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Monument or Ornament ? Early French architectural histories of Islamic buildings in Egypt (1850s–1870s)
/ Canal-u.fr
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Looking Widely, Looking Closely Symposium : Monument or Ornament ? Early French architectural histories of Islamic buildings in Egypt (1850s–1870s)
Metropolitan Museum of Art
Recorded October 18–20, 2012 (Part Twenty-one of Twenty-Six)
Mercedes Volait, CNRS Research Professor, Institut national d’histoire de l’art (INHA)
In 1869, the French publisher Veuve A. Morel and Co. was engaged in the publication of two parallels works illustrating monuments in Egypt. Resulting from surveys made during the 1850s and 1860s, the books quite differ in their method, scope and philosophy. They represent distinct approaches to Islamic architecture in Egypt that can be broadly summarized as engaging with theory vs. engaging with history. In their own ways, both publications indeed address issues and topics that are still of relevance to current scholarship of Islamic art and architecture. Furthermore, they share an evolution towards including objects in their perspective that is worth questioning Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, architecture, Egypte, monument
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Fous du Caire : entretien avec Mercedes Volait
/ Canal-u.fr
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Un entretien avec Mercedes Volait pour le journal al-Masri al-Youm (L’Egyptien aujourd’hui) à l’issue de la présentation du livre Fous du Caire à l’Institut français d’Héliopolis le 7 avril 2011.
Bibliographie : Mercedes Volait, Fous du Caire : Excentriques, architectes et amateurs d’art en Egypte, 1867-1914, Montpellier : L’Archange Minotaure, 2009, 298 p. Mot(s) clés libre(s) : le caire (egypte), histoire de l'art, architecte
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Faire / Voir le paysage
/ Canal-u.fr
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Il s’agira, dans cet exposé, de proposer une réflexion sur les
différentes directions qui ont été prises par la théorie du paysage dans
les vingt dernières années. Cette conjoncture intellectuelle a été
marquée, en particulier, par un déplacement des perspectives. Si une
approche dans les termes de la visualisation et de la représentation est
toujours effective, d’autres approches se sont également développées,
qui, d’une part, cherchent à mettre en relief les dimensions non
représentationnelles dans les expériences du paysage, et d’autre part,
dirigent leur attention sur l’univers des gestes et des pratiques à
l’œuvre dans la fabrication des paysages. On s’efforcera dans cet exposé
de présenter un aperçu de ces nouvelles directions de recherche.J.-M. B. Mot(s) clés libre(s) : paysage, géographie (philosophie), architecture
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Cultures d’islam par Abdelwahab Meddeb: L’orientalisme architectural. invitée: Mercedes Volait
/ Canal-u.fr
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L’orientalisme appliqué à l’architecture a été un mouvement important au XIXe siècle. Cela a produit un style international qui a engendré des œuvres aussi bien en Orient qu’en Occident. Le phénomène n’est pas seulement lié à l’entreprise coloniale. Il constituait aussi un répondant au voyage en Orient des peintres et des écrivains. Il avait à voir avec la poétique et la sensibilité romantiques. C’est finalement un résultat de la découverte des arts de l’islam et particulièrement de son architecture médiévale.
La volumétrie et le primat de l’ornement dans le décor ont provoqué la fascination d’une nouveauté qui se répercutera jusque dans l’enseignement de l’architecture et qui infléchira le choix des sujets pour les concours. Les réalisations des pavillons des pays islamiques dans les expositions universelles (Paris, Chicago) ont contribué à la diffusion de ce style néo-oriental dont la variété répercutait une diversité originelle qui distingue entre le monumentalisme mamlouk du Caire, beylical de Tunis, ou hispano-mauresque de Fès.
Le goût pour ce style a fait rêver les architectes pour doter Paris d’une mosquée. Le projet de la fin du XIXe siècle qui proposait une mosquée néo-mamlouk au quai d’Orsay n’a pu voir le jour. Il fallait attendre Lyautey et la gestion de la question musulmane dans le cadre de l’empire colonial pour que la mosquée de Paris apparaisse en 1926 dans le style marocain qui nous éloigne du modèle cairote non réalisé, lequel signalait le persistant effet de l’expédition d’Egypte de Bonaparte où s’ensource l’égyptomanie française.
Bibliographie :
L’orientalisme architectural entre imaginaires et savoirs, ouvrage collectif dirigé par Nabila Oulebsir et Mercedes Volait, éd. du CNRS et éd. Picard, col. D’une rive l’autre, Paris, 2009. Mot(s) clés libre(s) : orientalisme, histoire de l'art
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Cultures d’islam par Abdelwahab Meddeb: Les Passions du Caire, invitée : Mercedes Volait
/ Canal-u.fr
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Nous voyageons avec Mercedes Volait dans le Caire du XIXe siècle, et particulièrement avec ce que les architectes européens et surtout français ont bâti, en s’inspirant de l’art arabe local, et surtout de la séquence mamelouke (fin XIIIe siècle – début XVIe siècle). Ces architectes, artistes, décorateurs, dilettantes, vulgarisateurs, savants, érudits, se sont passionnés des signes médiévaux de la ville, à partir de 1860, et s’en sont inspirés pour inventer une architecture néo-mamelouke, ou pour injecter des éléments de décor puisés dans cette mémoire, à travers des édifices soumis aux techniques et aux formes qui étaient à l’œuvre en Europe à la même époque. Ces passions, artistiques et architecturales, ont métamorphosé l’image de la ville, et ont pu ainsi ajouter un temps supplémentaire à l’histoire de la cité, qui avait déjà neuf siècles d’acquis, Le Caire ayant été fondé en 969 par les Fatimides, fondation du reste qui prolongea des établissements humains qui lui étaient antérieurs, Fustât ayant été créée par le conquérant arabe de l’Egypte ‘Amr Ibn Al-‘Aç dès avant le milieu du VIIe siècle.
Bibliographie : Mercedes Volait, Fous du Caire : Excentriques architectes et amateurs d’art en Egypte, 1867-1914, Montpellier : L’Archange Minotaure, 2009 Mot(s) clés libre(s) : le caire (egypte), histoire de l'art, architecture
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Beyrouth, imaginaires urbanistiques
/ Canal-u.fr
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A partir des ouvrages "Beyrouth sous mandat français. Construction d’une ville moderne" de Marlène Ghorayeb (Éd. Karthala, 2014), "Intensive Beyrouth" de Youssef Tohme (Ed. Norma, 2014) et "Beyrouth et ses urbanistes. Une ville en plans (1946-1975)" d’Eric Verdeil (Presses de l’IFPO, 2010).
L'urbanisme de Beyrouth saisi à trois moments-clés de l'histoire moderne de la ville : la gouvernance mandataire (à partir de 1918), l'euphorie de l'Indépendance (après 1946) et les excès du libéralisme après la fin de la guerre civile en 1990. Plus riches en intentions qu'en réalisations, les successives mises en plan de la capitale libanaise invitent à une réflexion sur les temporalités de l'action publique, ainsi que sur les sédimentations et résiliences qui fondent l'urbanité libanaise; en retour, les plans offrent l'opportunité de s'intéresser aux processus d'internationalisation des concepts, des outils et des milieux professionnels de l'urbanisme au XXe siècle.
En présence des auteurs.
Modératrice: Mercedes Volait, historienne de l'architecture, spécialiste de l'Egypte moderne, directeur de recherche au CNRS et directeur du laboratoire InVisu à l'Institut national d'histoire de l'art. Mot(s) clés libre(s) : urbanisme, architecture, Liban, Beyrouth
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