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Expériences du paysage
/ Canal-u.fr
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La notion de Jardin en mouvement se réfère directement à la technique du
jardinage, à l’entretien et au développement des espèces dans le temps ;
elle procède d’une expérience de terrain. Sa théorisation et son renvoi
à d’autres échelles de territoire que celles du jardin à proprement
parler atteint, pour des raisons de logique écologique, la planète
entière à travers cette attitude : «faire le plus possible avec le moins
possible contre». D’où le Jardin planétaire valant comme projet
politique d’écologie humaniste.Au sein même de ce jardin étendu à la
planète, la biodiversité en souffrance se réfugie sur les seuls
territoires à l’écart de l’activité humaine : le Tiers-paysage. Attirer
l’attention sur cette richesse, au demeurant mal connue, devient une
urgence. Cependant, l’ensemble des activités humaines, aveuglément
orientées par une économie dérégulée devenue folle, menace cette
richesse dont l’humanité entière dépend. D’où la nécessaire résistance à
ces mécanismes suicidaires.Dans ce cadre où s’entrecroisent les
données formelles, esthétiques, biologiques du paysage, la part active
laissée à l’humanité dans le processus de l’évolution – transformant,
pour certaines, notre ère en une nouvelle séquence : l’Anthropocène –
acquiert une si grande importance qu’il devient difficile de séparer la
question du paysage de la question économique et politique globale. La
notion de Paysage du désendettement, plus précisément associée au
paysage rural, traduit bien cette complexité.Gilles Clément Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, architecture et paysage
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Faire la ville en biens communs
/ Jacques DELAYE
/ Canal-u.fr
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Retransmission de la table ronde "Faire la ville en (biens) communs" du
10 octobre 2015 à l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Lyon
(Vaulx-en-Velin), dans le cadre du festival 2015 "Le temps des communs"
et du laboratoire de recherche Laure-EVS.Une rencontre avec
Christian Laval - sociologue, Alberto Maganghi - architecte et
urbaniste, et Bruno Charles - élu à la Métropole de Lyon, afin de mieux
comprendre la notion de communs et d'aborder les alternatives que
sous‐tendent les expériences des communs en matière de gestion des
ressources et de gouvernance des territoires.La notion de «
communs » a connu ces dernières années un regain d'intérêt,
parallèlement au développent des initiatives visant à générer, gérer et
partager des ressources et à répondre aux aspirations de collectifs
souvent issus de l'économie collaborative, du numérique et de
l'écologie : jardins partagés, habitat participatif, cartographie et
semences libres, tiers lieux, fablab, monnaies locales, communautés de
défense du patrimoine, mobilités ou énergie partagées, sciences et
contenus éducatifs ouverts, échanges de savoirs…Les communs ont
jusqu'ici surtout été abordés sous des aspects économiques et
juridiques et commencent seulement à questionner la dimension
territoriale, notamment parce que les formes de citoyenneté qui
sous‐tendent l’action des collectifs autour des communs renouvellent
les fondements de la démocratie participative et le sens de la
référence au territoire.- présentation de la table ronde : - table-ronde - questions du public Mot(s) clés libre(s) : sociologie, citoyenneté, gouvernance, biens communs
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Quel projet pour la Normandie?
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
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Cette
rencontre entre responsables politiques – hauts et
bas-normands, issus de famillles politiques différentes – a été
organisée dans le cadre du colloque Régions et territoires :
à propos de la réforme territoriale qui s'est tenu au Centre
Culturel International de Cerisy du 11 au 15 juin 2015, sous la
direction d'Armand FRÉMONT et Yves GUERMOND.Depuis plusieurs années, quinze géographes des universités de Caen, de
Rouen et du Havre se réunissent. En effet, ils considèrent que la
division entre une Haute et une Basse Normandie est une aberration de
l’Histoire et ont été stimulés par l’actualité. D’abord, le projet d’un
TGV Paris-Normandie qui cristallisait la grande ambition d’un couloir
urbain prolongeant le Grand Paris jusqu’à la mer. Puis, en 2013,
l’unification elle-même, voulue par le Gouvernement et en cours de
discussion devant le Parlement. C’est donc sans doute maintenant que se
posent les questions les plus ardues, le choix de la capitale régionale
en recouvrant bien d’autres.Ces géographes, réunis sous aucune autre tutelle que celle des
universités, totalement libres de leurs opinions, sont avant tout
motivés par la connaissance qu’ils ont acquise de la Normandie, de ses
problèmes, de ses projets, de ses divisions. À ce stade, ils éprouvent
le besoin de confronter leurs idées dans deux directions principales.
D’où ce colloque de juin 2015 où il s’est agi d’exposer, d’écouter et de
discuter.Ont participé à cette
table ronde, animée par Pascal Buléon (directeur de la MRSH de
Caen) : Joël Bruneau (maire de
Caen et président de la Communauté d'agglomération Caen la
mer),
Hubert Dejean De La Bâtie
(maire de Sainte-Adresse, conseiller régional de Haute-Normandie,
vice-président de la Communauté d'agglomération havraise),
Frédéric Sanchez (maire
de Petit-Quevilly, président de Métropole Rouen-Normandie,
vice-président du Conseil général de la Seine-Maritime),
Yannick Soubien
(Vice-président du Conseil régional de Basse-Normandie).
Les quatre invités ont dressé le
tableau des multiples chantiers qu'imposera prochainement la fusion
des deux Normandies. Malgré des sensibilités propres à chacun, de
cette discussion à bâtons rompus a émergé une réelle volonté
d'oeuvrer ensemble à un projet ambitieux, vécu d'abord comme une belle
opportunité régionale. Mot(s) clés libre(s) : aménagement, Normandie, Politique
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La gestion des risques : le cas des montagnes
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 14-02-2007
/ Canal-U - OAI Archive
ANTOINE Jean-Marc, VIDAL Franck
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A côté des grands types de risques naturels (feux, inondations, mouvements de terrain...) certains milieux sont susceptibles de générer des risques propres, mais également d'en amplifier les effets. C'est le cas des risques naturels en milieu montagnard. La concentration des aléas potentiels avec la pente, l'altitude, la géomorphologie et les conditions météorologiques locales d'une part, mais également une exploitation et une occupation humaine du territoire montagnard d'autre part génèrent chaque année bon nombre de catastrophes. Bien que des actions spécifiques au milieu montagnard (service RTM par exemple) soient développés en France, une meilleure information et sensibilisation des usagers de la montagne est aujourd'hui nécessaire.GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et post-production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : CAM, Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, avalanche, catastrophe naturelle, génie civil, géographie, gestion des risques, modélisation du risque, montagne, prévention, prévision, réchauffement climatique, restauration des terrains en montagne, risque naturel
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L'urbanisme face à une nouvelle révolution urbaine
/ Mission 2000 en France
/ 13-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ASCHER François
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"L'urbanisme est véritablement né au cours de la seconde moitié du XIXème siècle, comme un ensemble disparate de réflexions et de propositions d'action sur la conception des villes, confrontées alors à une croissance rapide et à des mutations très profondes. La pensée et l'action urbanistiques qui se développèrent tout au long du XXème siècle furent très fortement marquées jusqu'à une période récente par les manières de gérer la société deTaylor, Ford, Keynes et Le Corbusier. Ces conceptions dites ""modernes"" se révélant de plus en plus inadaptées à l'évolution des sociétés ""occidentales"" firent l'objet de critiques variées. Aujourd'hui, les villes sont à nouveau confrontées à des mutations majeures, économiques, sociales, techniques, culturelles et politiques. Il devient nécessaire de développer de nouvelles approches de l'urbanisme, dans un contexte marqué par la globalisation, la concentration urbaine dans des métropoles de plus en plus grandes, le développement accéléré des technologies nouvelles, la diversification des modes de vie, la préoccupation croissante pour la préservation de l'environnement, l'émergence de nouvelles inégalités sociales. De grandes questions se posent : -comment maîtriser l'urbanisation contemporaine, dans un contexte marqué par la décentralisation et par la concurrence entre villes ? -peut-on échapper à une uniformisation des villes, des formes urbaines, des styles architecturaux, des modes de vie, dans un contexte marqué par la globalisation ? -comment répondre à la diversité et à la variabilité croissante des besoins des individus et des entreprises, dans un domaine comme l'urbanisme qui ne se conçoit et ne se réalise que dans le moyen et le long terme ? Les réponses à ces questions nécessitent des efforts sans précédents de recherche et d'expérimentation... " Mot(s) clés libre(s) : agglomérations urbaines, méta-urbanisme, métropolisation, urbanisme, urbanisme et mondialisation, villes (croissance), villes (effets des innovations)
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Le mouvement dans les sociétés hypermodernes - François ASCHER
/ UTLS - la suite
/ 04-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ASCHER François
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La modernité a toujours eu indissolublement partie liée avec le mouvement, qu'il s'agisse du mouvement des idées, des biens, des personnes, des informations, des capitaux
. Mais l'entrée dans la « troisième modernité » - c'est ainsi que François Ascher caractérise les évolutions contemporaines- suscite des développements considérables dans les techniques de transport et de stockage (le stockage est le corrélat du mouvement) des personnes, des biens et surtout des informations. De fait, ces dernières jouent un rôle central dans la dynamique de passage au capitalisme cognitif. Cette extension quantitative et qualitative du mouvement s'ajoute aux dynamiques d'individualisation et de différenciation, et contribue à faire émerger de nouvelles formes de structuration de la société. François Ascher utilise à ce propos la métaphore de l'hypertexte pour rendre compte de ce nouveau type de société constituée d'une sorte de feuilletés de champs sociaux (le travail, la famille, le quartier etc.) qui ont chacun ont chacun leurs propres valeurs et règles sociales et qui sont reliés par des individus qui appartiennent simultanément à ces différents champs. Ainsi, la société est doublement structurée, par les champs sociaux et par les individus, comme les hypertextes sont doublement structurés par les syntaxes des textes et par les mots qui font lien entre les textes. Le préfixe « hyper » de l'hypermodernité exprime ainsi à la fois l'exagération de la modernité et sa structure à « n » dimensions. Mot(s) clés libre(s) : individualisation, métropolisation, mobilité, modernité, transports urbains
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Mourir à Tokyo / Natacha Aveline
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-01-1999
/ Canal-U - OAI Archive
AVELINE Natacha
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La bulle foncière des années 1985-1990 a profondément modifié le visage de Tokyo. Une bonne partie du tissu pavillonnaire s’est brutalement verticalisé pour donner à la capitale nippone l’allure d’une capitale mondiale. Pris dans la tourmente, les cimetières ont également connu des mutations, parfois même assez spectaculaires. Reste t-il une place pour les cimetières dans la capitale nippone, considérant les fortes contraintes foncières auxquelles elle est soumise ?Le film Mourir à Tokyo témoigne de la résistance opiniâtre des espaces de la mort en dépit de l'explosion urbaine et des mutations, parfois radicales, qui les affectent. L'éclatement du modèle rural de la tombe familiale au profit de tombes individuelles a accru la demande d'emplacements funéraires, rendant ce marché très lucratif. Celui-ci fonctionne désormais selon des logiques très proches des marchés immobiliers, d'où l'intervention très remarquée des sociétés immobilières, en particulier dans deux domaines : l'aménagement de grands cimetières privés en banlieue et l'assistance technique auprès des communautés bouddhiques pour l'aménagement de nouveaux espaces funéraires dans l'enceinte de leurs temples.Version japonaise sous-titrée en français. Mot(s) clés libre(s) : cimetières, croissance urbaine, économie urbaine, spéculation foncière, Tokyo (Japon), urbanisme, utilisation du sol
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L'analyse des flux de matières à l'échelle de la France
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 03-03-2014
/ Canal-u.fr
BARLES Sabine
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Sabine Barles décrit le métabolisme de la France en 2010, et notamment les flux entrants, les flux sortants, ainsi que les additions au stock. Mot(s) clés libre(s) : métabolisme, flux de matières et d'énergie, France
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L'analyse des flux de matières à l'échelle des départements français
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 03-03-2014
/ Canal-u.fr
BARLES Sabine
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Sabine Barles décrit le métabolisme de deux régions : Paris et la Loire-Atlantique. Elle analyse pour chacune d'entre elles les flux entrants, les flux sortants, ainsi que les additions au stock. Sur cette base, elle montre les différences qui existent entre les métabolismes de territoires "urbains" et "ruraux". Mot(s) clés libre(s) : métabolisme, flux de matières et d'énergie, Loire-Atlantique, Paris
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Le métabolisme des territoires : enjeux et notions clés
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 03-03-2014
/ Canal-u.fr
BARLES Sabine
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Sabine Barles introduit la notion de métabolisme territorial, en délimitant bien l'emploi de ces deux termes. Elle énonce les grands intérêts de ce type d'approches. Mot(s) clés libre(s) : territoire, métabolisme, flux de matières et d'énergie
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