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Le journal d'Hélène Berr - Jean Marc Dreyfus
/ UTLS - la suite
/ 25-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLe journal d'Hélèné Berr expliqué par l'historien français Jean Marc Dreyfus.Lycée Senghor (Magnanville) Mot(s) clés libre(s) : déportation, Hélène Berr, journal intime, shoah
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Giono, la mémoire à l'oeuvre : Mémoire, histoire, mythe (3)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 21-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
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"Giono : la mémoire à l'oeuvre". Colloque international organisé par le laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH), équipe "Littérature et Herméneutique" (Université du Mirail) ) avec la participation des Amis de Jean Giono et en présence de Sylvie Durbet-Giono, fille de Jean Giono. Université Toulouse II-Le Mirail, 20-22 mars 2008. Deuxième journée : "Mémoire, histoire, mythe". Associée par-dessus tout à la peinture de paysages dynamisés par l'imagination ainsi qu'au génie du conteur, avec tout ce que cela suppose d'élan prospectif, l'oeuvre de Giono ne vient pas spontanément à l'esprit des spécialistes de la mémoire. Même dans les textes les plus « autobiographiques », l'imaginaire semble l'emporter sur la composante mnésique, tandis que les oeuvres proprement romanesques reflètent plus volontiers un art de saisir le moment présent dans son acuité sensorielle et émotionnelle et une aptitude à regarder vers l'avant.Cette poétique de l'instant et cet élan prospectif ne peuvent toutefois occulter tous les échos du passé dont résonne l'oeuvre de Giono. « Dans ses mille alvéoles, l'espace tient du temps comprimé », écrit Bachelard. Bien au-delà des seules Chroniques romanesques , tout le « Sud imaginaire » (Faulkner est ici une référence majeure) est plein d'un « passé d'anecdotes et de souvenirs » qui le constitue en territoire littéraire. Différentes dimensions de la mémoire s'y déploient : mémoire personnelle (l'enfance, bien sûr, ce « gisement profond de mon sol mental » selon Proust, mais aussi les joies, les passions, les épreuves de l'âge adulte, dont l'écriture porte trace) ; mémoire familiale (les origines piémontaises et la légende qui en découle, fondatrice du « Cycle du Hussard ») ; mémoire collective (la guerre, traumatisme originel, où s'articulent destin individuel et destin partagé) ; mémoire historique (ces temps anciens - le XIX e siècle, mais aussi plus loin en amont - dans lesquels Giono cherchera de plus en plus une évasion lucide) ; mémoire mythique , quand l'écrivain puise dans le fond archaïque des peurs et des fantasmes ancestraux et, plus fasciné par « la nuit des temps » que nostalgique du « bon vieux temps », s'engage selon Jacques Chabot dans « une anamnèse interminable », une « quête, sans espoir, des origines »...Rien de « passéiste » ici, en effet, contrairement à l'idée reçue, car le passé ne prend sens chez Giono que dans ce présent où l'écriture s'en saisit, l'inscrit, voire l'invente, où la mémoire se fait oeuvre . Explorer « la mémoire à l'oeuvre », c'est donc explorer aussi bien le rôle de la mémoire dans la genèse de l'oeuvre que la représentation de la mémoire, de ses processus, de ses images, dans l'oeuvre même. Mot(s) clés libre(s) : Jean Giono (1895-1970), Jean Giono (critique et interprétation), littérature française (20e siècle), mémoire (dans la littérature), souvenir (dans la littérature)
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Giono, la mémoire à l'oeuvre : Mémoire et stratégies d'écriture (4)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
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"Giono : la mémoire à l'oeuvre". Colloque international organisé par le laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH), équipe "Littérature et Herméneutique" (Université du Mirail) ) avec la participation des Amis de Jean Giono et en présence de Sylvie Durbet-Giono, fille de Jean Giono. Université Toulouse II-Le Mirail, 20-22 mars 2008.Troisième journée : "Mémoire et stratégies d'écriture".Associée par-dessus tout à la peinture de paysages dynamisés par l'imagination ainsi qu'au génie du conteur, avec tout ce que cela suppose d'élan prospectif, l'oeuvre de Giono ne vient pas spontanément à l'esprit des spécialistes de la mémoire. Même dans les textes les plus « autobiographiques », l'imaginaire semble l'emporter sur la composante mnésique, tandis que les oeuvres proprement romanesques reflètent plus volontiers un art de saisir le moment présent dans son acuité sensorielle et émotionnelle et une aptitude à regarder vers l'avant. Cette poétique de l'instant et cet élan prospectif ne peuvent toutefois occulter tous les échos du passé dont résonne l'oeuvre de Giono. « Dans ses mille alvéoles, l'espace tient du temps comprimé », écrit Bachelard. Bien au-delà des seules Chroniques romanesques , tout le « Sud imaginaire » (Faulkner est ici une référence majeure) est plein d'un « passé d'anecdotes et de souvenirs » qui le constitue en territoire littéraire. Différentes dimensions de la mémoire s'y déploient : mémoire personnelle (l'enfance, bien sûr, ce « gisement profond de mon sol mental » selon Proust, mais aussi les joies, les passions, les épreuves de l'âge adulte, dont l'écriture porte trace) ; mémoire familiale (les origines piémontaises et la légende qui en découle, fondatrice du « Cycle du Hussard ») ; mémoire collective (la guerre, traumatisme originel, où s'articulent destin individuel et destin partagé) ; mémoire historique (ces temps anciens -le XIX e siècle, mais aussi plus loin en amont- dans lesquels Giono cherchera de plus en plus une évasion lucide) ; mémoire mythique, quand l'écrivain puise dans le fond archaïque des peurs et des fantasmes ancestraux et, plus fasciné par « la nuit des temps » que nostalgique du « bon vieux temps », s'engage selon Jacques Chabot dans « une anamnèse interminable », une « quête, sans espoir, des origines »... Rien de « passéiste » ici, en effet, contrairement à l'idée reçue, car le passé ne prend sens chez Giono que dans ce présent où l'écriture s'en saisit, l'inscrit, voire l'invente, où la mémoire se fait oeuvre . Explorer « la mémoire à l'oeuvre », c'est donc explorer aussi bien le rôle de la mémoire dans la genèse de l'oeuvre que la représentation de la mémoire, de ses processus, de ses images, dans l'oeuvre elle-même. Mot(s) clés libre(s) : Jean Giono (1895-1970), littérature française (20e siècle), mémoire (dans la littérature), souvenir (dans la littérature)
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Barbey d'Aurevilly polémiste (3/3)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 28-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
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Barbey d'Aurevilly polémiste. Colloque organisé par l'Equipe "Littérature et Herméneutique" (ELH) / Laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH) à l'Université Toulouse-Le Mirail (Toulouse 2), 26-28 mars 2008. "L’histoire de la polémique à notre époque est l’histoire même du journalisme.” C’est sur cette vision d’un XIXe siècle polémique par excellence que Pierre Larousse conclut l’article qu’il consacre à cette notion : un siècle fécond en batailles de mots et d’idées, qui trouvent dans la presse – alors en pleine expansion - un vecteur privilégié et une caisse de résonance sans précédent. Comme beaucoup d’écrivains de l’époque, Barbey d’Aurevilly se jette dans l’arène avec une fougue et une endurance qui le distinguent, et qui lui valent, entre autres, la réputation d’éreinteur que l’on sait. C’est précisément cette image de l’éreinteur que ce colloque sur la polémique permettra d’affiner : en dégageant, à côté de la posture du pamphlétaire, celle d’un écrivain qui discute, argumente et questionne un certain nombre de pratiques et de valeurs selon une démarche dynamique et constructive. Or cette démarche, sans rien perdre de sa véhémence ou de son intransigeance, n’est ni sans évolutions ni sans nuances, ce qui la rend d’autant plus intéressante à observer. Afin de mieux cerner l’importance, les caractères et les enjeux de la polémique aurevillienne, ce colloque organisé à l’occasion du bicentenaire de la naissance de l’écrivain avec le soutien des Célébrations nationales se propose d’aborder la question selon les axes suivants :- La place de la polémique dans l’activité critique de Barbey.- Les ressorts ou les soubassements réels et imaginaires de cette attitude et de cette activité polémiques.- Les cibles ou les adversaires de la polémique chez Barbey, et les différents domaines dans lesquels elle s’exerce.- Les objets privilégiés de la polémique aurevillienne- Les formes et les modalités de la polémique aurevillienne.- L’articulation de l’attitude ou du genre de la polémique avec d’autres dimensions que Barbey revendique : la fantaisie, la légèreté, le jeu, la fiction… Mot(s) clés libre(s) : Jules Barbey d'Aurevilly (1808-1889), littérature française (19e siècle), pamphlétaires
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Barbey d'Aurevilly polémiste (2/3)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
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Barbey d'Aurevilly polémiste. Colloque organisé par l'Equipe "Littérature et Herméneutique" (ELH) / Laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH) à l'Université Toulouse-Le Mirail (Toulouse 2), 26-28 mars 2008. "L’histoire de la polémique à notre époque est l’histoire même du journalisme.” C’est sur cette vision d’un XIXe siècle polémique par excellence que Pierre Larousse conclut l’article qu’il consacre à cette notion : un siècle fécond en batailles de mots et d’idées, qui trouvent dans la presse – alors en pleine expansion - un vecteur privilégié et une caisse de résonance sans précédent. Comme beaucoup d’écrivains de l’époque, Barbey d’Aurevilly se jette dans l’arène avec une fougue et une endurance qui le distinguent, et qui lui valent, entre autres, la réputation d’éreinteur que l’on sait. C’est précisément cette image de l’éreinteur que ce colloque sur la polémique permettra d’affiner : en dégageant, à côté de la posture du pamphlétaire, celle d’un écrivain qui discute, argumente et questionne un certain nombre de pratiques et de valeurs selon une démarche dynamique et constructive. Or cette démarche, sans rien perdre de sa véhémence ou de son intransigeance, n’est ni sans évolutions ni sans nuances, ce qui la rend d’autant plus intéressante à observer. Afin de mieux cerner l’importance, les caractères et les enjeux de la polémique aurevillienne, ce colloque organisé à l’occasion du bicentenaire de la naissance de l’écrivain avec le soutien des célébrations nationales se propose d’aborder la question selon les axes suivants :- La place de la polémique dans l’activité critique de Barbey.- Les ressorts ou les soubassements réels et imaginaires de cette attitude et de cette activité polémiques.- Les cibles ou les adversaires de la polémique chez Barbey, et les différents domaines dans lesquels elle s’exerce.- Les objets privilégiés de la polémique aurevillienne- Les formes et les modalités de la polémique aurevillienne.- L’articulation de l’attitude ou du genre de la polémique avec d’autres dimensions que Barbey revendique : la fantaisie, la légèreté, le jeu, la fiction… Mot(s) clés libre(s) : Jules Barbey d'Aurevilly (1808-1889), littérature française (19e siècle), pamphlétaires
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Barbey d'Aurevilly polémiste (1/3)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 26-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
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Barbey d'Aurevilly polémiste. Colloque organisé par l'Equipe "Littérature et Herméneutique" (ELH) / Laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH) à l'Université Toulouse-Le Mirail (Toulouse 2), 26-28 mars 2008. “L’histoire de la polémique à notre époque est l’histoire même du journalisme.” C’est sur cette vision d’un XIXe siècle polémique par excellence que Pierre Larousse conclut l’article qu’il consacre à cette notion : un siècle fécond en batailles de mots et d’idées, qui trouvent dans la presse – alors en pleine expansion - un vecteur privilégié et une caisse de résonance sans précédent. Comme beaucoup d’écrivains de l’époque, Barbey d’Aurevilly se jette dans l’arène avec une fougue et une endurance qui le distinguent, et qui lui valent, entre autres, la réputation d’éreinteur que l’on sait. C’est précisément cette image de l’éreinteur que ce colloque sur la polémique permettra d’affiner : en dégageant, à côté de la posture du pamphlétaire, celle d’un écrivain qui discute, argumente et questionne un certain nombre de pratiques et de valeurs selon une démarche dynamique et constructive. Or cette démarche, sans rien perdre de sa véhémence ou de son intransigeance, n’est ni sans évolutions ni sans nuances, ce qui la rend d’autant plus intéressante à observer. Afin de mieux cerner l’importance, les caractères et les enjeux de la polémique aurevillienne, ce colloque organisé à l’occasion du bicentenaire de la naissance de l’écrivain avec le soutien des Célébrations nationales se propose d’aborder la question selon les axes suivants :- La place de la polémique dans l’activité critique de Barbey.- Les ressorts ou les soubassements réels et imaginaires de cette attitude et de cette activité polémiques.- Les cibles ou les adversaires de la polémique chez Barbey, et les différents domaines dans lesquels elle s’exerce.- Les objets privilégiés de la polémique aurevillienne- Les formes et les modalités de la polémique aurevillienne.- L’articulation de l’attitude ou du genre de la polémique avec d’autres dimensions que Barbey revendique : la fantaisie, la légèreté, le jeu, la fiction… Mot(s) clés libre(s) : Jules Barbey d'Aurevilly (1808-1889), littérature française (19e siècle), pamphlétaires
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Ne pas se tromper d’erreur / André Tournon
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-12-2014
/ Canal-u.fr
TOURNON André
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Ne pas se tromper d’erreur / André Tournon, in "L'erreur chez Montaigne colloque", organisé par la Société internationale des amis de Montaigne avec la collaboration de l’Université Bordeaux Montaigne (Centre Montaigne-TELEM) et la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA), Bordeaux, 3-5 décembre 2014.Thématique 3 : Erreurs en tous genres.Les
Essais de Montaigne apparaissent à bien des égards comme un inventaire
des erreurs en tout genre : erreurs des sens ou « de fantasie »,
« erreurs médicinales », juridiques, philosophiques, religieuses,
politiques, voire naturelles, le tout encore fondé sur une pensée de la Chute
qui fait de la Créature une errans mus. Cette perspective descriptive,
spectatrice, se double d’une perspective critique, qui s’emploie, avant le
cartésianisme, à réfléchir sur le statut de l’erreur, mais également son
usage : erreur volontaire ou involontaire, « particulière » ou
« populaires », rapport à la représentation, au simulacre, au
mensonge, mais également gestion de l’erreur par l’institution ou le sujet,
avec éventuellement à la clé la reconnaissance, la réparation, la correction. Quel
rôle joue l’erreur dans le fonctionnement même du texte des Essais, et
dans l’éthique singulière qu’il élabore et pratique. Le procès incessant des
leurres du savoir et du pouvoir informe ainsi le mouvement de cette
« chasse de connaissance » inédite, et l’image du sujet écrivant et
pensant qu’elle doit refléter. Dans un esprit naturellement pluridisciplinaire,
ce colloque entend mieux cerner, à partir de l’enquête sur l’erreur, l’œuvre
complexe de l’écrivain bordelais. Mot(s) clés libre(s) : Michel de Montaigne (1533-1592)
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La coutume : autonomie et aliénation en domaines aléatoires / André Tournon
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
TOURNON André
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Dans "les Essais", la coutume présente deux aspects contrastés. Émanant du « commun consentement » d’une collectivité, elle est l’expression juridique de l’autonomie de cette collectivité, et contribue à l’identifier dans la mesure de sa singularité. Mais cette singularité même l’écarte de la « raison » du philosophe qui voudrait « rapporter les choses à la vérité » ; ce qui la constitue en agent d’aliénation, comme l’a montré La Boétie avant Montaigne. Cette difficulté peut s’éclairer si l’on prend en compte le caractère aléatoire de la formation des collectivités réglées, par « couture fortuite » qui « se forme après en lois » et des crises également aléatoires qui peuvent réduire ces collectivités à transgresser leurs « lois reçues » pour éviter de se disloquer.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : coutume (droit), droit coutumier, droit et littérature, Étienne de la Boétie (1530-1563), Michel de Montaigne (1533-1592)
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Lieux et itinéraires urbains itératifs dans quelques romans de Claude Simon / Manuel Tost-Planet
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
TOST-PLANET Manuel
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Lieux et itinéraires urbains itératifs dans quelques romans de Claude Simon / Manuel Tost-Planet. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Equipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), géographie (dans la littérature), littérature française (20e siècle)
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« Sermon sur la mort ou continuité de la vie » de Bossuet
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 06-10-2004
/ Canal-U - OAI Archive
TIBERGHIEN Gilbert
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Dans le cadre du cycle de conférence organisé autour du thème de la mort, Gilbert Tiberghien nous propose une lecture du « Sermon sur la mort » de Bossuet. Ce texte, prononcé devant la cour durant le Carême de 1662 était destiné à montrer aux grands de ce monde que leur vie terrestre n’était rien face à la volonté divine. Genre à part entière, le sermon devait convaincre l’auditoire en faisant appel à ses émotions.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2004-2005 sur le thème "La mort - Regards croisés". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : jacques bénigne bossuet (1627-1704), mort, sermons
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