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Titre
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L'analyse de l'image - Martine Joly
/ UTLS au lycée
/ 09-02-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeL'analyse de l'image par Martine Joly Mot(s) clés libre(s) : cinema, photographie, publicité
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L'analyse de l'image - Martine Joly
/ UTLS au lycée
/ 09-02-2010
/ Canal-u.fr
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeL'analyse de l'image par Martine Joly Mot(s) clés libre(s) : photographie, cinéma, publicité
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A l'école, je parle deux langues - Une éducation européenne
/ Philippe THOMINE, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M)
/ 31-12-1997
/ Canal-U - OAI Archive
THOMINE Philippe
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En Italie dans le Val d'Aoste, en Alsace, en Lorraine et au Luxembourg, l’enquête sur le terrain montre différentes formes de l’enseignement bilingue précoce et révèle les capacités linguistiques exceptionnelles des jeunes enfants.Des spécialistes comme Claude Hagège, Anna Lietti et Jean Petit envisagent, dans leurs commentaires, les implications humaines, éducatives et culturelles, mais aussi linguistiques, politiques et économiques d'une telle éducation.L'école bilingue ne permet-elle pas, dès aujourd'hui, d'imaginer l'école européenne de demain ? Mot(s) clés libre(s) : bilinguisme, enseignement bilingue
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La communication du sens
/ Mission 2000 en France
/ 19-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
SPERBER Dan
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Comment les humains communiquent-ils? Selon une conception traditionnelle, ils le font grâce au langage, qui permettrait d'encoder toutes les significations communicables. La pragmatique moderne montre que bien des significations sont communiquées sans être pleinement encodées, et peut-être sans être pleinement encodables. Au ""modèle de code"", on oppose désormais un "modèle inférentiel"de la communication, selon lequel les énoncés sont des indices plutôt que des expressions directes du vouloir-dire du locuteur. A partir de ces indices et du contexte, l'auditeur infère le sens voulu. Selon la conception classique, c'est l'existence de la communication linguistique qui permet aux humains de connaître leurs pensées réciproques. Selon une conception plus récente, cet ordre causal doit être inversé : la capacité d'attribuer à autrui des états mentaux qui aura rendu possible la communication humaine.Conférence du 19 février 2000 par Dan Sperber. Mot(s) clés libre(s) : code linguistique, cognition et langage, communication, compétence de communication (linguistique), langage et langues (compréhension), pragmatique linguistique, signification (linguistique)
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Le formalisme russe cent ans après : interprétation, réception, perspectives
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
SCHAEFFER Jean-Marie, TODOROV Tzvetan, PAVEL Thomas
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Table ronde
Depuis plusieurs décennies, le formalisme russe s’est affirmé comme un héritage fondamental des sciences humaines et sociales. Nombreuses sont les découvertes majeures des formalistes et nombreux sont les acquis essentiels issus de leur travaux, ayant exercé une influence sur la recherche, directement ou indirectement, bien au-delà de la Russie et des pays slaves. Mot(s) clés libre(s) : Russie, théorie littéraire et pratiques langagières, formalisme
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Le jugement entre Gnongoro et Sofine
/ Arghyro PAOURI
/ 29-06-2007
/ Canal-u.fr
Roulon-Doko Paulette
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Il s'agit de la présentation d'un jugement
traditionnel chez les Gbaya 'bodoé, population d'Afrique Centrale. Suivant le
déroulement en temps réel du jugement, le film montre les spécificités du
traitement de la parole dans cette culture de l'oralité. Société sans hiérarchie,
on peut apprécier la libre circulation des paroles entre les femmes et les
hommes de tout âge. Le film souligne les points forts de l'argumentation des
intervenants rapprochant pour ce faire des temps de parole distants. L'argument
de la nourriture est celui qui caractérise ce jugement particulier tandis que
les arguments concernant la mère et l'enfant, le rapport aux ancêtres et la
sorcellerie sont régulièrement attestés dans tout jugement traditionnel. L'enregistrement
vidéo a été tourné en août 1992 au village de Ndongué (R.C.A.) par
l'ethnolinguiste Paulette Roulon-Doko, spécialiste de la langue et de la
culture gbaya.. Mot(s) clés libre(s) : rupture, République Centrafricaine, parole
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Penser en langues | In Sprachen denken - Hans-Jörg Rheinberger
/ FMSH Production
/ 14-03-2016
/ Canal-u.fr
Rheinberger Hans-Jörg
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2ème rencontre franco-allemande de traducteurs en sciences humaines et sciences sociales
14, 15 et 16 mars à Paris
Organisée par les Editions Maison des sciences de l'homme, la 2ème rencontre "Penser en langues | In Sprachen denken" propose d’ouvrir une plate-forme de débat sur le statut intellectuel, culturel et social de la traduction et d’initier des coopérations à long terme entre la France et l’Allemagne.
Pendant trois jours, chercheurs, traducteurs et éditeurs discuteront ensemble de la traduction comme élément constitutif de la construction d’une pensée. Outre les conférences et débats ouverts au public, la manifestation mettra également l’accent sur le travail en ateliers.
Découvrez l'intégralité du programme
Bibliothèque allemande
Dans le cadre de cette rencontre, une des dernières publications de la collection Bibliothèque allemande, Sociologie de l'espace de Martina Löw sera présentée et un débat sera organisé à l'Institut Goethe en présence de l’auteur, de Marie-Pierre Lefeuvre (Université François Rabelais, Tours / Maison des Sciences de l’Homme Val de Loire, CITERES Equipe Construction Politique et Sociale des Territoires), d’Alain Bourdin (Lab’urba – École d’urbanisme de Paris- Université de paris Est / Directeur de la Revue Internationale d’urbanisme), modération Falk Bretschneider (EHESS).
Retrouvez toutes les informations sur le site Penser en langues
Lundi, 14 mars 2016
Goethe-Institut Paris // 17, avenue d'Iéna, 75116 Paris
14h00-14h30 : Mot d‘accueil
14h30-15h45 : Heinz Wismann (EHESS) : D’une langue à l’autre: l’Odyssée de la pensée
16h15-18h : Hans-Jörg Rheinberger (Max-Planck-Institut Berlin) : Derrida übersetzen ; en
présence de son traducteur Arthur Lochmann
18h-19h : Apéritif dinatoire
19h-20h30 : Débat autour de la parution en français du livre Sociologie de
l’espace de Martina Löw aux éditions de la maison des sciences de l'homme, traduit
par Didier Renault
en présence de l’auteur, de Marie-Pierre Lefeuvre (Université François Rabelais, Tours /
Maison des Sciences de l'Homme Val de Loire, CITERES Equipe Construction Politique et
Sociale des Territoires), d’Alain Bourdin (Lab'urba - École d'urbanisme de Paris- Université
de paris Est / Directeur de la Revue Internationale d'urbanisme), modération Falk
Bretschneider (EHESS) Mot(s) clés libre(s) : sémiologie, linguistique, littérature
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Jacques Lordat (1773-1870) ou la naissance de la neuropsycholinguistique cognitive. Du vitalisme au cognitivisme ? / Jean-Luc Nespoulous
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-07-2015
/ Canal-u.fr
NESPOULOUS Jean-Luc
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Jacques Lordat (1773-1870) a fait une exceptionnelle carrière, d’une
cinquantaine d’années, à la Faculté de Médecine de Montpellier, dont il
fut un temps Doyen. Très tôt, il s’intéressa aux troubles du langage
consécutifs à des crises d’apoplexie (cf. sa description des troubles
manifestés par son collègue médecin et naturaliste, Pierre Marie
Auguste Broussonnet (1761-1807).
Ses observations le conduisirent à
une modélisation des différentes étapes de l’acte de parole –de sa
conception initiale jusqu’à sa réalisation ultime par les organes de la
phonation (à la manière d’un Garrett ou d’un Levelt)– et ce plusieurs
années avant qu’il ne souffre lui-même d’une aphasie transitoire (1825)
qui ne manqua pas d’alimenter la poursuite de sa réflexion sur le sujet
jusqu’à la fin de sa carrière.
Indiscutablement, Jacques Lordat fait rétrospectivement figure de fondateur de la neuropsycholinguistique cognitive.
* Diffusion de l'intégralité de la conférence organisée par le laboratoire Octogone à l'occasion du 25ème anniversaire du Laboratoire Lordat, à l'Université Toulouse-Jean Jaurès, le 9 juillet 2015. Mot(s) clés libre(s) : troubles du langage, neuropsycholinguistique, Jacques Lordat (1773-1870), recherches en sciences cognitives
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Un JE en construction - Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS Lyon
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 12-12-2008
/ Canal-u.fr
MORGENSTERN Aliyah
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Construction de la personne et auto-désignation chez l'enfant de 18 mois à 3 ans
Parler nous paraît aussi naturel que respirer, mais l’entrée de l’enfant dans la langue, aussi ancrée soit-elle dans son quotidien, fascine poètes, philosophes, biologistes, psychologues, médecins et linguistes et reste un processus encore auréolé de mystère malgré des milliers de pages de littérature sur la question.
Travailler sur l’acquisition, c’est aborder « l’enfant dans la langue » et donc à la fois s’émerveiller qu’un enfant puisse entrer dans le langage et aller aux racines de l’activité du linguiste. En suivant pas à pas l’entrée de l’enfant dans la langue, on peut observer directement comment le discours, l’histoire de l’enfant, son expérience, ses émotions, ses jeux, ses relations aux autres et au monde, l’aident à façonner sa grammaire et à se construire en tant que personne et sujet-parlant.
À la croisée de la linguistique de l'énonciation et de l'acquisition du langage, cette présentation avait pour objectif de développer des hypothèses sur le cheminement de l'enfant apprenti-énonciateur, à partir d'une analyse de la genèse de l'auto-désignation. L'enfant peut assimiler très tôt les représentations de lui-même que lui proposent verbalement les adultes et les reformuler dans son propre discours. Il est donc intéressant de se pencher sur l'acquisition des marques de première personne et notamment le phénomène du "renversement pronominal" (emploi de tu ou de il à la place de je), qui se rencontre au cours de la troisième année chez des enfants "tout venants", et disparaît au bout de quelques mois. L'analyse des conditions dans lesquelles ces renversements apparaissent et disparaissent peut nous éclairer sur la façon dont l'enfant arrive à différencier le moi et l'autre, à construire son identité dans l’altérité.
A la fin du processus d’acquisition, vers trois ans, l’enfant conjoint sujet de l’énoncé, sujet énonciateur, sujet sémantique, sujet de conversation dans une seule forme, JE, mais il lui a fallu passer par un mouvement de disjonction de ces différents plans en produisant différentes marqueurs s’écartant de la forme adulte avant de les conjoindre. L’enfant va comprendre que ces différentes facettes de lui-même qu’il a marquées par des formes différentes, (forme verbale nue, voyelle préverbale, tu, il, moi, je) n’altèrent en rien l’unité de son identité. Au terme du processus, l’enfant est énonciateur à part entière, il est capable de parler de lui en se jugeant à travers ce qu’il a été, ce qu’il est, ce qu’il aimerait être et ce qu’il sera dans le temps. Il s’est dégagé de l’autre et de sa parole, il s’est taillé sa place dans la co-énonciation.
Directeur de la production : Christophe Porlier
Interview et réalisation : Pascal Grzywacz
Image et montage : Sébastien Boudin
Encodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : langage, identité, enfant, acquisition, moi infantile
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Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS Lyon - Un JE en construction
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 12-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MORGENSTERN Aliyah
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Construction de la personne et auto-désignation chez l'enfant de 18 mois à 3 ansParler nous paraît aussi naturel que respirer, mais l’entrée de l’enfant dans la langue, aussi ancrée soit-elle dans son quotidien, fascine poètes, philosophes, biologistes, psychologues, médecins et linguistes et reste un processus encore auréolé de mystère malgré des milliers de pages de littérature sur la question. Travailler sur l’acquisition, c’est aborder « l’enfant dans la langue » et donc à la fois s’émerveiller qu’un enfant puisse entrer dans le langage et aller aux racines de l’activité du linguiste. En suivant pas à pas l’entrée de l’enfant dans la langue, on peut observer directement comment le discours, l’histoire de l’enfant, son expérience, ses émotions, ses jeux, ses relations aux autres et au monde, l’aident à façonner sa grammaire et à se construire en tant que personne et sujet-parlant. À la croisée de la linguistique de l'énonciation et de l'acquisition du langage, cette présentation avait pour objectif de développer des hypothèses sur le cheminement de l'enfant apprenti-énonciateur, à partir d'une analyse de la genèse de l'auto-désignation. L'enfant peut assimiler très tôt les représentations de lui-même que lui proposent verbalement les adultes et les reformuler dans son propre discours. Il est donc intéressant de se pencher sur l'acquisition des marques de première personne et notamment le phénomène du "renversement pronominal" (emploi de tu ou de il à la place de je), qui se rencontre au cours de la troisième année chez des enfants "tout venants", et disparaît au bout de quelques mois. L'analyse des conditions dans lesquelles ces renversements apparaissent et disparaissent peut nous éclairer sur la façon dont l'enfant arrive à différencier le moi et l'autre, à construire son identité dans l’altérité. A la fin du processus d’acquisition, vers trois ans, l’enfant conjoint sujet de l’énoncé, sujet énonciateur, sujet sémantique, sujet de conversation dans une seule forme, JE, mais il lui a fallu passer par un mouvement de disjonction de ces différents plans en produisant différentes marqueurs s’écartant de la forme adulte avant de les conjoindre. L’enfant va comprendre que ces différentes facettes de lui-même qu’il a marquées par des formes différentes, (forme verbale nue, voyelle préverbale, tu, il, moi, je) n’altèrent en rien l’unité de son identité. Au terme du processus, l’enfant est énonciateur à part entière, il est capable de parler de lui en se jugeant à travers ce qu’il a été, ce qu’il est, ce qu’il aimerait être et ce qu’il sera dans le temps. Il s’est dégagé de l’autre et de sa parole, il s’est taillé sa place dans la co-énonciation. Directeur de la production : Christophe PorlierInterview et réalisation : Pascal GrzywaczImage et montage : Sébastien BoudinEncodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : acquisition, enfant, identité, langage, moi infantile
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