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/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MUSTERD Sako
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Mot(s) clés libre(s) : discrimination dans le logement, exclusion sociale, logement social, mixité sociale, politique du logement, quartiers pauvres, ségrégation urbaine
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Social Mix Policies and Research: Finding the "Right Balance" [VF] / Sako Musterd
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MUSTERD Sako
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Social Mix Policies and Research: Finding the "Right Balance" [version avec traduction simultanée en français] / Sako Musterd. [version doublée en français] In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011.Plénière 1: Mixité, diversity: pertinent notions?, 6 juillet 2011.‘Social mixing’ has been embraced by several governments as a remedy for urban social problems, or perhaps as an instrument to address other urban issues as well. It has become a part of strategies to ‘restructure’, ‘revitalize’ and ‘regenerate’ urban areas. However, social mixing initiatives, and the urban poverty discourse to which these initiatives are connected, have also been subject to substantial critiques. Many academics have challenged the assumptions underlying social mixing strategies, as well as the way social mix policies are expected to translate into positive outcomes for residents. There is also criticism focused on not paying attention to the negative sides of social mixing, to broken social networks, spillover effects, and the populations that become excluded from ‘socially mixed neighbourhoods’. Nevertheless, there also is a body of academic literature that is taken very seriously, which shows or advocates that there indeed seem to be positive impacts of social mix strategies. Various recent large-scale neighbourhood effect studies support these viewpoints. These studies argue that living among poor people perpetuates individual poverty, whereas middle-class neighbours provide benefits. These findings thus seem to justify policy efforts to intervene in the social makeup of poor neighbourhoods. This "paper" reflects on these contrasting views, opinions, and findings and tries to find the answer to the question what the ‘right balance’ actually is.>> La traduction simultanée en français est assurée par un interprète de l'Association Internationale des Interprètes de Conférence (AIIC). Mot(s) clés libre(s) : discrimination dans le logement, exclusion sociale, logement social, mixité sociale, politique du logement, quartiers pauvres, ségrégation urbaine
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/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MULLINS David
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Mot(s) clés libre(s) : logement social, mixité sociale, offices publics d'habitation, politique de l'habitat, politique du logement, politique sociale, sociologie du logement
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Perspectives on social enterprise and hybridity in housing organisations [VF] / D. Mullins
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MULLINS David
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International perspectives on social enterprise and hybridity in housing organisations: présentation de la plénière [version française] / David Mullins. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011.This session draws on work for a Special Issue of Housing Studies to stimulate debate on the implications (theoretical and practical) of the growth of social enterprise and hybrid models of housing provision. Three of the authors of papers produced for the special issue (abstracts for which are included in this brochure) will review the increasing emphasis on social enterprise and hybrid models in housing organisations and the delivery of social and affordable housing in Europe, the United States and Australia. Social enterprise models have been widely promoted in recent years by both state policies and civil society interests in many countries. Social enterprises are often characterised by hybrid formal institutional characteristics, motivations and activities since they intertwine state, market and society influences within single organisations. Understanding current trends in the adoption of social enterprise and hybrid concepts and approaches by (social) housing organisations, the reasons for these trends and their implications for organisations which frequently ‘face several ways’ (to state, market and society) are important tasks for researchers in housing studies. Such work is necessary both to improve our theoretical understanding of these trends and their meaning and also enable us to engage with contemporary policy and practice. Yet to date there has been very little systematic analysis within this field.Following an introduction by the Chair, each speaker will draw on their research on social housing organisations in parts of Europe, the United States and Australia to illuminate the following plenary panel questions:- How and to what extent do housing organisations engage with debates about social enterprise and hybridity?- How do they position themselves vis-à-vis the state, the market and society?- How do they reconcile conflicting logics of ‘common good’, financial return and government policy?- How do these conflicting logics play out in housing policy and implementation in different national and local contexts?The plenary will conclude with a panel discussion of similarities and differences in conceputalisation and practice of social enterprise and hybridity in Europe, North America and Australia. This will help us to address the final questions:- How useful are models of social enterprise and hybridity in analysis of organisational behaviour in the housing sector in these different contexts?- What are the policy implications of the growth in social enterprise and hybridity?> La communication est traduite en français par Mme Solange Hibbs (directrice du Département Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'université Toulouse II-Le Mirail, membre de l'Association Internationale des Interprètes de Conférence-AIIC). Mot(s) clés libre(s) : logement social (financement), mixité sociale, offices publics d'habitation, politique de l'habitat, politique du logement, politique sociale, sociologie du logement
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La mégapolisation : le défi de la ville monde
/ Mission 2000 en France
/ 12-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MONNET Jérôme
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"La mégapolisation peut être définie comme le processus qui donne une importance accrue aux villes géantes dans l'organisation de l'espace humain contemporain. Cette importance se reflète dans l'augmentation du nombre des mégapoles, de leur population et de leur rôle dans la création et les échanges de biens, de services, de richesses et d'informations. Au cours du 20e siècle, la mégapolisation a banalisé sur la planète la figure de la ville-monde, qui apparaissait autrefois, exceptionnellement, à l'apogée d'une civilisation : la Rome antique, la Byzance impériale, la Bagdad des Califes, la Babel du mythe, la Mexico-Tenochtitlan précolombienne, pour n'en citer que quelques-unes. Il s'agissait de villes qui étaient en leur temps le centre de leur monde ; leur complexité interne en faisait un monde en soi, reflet et matrice à la fois du monde extérieur. Le défi de notre temps, c'est de cesser d'interpréter et de traiter les mégapoles comme des exceptions, pour inventer les règles de gestion et de vie commune dans ces milieux cosmopolites probablement destinés à héberger la majorité de l'humanité." Mot(s) clés libre(s) : agglomérations urbaines, aménagement du territoire, croissance des villes, métropolisation, polarisation, urbanisme
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Les rythmes urbains de la ville à la non-ville
/ Mission 2000 en France
/ 19-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MONGIN Olivier
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Ce thème est une invitation à spécifier certains caractères propres à la ville et à mettre en scène des évolutions qui donnent lieu à l'hypothèse de la fin de la ville. S'interroger sur les rythmes urbains permet de mieux saisir la nature de la ville et de prendre en considération les rythmes inédits du monde post-urbain qui est en train de se dessiner. Comment se présente dans ce contexte le discours relatif à l'ordre urbain et à la ville traditionnellement liée à la notion d'urbanité ? Un premier discours renvoie à un savoir global, celui de l'urbaniste, de l'ingénieur, alors qu'un second discours évoque plutôt des fictions, une poétique. Ou bien l'on valorise une approche macroscopique, celle qui associe l'urbain à un plan et à une maquette, celle qui valorise le dessin et le sens de la vue et l'art de l'ingénieur. Ou bien l'on met en avant un imaginaire de la ville, celui des passants, des vagabonds, des passages, un imaginaire qui se confond avec la posture du créateur, du poète et de l'artiste. Ces deux approches, la première marquée par le développement technologique et économique est perçue comme progressiste, la seconde renvoyant à une poétique de caractère nostalgique, ont sous-tendu la grande exposition de Beaubourg de 1994 sur la Ville (Art et Architecture en Europe, 1870- 1993) au sein de laquelle coexistaient, les artistes (écrivains, photographes, cinéastes), les architectes, les ingénieurs et les urbanistes. La ville des artistes et la ville des ingénieurs- urbanistes ? Y a t-il là une opposition insurmontable entre celui qui sent la ville à travers la déambulation subjective qu'elle permet et celui qui réduit la ville à une maquette qu'il dessine objectivement en se mettant à distance. L'un s'aventure dans la ville de l'intérieur, l'autre l'imagine de l'extérieur. Mot(s) clés libre(s) : géographie urbaine, lieux imaginaires, maquettes (architecture), projets d’urbanisme, urbanisme, villes
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Wilderness et sanctuarisation au regard de l'histoire de l'environnement : de la sacralisation du patrimoine naturel à la révélation du patrimoine culturel / Jean-Paul Métailié
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
MÉTAILIÉ Jean-Paul
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Wilderness et sanctuarisation au regard de l'histoire de l'environnement : de la sacralisation du patrimoine naturel à la révélation du patrimoine culturel / Jean-Paul Métailié, in Journée d'études "Espaces sanctuarisés aux États-Unis - Visions of American Sanctuaries", organisée, sous la responsabilité d'Aurélie Guillain, par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS, axe "Poéthiques") de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 27 mars 2015.
* Illustration : "Jupiter terraces" (Mammoth Hot springs-Yellowstone), peinture de Thomas
Moran, 1893.
Cette
journée d'études se propose d'étudier les zones qui ont pu être désignées comme
des “espaces sanctuarisés” aux Etats-Unis, soit parce qu'elles ont fait l'objet
de certaines mesures de protection les soustrayant à la logique de la propriété
privée et de la libre exploitation des ressources naturelles (dans le cas des
parcs nationaux par exemple), soit parce qu'elles ont été considérées par des
écrivains nord-américains comme le lieu privilégié où peuvent s'exprimer des
valeurs religieuses ou spiritualistes. Le terme “sanctuarisé” connote ici une vision
sinon religieuse, du moins sacralisante, d'un espace où se manifeste une
hétérogénéité fondamentale : d'une part, l'espace profane, de l'autre, l'espace
sacré que des interdits spécifiques viennent protéger de l'espace profane et de
ses logiques propres.
Dans
la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, l'expansion territoriale des
Etats-Unis s'est accompagnée de la création de parcs nationaux qui permettaient
d'empêcher la surexploitation des ressources naturelles du continent, mais
aussi de préserver la possibilité même, pour les citoyens des Etats-Unis, d'être
exposés à un environnement naturel perçu comme un espace peu modifié par l'être
humain – et ainsi de préserver une “relation originelle” avec le monde. Pour
certaines figures fondatrices telles que John Muir, la référence consciente à
la vision émersonienne de la “Surâme” se mêle à une version personnelle du
mysticisme chrétien et de la fonction sacramentelle de la rencontre avec la Nature.
Muir s'inspire également de l'exemple de Thoreau, qui prône non seulement la
création d'espaces protégés de la convoitise privée, mais aussi une certaine
attitude éthique et scripturaire devant le lieu naturel habité. Lorsque les écrivains nord-américains
contemporains décrivent tel lieu sous les espèces d'un espace sanctuarisé, il
n'est pas rare de percevoir des échos intertextuels avec les textes de Thoreau,
et le désir d'inscrire dans le langage l'expérience du numineux.
Cependant,
des débats récents ont mis en avant les diverses limites qui peuvent être
associées aux notions connexes d'“espace sanctuarisé”, de nature sauvage et de
“wilderness”. Certains auteurs ont suggéré que le terme de sanctuaire connotait
une vision européanocentrique des lieux qui tendrait à compartimenter l'espace
aussi bien que l'expérience (Hultkrantz, Hugues & Swan). Dans d'autres
débats récents, qui portent sur les stratégies de protection de la
biodiversité, la notion même d'espace sanctuarisé a pu être critiquée en faveur
d'une conception plus intégrée de la protection des espèces. Mais, avant tout,
c'est l'espace sauvage monumentalisé des parcs nationaux américains qui a pu
faire l'objet de critiques (Cronon) et même de traitements satiriques, dans la mesure
où l'image fabriquée d'une nature intacte peut revêtir une fonction rassurante
et anesthésiante dans le débat écologique et détourner l'attention des
géographies locales au profit de l'image mythifiée d'un paysage national
(Lopez).
L'objectif
de cette journée d'études est donc double : se pencher sur la manière
singulière dont l'expérience du numineux peut continuer de s'inscrire dans les
textes des écrivains nordaméricains, mais proposer également de faire le
point sur les réflexions philosophiques, historiques et géographiques qui
problématisent la notion même d'espace sauvage sacralisé. Mot(s) clés libre(s) : paléoenvironnement, archéologie du paysage, écologie du paysage, paysages agricoles (Amérique du Sud), intégrité écologique
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ENS Lyon - La ville de la pantoufle (Philippe Madec)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 05-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MADEC Philippe, WORMSER Gérard
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« À chaque projet, se coltinant le réel au plus près du local, les architectes avancent vers la ville durable, sans théorie préconçue ni Charte d’Athènes. « La ville durable sera celle de la proximité, une ville de la pantoufle 1 ! » assure Philippe Madec. Au cœur de ce qu’il nomme le « bio- îlot », tous les aspects du quotidien seront à portée de pieds, dans une sobriété du déplacement qui mesurera l’espace urbain en minutes plutôt qu’en kilomètres. Solliciter une proximité de l’architecture, voilà une revendication particulière pas si répandue. »www.philippemadec.eu/ Mot(s) clés libre(s) : "bio-îlot", "ville pantoufle", architecture, durable, environnement, espace urbain, mondialisation, proximité, réseaux
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La ville de la pantoufle (Philippe Madec)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 05-03-2009
/ Canal-u.fr
MADEC Philippe, WORMSER Gérard
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« À chaque projet, se coltinant le réel au plus près du local, les architectes avancent vers la ville durable, sans théorie préconçue ni Charte d’Athènes. « La ville durable sera celle de la proximité, une ville de la pantoufle 1 ! » assure Philippe Madec. Au cœur de ce qu’il nomme le « bio- îlot », tous les aspects du quotidien seront à portée de pieds, dans une sobriété du déplacement qui mesurera l’espace urbain en minutes plutôt qu’en kilomètres. Solliciter une proximité de l’architecture, voilà une revendication particulière pas si répandue. »
www.philippemadec.eu/ Mot(s) clés libre(s) : environnement, mondialisation, architecture, espace urbain, réseaux, proximité, durable
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ENS Lyon - La vulnérabilité urbaine mondiale (Michel Lussault)
/ ENS-LSH, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 23-04-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LUSSAULT Michel, WORMSER Gérard
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Quoi que nous fassions, notre horizon urbain est celui de la vulnérabilité. Celle-ci n'est pas un dysfonctionnement, mais le régime normal du système urbain. Agir dans un monde incertain (Lascoumes), appréhender les catastrophes (Dupuy), c'est accepter de rompre avec l'idée d'arraisonnement et de maîtrise du monde comme totalité. Loin d'opposer une prise de contrôle à ce qui serait du désordre, il s'agit d'observer les régulations spontanément à l'œuvre : des événements locaux mettent parfois leurs interactions en échec, rendant perceptible leur limitation. Les sociétés urbaines ne sont pas contrôlées car elles ne sont pas contrôlables. Il s'agit d'intégrer la vulnérabilité afin de repenser les processus de régulation des sociétés urbaines. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, vulnérabilité
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