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VDW / Marie-Hélène Bouju et Christophe Ruetch
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BOUJU Marie-Hélène, RUETSCH Christophe
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VDW / Marie-Hélène Bouju et Christophe Ruetch. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 5 : Transpositions et interprétations. Du macro au nano et inversement : quelles transpositions et interprétations pour le scientifique, l'artiste et le public ?, 10 décembre 2010.Présentation de deux créations présentées dans le cadre du colloque : la danse des Ferro-Fluides (musique pour une matière "réactive") et VDW, performance danse/musique élaborée avec la danseuse Marie-Hélène Bouju à partir de la théorie des forces de Van Der Waals. Pour cette performance, le travail chorégraphique fondamental s'appuie sur la mobilité du poids dans un contexte où les repères essentiels sont absents.> Communications suivies d'un débat avec le public ainsi que du film de la performance VDW présentée à la Fabrique culturelle de l'université du Mirail, le 8 décembre 2011 à l'occasion du colloque. Mot(s) clés libre(s) : arts et sciences, chimie moléculaire (réception et influence), création artistique (21e siècle), danse contemporaine (21e siècle), musique électro-acoustique, nanosciences (influence)
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Tunnel ultra-vide
/ Christine AZEMAR
/ 17-05-2016
/ Canal-u.fr
Bouisset Eric
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L’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay (ISMO) est l’étude
expérimentale et théorique des processus résultant de l’interaction de
sources avec des espèces moléculaires. L’Institut dispose pour cela
d’une instrumentation importante en ce qui concerne la production des
espèces ou leurs détections et ainsi répondre aux attentes des
chercheurs pour les différentes applications développées au laboratoire.
L'équipe Services Techniques de l’ISMO a conçu et réalisé un tunnel, dans un vide ultra poussé, long de 14 m , destiné aux transferts d'échantillons d'une expérience à l'autre. Mot(s) clés libre(s) : technique du vide, ISMO, physique moléculaire, tunnel ultra-vide
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Physique de pointes (1997)
/ Michèle BREDIMAS
/ 01-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
BONNET Jean-Jacques, CHEVALIER Pierre, RUMEBE Gérard
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Phonographe, microsillon, enclume diamant, fractales, poste à galène, piège de Paul, paratonnerre : autant d'applications de la physique des pointes.GénériqueAuteurs : Jean-Jacques Bonnet, Pierre chevalier et Gérard Rumebe Réalisation : Michèle Brédimas Images : Jean-Paul Flourat et Nathalie Laurenceau Montage : André Brydges Copyright UPMC / SFP 1997 Mot(s) clés libre(s) : enclume, fractale, paratonnerre, pointe
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La « force » de l'eau
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 07-10-2004
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Comment se situe l'énergie de l'eau par rapport aux autres sources
d'énergie ? Comment est-elle utilisée en France ? Quel avenir pour l'eau en tant que
source d'énergie ? Mot(s) clés libre(s) : eau, électricité, centrale hydroélectrique, énergie hydraulique, énergie nucléaire, énergie fossile, centrale thermique, ITER, surgénérateur, fusion nucléaire, deutérium, tritium, usine marémotrice, centrale marémotrice
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Fusibles et disjoncteurs
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 08-02-2005
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Cet article analyse divers systèmes de protections des hommes et
des installations : fusibles, disjoncteurs thermiques et magnétiques et disjoncteurs
différentiels, et montre l'intérêt de chacun de ces appareils. Mot(s) clés libre(s) : fusible, disjoncteur, disjoncteur différentiel, sécurité
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Le futur des écrans plats
/ UTLS au lycée
/ 08-02-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BONNASSIEUX Yvan
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLe futur des écrans plats par Yvan BonnassieuxLycée professionnel rural Antoine Lomet (47 Agen) Mot(s) clés libre(s) : 3D, cristaux liquides, diode organique, écran conformable, écran plat, image, LCD, micro-projecteur, multi-touch, OLED, papier électronique
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Des écrans plats aux caméras mobiles : physique et téléphonie mobile
/ UTLS - la suite
/ 22-02-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BONNASSIEUX Yvan
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Interview du conférencier : Yvan Bonnassieux, d'où vient votre passion pour la science ? Au risque d'être très classique, une soif de savoir, de comprendre le pourquoi, le comment. J'ai, il me semble, toujours eu le besoin de ne pas m'arrêter aux faits, mais de trouver les mécanismes sous-jacents. L'histoire et la physique ont toujours été pour moi les deux clefs pour comprendre le monde. J'avoue avoir longtemps hésité ; mais la science est pour moi, par sa quête d'avenir, le plus beau moyen de construire un monde meilleur. Comment devient-on maître de conférence à l'Ecole Polytechnique, et en quoi cela consiste-t-il ? Comme pour tout poste de l'enseignement supérieur, il s'agit d'un concours auquel on peut postuler une foi obtenue une thèse de doctorat. On postule sous la forme d'un dossier présentant son travail ses thématiques de recherche et ses publications et l'on est sélectionné, ou non, par un vote de l'ensemble des enseignants du département de physique de l'école Polytechnique. C'est un poste d'enseignant chercheur cela signifie que la tache est double : - Effectuer des enseignements pour les élèves de l'Ecole Polytechnique en l'occurrence sur l'électronique et le traitement du signal. - S'impliquer dans une thématique de recherche dans l'un des laboratoires de l'Ecole. Je suis ainsi responsable de l'équipe électronique grande surface au sein du Laboratoire de Physique des Interfaces et des Couches Minces (Ecole Polytechnique). Vous êtes physicien mais vous revendiquez une approche expérimentale, « une approche d'ingénieur », pouvez-vous nous en dire plus ? Tout d'abord je pense la séparation est factice ; la physique n'est que le moyen de prévoir le résultat d'une expérience. En même tant je travaille dans des thématiques que l'on nomme physique de l'ingénieur c'est à dire sur des recherches qui ont normalement des retombées dans le grand public à court terme. J'avoue que ce côté concret, où on peut avoir la chance de voir utiliser le fruit de ces découvertes, est pour moi une source importante de motivation. Vous travaillez avec de grands industriels (Philips, Thomson, Samsung), est-ce pour imaginer de nouvelles technologies ? Et lesquelles ? Je travaille sur le développement des écrans plats et les collaborations avec les industriels leaders mondiaux sont pour nous un soutien important et aussi un gage de reconnaissance. Plus précisément parmi les nouvelles technologies sur lesquelles nous travaillons je citerai plus particulièrement les écrans conformables et flexibles. C'est à dire la réalisation d'écrans non plans, de formes diverses et aussi à terme déformables, pliables ou déroulables. Pour vous les téléphones portables c'est quoi ? Tout d'abord un outil pratique permettant de rester connecté, où que l'on soit, par la voix ou le texte (SMS, mail) avec son monde. Mais aussi un formidable objet technologique mettant en oeuvre plein de découvertes scientifiques (transmission radio, codage, cryptage,..). Enfin parfois un objet un peu intrusif, qui nous dérange souvent de manière intempestive. ÉCOLE POLYTECHNIQUE 200 ans d'excellence scientifique et technique, une École résolument tournée vers l'avenir « Pour la patrie, les sciences et la gloire », Napoléon, 1804 L'École Polytechnique est la plus prestigieuse et l'une des plus anciennes Grandes Ecoles d'ingénieurs françaises. Créée sous la Révolution en 1794, elle doit son drapeau et sa devise à Napoléon. Le statut, dont les termes ont varié au fil du temps, est devenu celui d'un établissement public à caractère administratif en 1974. Les élèves de nationalité française conservent cependant le statut d'élève officier pendant leur scolarité ; les élèves étrangers ont un statut d'étudiant. L'encadrement militaire est en charge de l'essentiel de la formation éthique, humaine et sportive des élèves. La triple vocation de l'École Polytechnique est de former : des scientifiques de réputation internationale (Monge, Gay-Lussac, Cauchy, Poincaré, Jacquard
) de futurs hauts responsables au service de l'Etat (Bernard Larrouturou, directeur général du CNRS, Philippe Kourilsky, directeur général de l'Institut Pasteur, Valéry Giscard d'Estaing, ancien Président de la République Française
) des dirigeants d'entreprises (André Citroën, Conrad Schlumberger, Carlos Ghosn, Président Directeur Général de Renault-Nissan
) Plusieurs polytechniciens ont choisi d'autres voies : le philosophe Auguste Comte, le champion de tennis Jean Borotra, l'architecte Paul Andreu
Le cycle ingénieur polytechnicien : une formation d'ingénieur en 4 ans Les élèves polytechniciens reçoivent une formation scientifique pluridisciplinaire de haut niveau complétée par un enseignement approfondi en sciences humaines et en langues ainsi que par des périodes de stages (15 mois répartis sur les 4 années de scolarité). L'encadrement militaire est en charge de la formation humaine des élèves. Celle-ci vise à développer leurs facultés d'adaptation et d'ouverture d'esprit, le sens du travail en équipe, du leadership et de l'intérêt général. Elle se concrétise notamment par des stages dans les armées ou dans des structures civiles (hôpitaux, prisons, associations caritatives ou de réinsertion, soutien scolaire
), par une pratique intensive du sport, par des manifestations culturelles, par une implication importante dans la vie de l'Ecole. Les polytechniciens se destinent pour 60% d'entre eux à l'entreprise. 15% choisissent la recherche et 25% les administrations françaises et internationales. Les masters : une formation de pointe au niveau européen Dans le cadre de l'harmonisation européenne, l'École Polytechnique propose des masters dans ses domaines d'excellence. Cette formation en 2 ans s'articule autour d'une composante recherche et d'une formation professionnelle de haut niveau comprenant un stage en entreprise ou en milieu de recherche. Elle est ouverte aux étudiants français et étrangers à partir du niveau licence. L'admission se fait sur dossier. Mot(s) clés libre(s) : caméra téléphonique, cellulaire, e-paper, écran à cristaux liquides, écran OLED, écran plat, LCD, papier électronique, téléphone portable
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Les énergies du XXIème siècle
/ UTLS - la suite
/ 27-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BONIN Bernard
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Une conférence de L'UTLS au Lycéeavec Bernard Bonin Mot(s) clés libre(s) : centrale nucléaire, énergie, fission, fusion, noyau atomique, radioactivité, réaction nucléaire, uranium
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La tribologie
/ UTLS - la suite
/ 19-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
BOCQUET Lydéric
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La tribologie est la science des frottements. Un 'frottement' intervient lorsque deux surfaces en contact sont mises en mouvement l'une par rapport à l'autre, produisant une force qui s'oppose au mouvement. La notion même de frottement est en fait très intuitive à tout un chacun, essentiellement car nous pouvons ressentir - physiquement - ses effets dans la vie quotidienne : se frotter les mains pour se réchauffer, craquer une allumette, jouer du violon, glisser sur la glace, freiner en voiture, entendre un crissement craie sur le tableau, mettre de l'huile dans les gonds de porte, etc., on pourrait multiplier les exemples connus de tous. La plupart de ces phénomènes peuvent se comprendre sur la base des lois du frottement énoncées dès le 18ème siècle par Amontons et Coulomb (mais déjà mises en évidence par Léonard de Vinci 200 ans auparavant), à partir de la notion de coefficient de frottement. Pourtant l'évidence apparente de ce 'vieux problème' cache l'extrême complexité sous-jacente. L'origine du frottement fait intervenir une multitude d'ingrédients, couvrant un spectre très large de phénomènes physiques : rugosité des surfaces, élasticité, plasticité, adhésion, lubrification, thermique, usure, chimie des surfaces, humidité, etc. Il y a donc un contraste paradoxal entre la simplicité de lois du frottement et la complexité des phénomènes sous-jacents, qui a constitué un défi majeur narguant l'imagination des scientifiques depuis près de 500 ans. Dans cet exposé, j'aborderai quelques manifestations du frottement sur différents exemples illustrant la complexité du phénomène. Je discuterai ensuite des causes du frottement, des premières interprétations de Amontons, Coulomb et d'autres au 18ème siècle en terme de rugosité de la surface, jusqu'aux travaux les plus modernes sur la nano-tribologie des contacts. Je décrirai en particulier les outils d'investigation modernes, tels que le microscope à force atomique, la machine de force de surfaces, les simulations numériques à l'échelle moléculaire, qui permettent désormais d'accéder aux fondements intimes du frottement aux échelles moléculaires avec des manifestations parfois étonnantes. Le développement de ces techniques d'investigation performantes ouvre désormais de nouvelles perspectives dans la compréhension et l'optimisation du frottement. Mot(s) clés libre(s) : force de friction, frottement, lois d'Amontons-Coulomb, lubrification, mécanique appliquée, rugosité des surfaces, stick-slip, suprafriction, tribologie, viscosité
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Instruments de la physique au service de la biologie et de la médecine
/ Olivier BLOND, C.N.R.S Images
/ 01-01-2001
/ Canal-U - OAI Archive
BLOND Olivier
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Sept chercheurs présentent des applications récentes en médecine et biologie de techniques mises au point au départ dans le domaine de la physique. Sigrid Avrillier (Laboratoire de physique des lasers, Villetaneuse) décrit un capteur laser qui permet de mesurer les propriétés d'oxygénation des tissus. Le principe de l'appareil repose sur l'analyse de la réflexion d'un rayon laser par un tissu biologique : lorsque le laser entre en contact avec la peau, on observe une tache de couleur due à la réémission de lumière par le tissu. Philippe Lanièce (Institut de physique nucléaire, Orsay) présente le système de tomographie gamma haute résolution TOHR. TOHR est utilisé pour obtenir une image du cerveau d'un petit animal (ici un rat). Le marqueur radioactif utilisé est le technétium. Pascal Laugier (Laboratoire d'imagerie paramétrique, Faculté de médecine de Paris) étudie l'utilisation des ultrasons en imagerie médicale. Un test basé sur l'analyse d'une image du calcanéum, un os du talon, a été mis au point pour mesurer l'évolution de l'ostéoporose. Bernard Renault (Laboratoire Neurosciences cognitives et imagerie cérébrale, hôpital de la Pitié Salpétrière de Paris) utilise la magnéto-encéphalographie et l'électro-encéphalographie pour localiser les zones d'activité du cerveau et les relier aux gestes du patient. Les zones activées sont visualisées par des gradients de couleur sur les images de la tête. L'intérêt de la magnéto-encéphalographie est sa résolution temporelle exceptionnelle (de l'ordre du millième de seconde). Mathias Fink (Laboratoire Ondes et acoustique, Ecole supérieure de physique et de chimie industrielle de Paris) est un spécialiste de la propagation des ultrasons. Il présente d'abord un détecteur d'ultrasons à très haute fréquence qui permet de visualiser les ondes de cisaillement dans les tissus et de différencier ceux-ci en fonction de leur dureté (détection de nodules plus durs que les tissus mous qui les entourent). Est ensuite décrite une technique de correction du front d'onde qui permet d'éliminer les effets de distorsion engendrés par les os du crâne dans l'échographie cérébrale. Jacques Bittoun (Unité de recherche en résonance magnétique médicale, hôpital du Kremlin Bicêtre) utilise l'IRM pour étudier les fonctions cardiaques et pulmonaires. L'air qui remplit les poumons étant insensible à la RMN, il faut utiliser de l'hélium hyperpolarisé, inoffensif pour l'être humain. L'IRM cardiaque permet de visualiser la vitesse et l'accélération du sang dans l'aorte. Didier Chatenay (Laboratoire de dynamique des fluides complexes, Strasbourg) s'intéresse à la structure de l'ARN. Une "pince optique" (laser) permet de manipuler une molécule d'ARN pour mesurer à l'aide de la microscopie par ondes évanescentes le repliement lors de la transcription. Le repliement est également étudié par simulation numérique.GénériqueAuteur, réalisateur : Olivier Blond Producteur : CNRS Audiovisuel Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS 2001 Mot(s) clés libre(s) : ondes
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