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Titre
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Politique linguistique et politique scolaire au temps de l’assimilation forcée des Turcs de Bulgarie
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Ragaru Nadège
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Interview de Nadège RAGARU
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Ragaru Nadège
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Conférence inaugurale
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 01-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PROST Antoine
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Conférence inaugurale du séminaire scientifique l'école et la nation sur le thème : "Définition et redéfinition du national. Le roman scolaire de la nation". 1er avril 2010, Institut national de recheche pédagogique, Lyon. Mot(s) clés libre(s) : Ecole, Histoire, Nation, Patrie
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Penser la démocratie après le moment anti-totalitaire. Perspectives de théorie politique 1
/ Jean René BORELLY
/ 20-06-2016
/ Canal-u.fr
PORTIER Philippe, SCHNAPPER Dominique
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Ouverture de la conférence
- Philippe Portier directeur du GSRL
Sommes-nous entrés dans la "démocratie extrême"
Intervenante :
- Dominique SCHNAPPER DE l'EHESS Mot(s) clés libre(s) : démocratie, Rapport à l'autre, anti-totalitaire, théorie politique, pluralisme et difference
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Interview d'Yves PONCELET
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 01-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PONCELET Yves
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Interview d'Yves Poncelet dans le cadre du séminaire international l'Ecole et la Nation. Mot(s) clés libre(s) : Ecole, Histoire, Nation, Patrie
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La notion de citoyenneté
/ Mission 2000 en France
/ 31-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PICARD Etienne
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"Réjouissons-nous d'abord de ce que ce cours ait pour sujet "" La notion de citoyenneté "" plutôt que "" La citoyenneté "" tout court. Car, dans le débat contemporain, on s'entend plus pour en appeler constamment à la citoyenneté que pour l'expliciter précisément. Or, il se trouve que, plus souvent on invoque cette notion, plus elle s'obscurcit ; et que tout ce qu'elle gagne en extension, elle le perd en intention - en densité de sens. Pour tout dire, craignons que la citoyenneté ne soit bientôt victime de son succès ; comme c'est déjà un peu le cas pour d'autres notions, par exemple les droits de l'homme, qui, à force d'être invoqués pour justifier toute aspiration, tout désir, même légitimes, finissent par perdre leur portée de droits véritables. Il en va pour les notions comme pour la monnaie : l'inflation comporte toujours un effet de dévaluation. Pour commencer, nous devons donc nous arrêter quelques instants sur ce phénomène d'inflation de la citoyenneté, assez récent au demeurant, pour en mesurer l'importance et les risques, mais aussi le sens, auquel il faut demeurer attentif. Car il devrait nous mettre sur la piste d'une méthode propre à identifier la notion de citoyenneté, avec un minimum de certitude ou d'objectivité. Nous essaierons donc, dans un deuxième temps, de déterminer la notion de citoyenneté en nous référant à ce qu'est la citoyenneté en droit public français. Cela nous amènera à la situer dans le contexte général de l'ordre politique et juridique français tel qu'il s'est posé sur la base de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 puis à cerner sa propre spécificité au sein de toutes les autres notions constituant cet ordre politique et juridique. Mais cette approche, bien qu'indispensable, ne suffira pas. Car la notion de citoyenneté, telle qu'elle est établie en droit français depuis la Révolution de 1789 a naturellement évolué . Et surtout, elle subit aujourd'hui, essentiellement dans les esprits, mais déjà dans les faits, des tensions très fortes, qu'il faut connaître et essayer de comprendre, parce qu'elles peuvent soit la renouveler effectivement, soit la faire dépérir en ce qu'elle a de plus essentiel." Mot(s) clés libre(s) : citoyenneté, démocratie, droit, identité, individualité, nation, société, souveraineté
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La laïcité vue par un musulman
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 21-04-2004
/ Canal-U - OAI Archive
OUBROU Tarek
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Le principe de laïcité, inscrit dans la constitution, représente aujourd’hui un des fondements de la République française. Il repose sur deux principes : l’obligation de l’État de ne pas intervenir dans les convictions de chacun et l’égalité de tous devant la loi, quelle que soit leur religion. Mais dans le contexte actuel de réémergence du fait religieux et des revendications identitaires, comment négocier la pratique musulmane en France?La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2003-2004 sur le thème "Demain". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : coran, identification, intégration, islam, islam et état, laïcité, musulmans, religion, sécularisation
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Régulation et rôle de l'Etat
/ Mission 2000 en France
/ 11-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
OUANE Habib
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"La mondialisation a eu des manifestations qui ont suscité une demande de réactualisation du rôle de l'État. Les déséquilibres sociaux, économiques, écologiques qui ont découlé de la tentation du "" tout marché "" ont amené l'opinion publique à demander une intervention plus régulatrice de l'État. Cette régulation devrait permettre de mieux affronter les défis de la fin du XXe siècle notamment la pauvreté, la dégradation de l'environnement, le chômage, mais aussi les risques collectifs du début du troisième millénaire, tels que la sécurité alimentaire, les inégalités, le développement maîtrisé des nouvelles technologies et de la science. La dynamique régulatrice de l'État va certes se heurter à la complexité inhérente au passage d'un "" monde international "" à un monde global. L' intervention de l'État dans le cadre de l'État-Nation va donc devenir de plus en plus complexe, à cause des dictats de l'interdépendance et de la mondialisation. La nécessaire prise en charge de la cohérence des politiques économiques, sociales et écologiques, une meilleure gouvernance de l'entreprise et de la concurrence, tels sont les grands chantiers de la régulation nationale. A ceux là, il convient d'ajouter les défis de la régulation globale, notamment la réforme de l'architecture financière internationale, le rééquilibrage du système commercial multilatéral en le rendant plus équitable ainsi que le devoir de solidarité Nord-Sud. " Mot(s) clés libre(s) : état nation, mondialisation, régulation
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L'Amérique latine, éveil juridique d'un continent ? / Laure Ortiz
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2015
/ Canal-u.fr
ORTIZ Laure
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« L’Amérique latine connaît depuis trois décennies
des innovations juridiques assez remarquables pour faire des droits de l’homme,
notamment, le pivot de la régulation entre État et individus et donner une
consistance à cette notion qui inspire les nouvelles constitutions, la notion d’Etat
de droit démocratique et social, une espèce de modèle transformatif "aspirationnel"
(Santos de Sousa).
Dans quelle mesure les innovations juridiques
peuvent-elles faire avancer la cause d’une répartition plus équitable des
ressources et en quoi peuvent-elles contribuer à une innovation sociale ? ».
Pour Laure Ortiz, « la dynamique d’innovation
repose sur trois ressorts, la mise en place d’un système de droit bâti sur la
primauté des droits de l’homme dans le respect des standards internationaux les
plus favorables à la personne, les constitutions hissant le droit international
des droits de l’homme au-dessus des lois nationales en Argentine, Brésil, Colombie,
Guatemala, au Mexique, Nicaragua, Pérou...) et parfois même
au-dessus de la constitution, comme en Bolivie ou en Équateur. […] Le deuxième ressort est la reconnaissance du
multiculturalisme universaliste passé au crible d’une exigence d’effectivité. Le troisième ressort est l’activisme des
juges, notamment ceux de la Cour américaine des droits de l’homme ». S'appuyant sur le corpus juridique relatif aux
peuples indigènes et tribaux, particulièrement la constitution 169 de l’OIT de 1989, le concept
de vulnérabilité et le contentieux de la spoliation des terres,
« les juges latino-américains ont précisé des droits reconnus
à ces peuples dans la plupart des constitutions sud-américaines. En
traitant la question ethnique par une approche dialogique des droits de l’homme,
les juges latino-américains ont ouvert la voie à une judiciarisation de la
question sociale et ont ouvert la voie à un contrôle démocratique et
juridictionnel des choix de politique publique en matière d’accès et de partage
des ressources ».
L'Amérique latine, éveil juridique d'un continent ? / Laure Ortiz, in "Ressources et innovations dans les Amériques", 13e colloque international de l'Institut des Amériques organisé par l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut d'Études Politiques (IEP) de l'Université Toulouse 1-Capitole et la Maison Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015. Mot(s) clés libre(s) : droits de l'homme, primauté du droit, institutions juridiques, Amérique latine (20e-21e siècles), droits économiques, sociaux et culturels
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Le pouvoir financier
/ Mission 2000 en France
/ 09-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ORLEAN André
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Spéculations boursières, OPA, instabilités monétaires, fonds de pension, globalisation des marchés, inflation des prix d'actifs : le pouvoir financier éclate au grand jour. C'est là un constat banal. Pour aller plus loin et comprendre ce que sont les ressorts véritables de ce nouveau pouvoir, il faut au préalable analyser la manière dont se forment les prix sur les marchés financiers. Sur ce point, les hypothèses divergent. Pour la théorie économique " orthodoxe ", les cours des actions sont le reflet de la situation objective des firmes. Une analyse des évolutions boursières depuis un siècle nous conduira à une autre hypothèse : les prix sont l'expression des croyances des marchés. Cette théorie qui met l'accent sur le rôle de l'opinion voit dans le pouvoir financier contemporain un pouvoir d'essence " médiatique ". Les acteurs de ce nouveau pouvoir, ce sont les investisseurs institutionnels, ceux qui gèrent l'épargne collective des ménages, au premier rang desquels on trouve les fameux fonds de pension. Ils expriment les intérêts d'un grand nombre d'actionnaires minoritaires. En conclusion, on dira quelques mots du paradoxe d'un pouvoir qui serait aux mains des actionnaires minoritaires. Mot(s) clés libre(s) : bourse, capital, finances, investissement, spéculation
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