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Le gyrofibre aujourd'hui : des applications allant du sous-marin au spatial
/ Lycée Felix Le Dantec, Foton, Enssat
/ 18-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LEFEVRE Hervé
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Le gyrofibre aujourd'hui : des applications allant du sous-marin au spatialVous pouvez télécharger le diaporama de cette conférence sur le site A la lumière du laser Mot(s) clés libre(s) : 50 ans ; laser ; gyrofibre ; gyromètre ; gyroscope ; fibre optique
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De l'effet Sagnac au gyromètre à fibre optique
/ Physique au Printemps 2008, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 19-03-2008
/ Unisciel
Lefèvre Hervé
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Une conférence d'Hervé Lefèvre, de la société iXCore/iXSea
(Marly-le-Roi), présentée dans le cadre de « Physique au Printemps » 2008 sur le thème « La rotation, le spin », 19 mars 2008.
Présentation de l'effet Sagnac, application avec le gyromètre à fibre optique. Mot(s) clés libre(s) : effet Sagnac, gyromètre, laser, fibre optique, rotation, vitesse de rotation, réciprocité, interférences lumineuses, interférence, différence de marche
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Le traitement du temps en automatique (cycle de cours et séminaires du collège de France en extérieur)
/ Région PACA, UNS, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, INRIA (Institut national de recherche en informatique et automatique)
/ 15-01-2014
/ Canal-u.fr
Leblond Juliette
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Ce séminaire est associé au 1er cours à l'extérieur de Gérard Berry pour
le collège de France intitulé "Esterel et SCADE, de la recherche à
l'industrie : la vision labo"
Nous discuterons de différents modèles et traitement de problèmes d'automatique dans lesquels le temps joue un rôle essentiel. Après quelques rappels historiques, nous introduirons les modèles mathématiques classiques des systèmes dynamiques, qui s'expriment par des relations entre le temps continu ou discret, les entrées du système en fonction du temps, ses sorties, et son état interne. Le traitement technique de ces quantités dépend d'hypothèses sur le comportement en espace et en temps du modèle considéré. Les descriptions dites externes relient directement la sortie du système à ses entrées et au temps, tandis que les représentations internes font revenir aussi son état. Comme en physique, ce sont souvent des équations différentielles ordinaires (EDO) ou des équations aux dérivées partielles (EDP), avec éventuellement la présence de retard. Dans le cas linéaire, la description externe est une relation de convolution netre l'netrée et la sortie.
Nous verrons comment ces modèles temporels se prêtent à la formulation de propriétés de causalité, d'invariance dans le temps, de linéarité, de stabilité, de commandabilité, d'observabilité et d'optimalité en insistant sur des exemples linéaires et stationnaires : comment garder son cap en boucle ouverte ou fermée, comment planifier des trajectoires en temps minimal, comment stabiliser des structures fléxibles. Pour faire le lien avec le séminaire suivant , nous reformulerons ces questions en l'absence du temps, caché par diverses transformations temps-fréquence. Mot(s) clés libre(s) : invariance
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Les applications des lasers à fibre et des technologies fibrées
/ Lycée Felix Le Dantec, Foton, Enssat
/ 09-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LE BOUDEC Patrice
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Toutes les technologies développées pour les télécommunications dans les années 2000 sont maintenant utilisées de plus en plus dans toute une palette d’applications et de secteurs industriels. En effets la diminution des coûts des composants et l’éventail très large des technologies disponibles ont permis l’ouverture de nouveaux marchés, principalement en instrumentation. Quelques applications seront présentées dans des domaines aussi variés que la défense, le médical, l’industrie ou l’agriculture.Vous pouvez télécharger le diaporama de cette conférence sur le site A la lumière du laser Mot(s) clés libre(s) : 50 ans, applications, fibre optique, laser
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/ UTLS LA SUITE, UTLS - la suite
/ 26-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LE BIHAN Denis
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L'imagerie par Résonance Magnétique (IRM) permet depuis une vingtaine d'année de produire des images de l'anatomie statique' du cerveau, c'est-à-dire des coupes virtuelles montrant les détails des structures cérébrales (matière grise, matière blanche) avec une précision millimétrique. Cette imagerie anatomique' est utilisée par les radiologues pour la détection et la localisation de lésions cérébrales. Plus récemment, l'IRM est aussi devenue fonctionnelle' (IRMf), montrant l'activité des différentes structures qui composent notre cerveau. L'imagerie neurofonctionnelle par IRMf repose sur deux concepts fondamentaux. Le premier, soupçonné depuis l'Antiquité mais clairement mis en évidence au siècle dernier par les travaux du chirurgien français Paul Broca, est que le cerveau n'est pas un organe homogène, mais que chaque région est plus ou moins spécialisée dans sa fonction. Le deuxième, suggéré par l'anglais Sherrington à la fin du siècle dernier, est que les régions cérébrales actives à un moment donné voient leur débit sanguin augmenter. C'est cette augmentation locale et transitoire de débit sanguin, et non directement l'activité des neurones, qui peut être détectée par l'IRMf et par la caméra à émission de positons (autre méthode d'imagerie neurofonctionnelle). En pratique, il suffit donc d'acquérir des images représentant le débit sanguin en chaque point de notre cerveau quand il exécute une tâche particulière (motrice, sensorielle, cognitive,...) et dans une condition de référence neutre. A l'aide d'un traitement informatique de ces images, on peut extraire les régions cérébrales pour lesquelles le débit sanguin a changé entre la condition de contrôle et l'exécution de la tâche et en déduire que ces régions ont participé à cette tâche. Ces régions sont reportées en couleurs sur l'anatomie cérébrale sous-jacente. Bien que l'imagerie neurofonctionnelle, aujourd'hui, ne permette pas de descendre à l'échelle des neurones, les exemples rassemblés dans ces pages tendent à montrer que les circuits cérébraux utilisés par l'activité de pensée' sont communs avec ceux utilisés par des processus de perception ou d'action réels. Ce résultat n'est pas surprenant a priori, si on considère que certaines formes de pensée (créer et voir une image mentale, imaginer une musique, inventer une histoire, évoquer des souvenirs...) ne sont autres que des simulations ou reproductions internes d'évènements que nous avons vécus ou que nous pourrions vivre. Au delà de l'identification des régions impliquées dans les processus cognitifs, des travaux en cours laissent présager qu'un jour nous pourrions peut-être même avoir accès en partie à la nature de l'information traitée par les différentes régions de notre cerveau, et donc, d'une certaine manière, à une petite fraction du contenu de nos pensées... Mot(s) clés libre(s) : anatomie cérébrale, Broca, cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, language, matière blanche, matière grise, motricité, neuroimagerie, neurone, neuroscience, pensée, région cérébrale, She
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Le cerveau de cristal: apport du magnétisme à l'imagerie cérébrale - Denis Le Bihan
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LE BIHAN Denis
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Une conférence du cycle "le magnétisme aujourd’hui : du pigeon voyageur à la spintronique" Le cerveau de cristal: apport du magnétisme à l'imagerie cérébraleDenis Le BihanDirecteur de Neurospin, Membre de l’Académie des sciences, CEA Saclay Mot(s) clés libre(s) : cerveau, imagerie médicale, Magnétisme
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Images des nanosciences et de leurs acteurs dans les médias / Sylvie Laval, Muriel Lefebvre
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LAVAL Sylvie, LEFEBVRE Muriel
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Entre visibilité et invisibilité : images des nanosciences et de leurs acteurs dans les médias / Sylvie Laval, Muriel Lefebvre. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 5 : Transpositions et interprétations. Du macro au nano et inversement : quelles transpositions et interprétations pour le scientifique, l'artiste et le public ?, 10 décembre 2010. La recherche sur les nanosciences est à l’interface entre sciences et technologies, entre chimie, physique et biologie. Se pose alors la question des représentations visuelles de ce domaine situé à un carrefour de plusieurs disciplines scientifiques. Cet univers pluriel en rupture avec les frontières traditionnelles interroge directement l’identité des chercheurs. Comment ces chercheurs apparaissent-ils dans l’imagerie des nanos ? Sur quels objets travaillent-ils ? Comment rendre visible au grand public les spécificités de leurs domaines et de leurs démarches ? Pour aborder ce questionnement, les intervenantes étudient un corpus d’images extraites respectivement de deux sources : le CNRS et la revue "La Recherche". Le Cnrs Images, rattaché à la Direction de la communication, a pour mission de témoigner de la recherche (notamment celle conduite au sein du CNRS) par la photographie et l’audiovisuel. Nous confronterons ce corpus aux représentations visuelles proposées par la revue "La Recherche" dans ses articles sur les nanosciences parus entre 2003 -date à laquelle la question des recherches en nanosciences commencent à être médiatisées- et 2010. Ces communications interrogent d'abord sur le type d’images fixes proposées (virtuelles ou non, photographiques ou non, schématiques ou non, etc.) et analyse ce que ces images représentent (s’attachent-elles aux matériaux, montrent-elles les innovations technologiques, un processus, etc.). Comment ces images donnent-elles à voir les chercheurs ? Dans un deuxième temps, la question posée est à quoi servent ces images ? Ont-elles une valeur scientifique, une valeur informative ou illustrative ? En convoquant l’approche de Bessy & Chateauraynaud, Sylvie Laval et Muriel Lefebvre questionnent le rôle de prise ou d’emprise sur l’objet scientifique. A travers ces questionnements, seront posés les partis pris des photographes et des institutions pour mettre en scène de manière visuelle mais également esthétique les nanosciences et les acteurs de la recherche en nous demandant si la photographie permet de poser les questions éthiques et sociétales associées aujourd’hui à toute recherche sur les nanosciences. Mot(s) clés libre(s) : imagerie scientifique (interprétation), nanosciences (représentation), sémiologie de l'image
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Un regard géométrique sur l’action anthropomorphique
/ Région PACA, UNS, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, INRIA (Institut national de recherche en informatique et automatique), Mathieu Minazio
/ 17-12-2015
/ Canal-u.fr
Laumont Jean-Paul
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Partant d’une perspective purement mécanique, un système
anthropomorphe (un homme ou un robot humanoïde) est un système à la fois
redondant et sous-actionné. Il est redondant par rapport à la
quasi-totalité des actions qu’il a à effectuer du fait qu’il possède un
grand nombre de degrés de liberté (une trentaine de moteurs pour un
robot humanoïde, plus de six cents muscles pour un humain). Il y a par
exemple plusieurs manière de prendre un même objet. Il est sous-actionné
car il ne possède pas de moteur qui lui permettrait directement de se
déplacer d’un lieu à un autre. Pour se déplacer, il doit jouer sur sa
posture et actionner ses membres de manière cyclique ; c’est le rôle de
la locomotion. Agir sur le monde requiert ainsi la combinaison des deux
fonctions motrices fondamentales : le déplacement et la manipulation. La
locomotion sera abordée dans deux dimensions : l’étude de la forme des
trajectoires locomotrices par commande optimale inverse et l’étude de
différents schémas de contrôle. La manipulation est du ressort de
l’algèbre linéaire et de l’optimisation numérique.
Nous verrons comment les lois de mouvements permettent de signer les
actions et nous jetterons en conclusion les bases d’une recherche
pluridisciplinaire plaçant l’écriture du mouvement comme base possible
d’une représentation de l’action. Mot(s) clés libre(s) : robotique, action, planification, mouvement robot
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Territoires de l'innovation et de la compétitivité en région PACA : le
projet ITER, de l'international au local
/ Sylviane Tabarly, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 26-01-2009
/ Unisciel
Languillon-Aussel Raphëlle
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Un lien vers un article du site Géoconfluences consacré à l'impact du
projet ITER (International tokamak experimental reactor) sur la région de Manosque et de
façon plus large sur la région PACA. Le point de vue de géographes sur un projet qui n'est
pas seulement une aventure scientifique et technique. Mot(s) clés libre(s) : fusion, fusion nucléaire, fusion thermonucléaire, iter, fusion magnétique, tokamak, tritium, deutérium, tore magnétique, Manosque, Cadarache
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De la lumière laser aux atomes ultrafroids
/ Laboratoire Kastler Brossel, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 31-08-2002
/ Unisciel
L'équipe "atomes ultrafroids", Cohen-Tannoudji Claude
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Les lasers, le refroidissement d'atomes par laser et leurs
applications (horloges atomiques ultraprécises, interférences atomiques, condensat
de Bose-Einstein...) expliqués par l'équipe du prix Nobel 1997, Claude
Cohen-Tannoudji. Mot(s) clés libre(s) : laser, Claude Cohen-Tannoudji, atomes froids, horloges atomiques, interférences atomiques, condensation de Bose-Einstein
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