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Toulouse-Le Mirail, son université... une empreinte emblématique des "modernes" / Gérard Huet
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
HUET Gérard
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"Toulouse-Le Mirail, son université... l'UTM une empreinte emblématique des "modernes" en terre toulousaine. Peut-elle s'adapter aux évolutions dictées par le temps ? "L'Arche" bâtiment d'entrée révèle cette question". Gérard HUET. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis", organisé avec la collaboration des universités Rennes 2, Paris 1 et Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II Le Mirail, 8-10 avril 2010.En 1985, l'université du Mirail, sous la présidence de Georges Bertrand, est lancé un concours pour la construction sur le campus d'un programme de salles pédagogiques et d'un bâtiment d'accueil des étudiants. Pour Gérard Huet, la problématique de ré-intervenir à l'Université Toulouse-Le Mirail sur le travail de Candilis pose les questions du « fétichisme du patrimoine », de la continuité et de l'actualisation du concept original exposé à des évolutions permanentes. Dans son intervention, Gérard Huet explique les intentions architecturales et la réalisation de "l'Arche", une des extensions de l'université du Mirail dont il est l'architecte : entre solution à la "sur-densité" du campus, proposition formelle dialoguant avec le bâti existant de Candilis ((modèle initial de Le Corbusier, maison domino trame modulaire...) et réponse à la demande de créer le signal d'une liaison avec la ville, si ce n'est du côté du centre historique de Toulouse, au moins en direction du quartier du Mirail.[Avertissement : le conférencier n'ayant pas encore autorisé le droit de diffuser les photographies afférentes à son intervention, nous avons le regret de ne pouvoir les faire apparaître à l'image. Toutefois, un diaporama de quelques photographies issues de sites internet vous est proposé à titre illustratif.] Mot(s) clés libre(s) : architecture moderne, extension (architecture), Georges Candilis (1913-1995), style architectural, université Toulouse II-Le Mirail
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Providing for the Buddha: monastic centres in Eastern India
/ Thierry GONTAN, EFEO Ecole Française d'Extrême Orient, Musée GUIMET
/ 14-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Himanshu Prabha Ray
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This paper attempts to address one of the issues of the series, viz. patronage, not just the relationship between Buddhist monastic centres and kings, but more significantly the lay community and its continuing support of monks and nuns and sponsorship of ritual activities, as well as maintenance of monastic structures. Eastern India is here defined as the state of Orissa, but includes contiguous coastal regions. The time period covered ranges from the 4th-3rd centuries BC when the earliest Buddhist sites are in evidence to 12th century AD after which few new constructions are known. My approach to the study of early Buddhist monastic establishments departs from the traditional perspective that viewed these as retreats, away from society, where monks and nuns engaged in meditation and studies. In contrast, I suggest that there was an active engagement between Buddhist clergy and the lay community and this interaction can be understood through the archaeology of space as it was defined with reference to settlement sites and as it was configured and lived in by monks and nuns. Of crucial importance to my work is the social history of the monument, rather than an emphasis on architectural style and form. It is hoped that this contribution will reinvigorate the archaeological study of early Buddhist monuments.Dr. Himanshu Prabha Ray is Professor at the Centre for Historical Studies, Jawaharlal Nehru University, New Delhi. She obtained her MPhil (Archaeology) from the University of Cambridge; her PhD from Jawaharlal Nehru University; and did post-graduate work in Sanskrit at Panjab University. She has held several visiting positions, including Senior Visiting Research Fellow at the Asia Research Institute, Singapore July to September 2007; JNU Visiting Fellow in Arts, University of Sydney, Australia, June 2005; Shivdasani Fellow, Oxford Centre for Hindu Studies, October-December 2005; Visiting Professor: University of Lyon II, France May to July 2001; Fulbright Visiting Lecturer: Department of Anthropology, University of Michigan, January to April, 2000. Her recent publications include Colonial Archaeology in South Asia (1944-1948): The Legacy of Mortimer Wheeler, Oxford University Press, New Delhi, 2007; Monuments, Wisdom Tree, New Delhi, 2007; The Archaeology of Seafaring in Ancient South Asia, Cambridge World Archaeology Series, Cambridge University Press, 2003 and edited volumes titled: Sacred Landscapes in Asia: Shared Traditions, Multiple Histories, IIC - Manohar Publishers, New Delhi, 2007; co-edited with Daniel T. Potts, Memory as History: The Legacy of Alexander in Asia, Aryan Books International, 2007; co-edited with Edward A. Alpers, Cross Currents and Community Networks: The History of the Indian Ocean World, Oxford University Press, New Delhi, 2007; and Coins in India: Power and Communication ,Marg Publications, volume 57, 3, March 2006. Mot(s) clés libre(s) : art bouddhique, bouddhisme, Inde, monastères bouddhiques
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Schéma directeur-schéma d'aménagement : dynamiques d'un projet controversé / Nicolas Golovtchenko
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GOLOVTCHENKO Nicolas
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"Université du Mirail : du schéma directeur au schéma d'aménagement, les dynamiques d'un projet controversé". Nicolas GOLOVTCHENKO. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé avec la collaboration des universités Rennes 2, Paris 1 et Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II Le Mirail, 8-10 avril 2010.Dans son intervention, Nicolas Golovtchenko (actuel vice-président délégué au patrimoine universitaire) évoque en introduction les questions qui ont émergées lors de la réflexion sur la restauration ou la réhabilitation de l'université Toulouse-Le Mirail : le rapport affectif entretenu par la communauté universitaire avec son patrimoine ancien (le "bâti Candilis") et les nouveaux bâtiments construits ou à venir, les incidences de la réflexion architecturale sur l'offre de formations et les projets scientifiques, la nécessité de ré-inventer les relations avec le quartier, les question de continuité et de rupture aussi. Sont ensuite expliquées les modalités de la mise en œuvre du schéma directeur de reconstruction, élaboré avec les cabinets d'architectes ou d'experts, ainsi que les axes de travail pour l'ouverture du campus vers la ville. Sur ce schéma directeur pas tout à fait définitif, surgissent des réflexions diverses autour de l'aménagement d'une perspective Nord-Sud, l'intégration du parc du Mirail, le déplacement des unités d'enseignement et le lien entre elles... comme autant de questions à résoudre par les architectes. Mot(s) clés libre(s) : architecture (conservation), architecture (reconstruction), architecture moderne, reconstruction (schéma directeur), Université Toulouse II-Le Mirail
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Angkor Thom, de la Cité des dieux à l’horizon urbain : archéologie d’une mise en scène
/ EFEO Ecole Française d'Extrême Orient
/ 29-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Gaucher Jacques
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Conférence donnée le 11 juin 2009 dans le cadre des Conférences Iéna, organisées conjointement par l'Ecole française d'Extrême-Orient et le Musée Guimet.Le centre du site d’Angkor est occupé par un espace exceptionnel en raison de ses dimensions, de la géométrie de son enceinte et de la dramaturgie de ses monuments : Angkor Thom. A l’analyse, le symbolisme architectural de ses grands temples et leur ordonnancement figurent une représentation, celle de l’Univers habité par les dieux, rendue célèbre par les chercheurs de l’Ecole française d’Extrême-Orient au cours du XXe siècle. Mais ce vaste espace, aujourd’hui recouvert par la forêt, enfermait-il réellement celui d’une ville ? Quels mécanismes, inhérents à toute vie de cité, soutenaient cette mise en scène grandiose ? Pouvait-on en recueillir des traces, en dresser un plan, identifier des formes, caractériser des fonctionnements ? Enfin, dans quelle mesure était-il possible de rendre compte de sa fabrication dans le temps ? En procédant à l’archéologie d’un site à grande échelle, l’archéologue apporte à ces questions une première série de réponses qui restituent à l’ancienne capitale des rois khmers, ses dimensions urbaines, prémices d’une histoire insoupçonnée. Mot(s) clés libre(s) : Angkor, architecture khmère, Cambodge, urbanisme
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Conférence de Jacques GANDEMER et Sophie MOREAU - Comprendre et voir le vent
/ Jacques DELAYE
/ 19-10-2015
/ Canal-u.fr
GANDEMER Jacques, MOREAU Sophie
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La prise en compte des éléments naturels dans la
conception, l’édification et l’aménagement de projets urbains et
architecturaux fait désormais l’objet d’une attention accrue. Le
dimensionnement au vent des bâtiments de grande hauteur et des ouvrages
d’art, nécessite une connaissance fine des caractéristiques de la
vitesse du vent sur les sites de la construction. Mais avant tout,
qu’est-ce que le vent ? Quelles différences entre le vent atmosphérique
et le vent dans la couche limite turbulente ? Le vent doit-il être
considéré comme une contrainte ou comme une ressource ?
Sophie Moreau et Jacques Gandemer, ingénieurs et spécialistes en architecture bioclimatique,
abordent ici ce sujet en revenant dans un premier temps sur les
caractéristiques physiques et sur les mécanismes physiques d’interaction
entre le vent et les masses bâties. Dans un deuxième temps, ils
décrivent certains effets aérodynamiques fréquents et connus
(contournement, venturi etc.) avant de questionner la place du vent dans
les espaces extérieurs et son exploitation pour l’architecture
bioclimatique. Sept cas réels en climat tempéré ou tropical sont pris
en exemple:
Centre culturel Tjibaou
Renzo Piano Building Workshop
Nouméa, Nouvelle Calédonie, 1991 - 1998
Tour Intesa San Paolo
Renzo Piano Building Workshop
Turin, Italie, depuis 2006
École Normale Supérieure de Cachan
Renzo Piano Building Workshop
Paris-Saclay, France, depuis 2014
Centre recherche et développement EDF
Francis Soler Architecte
Plateau de Saclay, France, depuis 2015
Amphithéâtre Université du Moufia
Olivier Brabant
Saint-Denis, Ile de la Réunion, 2011 - 2014
Université du Tampon
Olivier Brabant
Tampon, Ile de la Réunion, depuis 2014
Les portes de Beauséjour
AP Architectures – 2 APMR
Sainte-Marie, Ile de la Réunion, 2010 - 2014 Mot(s) clés libre(s) : aerodynamisme
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Les 50 ans des Escanaux à Bagnols sur Cèze / Laurent Duport (texte lu par Catherine Compain-Gajac)
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DUPORT Laurent
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Les 50 ans des Escanaux à Bagnols sur Cèze. Laurent DUPORT (texte lu par Catherine Compain-Gajac). In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Laurent Duport, architecte spécialiste de Le Corbusier et du mouvement architectural de la Team X, évoque la conception du nouvel ensemble urbain des Escanaux, à Bagnols-sur-Cèze, conçu par le cabinet d’architectes Candilis-Josic-Woods pour accueillir les employés du site de Marcoule, un des premiers sites nucléaires de France.Extrait du texte accompagnant les archives du fonds Candilis (236 Ifa) de la Cité du Patrimoine et de l'Architecture : "Les travaux de la nouvelle cité commencent en avril 1956, avec le lancement par le CEA, au quartier de « La Citadelle », d'une première tranche de 371 logements (terrain acheté en janvier 1956), en même temps qu’une commission spécialisée du plan (constituée principalement par R. Coquerel, urbaniste en chef du Ministère de la construction en mission spéciale, Ch. Delfante, urbaniste du plan régional, G. Candilis et son équipe) entreprend l’élaboration d’un projet d’ensemble pour l’extension de la ville, « capable de prendre le relais de cette première initiative ». Ainsi, la transformation d’un petit centre commercial et administratif d’une région agricole en une ville industrielle est devenue un objectif national, un véritable symbole de la reconstruction nationale.En 1959, quand le nouvel ensemble de Bagnols-sur-Cèze est récompensé par le Prix d’urbanisme du gouvernement français (décerné pour la première fois en France), 35 ha ont été déjà aménagés et la population de Bagnols est passée de 4500 en 1956 à environ 12 000 habitants (la perspective étant alors d’atteindre le nombre de 18 000 habitants avec l’achèvement de la nouvelle ville).Principes d’implantation et de composition :L’extension de la ville vers le sud a été dictée par les données géographiques du site (topographie, climat), en même temps que pour rechercher des éléments de liaison entre les deux villes et créer une continuité. La structure de la vieille ville a déterminé directement la structure de la nouvelle :- le système de liaison des anciennes rues, jamais orthogonales, est repris sur un mode plus large et inspire le mode d’implantation varié des unités de logements. Les groupements (articulés de façon à créer de micro-ensembles de caractères différents) forment des décrochements et se caractérisent par des ruptures systématiques de l’alignement en ligne droite ;- l’utilisation des immeubles-tours comme symbole et identité de la nouvelle ville, mis en rapport symbolique avec les flèches gothiques des églises et des tours médiévales existantes, symbole et identité de la vieille ville ;- la préservation et la mise en valeur des éléments du passé artificiels ou naturels, comme éléments de composition d’ensemble : théâtre en plein air, vieux parcs et jardins, ruines ;- l’utilisation de la polychromie traditionnelle du Midi (bleu, ocre, rouge, ocre jaune, gris), un chromatisme à la fois chatoyant et très nuancé sur un fond blanc.La nouvelle ville comporte une densité périphérique assez forte. Elle est limitée par une route extérieure (la nouvelle route des Rocades unifiant le sud à l’est de la ville) sur laquelle s’implantent les parkings, tandis que l’espace intérieur des zones d’habitations est libéré de toute circulation automobile.En effet, dans les aménagements de Bagnols, on retrouve des éléments concrets des recherches typologiques normalisées précédentes, fruit des réflexions architecturales entreprises au sein de l’équipe de Candilis à l’occasion du concours lancée sous l’égide du Ministère de la Construction pour créer un nouveau type de logement économique, dans le cadre de l’opération million : les trois plans de masse (perpendiculaire, en rond, en « V »), une certaine ordonnance en domino des façades et un type d’immeuble bas à quatre ou cinq niveaux, associés cette fois à une composition contextuelle en plan masse". Mot(s) clés libre(s) : Atelier AAA, Bagnols-sur-Cèze (Gard, France), Mouvement moderne (architecture)
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Conférence de Philippe DUFIEUX
/ Jacques DELAYE
/ 21-01-2016
/ Canal-u.fr
DUFIEUX Philippe
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« Vingt ans après l’inauguration de l’Opéra Nouvel à Lyon, les avis
restent partagés quant à la nature et la qualité d’une intervention qui,
d’un projet de restauration, a conduit à la destruction de l’un des
témoins majeurs de l’architecture des théâtres en France sous la
Restauration, élevé entre 1828 et 1830 par les architectes Antoine-Marie
Chenavard et Jean Pollet. Véritable naufrage patrimonial ou symbole de
la renaissance de la cité rhodanienne à l’orée du troisième millénaire,
l’Opéra Nouvel inaugure, au début des années 1990, un type
d’intervention dont l’arrogance artistique vise à dénier aux monuments
leurs qualités propres dans une idée équivoque – promise pourtant à une
longue postérité – selon laquelle l’architecture contemporaine
assurerait en réalité le futur des monuments. » Ph. Dufieux Mot(s) clés libre(s) : Lyon (Rhône)
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DEVABHAKTUNI Sony
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Mot(s) clés libre(s) : architecture et littérature, influence littéraire, ville (thèmes et motifs), Walter Benjamin (1892-1940), Walter Benjamin (critique et interprétation)
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La rénovation du site Niemeyer : enjeux et défis, avec Dominique Deshoulières
/ 09-02-2015
/ Canal-u.fr
DESHOULIÈRES Dominique
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Oscar Niemeyer a livré en 1982 un important équipement culturel en plein centre du Havre, accueillant la Maison de la Culture créée par André Malraux, aujourd’hui Scène nationale. Moins de trente ans après, les habitants ne se sont toujours pas approprié ce site, en mauvais état, mal vécu par ceux qui y travaillent ou le fréquentent pour sa programmation culturelle. Dans le même temps, le classement Unesco et le tramway réconcilient les Havrais avec la ville Perret.S’impose alors un nouveau défi : redonner au bâtiment Niemeyer la place qui lui revient dans l’organisation urbaine. Cette conférence donne la parole à Dominique Deshoulières, en charge de ce vaste projet de rénovation. Il en présente la genèse et explicite les choix architecturaux et urbains du "nouveau" Volcan Niemeyer : des enjeux à la forme que prend la commande, comment l’équipe d’architectes aborde-t-elle ce sujet ? Sur quelles lignes de force appuie-t-elle son travail, dans quel rapport avec l’oeuvre du « maître » ? Mot(s) clés libre(s) : rénovation, site Niemeyer, Le Havre, organisation urbaine
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Gilles Desevedavy : une nouvelle Architecturicité
/ 24-05-2016
/ Canal-u.fr
Desevedavy Gilles
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Parce que le nouveau doctorat en architecture, issu d'une décision
politique, transforme l'architecture de pratique à discipline, celle-ci,
naissante et en construction, devrait répondre non seulement à une
exigence de scientificité, mais également, en complément ontologique, à
une exigence d'architecturicité toute nouvelle. Mot(s) clés libre(s) : architecture, doctorat
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