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Les monuments domestiques pour le plus grand nombre : une autre histoire / Daniel Pinson
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PINSON Daniel
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Les monuments domestiques pour le plus grand nombre : une autre histoire. Daniel PINSON. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis", organisé avec la collaboration des universités Rennes 2, Paris 1 et Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II Le Mirail, 8-10 avril 2010.Dans les années 50, Rezé, banlieue sud de Nantes, a été le terrain d'une curieuse compétition entre immeuble collectif et cité-jardin. A quelques centaines de mètres l'une de l'autre et presque simultanément, deux expériences en matière de logement se concrétisèrent pour répondre à la grave crise du logement de l'immédiat après-guerre. Elles sont aussi intéressantes en elles-mêmes que par le projet dont elles étaient porteuses, en particulier la faveur que l'une accordait à l'immeuble collectif et l'autre au pavillon, comme solution au logement du plus grand nombre. L'une est la deuxième cité Castor de l'après-guerre construite en France : la cité de la Balinière ou Claire Cité, lotissement de cent une maisons réalisées en auto-construction quasi intégrale. L'autre est la seconde Maison Radieuse de Le Corbusier, érigée selon son concept de l'Unité d'habitation.- Voir le diaporama de la communication "Les monuments domestiques pour le plus grand nombre : une autre histoire…" sur le site de Daniel Pinson (cliquer sur l'image pour y accéder). Mot(s) clés libre(s) : architecture moderne, Castors (mouvement coopératif d'autoconstruction), Claire-cité (Balinière, France), immeubles d'habitation, Le Corbusier (1887-1965), Maison radieuse (Rezé), Rezé), Rezé-Lès Nantes (Loire-Atlantique
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Construction et rénovation du Grand Palais
/ UTLS - la suite
/ 21-10-2004
/ Canal-U - OAI Archive
PERROT Alain-Charles
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Edifié pour l’Exposition Universelle de 1900, le Grand-Palais de Paris naît de la synthèse des propositions architecturales de Henri Deglane, Albert Louvet, Albert-Félix-Théophile Thomas et Charles Girault. Initiés en 1897 les travaux s’achèvent en 1900. Architecte en chef des monuments historiques, Jean-Charles Perrot revient sur ces années de construction et sur les différentes campagnes de rénovation dont a bénéficié le bâtiment.(Avertissement : Le conférencier n'ayant pas les droits de diffusion de ses images, nous avons le regret de ne pouvoir les faire apparaître à l'image) Mot(s) clés libre(s) : architecture, conservation et restauration, exposition internationale (1900 ; paris), france (19e siècle), grand palais, paris (france)
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Le pont de Rion-Antirion en Grèce : le défi sismique
/ UTLS - la suite
/ 20-10-2004
/ Canal-U - OAI Archive
PECKER Alain
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Infrastructure reliant le Péloponnèse à la Grèce, le pont de Rion-Antirion est un projet de grande envergure. Sa conception et son dimensionnement ont été guidés par la sollicitation sismique auquel il devait résister.Présentation de ce géant suspendu. Mot(s) clés libre(s) : conception parasismique, constructions, effets des séismes, génie parasismique, pont rion-antirion (grèce), ponts à haubans
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Patriarche & co : un équipage pour le projet de construction
/ Jacques DELAYE
/ 04-04-2016
/ Canal-u.fr
PATRIARCHE Jean-Loup
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Un équipage pour le projet de construction
Conférence de Jean-Loup Patriarche (proposée dans le cadre de la biennale de l'architecture et de l'ingénierie)
Mêlant dès les prémices du projet architectes, ingénieurs, urbanistes et économistes, l’agence Patriarche&Co défend la valeur du travail en équipe pluridisciplinaire face aux enjeux multiples du monde de la construction. Des laboratoires Genzyme à Lyon au siège d’Africanews à Brazzaville, les "équipages" de Patriarche&Co démontrent leur capacité à mener des projets aboutis et innovants, où maîtrise technique rime avec écriture architecturale affirmée.
À l’occasion de cette conférence, le chef d’agence Jean-Loup Patriarche abordera, au travers des différentes réalisations de l’agence et de son parcours personnel, cette posture collaborative qui fait aujourd’hui la marque de fabrique de la 11e agence d’architecture et d’ingénierie de France. Mot(s) clés libre(s) : architecture, agence d'architecture
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Université du Mirail : système hautement flexible dans un monde de mobilité / Rémi Papillault
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PAPILLAULT Rémi
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L'université du Mirail : un système hautement flexible dans un monde d'une grande mobilité. Rémi PAPILLAUT. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010. Rémi Papillaut présente le projet architectural de l'université du Mirail, conçu par l'équipe AAA (Candilis,Josic, Woods), appartenant au Team X, mis en perspective par les nombreuses références qui ont marqué ce groupe d'architectes : Le Corbusier (l'unité d'habitation de la Cité radieuse de Marseille), Michel Ecochard (Casablanca, Maroc), Mies van der Rohe (Institut technologique de Chicago), Aldo Van Eyck (orphelinat d'Amsterdam), Alison et Peter Smithson (concept de cluster city), ...Intégré tardivement au projet de ville nouvelle du Mirail, plusieurs projets successifs ont été présentés pour une université "ouverte" sur le modèle de l'Université libre de Berlin, basés sur les concepts de "stem" (tige centrale et sociale) et de "web" (réseau en grappe) de Shadrach Woods. La construction de l'université sera émaillée de diverses difficultés politiques et financières, autant que techniques, qui aboutiront à une réalisation un peu différente de celle imaginée par ses concepteurs (dont les architectes toulousains Fabien Castaing et Paul Gardia).[Note : 'intervention du conférencier est consultable -en document pdf- dans l'onglet "A télécharger".] Mot(s) clés libre(s) : Alexis Josic, architecture moderne, Mirail (quartier), Team 10, université Toulouse II-Le Mirail
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L'aéroport d'Osaka
/ UTLS - la suite
/ 28-10-2004
/ Canal-U - OAI Archive
OKABé Noriaki
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Dans les années 70, le développement du trafic aérien au Japon génère de nouveaux besoins en matière d’infrastructures. Pays de petite surface et très montagneux, le Japon offre peu de place pour la construction d’un aéroport internationale. Pour remédier à ce manque d’espace, l’aéroport est construit en pleine mer, au large de la baie d’Osaka.L’architecte japonais Noriaki Okabé revient sur l’histoire de ce projet gigantesque et sur le travail de collaboration entre architectes, ingénieurs et constructeurs. Mot(s) clés libre(s) : aéroport international d'osaka (japon), aéroport international de kansai, aéroports, aéroports internationaux, aménagement du territoire, conception et construction, trafic aérien
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/ EFEO Ecole Française d'Extrême Orient
/ 29-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
O'Connor Richard A.
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Mot(s) clés libre(s) : art bouddhique, lieux de culte, Myanmar
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Enjeux et pratiques de la protection du patrimoine du XXe: témoignage de la COREPHAE/ Gérard Monnier
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MONNIER Gérard
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Les enjeux et les pratiques de la protection du patrimoine du XXe : un témoignage de la COREPHAE à Docomomo France. Gérard MONNIER.In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010. Mot(s) clés libre(s) : architecture (Mouvement moderne), architecture (XXe siècle), protection du patrimoine
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Les rythmes urbains de la ville à la non-ville
/ Mission 2000 en France
/ 19-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MONGIN Olivier
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Ce thème est une invitation à spécifier certains caractères propres à la ville et à mettre en scène des évolutions qui donnent lieu à l'hypothèse de la fin de la ville. S'interroger sur les rythmes urbains permet de mieux saisir la nature de la ville et de prendre en considération les rythmes inédits du monde post-urbain qui est en train de se dessiner. Comment se présente dans ce contexte le discours relatif à l'ordre urbain et à la ville traditionnellement liée à la notion d'urbanité ? Un premier discours renvoie à un savoir global, celui de l'urbaniste, de l'ingénieur, alors qu'un second discours évoque plutôt des fictions, une poétique. Ou bien l'on valorise une approche macroscopique, celle qui associe l'urbain à un plan et à une maquette, celle qui valorise le dessin et le sens de la vue et l'art de l'ingénieur. Ou bien l'on met en avant un imaginaire de la ville, celui des passants, des vagabonds, des passages, un imaginaire qui se confond avec la posture du créateur, du poète et de l'artiste. Ces deux approches, la première marquée par le développement technologique et économique est perçue comme progressiste, la seconde renvoyant à une poétique de caractère nostalgique, ont sous-tendu la grande exposition de Beaubourg de 1994 sur la Ville (Art et Architecture en Europe, 1870- 1993) au sein de laquelle coexistaient, les artistes (écrivains, photographes, cinéastes), les architectes, les ingénieurs et les urbanistes. La ville des artistes et la ville des ingénieurs- urbanistes ? Y a t-il là une opposition insurmontable entre celui qui sent la ville à travers la déambulation subjective qu'elle permet et celui qui réduit la ville à une maquette qu'il dessine objectivement en se mettant à distance. L'un s'aventure dans la ville de l'intérieur, l'autre l'imagine de l'extérieur. Mot(s) clés libre(s) : géographie urbaine, lieux imaginaires, maquettes (architecture), projets d’urbanisme, urbanisme, villes
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Faut-il reconstruire le campus de l'Université du Mirail ? / J.-M. Minovez (lu par L. Barlangue)
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MINOVEZ Jean-Michel
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Faut-il reconstruire le campus de l'Université du Mirail ? Jean-Michel MINOVEZ, Texte lu par Luce BARLANGUE. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis", organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Le campus du Mirail, intégré au projet de ville nouvelle de Candilis, Woods et Josic, conçu dans les années 60 sur le modèle de l'Université libre de Berlin, a présenté, dès sa livraison au début des années 70, des dysfonctionnement majeurs. Pour cette raison ainsi que par manque de maintenance, le bâti (dit "bâti Candilis") s'est considérablement dégradé au point de menacer la sécurité des personnes. Même si plusieurs plans (plan d'urgence de 1990 et plan campus 2000) ont apporté de nouveaux bâtiments, la situation immobilière est devenue un problème majeur de l'université. Au début des années 2000, l'Etat a validé le projet de démolition-reconstruction intégrale du "bâti Candilis" avec le soutien des collectivités territoriales.Un schéma directeur, préparé par des groupes de projet et le Ministère, a été validé en 2002 selon un programme de reconstruction en 3 phases dont une seule est financée. A l'automne 2003, la question de sa faisabilité est posée, l'opportunité d'une démolition intégrale est interrogée. L'université entreprend alors un travail de révision du schéma directeur en se basant sur les conclusions d'une expertise, et, accompagnée par un bureau d'études techniques, en mettant en œuvre une démarche programmatique fonctionnelle, etc.De 2004 à 2009, seront conduites des études qui mèneront à plusieurs propositions radicalement opposées aux solutions techniques, architecturales et urbaines tout d'abord envisagées.En septembre 2009, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a confirmé l'attribution de crédits budgétaires à hauteur de 175 millions d'euros pour permettre d'achever la troisième phase de reconstruction de l'université du Mirail. Avec les crédits obtenus dans le cadre du Contrat de Projet Etat-Région pour la période 2007-2013 et avec les bâtiments déjà réalisés ou en cours, c'est l'ensemble du campus du Mirail qui sera reconstruit ou réhabilité à l'horizon 2015. Mot(s) clés libre(s) : projet de reconstruction, schéma directeur (méthode), Toulouse (université Toulouse-Le Mirail)
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