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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : ouverture et présentation / Anne Rohr, Élise Leroy
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
LEROY Élise, ROHR Anne
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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : ouverture et présentation / Anne Rohr, Élise Leroy, in Journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et l'équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique du laboratoire Cognition, Langue, Langages, Ergonomie (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014. [Conférence en français traduite en langue des signes française par Katia Abbou]. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, enfants sourds, langue des signes française, adultes sourds
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Langue des signes française : quelle évaluation pour une langue sans écriture ? [st LSF] / Élise Leroy, Jean-Louis Brugeille
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LEROY Élise, BRUGEILLE Jean-Louis
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Langue des signes française : quelle évaluation pour une langue sans écriture ? / Élise Leroy, Jean-Louis Brugeille, in in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015. Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015. * Version sous-titrée en Langue des Signes Française.La Langue des Signes Française (LSF) est aujourd'hui reconnue comme une langue à part entière et de fait comme langue enseignée. Mais sa reconnaissance comme langue d'enseignement reste encore difficile, ce qui peut, comme nous le verrons de manière transversale lors de cette présentation, poser différents problèmes aussi. Pourtant de nombreuses évolutions ont découlé du texte de loi de février 2005 relatif à l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. En effet, dès la rentrée scolaire en septembre 2008, des programmes d'enseignement de la LSF ont été édictés pour un enseignement de langue 1 et de langue 2, dans le premier et second degré -notamment dans le cadre des épreuves facultatives aux baccalauréat et BTS. Il est important toutefois de signaler que des classes où l'enseignement est fait en LSF de la maternelle au lycée existe depuis 1984 en France. Le groupe ministériel chargé de l'élaboration des programmes d'enseignement s'est donc appuyé sur ces expériences du terrain. Par ailleurs, les concours du CAPES de LSF (Certificat d'Aptitude au Professorat de l'Enseignement du Second degré) ont été mis en place également dès l'année scolaire 2009-2010. Depuis cette création, les épreuves du CAPES -comme ceux du Diplôme de compétence en langue (DCL)- et les critères d'évaluation n'ont eu cesse d'être modifiés pour s'adapter au mieux à cette langue visuo-gestuelle, sans écriture (au sens graphique du terme). De même, il faut noter qu'il n'existe pas à ce jour de référentiel détaillé pour la langue des signes française. Seule une ébauche dans le cadre de l'adaptation du CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues) avait été produite en 2002. Comment donc concevoir des critères d'évaluation adaptés au vu du format des concours proposés ? Il s'agit de soulever, dans le cadre de la justice basée sur des normes collectives et une justesse fondée sur la prise en compte des singularités du
public -les sourds entre autres, des réflexions quant à l'accès des sourds au
français écrit, que nous considérons comme langue seconde pour ce public. Dans cette communication, Élise Leroy et Jean-Louis Brugeille montrent les pistes et solutions d'évaluation pensées dans ce cadre, tout en tenant compte d'une part, de la problématique singulière de l'hétérogénéité du public des candidats (apprentissage divers de la LSF, langue
1 vs langue 2…) et, d'autre part, du caractère singulier de la langue. Il
s'agit, autrement dit, d'expliciter l'innovation des épreuves de ce concours faites au moyen de la LS-vidéo.
En effet, la vidéographie semble être aujourd'hui le moyen de palier l'absence de forme écrite pour cette langue, en remplissant la quasi totalité des fonctions de la lecture/écriture graphique, mais des critères d'évaluation ont dû être inventés tenant compte des compétences techniques et linguistiques que cela implique. Enfin est évoqué un recul sur l'évolution des épreuves au CAPES en montrant les contraintes (éducatives, sociales et politiques) encore rencontrées face à ce jeune concours. Mot(s) clés libre(s) : langue des signes, évaluation en éducation, vidéo (outil d'évaluation), Certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement du second degré
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Phonologie et cognition
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 14-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LAKS Bernard
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Conférence du 14 février 2000 par Bernard Laks. La phonologie analyse l'organisation de la composante sonore du langage. La conférence illustrera l'aspect cognitif et mental de ce fonctionnement phonologique. Les représentations mentales du signe sonore sont constituées par des catégories arbitraires et abstraites, les phonèmes. Selon les langues, le nombre et les limites de ces catégories sont très variables. On en donnera des exemples. Malgré cette diversité, les langues humaines sont extrêmement semblables. La conférence illustrera l'approche "Principes et Paramètres" qui rend compte à la fois de l'universalité de la compétence linguistique de l'espèce et de la paramétrisation singulière qu'on observe langue à langue. Enfin, les représentations mentales abstraites que manipule notre compétence de locuteur ne sont pas linéaires. Leur structure interne et leur architecture cognitive expliquent un grand nombre de processus phonologiques observés. On en prendra des exemples dans diverses langues. Mot(s) clés libre(s) : communication, langage et langues, langues (diversité), linguistique cognitive, phonologie (aspect cognitif), représentations mentales, sciences cognitives, signe (linguistique)
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Apprendre à lire quand on est sourd / Marie-Thérèse L'Huillier
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
L'HUILLIER Marie-Thérèse
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Apprendre à lire quand on est sourd / Marie-Thérèse L'Huillier, in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit",
journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du
professorat et de l'éducation (ESPE Toulouse), le département Sciences du langage et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, ergonomie,
Équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique (CLLE-ERSS)
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014. [Conférence en langue des signes française traduite en français par Katia Abbou]. Mot(s) clés libre(s) : langue des signes, lecture (apprentissage), enfants sourds
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Traduire les images du Goulag : problème de fidélité et d'opacité / Liuba Jurgenson
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 25-03-2016
/ Canal-u.fr
JURGENSON Liuba
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Traduire les images du Goulag : problème de fidélité et d'opacité / Liuba Jurgenson, conférence dans le cadre des journées d'études "Introduction à la traductologie" organisées sous la direction scientifique de Vladimir Beliakov (section de slavistique du département Langues étrangères) et du laboratoire LLA-Creatis de l'Université Toulouse Jean Jaurès, le 25 mars 2016.
Parce qu'il se réfère au réel, dans un rapport au vécu particulier, le témoignage se trouve être un texte dont la langue de l'original constitue un contexte indissociable de la création du texte. En ce qui concerne les témoignages sur le Goulag, dans les textes traduits du russe, l"événement lui-même a été vécu dans la langue russe y compris par des sujets non russes. Lorsque l'on va traduire ses textes vers une autre langue, ce sont non seulement les modalités de transposition, que le traducteur va élaborer individuellement, qui vont compter, mais aussi la culture d'accueil qui participe de l'élaboration de l'événement. Dans cette communication, Liuba Jurgenson questionne le statut du témoignage comme construction d'une trace sur l'héritage des violences extrêmes, les mécanismes de transmission de textes qui voulaient faire preuve du système concentrationnaire russe, la traduction du témoignage, parfois 40 à 50 ans après la publication du texte original.
« On sort des problématiques purement traductologiques et purement littéraires, puisque la traduction va participer de l'élaboration de l'événement dans une culture donnée. La construction de l'événement Goulag dans la culture française s'est faite à partir de traductions, elle ne s'est pas faite à partir de textes originaux. Réfléchir sur la traduction va plus loin que les simples questions techniques de vocabulaires ou de style (...) Une autre question quand on passe de l'original à la traduction, est que cette mise en mots, ce passage de l'écrit des survivants a souvent été pensé par eux-mêmes comme une sorte de traduction, vers une langue autre que celle du vécu. Les témoignages eux-mêmes sont traversés par une réflexion sur l'impossibilité de restituer une expérience trop violent, trop dure, une expérience qui suppose une dissolution du sujet, d'absence du sujet à lui-même ». Faire l'épreuve d'un intraduisible relève t-il de la traduction, comment traduire cette dimension justement intraduisible ?
Le témoignage, habituellement considéré comme une source primaire par un historien, un sociologue ou un anthropologue, est-il encore une source primaire lorsque il a été traduit, même le plus fidèlement possible ? « Il y a toujours une médiation qui tire les textes hors de leur origine apportant une sorte d'indistinction entre source primaire et source secondaire ». Enfin, dit Liuba Jurgenson, « pour réfléchir au témoignage et à la traduction u témoignage, on evrait interroger aussi le rapport que notre culture entretient avec la vérité ». Mot(s) clés libre(s) : pratique de la traduction, récit (témoignage), interprétation (traduction), récits de détention russes
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EyeDance : Le regard en performance
/ Thomas GUIFFARD
/ 24-08-2016
/ Canal-u.fr
JOUFFLINEAU Coline
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Présentation et retour sur l'installation performative et expérimentale. Dans le cadre du projet Labodance en collaboration avec Mélanie Perrier. Mot(s) clés libre(s) : regard, improvisation, performance (art)
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Traduire le journal de guerre / Hilda Inderwildi
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-02-2016
/ Canal-u.fr
INDERWILDI Hilda
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Traduire le journal de guerre / Hilda Inderwildi, in colloque "Austro-allemandes à Garaison. L’internement à la lumière des journaux de guerre", organisé par le Centre de Recherches et d'Études Germaniques (CREG)
en partenariat avec l’établissement Notre-Dame de Garaison et les
Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Université Toulouse
Jean-Jaurès, 19 février 2016.
En 1914 est installé dans le collège religieux Notre-Dame de Garaison
(Monléon-Magnoac) un camp d’internement où sont regroupées de
nombreuses familles austro-allemandes et ottomanes se trouvant sur le
territoire français au moment de la déclaration de guerre. Trois
internées originaires d’Allemagne et d’Autriche, notamment, font le
récit de leur passage à Garaison dans des ouvrages publiés dès après
leur rapatriement en Allemagne.
Dans cette communication qui se présente comme un journal de bord de la traduction, Hilda Inderwildi, co-traductrice en français de deux des récits de détenues de Garaison, expose la manière dont elle travaillé, pourquoi elle a souhaité découvrir la topographie du camp de Garaison, comment elle a pu se créer des images et représentations du quotidien de ces détenues pour lui permettre un travail de traduction le plus précis possible, à la fois comme une enquête historique et un travail d’archive. Elle présente aussi les aspects littéraires des deux journaux en proposant de les considérer également du point de vue de l’histoire des femmes et d’en examiner la dimension genrée. Mot(s) clés libre(s) : traduction et interprétation, détenues de camp d'internement, pratique de la traduction, récits de détention
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Le cerveau, le langage, le sens - Galina Iakimova
/ UTLS au lycée
/ 04-12-2007
/ Canal-U - OAI Archive
IAKIMOVA Galina
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L’étude des interrelations entre le cerveau, le langage et le sens sera l’occasion pour Galina Iakimova de présenter certaines méthodes de recherche utilisées en psychologie scientifique et de revenir sur le caractère pluridisciplinaire de la psychologie.Une conférence de l'UTLS au lycéeLycée Pierre et Marie Curie (06 Menton) Avec Galina Iakimova (maître de conférences en psychologie cognitive) Mot(s) clés libre(s) : cerveau (physiologie), cognition et langage, linguistique, localisation cérébrale, neurolinguistique, psycholinguistique, psychologie appliquée, sciences du langage, sens (linguistique), signifiant et signifié
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Demain, l’écriture
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 07-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
HERRENSCHMIDT Clarisse
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Comment définir l’écriture aujourd’hui ? C’est à cette question que tente de répondre Clarisse Herrenschmidt en apportant des exemples explicites de la transformation majeure de l’écriture et des signes dans les 20 dernières années avec l’émergence des nouvelles technologies et l’usage de plus en plus diffus de l’ordinateur. Cette révolution graphique se traduit par la transformation de l’écriture en information: à un caractère ou une police correspond un nombre traduit par la machine. Contrairement au langage humain, le langage informatique n’est pas ambigu; il est le produit de la logique informatisée et permet par un ensemble écrit de caractères, de mots, de donner des instructions à l’ordinateur. Cette transformation sémiologique en écriture informatique et téléinformatique change notre mode de pensée et nos habitudes de travail. Nous traitons aujourd’hui la langue, les nombres et la monnaie (via la carte bleue) avec le même outil : l’ordinateur. Dès le départ, la machine a été pensé comme un cerveau informatique; l’organe de pensée humain a été externalisé et projeté dans un artéfact qui est une machine à signes. Mais pour Clarisse Herrenschmidt les interrogations sont ailleurs : que vaut la parole humaine ? Les usages de la parole se sont affadis, aplatis, au détriment des variations infinies que propose une langue. Comment allons-nous parler ? toujours de façon plate et dé-symbolisée ou assisterons-nous à un redéploiement des possibilités ?La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2007-2008 sur le thème "Demain, Après-demain". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : écriture, interaction homme-ordinateur, langage humain, langage informatique, linguistique, sémiologie, signe, traitement automatique du langage naturel
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Instruments et résultats : présentation de Weblex
/ ENS-LSH/SCAM
/ 15-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
HEIDEN SERGE
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéSerge Heiden présente ici les fonctionnalités du logiciel Weblex, outil d'analyse automatique des textes, qui met en oeuvre la méthode lexicométrique. Cette dernière se fonde sur l'hypothèse de la valeur heuristique accordée à la fréquence d'apparition des formes. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : analyse du discours, informatique, lexicométrie, linguistique, Weblex
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