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Quel projet pour la Normandie?
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
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Cette
rencontre entre responsables politiques – hauts et
bas-normands, issus de famillles politiques différentes – a été
organisée dans le cadre du colloque Régions et territoires :
à propos de la réforme territoriale qui s'est tenu au Centre
Culturel International de Cerisy du 11 au 15 juin 2015, sous la
direction d'Armand FRÉMONT et Yves GUERMOND.Depuis plusieurs années, quinze géographes des universités de Caen, de
Rouen et du Havre se réunissent. En effet, ils considèrent que la
division entre une Haute et une Basse Normandie est une aberration de
l’Histoire et ont été stimulés par l’actualité. D’abord, le projet d’un
TGV Paris-Normandie qui cristallisait la grande ambition d’un couloir
urbain prolongeant le Grand Paris jusqu’à la mer. Puis, en 2013,
l’unification elle-même, voulue par le Gouvernement et en cours de
discussion devant le Parlement. C’est donc sans doute maintenant que se
posent les questions les plus ardues, le choix de la capitale régionale
en recouvrant bien d’autres.Ces géographes, réunis sous aucune autre tutelle que celle des
universités, totalement libres de leurs opinions, sont avant tout
motivés par la connaissance qu’ils ont acquise de la Normandie, de ses
problèmes, de ses projets, de ses divisions. À ce stade, ils éprouvent
le besoin de confronter leurs idées dans deux directions principales.
D’où ce colloque de juin 2015 où il s’est agi d’exposer, d’écouter et de
discuter.Ont participé à cette
table ronde, animée par Pascal Buléon (directeur de la MRSH de
Caen) : Joël Bruneau (maire de
Caen et président de la Communauté d'agglomération Caen la
mer),
Hubert Dejean De La Bâtie
(maire de Sainte-Adresse, conseiller régional de Haute-Normandie,
vice-président de la Communauté d'agglomération havraise),
Frédéric Sanchez (maire
de Petit-Quevilly, président de Métropole Rouen-Normandie,
vice-président du Conseil général de la Seine-Maritime),
Yannick Soubien
(Vice-président du Conseil régional de Basse-Normandie).
Les quatre invités ont dressé le
tableau des multiples chantiers qu'imposera prochainement la fusion
des deux Normandies. Malgré des sensibilités propres à chacun, de
cette discussion à bâtons rompus a émergé une réelle volonté
d'oeuvrer ensemble à un projet ambitieux, vécu d'abord comme une belle
opportunité régionale. Mot(s) clés libre(s) : aménagement, Normandie, Politique
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Faire la ville en biens communs
/ Jacques DELAYE
/ Canal-u.fr
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Retransmission de la table ronde "Faire la ville en (biens) communs" du
10 octobre 2015 à l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Lyon
(Vaulx-en-Velin), dans le cadre du festival 2015 "Le temps des communs"
et du laboratoire de recherche Laure-EVS.Une rencontre avec
Christian Laval - sociologue, Alberto Maganghi - architecte et
urbaniste, et Bruno Charles - élu à la Métropole de Lyon, afin de mieux
comprendre la notion de communs et d'aborder les alternatives que
sous‐tendent les expériences des communs en matière de gestion des
ressources et de gouvernance des territoires.La notion de «
communs » a connu ces dernières années un regain d'intérêt,
parallèlement au développent des initiatives visant à générer, gérer et
partager des ressources et à répondre aux aspirations de collectifs
souvent issus de l'économie collaborative, du numérique et de
l'écologie : jardins partagés, habitat participatif, cartographie et
semences libres, tiers lieux, fablab, monnaies locales, communautés de
défense du patrimoine, mobilités ou énergie partagées, sciences et
contenus éducatifs ouverts, échanges de savoirs…Les communs ont
jusqu'ici surtout été abordés sous des aspects économiques et
juridiques et commencent seulement à questionner la dimension
territoriale, notamment parce que les formes de citoyenneté qui
sous‐tendent l’action des collectifs autour des communs renouvellent
les fondements de la démocratie participative et le sens de la
référence au territoire.- présentation de la table ronde : - table-ronde - questions du public Mot(s) clés libre(s) : sociologie, citoyenneté, gouvernance, biens communs
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Déplacements et transports urbains
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 19-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
WOLFF Jean-Pierre, LE CORRE Sébastien
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Il existe différents types de déplacements, et l’évolution technique des modes de transports a des conséquences directes sur la morphologie des villes. Afin de gérer au mieux la relation entre transports et villes, différentes politiques des déplacements et des transports sont menées, ceci afin d’assurer un fonctionnement économique optimum. Mot(s) clés libre(s) : circulation urbaine, infrastructures de transport, plans de déplacements urbains, politique des transports urbains, transports urbains (aspect économique), urbanisme, ville (effets des innovations)
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Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon : Des villes qui marchent
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 07-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
WINKIN Yves
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De nombreux facteurs contribuent à la bonne marche des villes. Yves WINKIN, Directeur de la recherche à l'ENS-LSH à une hypothèse : "Les villes qui marchent sont des villes où l'on marche".Directeur de la production : Christophe PorlierInterview et réalisation : Pascal GrzywaczImage et montage : Sébastien BoudinEncodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : circulation urbaine, marche, villes
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Des villes qui marchent - Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 07-03-2008
/ Canal-u.fr
WINKIN Yves
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De nombreux facteurs contribuent à la bonne marche des villes. Yves WINKIN, Directeur de la recherche à l'ENS-LSH à une hypothèse : "Les villes qui marchent sont des villes où l'on marche".
Directeur de la production : Christophe Porlier
Interview et réalisation : Pascal Grzywacz
Image et montage : Sébastien Boudin
Encodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : marché, villes, circulation urbaine
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La modernité : une greffe difficile sur le "grand village" / Pierre Weidknnet
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
WEIDKNNET Pierre
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La modernité : une greffe difficile sur le "grand village. Pierre WEIDKNNET. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Pierre Weidknnett contextualise la construction de l'université du Mirail dans la politique urbaine de Toulouse, ce "grand village (selon l'appellation de l'historien Jacques Godechot) qui voulait se faire métropole. Au XVIIIe siècle, Toulouse est une ville "sainte, sotte et sale", placée au cœur d'une région agricole et préservant son centre ville. Les grands travaux urbains (quais, Grand-rond, canal de Brienne...) seront à l'initiative des États du Languedoc et de l'Intendant royal, tout comme la localisation de l'industrie aéronautique et chimique à Toulouse sera le fait de décisions d'État jusque dans les années 1950. Après la Libération, le 1er maire, Raymond Badiou, mènera une politique de maîtrise budgétaire dans une vision malthusienne de limitation de la croissance qui explique probablement la construction en zone périphérique de manière un peu anarchique excepté à Colomiers qui sera appréciée à postériori comme une réussite. A cette période, le cas de Toulouse n'est pas isolé car à l'échelle nationale prévaut la doctrine "du graviérisme", de Jean-François Gravier, pour un développement des campagnes et ce malgré l'exode rural vers les villes et notamment Paris. En 1960, le PADOG ( Plan d'aménagement et d'organisation générale de l'agglomération parisienne) publie un aménagement de l'Ile-de-France avec pour sous-titre "Paris ne doit pas croître" et c'est dans ce contexte que Toulouse va devenir métropole d'équilibre. En 1958, la nomination du nouveau maire de Toulouse est une rupture en matière de développement urbain dans l'idée d'une croissance nécessaire de la ville face aux mutations des modes de vie qui s'imposent à elle et dans le cadre concurrentiel du Marché commun naissant. Dès lors et pour une durée d'une dizaine d'années, une grande politique d'infrastructure va simultanément mener un aménagement du centre ville (pénétrante des allées Jean Jaurès notamment) avec la construction de la ville nouvelle du Mirail dans laquelle prendra place naturellement l'université au demeurant dans l'objectif supplémentaire de renvoyer les étudiants vers la banlieue. Le Mirail est un nouveau centre à côté de la ville ancienne comme en ont été construit dans les pays d'Europe de l'Est à la même période, à ceci près qu'il n'y est pas tout à fait juxtaposé comme dans ces pays et que le rapport modernité et patrimoine n'y est pas identique. Une troisième période, celle du maire Pierre Baudis, dont la campagne électorale s'est faite sur le Mirail et sur la politique urbaine, enclenche une dynamique de réhabilitation et un processus de gentrification du centre ville. C'est le moment où le mot Mirail disparaît du vocabulaire au profit de "centre régional". Mot(s) clés libre(s) : gentrification, politique urbaine, Toulouse (1950-1970), Toulouse (quartier du Mirail), urbanisation, ville nouvelle
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ENS Lyon - Prospective sociale et prospective urbaine (Pierre Veltz)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 14-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
VELTZ Pierre, WORMSER Gérard
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Dans les mouvements de la mondialisation, comme dans les turbulences de la crise, les villes vivent plus dangereusement, car elles sont soumises non seulement aux grandes tendances prévisibles de l'économie, mais à une multitude d'aléas résultant du grand dégroupage des chaînes d'activité. Pourtant, dans le même temps, les villes sortent également renforcées de ces processus, dans la mesure où elles parviennent à constituer des polarités qui constituent d'irremplaçables bases d'appui, mutualisant les ressources et activant des potentiels de solidarité et de confiance. Au-delà du modèle concurrentiel qui organise le développement local autour de la lutte pour les ressources mobiles (capitaux, hommes, dépenses publiques), les villes et les territoires pourraient devenir les laboratoires privilégiés explorant des sorties par le haut aux problèmes structurels posés par les mutations en cours (notamment, mais pas exclusivement, par la croissance dite "verte"). Mot(s) clés libre(s) : confiance, crise, croissance "verte", mondialisation, solidarité, territoire, ville
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Prospective sociale et prospective urbaine (Pierre Veltz)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 14-05-2009
/ Canal-u.fr
VELTZ Pierre, WORMSER Gérard
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Dans les mouvements de la mondialisation, comme dans les turbulences de la crise, les villes vivent plus dangereusement, car elles sont soumises non seulement aux grandes tendances prévisibles de l'économie, mais à une multitude d'aléas résultant du grand dégroupage des chaînes d'activité. Pourtant, dans le même temps, les villes sortent également renforcées de ces processus, dans la mesure où elles parviennent à constituer des polarités qui constituent d'irremplaçables bases d'appui, mutualisant les ressources et activant des potentiels de solidarité et de confiance. Au-delà du modèle concurrentiel qui organise le développement local autour de la lutte pour les ressources mobiles (capitaux, hommes, dépenses publiques), les villes et les territoires pourraient devenir les laboratoires privilégiés explorant des sorties par le haut aux problèmes structurels posés par les mutations en cours (notamment, mais pas exclusivement, par la croissance dite "verte"). Mot(s) clés libre(s) : territoire, mondialisation, crise, solidarité, confiance, ville, croissance "verte"
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Les paysages fluviaux urbains
/ Bruno BASTARD, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 08-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
VALETTE Philippe, VIDAL Franck
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Dans l'histoire de l'expansion urbaine, bien souvent, les fleuves ont joué un rôle majeur. Les villes s'implantent le long de cours d'eau qui facilitent les échanges économiques, apportent le commerce, déterminent des passages. La ville s'agrandit alors en fonction du fleuve, distinguant rive gauche et rive droite, zone inondable et zone protégée. Domestiqué au XVIIIe siècle, le fleuve est abandonné et détourné de sa vocation première dans les années 1950. Dans les pays développés, depuis la fin du XXeme siècle, le fleuve « urbanisé » est désormais réhabilité dans sa fonction de paysage fluvial urbain, indice de l'émergence de la civilisation des loisirs.GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et post Production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et Moyens techniques : SCAM / Université de Toulouse Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09. Mot(s) clés libre(s) : aménagement des rives, cours d'eau (régularisation), cours d'eau (utilisation pour les loisirs), génie fluvial, paysage urbain, tourisme fluvial
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L'art des jardins / Sabine Forero
/ UTLS au lycée
/ 02-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée, FORERO Sabine
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Une conférence de l'UTLS au LycéeL'art des jardins par Sabine Forero, historienne de l'artLycée Val de Garonne (47 Marmande) Mot(s) clés libre(s) : art du paysage, jardin, jardinage, paysagiste
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