine, relève du moment de vérité : du recommencement.
Mot(s) clés libre(s) : catastrophe, Destruction, mémoire
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03 Ce gigantesque retournement de la terre, Note cinématographique : Une archéologie du regard pour l'archéologie d'un film

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Présentation du travail de Claire de Angelini à L’école supérieure d’arts & médias de Caen (ESAM) intitulé « Ce gigantesque retournement de la terre, Note cinématographique : Une archéologie du regard pour l'archéologie d'un film ».
Mot(s) clés libre(s) : catastrophe, Destruction, mémoire
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02 Témoignage d’une destruction, destruction du témoin

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Jean-Louis Déotte Professeur à l'université de Paris VIII Saint-Denis, ses thèmes de recherche portent sur l'esthétique et la philosophie de l'art et de la culture, ainsi que sur la philosophie de la technique. Il a notamment travaillé, à partir des auteurs comme Jean-François Lyotard et Walter Benjamin, sur les notions de musée, d'appareil, de différend cosmétique et esthétique, et sur des questions qui relient l'esthétique à des enjeux politiques, telle la disparition des opposants politiques pendant la période des dictatures militaires en Amérique du Sud (Argentine, Chili). Auteur d’une trentaine d’ouvrages dont L’Époque de la disparition. Politique et esthétique, avec Alain Brossat, Paris, 2000, L’Harmattan. Témoignage d’une destruction, destruction du témoin Je partirai d'un massacre collectif, qui reste pour le moins irrationnel : la destruction du Havre par les Britanniques alors que Paris était libérée....Le Havre n'avait aucun intérêt stratégique. En apparence, le film de Belvaux, où cette ville est très présente, concerne la lâcheté de témoins auditifs du meurtre d'une jeune femme,  resté inexpliqué. Seul, un pilote du port reconnaît avoir entendu son cri et lorsque les autorités veulent enterrer l'affaire, il a le courage de s'y opposer. C'est qu'il ne peut pas faire autre chose : ce sera au prix de son couple, de son métier, puisqu'il quittera volontairement la ville. De quoi ne peut-il témoigner ?
Mot(s) clés libre(s) : catastrophe, Destruction, mémoire
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01 Jeux de mémoire et d’histoire, autour de la destruction des villes normandes

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Frédérick Lemarchand Maitre de conférences en sociologie à l’Université de Caen, Codirecteur du Pôle Risques de la Maison de la recherche en sciences humaines de Caen. Attaché à la compréhension des mutations profondes de l’époque contemporaine, il a mené une réflexion sur les dynamiques des catastrophes,  du patrimoine et de la mémoire collective. Dans l’héritage de la théorie critique, il travaille depuis quinze ans sur les aspects fondamentaux des sociétés technoscientifiques. Jeux de mémoire et d’histoire, autour de la destruction des villes normandes W. G. Sebald naît dans un petit village retiré de Bavière, quand les bombes pleuvent sur l’Allemagne. « Trop petit pour se souvenir mais incapable d’oublier », Sebald entreprend de penser le point aveugle de la mémoire allemande : les raids aériens des alliés sur les villes allemandes qui coûterons la vie à 600 000 civils. Il exhume, dans son essai manifeste De la destruction, publié en 1999, les traces et les cicatrices de la mémoire collective en se centrant sur l’expérience de la destruction comme moment décisif où tout bascule. L’après, le temps de la catastrophe, est rempli de fantômes et de ruines à la fois présents et absents, produisant des jeux de mémoire complexes qui, à leur manière, tentent de conserver le souvenir de la destruction, de la perte, tout en mettant en place des mécanismes d’oubli, de déni,  afin d’éviter la douleur liée au trauma. Nous repartirons de la problématique de Sebald en la transposant au cas des villes normandes bombardées par les « libérateurs » à partir de témoignages audio enregistrés par les Archives Départementales de la Manche.
Mot(s) clés libre(s) : catastrophe, Destruction, mémoire
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