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Colloque "La réception de Thucydide de l'Antiquité au 19e siècle": discours d'accueil / M-C. Jaillet
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ
/ 23-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
JAILLET Marie-Christine
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La réception de Thucydide, de l'Antiquité au XIXe siècle (III) "Un acquis pour toujours" ? Thucydide chez les Modernes, XVe-XIXe siècles. Colloque international organisé par l'équipe de recherche PLH-ERASME : (Patrimoine, Littérature, Histoire / Equipe de recherche sur la Réception de l'Antiquité : Sources, Mémoire, Enjeux) de l'université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Ausonius de l'université Bordeaux II. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 23-25 octobre 2008. Mot(s) clés libre(s) : Thucydide (0460?-0395? av. J.-C.)
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Entretien avec Helena Maria Viramontes
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-06-2010
/ Canal-u.fr
HARDING Wendy, VIRAMONTES Helena Maria
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Helena Maria Viramontes, écrivaine « chicana » et professeur de l’Université de Cornell (USA) a reçu de nombreuses récompenses pour ses romans et nouvelles (The Moths and Other Stories, Under the Feet of Jesus, Their Dogs Came With Them). Dans cet entretien, elle traite des questions identitaires qui se posent à la population migrante « Latino » qui habite des deux cotés de la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis. Elle parle de l’exil, de l’empathie, de l’écologie, du féminisme, de ses racines dans les quartiers est de Los Angeles. Elle évoque aussi sa vie d’écrivaine, ses influences, ses rapports avec l’écriture et le « réalisme magique », les problèmes posés par les conclusions de ses romans. Elle révèle les liens compliqués entre sa fiction et son propre vécu. Mot(s) clés libre(s) : Mexique, écrivain
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La coutume : formes, représentation et enjeux. Présentation du colloque / Olivier Guerrier
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GUERRIER Olivier
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Présentation par Olivier Guerrier du colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux " organisé dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008.Il s’agira de considérer le "Discours de la servitude volontaire" (et, s’il se peut, les autres œuvres de La Boétie, ou que l’on a coutume d’attribuer à La Boétie) comme mettant en cause des notions centrales dans la culture de la Renaissance, de les re-situer dans les périodes antérieures au XVIe siècle, mais également d’en voir les prolongements jusqu’au XVIIIe siècle.Dans un passage marqué par l’influence d’Hérodote et son regard sur les civilisations orientales, le début du Discours fait de la coutume le premier principe explicatif de la « volonté de servir ». On pourra d’abord étudier la présence du thème, de l’historien grec à Montesquieu et au-delà, en précisant ses enjeux philosophiques (son inscription dans l’opposition entre nature et convention notamment), en mettant l’accent sur la manière dont il est exposé, tout autant que sur le travail de réflexion qu’il suscite - prise de conscience relativiste, analyse des processus d’accoutumance et de désaccoutumance…Sous une perspective moins critique mais pas nécessairement coupée de la précédente, il y aura également lieu de considérer la coutume comme fondement social et notion juridique, en reliant en particulier le Discours aux mutations que connaît le droit à partir du XVe siècle. « Coutumiers », recueils de coutume ou commentaires pourront ainsi être les supports d’analyses sur le statut des coutumes, sur leurs rapports avec le droit romain, sur le mouvement de « rédaction » et de « réforme » dont elles sont l’objet, et plus largement sur les rapports problématiques qu’elles entretiennent avec la Loi tout au long de l’Ancien Régime.Il sera loisible enfin, et dans la continuité, de traquer la coutume, ses formules et ses modalités dans des cadres autres que ceux du droit. Par exemple, sa présence dans la langue, dans les proverbes ou autres tours idiomatiques, pourra donner lieu à des considérations sur les « parlers », leur rôle et leur sort dans les œuvres et les pratiques savantes.Au croisement de la philosophie, de la littérature, du droit et de l’histoire, ces journées se veulent un espace d’échanges entre les disciplines et leurs usages, comme de confrontation entre les différents textes qui traitent de la « coutume ». Mot(s) clés libre(s) : codification du droit, droit (sources), droit coutumier, droit et littérature, droit romain, Étienne de la Boétie (1530-1563), humanisme de la Renaissance, linguistique, littérature française, Michel de Montaigne (1533-1592), usages et coutumes (droit)
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La coutume : formes, représentation et enjeux. Présentation du colloque / Olivier Guerrier
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 26-11-2008
/ Canal-u.fr
GUERRIER Olivier
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La coutume : formes, représentations et enjeux. Présentation / Olivier Guerrier. Colloque organisé dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat par la Société des amis de La Boétie, Centre culturel de Sarlat, 26-28 novembre 2008.Il s’agira de considérer le "Discours de la servitude volontaire" (et, s’il se peut, les autres œuvres de La Boétie, ou que l’on a coutume d’attribuer à La Boétie) comme mettant en cause des notions centrales dans la culture de la Renaissance, de les re-situer dans les périodes antérieures au XVIe siècle, mais également d’en voir les prolongements jusqu’au XVIIIe siècle.Dans un passage marqué par l’influence d’Hérodote et son regard sur les civilisations orientales, le début du Discours fait de la coutume le premier principe explicatif de la « volonté de servir ». On pourra d’abord étudier la présence du thème, de l’historien grec à Montesquieu et au-delà, en précisant ses enjeux philosophiques (son inscription dans l’opposition entre nature et convention notamment), en mettant l’accent sur la manière dont il est exposé, tout autant que sur le travail de réflexion qu’il suscite - prise de conscience relativiste, analyse des processus d’accoutumance et de désaccoutumance…Sous une perspective moins critique mais pas nécessairement coupée de la précédente, il y aura également lieu de considérer la coutume comme fondement social et notion juridique, en reliant en particulier le Discours aux mutations que connaît le droit à partir du XVe siècle. « Coutumiers », recueils de coutume ou commentaires pourront ainsi être les supports d’analyses sur le statut des coutumes, sur leurs rapports avec le droit romain, sur le mouvement de « rédaction » et de « réforme » dont elles sont l’objet, et plus largement sur les rapports problématiques qu’elles entretiennent avec la Loi tout au long de l’Ancien Régime.Il sera loisible enfin, et dans la continuité, de traquer la coutume, ses formules et ses modalités dans des cadres autres que ceux du droit. Par exemple, sa présence dans la langue, dans les proverbes ou autres tours idiomatiques, pourra donner lieu à des considérations sur les « parlers », leur rôle et leur sort dans les œuvres et les pratiques savantes.Au croisement de la philosophie, de la littérature, du droit et de l’histoire, ces journées se veulent un espace d’échanges entre les disciplines et leurs usages, comme de confrontation entre les différents textes qui traitent de la « coutume ». Mot(s) clés libre(s) : Droit et littérature, littérature française (16e siècle), Pierre Charron (1541-1603), usages et coutumes (droit), Michel de Montaigne (1533-1592), littérature française, humanisme de la Renaissance, droit romain, droit coutumier, droit (sources), codification du droit, Étienne de la Boétie (1530-1563), linguistique, René Descartes (1596-1650)
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Fiction et vérité chez Giordano Bruno / Olivier Guerrier
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
GUERRIER Olivier
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Fiction et vérité chez Giordano Bruno / Olivier Guerrier. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session I : Giordano Bruno, figure de l'errance, 9 octobre 2014.Il s'agit ici, dans le
sillage de la déclaration du Sigillus sigillorum, « il n'est
(…)
de philosophe qui ne façonne ni ne peigne (…) et
l'intellect et ou bien la phantasia
ou bien n'est pas sans elle », ainsi que de travaux
faisant autorité sur la question, de revenir sur le
rapport entre philosophie et phantasia
comme entre fiction et vérité chez Bruno, dans sa théorie
comme dans sa pratique, le tout pouvant apparaître comme
le socle de bien des expériences intellectuelles et
littéraires de la Renaissance. Mot(s) clés libre(s) : littérature (esthétique), philosophie de la Renaissance, vérité (épistémologie), Bruno Giordano (1548-1600), fantaisie
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Paremias cervantinas : decir, callar y encubrir los origenes / Monique Güell
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GÜELL Monique
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Paremias cervantinas : decir, callar y encubrir los origenes. Monique GÜELL. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 1 : Origine des mots, origine des noms (22 mars 2010).La communication de Monique Güell se propose d’étudier les différentes parémies (proverbes, sentences, dictons, locutions) ayant trait aux origines dans l’œuvre de Cervantès, dont le Quichotte notamment, dans une approche formelle, sémantique et contextuelle. La comunicación de Monique Güell estudiará las diferentes paremias (refranes, sentencias, modismos, dichos) que tratan de los orígenes en la obra de Cervantes (El Quijote y otras) en una perspectiva formal, semántica y contextual. Mot(s) clés libre(s) : Don Quichotte (analyse lexicale), Don Quichotte (analyse linguistique), littérature espagnole (16e siècle), Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616)
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Thucydide en France, XVIe-XVIIIe siècles / Chantal Grell
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 25-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GRELL Chantal
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Thucydide en France, XVIe-XVIIIe siècles, Chantal GRELL (Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines). Colloque international "La réception de Thucydide, de l'Antiquité au XIXe siècle (III) "Un acquis pour toujours" ? Thucydide chez les Modernes, XVe-XIXe siècles" organisé par l'équipe de recherche PLH-ERASME (Patrimoine, Littérature, Histoire / Equipe de recherche sur la Réception de l'Antiquité : Sources, Mémoire, Enjeux) de l'université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Ausonius de l'université Bordeaux II. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 23-25 octobre 2008.Axe thématique du colloque : "Thucydide politique : l'histoire au service de la philosophie", 25 octobre 2008. Mot(s) clés libre(s) : 16e siècle), Thucydide (0460?-0395? av. J.-C.), Thucydide (appréciation
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La figure au bout des doigts : mémoire et oubli chez Pascal Quignard / Bertrand Gervais
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GERVAIS Bertrand
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La figure au bout des doigts: les jeux de l'oubli et de la mémoire dans Le nom sur le bout de la langue de Pascal Quignard / Bertrand GervaisIl s’agira, dans cette communication, de montrer comment une figure peut apparaître et se déployer, servant de principe poétique et critique. L’exemple utilisé sera "Le nom sur le bout de la langue" de Pascal Quignard (1993). Dans cette œuvre composite, faite d’un traité et d’un conte, Quignard identifie un souvenir, une scène somme toute banale : au repas, sa mère a un mot sur le bout de la langue et elle se met désespérément à le chercher. Ce souvenir donne lieu à une figure, celle de la mère dont le regard subitement s’absente, qui sera exploitée de diverses façons. Elle donnera lieu en effet à deux textes : à un traité sur la "Méduse, le regard et l’oubli" et à un conte merveilleux, classique dans sa forme, qui met en scène cet oubli bénin. La figure de la mère en Méduse est ainsi l’occasion d’un réflexion de fond sur l’oubli et son rôle. On tentera, lors de cette communication, de décrire le processus par lequel un souvenir se transforme en figure et ultimement en un texte qui en exploite les divers traits. Le livre de Quignard est exemplaire en ceci qu’il permet de comprendre comment d’un simple fait, qu’il soit souvenir ou fait de lecture, on parvient à déployer un texte complexe, qui en est l’expression.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : genèse du texte, livres et lecture, Pascal Quignard (1948-....), souvenir (en littérature)
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Coutume et connaissance empirique / Laurent Gerbier
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GERBIER Laurent
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La notion de coutume joue un rôle essentiel dans la description de la construction de la connaissance humaine à partir de l'expérience : elle permet en effet de comprendre le passage du particulier au général, ou du cas à la règle. Or ce processus qui gouverne la formation de la connaissance humaine (empirisme "gnoséologique") est également à l'œuvre dans la formation d'un savoir portant sur la vie politique de la cité (empirisme "civil") : on tentera donc de décrire, à partir de l'étude comparée de textes de Machiavel, La Boétie, Montaigne et Bacon, la convergence de ces deux empirismes, gnoséologique et civil, dans la pensée des Modernes.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : apprentissage des concepts, coutume (droit), droit coutumier, droit et littérature, empirisme, épistémologie, Étienne de la Boétie (1530-1563), Francis Bacon (1561-1626), humanisme de la Renaissance, Machiavel (1469-1527), Michel de Montaigne (1533-1592)
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Le Feu, journal d'une escouade (Henri Barbusse) par Gérard Gengembre
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 18-11-2014
/ Canal-u.fr
GENGEMBRE Gérard
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Le Feu, journal d'une escouadeIl s'agira d'abord de resituer ce texte dans le genre du roman ou du récit de guerre, en le comparant à des œuvres qui lui sont contemporaines, comme Gaspard de René Benjamin (1915) ou L’Appel du sol d'Adrien Bertrand (1916), puis d'interroger son statut littéraire : témoignage ? document ? fiction ? Il faut étudier les procédures de littérarisation, se demander quel rapport elles entretiennent avec le naturalisme ou la littérature populiste, mettre en évidence l'organisation sous forme de chronique, la tentation épique, etc. Il convient également d'évaluer la portée du texte : Le Feu fut aussi lu comme un écrit engagé, délivrant un message pacifiste, ou bien attaché à l'esprit de l'Union sacrée. Se pose donc la question de son orientation idéologique et de ses ambiguïtés. Faut-il lire ou non Le Feu à la lumière des ouvrages postérieurs de Barbusse ? On sait que, en 1917, dans une préface à une édition spéciale du Feu, Henri Barbusse déclarera : « Je vous aiderai à garder en vous l’enfer que vous avez hanté (...) Je vous empêcherai d’oublier de quel rayon de beauté morale et de parfait holocauste s’éclaira là-bas, en vous, la monstrueuse et dégoûtante horreur de la guerre ».Gérard Gengembre Mot(s) clés libre(s) : Première Guerre Mondiale, campagne de Gallipoli : bataille des Dardanelles, bataille de Verdun, Ferdinand Bardamu, chronique, littérature de guerre, tranchées, carnet de guerre, épique, récit (témoignage)
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