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7. La science politique et le développement durable
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 21-05-2015
/ Canal-u.fr
VILLALBA Bruno
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Dans cette vidéo, Bruno Villalba montre que le développement durable est une proposition politique impliquant des changements dans les modalités, les temporalités et les échelles de décision. Il discute ensuite des bénéfices et des risques des démarches engagées depuis plusieurs décennies. Mot(s) clés libre(s) : science politique, développement durable, institutions
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Le Temps de la nation noire ? Amiri Baraka et la Convention politique nationale noire de Gary (1972) / Lisa Veroni-Paccher
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
VERONI-PACCHER Lisa
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Le Temps de la nation noire ? Amiri Baraka et la Convention politique nationale noire de Gary (1972) / Lisa Veroni-Paccher, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 4 : Récits identitaires.Le poète, activiste et leader afro-américain Amiri Baraka fut, avec Richard Hatcher et Charles Diggs, un des organisateurs de la Convention politique nationale noire de Gary, dans l'Indiana, en mars 1972. Cet événement est souvent dépeint par les historiens et les chercheurs en sciences politiques comme marquant la fin des Mouvements des Droits civiques et du Black Power ou représentant une voie sans issue dans un contexte politique américain de plus en plus conservateur. Cette communication analyse le rôle d'Amiri Baraka et sa tentative de réunir sous le même toit intégrationnistes, nationalistes et radicaux noirs, dans l'espoir que la convention aiderait à promouvoir un sentiment d'unité et de solidarité parmi les Afro-américains transcendant les clivages idéologiques. Au grand désespoir de Baraka cependant, les délégués de la convention de Gary ne purent se mettre d'accord sur ce qui permettrait de garantir l'indépendance politique noire et l'unité raciale : fallait-il œuvrer en dehors ou au sein des institutions politiques en place ? Malgré ses faiblesses et ses paradoxes apparents, la Convention de Gary, par son envergure et son entreprise de création d'un programme politique spécifiquement noir, fut une expérience stimulante qui permit un instant aux partisans des stratégies de contestation et à ceux qui préféraient les stratégies électorales, de réfléchir ensemble aux alternatives offertes aux Afro-américains pour augmenter leur pouvoir politique. L'héritage d'Amiri Baraka se retrace donc dans les tentatives d'articulation et d'affirmation d'un pouvoir politique indépendant noir dans l'Amérique des années 70 et au-delà. Mot(s) clés libre(s) : Mouvement des droits civiques (Etats-Unis), Amiri Baraka (1934-2014), noirs américains (identité collective)
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Les maghrébins si loin si proche
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 11-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
VERMEREN Pierre
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Quels rapports entretiennent français et maghrébins ? Quel regard portent-ils les uns sur les autres ? Pierre Vermeren revient sur des siècles d’histoire maghrébine, ponctués d’invasions et de guerres, de rêves et de désillusions pour expliquer la complexité des rapports nord-sud.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2006-2007 sur le thème "L'autre". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : afrique du Nord (civilisation), civilisation arabe, civilisation islamique, colonies françaises, colonisation (afrique du Nord), relations afrique du nord - France
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (4)
Sarah Demart : « L'impensé des sujets postcoloniaux dans une périphérie impériale: le cas
des Congolais en Belgique »
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (3)
Pauline Vermeren : « Interroger la critique postcoloniale face au silence
sur la race en France »
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (2)
Orazio Irrera : « L'alèthurgie orientaliste: discours et subjectivation
dans L'Orientalisme de Said »
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (1)
Présentation par Azadeh Kian
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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"Politiques de l'inimitié" - Discussion autour de l'ouvrage d'Achille Mbembe
/ FMSH Production
/ 03-05-2016
/ Canal-u.fr
VERGES Françoise, MBEMBE Achille
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Discussion animée par Françoise Vergès autour de l'ouvrage d'Achille Mbembe Politiques de l’inimitié (à paraître aux éditions La Découverte le 31 mars 2016).
Cet essai explore cette relation particulière qui s’étend sans cesse et se reconfigure à l’échelle planétaire : la relation d’inimitié. S’appuyant en partie sur l’œuvre psychiatrique et politique de Frantz Fanon, Mbembe montre comment, dans le sillage des conflits de la décolonisation du xxe siècle, la guerre – sous la figure de la conquête et de l’occupation, de la terreur et de la contre-insurrection – est devenue le sacrement de notre époque.
Cette transformation a, en retour, libéré des mouvements passionnels qui, petit à petit, poussent les démocraties libérales à endosser les habits de l’exception, à entreprendre au loin des actions inconditionnées, et à vouloir exercer la dictature contre elles-mêmes et contre leurs ennemis. L’essai pose, par-delà l’humanisme, les fondements d’une politique de l’humanité.
Dans cet essai brillant et brûlant d’actualité, Achille Mbembe s’interroge, entre autres, sur les conséquences de cette inversion, et les termes nouveaux dans lesquels se pose désormais la question des rapports entre la violence et la loi, la norme et l’exception, l’état de guerre, l’état de sécurité et l’état de liberté.
Dans le contexte de rétrécissement du monde et de son repeuplement à la faveur des nouveaux mouvements migratoires, l’essai n’ouvre pas seulement des pistes neuves pour une critique des nationalismes ataviques. Il pose également, par-delà l’humanisme, les fondements d’une politique de l’humanité.
Achille Mbembe est professeur d’histoire et de science politique à l’université de Witwatersrand à Johannesbourg (Afrique du Sud). Chercheur au Witwatersrand Institute for Social and Economics Research (WISER), il enseigne également au département français et à Duke University (aux États-Unis). Il est notamment l’auteur, à La Découverte, de Sortir de la grande nuit. Essai sur l’Afrique décolonisée (2010, 2013) et de Critique de la raison nègre (2013, 2015). Mot(s) clés libre(s) : civilisation, décolonisation, sciences politiques, histoire, démocraties
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Reflets de la construction européenne. Réflexions, références, refus du débat : tables rondes
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 24-09-2010
/ Canal-U - OAI Archive
VAYSSIÈRE Bertrand
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Reflets de la construction européenne. Réflexions, références et refus du débat sur l'Europe : tables rondes. 1. L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest, mythe ou réalité ? 2. Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ?. Tables rondes animées par Jean-François Soulet (professeur d'histoire à l'Université Toulouse II, directeur du GRHI). In colloque "Reflets de la construction européenne" organisé par Bertrand Vayssière et le Groupe de Recherche en Histoire Immédiate (GRHI) du laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 22-24 septembre 2010. [colloque co-financé par l'Union européenne].Il est un fait que les débats sur l'appartenance et l'adhésion à la construction européenne ont gagné en intensité ces dix dernières années et qu'ils remettent en question bien des certitudes sur le bien-fondé de l'entreprise. Ce tournant de siècle a ainsi été "critique" pour une Europe bousculée dans ses fondements par des événements à même d'influer sur l'image qu'en ont les Européens. Ces derniers, singulièrement absents d'une aventure dont les fondements politiques avaient été oubliés au profit de la construction économique, ont ainsi eu l'occasion de revisiter, à la lumière, crue et parfois trompeuse de la crise, les mythes politiques relatifs à la citoyenneté, à la monnaie, en un mot au « vouloir-vivre » européen. Au terme du colloque, deux tables rondes sont consacrées, respectivement, à la place de l'Union européenne au niveau régional au travers de l'expérience de trois eurodéputés de la circonscription Sud-Ouest (France) et, d'un point de vue historique, à la puissance de l'Europe au plan mondial.1ère partie : L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest : mythe ou réalité ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants- Christine De Veyrac, députée européenne UMP, circonscription Sud-Ouest, France.- Kader Arif, député européen socialiste- Gérard Onesta, vice-président du Conseil régional en charge des questions européennes et ancien vice-président du Parlement européen.2ème partie : Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants :- Le poids économique de l'Europe dans le monde aujourd'hui / Philippe Mioche, professeur et directeur du Master Études Européennes à l’Université de Provence, France (voir sa page personnelle).- Puissance et capacité de négociation de l'Europe dans les instances mondiales (OMC, OIT, OMS, Haut Commissariat aux Droits de l'Homme, FMI...) / Antoine Fleury, professeur émérite de l'Institut européen de l'Université de Genève, Suisse (voir sa page personnelle).- Relations internationales : l'exemple des relations entre l'Europe et la Russie / Leszek Kuk, Directeur du Centre Scientifique de l’Académie Polonaise des Sciences à Rome et Professeur à l’Institut des Relations Internationales de l’Université Nicolas Copernic de Torun (Pologne).- L'Union européenne et l'OTAN / Thierry Grosbois, Université du Luxembourg (voir sa page personnelle).- La politique de défense et de sécurité de l'Europe / Gérard Bossuat, professeur d'histoire et chercheur au labo "Identités, Relations Internationales et Civilisations de l'Europe (IRICE)" à l'Université de Cergy-Pontoise, France (voir sa page personnelle). Mot(s) clés libre(s) : citoyenneté européenne, diplomatie européenne, euroscepticisme, politique européenne de sécurité et de défense, relations Union européenne-Russie, Union européenne (crédits budgétaires et dépenses), Union européenne (parlement européen), Union européenne
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Reflets de la construction européenne. Réflexions, références, refus du débat : tables rondes
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 24-09-2010
/ Canal-u.fr
VAYSSIÈRE Bertrand
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Reflets de la construction européenne. Réflexions, références et refus du débat sur l'Europe : tables rondes. 1. L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest, mythe ou réalité ? 2. Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ?. Tables rondes animées par Jean-François Soulet (professeur d'histoire à l'Université Toulouse II, directeur du GRHI). In colloque "Reflets de la construction européenne" organisé par Bertrand Vayssière et le Groupe de Recherche en Histoire Immédiate (GRHI) du laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 22-24 septembre 2010. [colloque co-financé par l'Union européenne].Il est un fait que les débats sur l'appartenance et l'adhésion à la construction européenne ont gagné en intensité ces dix dernières années et qu'ils remettent en question bien des certitudes sur le bien-fondé de l'entreprise. Ce tournant de siècle a ainsi été "critique" pour une Europe bousculée dans ses fondements par des événements à même d'influer sur l'image qu'en ont les Européens. Ces derniers, singulièrement absents d'une aventure dont les fondements politiques avaient été oubliés au profit de la construction économique, ont ainsi eu l'occasion de revisiter, à la lumière, crue et parfois trompeuse de la crise, les mythes politiques relatifs à la citoyenneté, à la monnaie, en un mot au « vouloir-vivre » européen. Au terme du colloque, deux tables rondes sont consacrées, respectivement, à la place de l'Union européenne au niveau régional au travers de l'expérience de trois eurodéputés de la circonscription Sud-Ouest (France) et, d'un point de vue historique, à la puissance de l'Europe au plan mondial.1ère partie : L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest : mythe ou réalité ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants- Christine De Veyrac, députée européenne UMP, circonscription Sud-Ouest, France.- Kader Arif, député européen socialiste- Gérard Onesta, vice-président du Conseil régional en charge des questions européennes et ancien vice-président du Parlement européen.2ème partie : Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants :- Le poids économique de l'Europe dans le monde aujourd'hui / Philippe Mioche, professeur et directeur du Master Études Européennes à l’Université de Provence, France (voir sa page personnelle).- Puissance et capacité de négociation de l'Europe dans les instances mondiales (OMC, OIT, OMS, Haut Commissariat aux Droits de l'Homme, FMI...) / Antoine Fleury, professeur émérite de l'Institut européen de l'Université de Genève, Suisse (voir sa page personnelle).- Relations internationales : l'exemple des relations entre l'Europe et la Russie / Leszek Kuk, Directeur du Centre Scientifique de l’Académie Polonaise des Sciences à Rome et Professeur à l’Institut des Relations Internationales de l’Université Nicolas Copernic de Torun (Pologne).- L'Union européenne et l'OTAN / Thierry Grosbois, Université du Luxembourg (voir sa page personnelle).- La politique de défense et de sécurité de l'Europe / Gérard Bossuat, professeur d'histoire et chercheur au labo "Identités, Relations Internationales et Civilisations de l'Europe (IRICE)" à l'Université de Cergy-Pontoise, France (voir sa page personnelle). Mot(s) clés libre(s) : citoyenneté européenne, diplomatie européenne, euroscepticisme, politique européenne de sécurité et de défense, relations Union européenne-Russie, Union européenne (crédits budgétaires et dépenses), Union européenne (parlement européen), Union européenne (politique économique), Union européenne (politique extérieure)
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