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La Popelinière et Thucidyde: entre idée d'histoire accomplie et ktèma es aei / F. Murari Pires
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 23-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MURARI PIRES Francisco
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"La Popelinière et Thucydide : quelques propositions pour (re)penser le dialogue entre l'idée d'histoire accomplie et le ktèma es aei". Francisco MURARI PIRES. Colloque international "La réception de Thucydide, de l'Antiquité au XIXe siècle (III) "Un acquis pour toujours" ? Thucydide chez les Modernes, XVe-XIXe siècles" organisé par l'équipe de recherche PLH-ERASME (Patrimoine, Littérature, Histoire / Equipe de recherche sur la Réception de l'Antiquité : Sources, Mémoire, Enjeux) de l'université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Ausonius de l'université Bordeaux II. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 23-25 octobre 2008Axe thématique du colloque : "Thucydide "père de l'histoire" ? La méthode historique en question", 23 octobre 2008. Mot(s) clés libre(s) : historiographie, Thucydide (0460?-0395? av. J.-C.), Thucydide (appréciation)
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Autour de littérature et philosophie (2) / Létitia Mouze
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-06-2014
/ Canal-u.fr
MOUZE Létitia
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Autour de littérature et philosophie (2) / Létitia Mouze, in journée d'études "Le lecteurs et ses autres (2)" organisée, sous la responsabilité scientifique de Marie-Josée Fourtanier, par le
laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence,
en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA CREATIS) en collaboration avec l'Équipe de Recherche sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs (ERRAPHIS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 20 juin 2014. Dans le prolongement des travaux sur la lecture subjective menés autour du "Texte du lecteur" et du séminaire "Réception des oeuvres et créativité des lecteurs-auditeurs-spectateurs", les différents intervenants de la seconde saison ont interrogé, sans souci d'inventaire, les autres du
lecteur. Par ce vocable, dont l'emploi peut sembler énigmatique, nous
entendons, entre autres, les souvenirs enfouis issus de l'histoire
personnelle du lecteur, les scénarios fantasmatiques tissés par son
inconscient et activés par les oeuvres de fiction, le bruissement des
diverses communautés interprétatives auxquelles il participe, le frayage
des langages et des langages qui médiatisent son apport aux autres et
au monde. Mot(s) clés libre(s) : Walter Benjamin (critique et interprétation), philosophie et littérature, Marcel Proust (1871-1922), herméneutique littéraire, autobiographie (histoire et critique)
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La scène en tant que dispositif de révolte. Étude sur le théâtre d’Emma Dante / Anna Mirabella
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
MIRABELLA Anna
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La scène en tant que dispositif de révolte. Étude sur le théâtre d’Emma Dante / Anna Mirabella, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Rompre le silence : le théâtre des femmes.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : théâtre italien (20e-21e siècles), Emma Dante (1967-....), femmes dans les arts du spectacle
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Le mariage de Nicolas
/ Luc MEICHLER, Gisèle MEICHLER, La Compagnie de l'Observatoire, LGM, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M)
/ 30-04-1992
/ Canal-U - OAI Archive
MEICHLER Luc, MEICHLER Gisèle
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Un portrait de René-Nicolas Ehni sous forme de film documentaire, à l'occasion du mariage de l’écrivain sundgauvien (La Gloire du Vaurien, Le Voyage en Belgique…) à Plaka en Crète, là où il s’est établi à demeure. Un temps fort et festif de dix jours qui est à la fois un mariage de transfuge culturel, un mariage dans la plus pure tradition orthodoxe, rehaussé par la participation du “chantre sublime” Kostas, un mariage crétois auquel participent tous les gens du village, un mariage dans une île grecque où règnent la force des lieux et le souvenir des dieux. Un mariage enfin, commenté par le marié lui-même, conteur intarissable. Mot(s) clés libre(s) : condition humaine, crète, deuxième guerre mondiale, écriture, existence de l’être, guerre civile, influences culturelles, influences sociogéographiques, littérature, mort, orthodoxie, paix, peuple grec, religion, résistance, symbolisme
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Le prophète en son pays
/ Gisèle MEICHLER, Luc MEICHLER, La Compagnie de l'Observatoire, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M)
/ 31-03-1991
/ Canal-U - OAI Archive
MEICHLER Gisèle, MEICHLER Luc
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Trois jours en Alsace avec René-Nicolas Ehni, écrivain et dramaturge, s’apprêtant à quitter sa région natale. La gloire du vaurien, son premier roman, le fit vivre à Paris. Après son retour en Alsace, ses pérégrinations balkaniques le menèrent en Grèce. Optant pour Byzance, il se convertit à l’orthodoxie et décide de vivre en Crète.Trois jours à la découverte de ce personnage et des thèmes qui lui tiennent à cœur, à la fois écrits, pensés, sentis et perçus. Mot(s) clés libre(s) : alsace, calvaires, condition humaine, divinités, écriture, existence de l’être, grèce, influences des lieux, influences historiques, influences religieuses, littérature, mort, papistes, politique, religion, souvenirs de famille, symbolisme, tradition, tra
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Place de la lecture dans la reconfiguration identitaire des élèves burundais / Maurice Mazunya
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MAZUNYA Maurice
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La place de la lecture dans la reconfiguration identitaire des élèves burundais / Maurice MazunyaAu Burundi, la première forme de reconfiguration identitaire a eu lieu par le biais de l’acculturation scolaire qui accula l’oralité traditionnelle à composer avec la révolution de Gütenberg. Les premiers écrits de l’anthropologie coloniale sur le Rwanda-Burundi qui étaient fondés sur un imaginaire manichéiste ont promu une « identité-racine » dont les dérives génocidaires sont toujours incontrôlées. Pendant la guerre civile de 1993 à 2005, l’enseignement des textes littéraires qui s’est toujours focalisé sur leurs qualités intrinsèques frisait parfois l’univers kafkaïen, quand certaines explications sur le thème de la guerre étaient ponctuées par des crépitements d’armes, signes annonciateurs de l’approche des « seigneurs de la guerre ». L’enseignant poursuivait imperturbablement sa leçon, pour éviter de parler de corde dans la maison d’un pendu : l’ethnie est devenue taboue au même titre que la sexualité. Or, peut-on taire en classe de français ce « Plus jamais ça !» qui constitue ailleurs la pierre angulaire de l’éducation ? Le rôle de l’école et des éducateurs n’est-il pas justement d’aider nos « Gavroches » désabusés à survivre aux horreurs et aux traumatismes dont ils ont été victimes ou témoins ?Des enquêtes préliminaires, des observations de classe et des visites des espaces de lecture nous ont conduit à encourager la lecture des littératures dites émergentes sur la guerre. Nos jeunes lecteurs semblent être plus « emballés », sans doute parce qu’ils trouvent ici la possibilité de se réarmer moralement, en associant leurs propres souvenirs et les émotions dégagées des héros que sont les enfants devenus soldats, chefs de ménage, orphelins, indigents ou sans domicile fixe.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : enseignement de la littérature (Burundi), jeunesse et guerre (Burundi), lecture (aspect psychologique), lecture (pédagogie), livres et lecture
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Le texte du lecteur : présentation du colloque / Catherine Mazauric
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MAZAURIC Catherine
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Le texte du lecteur : présentation du colloque / Catherine Mazauric (co-organisatrice et membre du comité scientifique). Colloque organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts" (LLA). Université de Toulouse II-Le Mirail, 22-24 octobre 2008.Les théories contemporaines de la lecture littéraire accordent une place déterminante à l'activité des lecteurs dans l'actualisation et la reconfiguration des œuvres. Ainsi, un texte littéraire n'adviendrait véritablement que lorsque chaque lecteur lui aurait donné sa forme ultime.Le texte lu ressortit à la trame mentale qui l'anime : seul, écrit Jean Bellemin-Noël, le « trajet de lecture qui est tissé de la combinaison fluctuante de la chaîne de ma vie avec la trame des énoncés une fois pour toutes combinés par l'auteur mériterait d'être appelé texte ».C'est ce « texte du lecteur », pour reprendre une formule souvent utilisée afin de désigner métaphoriquement cet apport du sujet lisant à la réalisation de l'œuvre lue, que nous entendons interroger, du triple point de vue de sa genèse, de sa forme et de sa portée. Dans sa genèse et son élaboration : à quelles sources psychiques, culturelles, sociales l’activité fictionalisante du lecteur sollicitée par les œuvres s’alimente-t-elle ? Quels sont les territoires mentaux du sujet lecteur -mémoire intime, affects, expériences diverses, conditionnements sociaux, savoirs sur le monde, la littérature…- qui contribuent aux reconfigurations de l’œuvre ? Le texte du lecteur s’élabore-t-il comme une interprétation singulière du texte-partition de l’œuvre ? Est-il au contraire une création significativement nouvelle, qui réduirait le texte de l’œuvre au statut de simple trame fictionnelle, support de projections fantasmatiques et idéelles ? Dans sa forme : quelle est la texture de ce qui se « textualise » dans l’entre-deux mobile et incertain qui tout à la fois sépare et relie lecteur et œuvre ? De quels matériaux et matières se nourrissent ses différents aspects : formations verbales, rythmes, musiques et sons, couleurs, formes et images, lambeaux fantasmatiques et oniriques ? Le terme même de texte ne serait-il pas impropre, dans la mesure où, ainsi que le note Julien Gracq, « il n’y a pas de discours organisé de la communication intime avec un livre » ? ("En lisant en écrivant", Paris, José Corti, 1980, p.172). Quelle relation cette notion entretient-elle avec celles, partiellement concomitantes, de trajet, de dispositif, voire d’activité lectorale ? Dans sa portée : L'écriture littéraire elle-même n'est-elle pas alimentée, au moins pour une part, par la mémoire active de multiples fictionalisations de lecteur ? Le texte singulier de chaque lecteur a-t-il de la valeur pour d’autres que lui-même ? Dans quelle mesure est-il apte à se détacher du terreau expérientiel qui l’a vu naître ? Peut-il être partagé, comment, sous quelles formes ? Existe-t-il des textes communs à une ou des communautés de lecteurs ? Quelles relations entretient-il avec les productions verbales commentant les œuvres ? Saurait-il constituer une source pour la connaissance du texte de l’œuvre, voire un point de départ nécessaire pour l’analyse littéraire ? Ou n’y aurait-il pas quelque risque à en user ? Enfin, dans la perspective de l’enseignement, on pourra s’interroger sur les compétences favorisant l’émergence et l’élaboration de textes de lecteurs, ainsi que sur les pratiques qui contribueraient à les faire reconnaître, les enrichir et les faire partager. L'enseignement de la littérature et de la lecture littéraire peut-il ignorer les textes singuliers des lecteurs -ceux des élèves et étudiants bien sûr, mais aussi des enseignants, des critiques, des auteurs...- pour en rester à la seule analyse objectivante des œuvres ?> > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger".NB : l'illustration qui sert d'iconographie à la communication du colloque (affiche et programme...) est une image de synthèse réalisée par Toviraaj Ramcharit. Mot(s) clés libre(s) : compréhension du texte, écriture en milieu scolaire, enseignement (littérature), intertextualité, lecture (didactique), lecture (pédagogie), lecture (subjectivité), lecture littéraire, livres et lecture, réception des oeuvres
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Du silence des manuscrits aux mouvances du livre, Daniel Maximin à l'ITEM
Introduction
/ Claire RIFFARD, Thomas GUIFFARD
/ 18-03-2016
/ Canal-u.fr
Maximin Daniel
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Introduction à sa conférence par Daniel Maximin. Où il est question notamment du rapport de Césaire à ses manuscrits… Mot(s) clés libre(s) : Caraïbe, genèses littéraires
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Du silence des manuscrits aux mouvances du livre, Daniel Maximin à l'ITEM
autour de l'Isolé Soleil
/ Claire RIFFARD, Thomas GUIFFARD
/ 18-03-2016
/ Canal-u.fr
Maximin Daniel
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Daniel Maximin raconte un pan de la genèse de L’Isolé soleil, en dialogue avec l’œuvre d’Hélène Cixous. Mot(s) clés libre(s) : Caraïbe, genèses littéraires
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3- L'art de la ville : California ou la découverte de l'Amérique / Jean-Michel MAULPOIX
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MAULPOIX Jean-Michel
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"California ou la découverte de l'Amérique". Lecture de Jean-Michel Maulpoix. Colloque international "L'Art de la Ville / The Art of the City". Organisé par l'équipe de recherche "Cultures Anglo-Saxonnes" (CAS) de l'Université de Toulouse-Le Mirail, 6-8 novembre 2008.Jean-Michel Maulpoix lit un texte de sa plume, par lequel il narre poétiquement son voyage aux État-Unis en 1993. Parti chargé de représentations de l'Amérique alimentées par le cinéma et la littérature, il découvre l'espace américain dans une rencontre avec la ville de Los Angeles, ses boulevards, son campus universitaire, ses restaurants, la côte atlantique... attentif à ses sensations : "cette ville n'a pas de substance. L'excitation passée, j'en découvre le vide. Je ne peux m'appuyer sur rien, je ne parviens pas à m'orienter. Nulle part je ne parviens à isoler quelque élément qui me donnerait l'échelle de l'ensemble, le mode d'emploi, la direction à prendre. Tout flotte, libre d'attache. Me voici égaré dans une civilisation qui paraît avoir subi une gigantesque psychanalyse et qui l'inflige à son tour à quiconque la découvre." En correspondance avec l'intervention de Jean-Luc Nancy dans ce même colloque, l'auteur parle de mouvement, de passage, de circulation... Il remarque "dans cette mégapole, on n'existe pas quand on ne circule pas." Plus loin, "tout le long de la mer, entre Santa Monica et Venice, on circule, on patine. On court, on roule, on glisse à la surface de sa propre vie. Ou plutôt de la vie tout court, qui ne semble plus être celle de quelqu'un. On roule sur la Californie."Extrait du texte de présentation du colloque Ce colloque s'intéressera à la manière dont l'art (la littérature, l'architecture, la peinture, la photographie, le cinéma...), à travers toutes les époques, aborde la ville. Sans vouloir cadastrer, archiver ou comprendre un lieu qui demeure dans le mouvement, nous envisagerons le renouvellement de la démarche artistique au contact du paysage urbain « [c]ircumambulate the city », disait Melville.Conscient de ses limites, l'art se réinvente pour approcher un lieu où l'évidence du concret se mêle aux dérives imaginaires. Il n'évoque pas seulement la ville en termes de cadre, de construction sociale ou symbolique, ou de surface sémiotique, saturée de textes et d'images, mais il accorde ses doutes et ses modulations aux traces et aux transmutations urbaines. Il semble ainsi esquisser une « poéthique » (M. Deguy) de la ville. Mot(s) clés libre(s) : États-unis), Jean-Michel Maulpoix (1952-....), Los Angeles (Californie, récit de voyage, ville (thèmes et motifs)
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