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La liberté de penser. La conférence du Vieux-Colombier d’Antonin Artaud
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 03-12-2003
/ Canal-U - OAI Archive
TIBERGHIEN Gilbert
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Le 13 janvier 1947, Antonin Artaud donne, au Théâtre du Vieux Colombier, une conférence devant le tout Paris intellectuel et artistique. Il a alors 50 ans et son corps a tant souffert des électrochocs de l’asile (9 ans d’internement), des envoûtements, de la drogue qu’il fut incapable de lire les textes qu’il avait préparés. Ce sont ces textes préparatoires, publiés posthumes, que Gilbert Tiberghien se propose de nous faire découvrir par la lecture.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2003-2004 sur le thème "Demain". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : antonin artaud (1896-1948), théâtre du vieux colombier (Paris)
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Scénographie de l'écrit dans la poésie action de Bernard Heidsieck / Gaëlle Théval
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
THÉVAL Gaëlle
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Scénographie de l'écrit dans la poésie action de Bernard Heidsieck / Gaëlle Théval, in colloque international "Performances poétiques", organisé par l'équipe "Textes, Contextes, Frontières" du Centre Universitaire Jean-François Champollion, le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail. Albi, Centre Universitaire Champollion, 19-20 mars 2015. Thématique 3 : Études monographiques.Ce
colloque réunit des spécialistes de six pays différents, issus de
disciplines diverses
(littéraires, spécialistes des arts de la scène, sociologues, etc.),
pour réfléchir sur les enjeux de la diffusion orale de textes poétiques
et embrasser leur profération comme dispositif, dans toute sa
complexité, depuis l'écriture littéraire jusqu'au mode d'intervention
public, en s'attachant aussi bien au texte, à l'interprétation, à la
scénographie, à la réception, aux praticiens, aux publics, aux cadres de
diffusion, aux enjeux poétiques mais aussi sociaux, éducatifs,
éthiques, politiques. Sont ainsi étudiées les multiples voies (et voix)
qu'a prises la performance poétique ce dernier siècle dans l'espace
francophone, depuis les références incontournables que sont Ghérasim
Luca, Bernard Heidsieck (disparu le 22 novembre 2014) ou l'OuLiPo,
jusqu'aux formes émergentes du slam contemporain, avec ses joutes ou ses
scènes ouvertes, dans une approche globalisante qui aborde aussi les
enjeux de la récitation scolaire ou la définition d'un code
typographique pour incarner la voix dans l'écriture. Mot(s) clés libre(s) : performance artistique (poésie), Bernard Heidsieck (1928-2014), poésie sonore (histoire et critique)
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L’erreur des opinions : Montaigne et la polémique anti-protestante / Alexandre Tarrête
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-12-2014
/ Canal-u.fr
TARRÊTE Alexandre
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L’erreur des opinions : Montaigne et la polémique anti-protestante / Alexandre Tarrête, in "L'erreur chez Montaigne", colloque organisé par la Société internationale des amis de Montaigne avec la collaboration de l’Université Bordeaux Montaigne (Centre Montaigne-TELEM) et la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA), Bordeaux, 3-5 décembre 2014. Thématique 3 : Erreurs en tous genres.Les
Essais de Montaigne apparaissent à bien des égards comme un inventaire
des erreurs en tout genre : erreurs des sens ou « de fantasie »,
« erreurs médicinales », juridiques, philosophiques, religieuses,
politiques, voire naturelles, le tout encore fondé sur une pensée de la Chute
qui fait de la Créature une errans mus. Cette perspective descriptive,
spectatrice, se double d’une perspective critique, qui s’emploie, avant le
cartésianisme, à réfléchir sur le statut de l’erreur, mais également son
usage : erreur volontaire ou involontaire, « particulière » ou
« populaires », rapport à la représentation, au simulacre, au
mensonge, mais également gestion de l’erreur par l’institution ou le sujet,
avec éventuellement à la clé la reconnaissance, la réparation, la correction. Quel
rôle joue l’erreur dans le fonctionnement même du texte des Essais, et
dans l’éthique singulière qu’il élabore et pratique. Le procès incessant des
leurres du savoir et du pouvoir informe ainsi le mouvement de cette
« chasse de connaissance » inédite, et l’image du sujet écrivant et
pensant qu’elle doit refléter. Dans un esprit naturellement pluridisciplinaire,
ce colloque entend mieux cerner, à partir de l’enquête sur l’erreur, l’œuvre
complexe de l’écrivain bordelais. Mot(s) clés libre(s) : Michel de Montaigne (1533-1592)
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Écrire en pays dominé. Patrick Chamoiseau et la Pologne : lecture postcoloniale / Tomasz Swoboda
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-10-2014
/ Canal-u.fr
SWOBODA Tomasz
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Écrire en pays dominé. Patrick Chamoiseau et la Pologne : lecture postcoloniale / Tomasz Swoboda. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le
laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 1 : Situation de Chamoiseau. Jusqu’à présent, les éditeurs polonais n’ont publié qu’une
traduction des ouvrages de Patrick Chamoiseau, Texaco, et un
recueil d’études consacrés à cet écrivain. Cependant, dans cette communication, il s'agit non seulement d'étudier la réception
de l'oeuvre de Chamoiseau en Pologne mais aussi d'envisager la
situation postcoloniale de ce pays (colonisé jadis par l'Union
Soviétique, relation étudiée notamment par Ewa Thompson) à la
lumière d’Écrire en pays dominé. Cet axe permet
d'examiner le caractère universaliste de la réflexion de Chamoiseau
et, dans le même temps, le statut de la pensée postcoloniale dans
un pays qui semble éloigné des problèmes soulevés par cette
philosophie.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : réception des oeuvres, littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature postcoloniale
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/ Omar BOUHADDOU, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
STIERLE Karlheinz
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Mot(s) clés libre(s) : Émile Zola (critique et interprétation), Paris (France), Paris dans la littérature, villes dans la littérature
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Hypérion victimaire ou l'art du récit chamoisien / Anaïs Stampfli
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
STAMPFLI Anaïs
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Hypérion victimaire ou l'art du récit chamoisien / Anaïs Stampfli. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 6 : Esthétiques narratives et récits des Amériques.Après L’Empreinte
à Crusoé
(2012), réécriture du mythe de Robinson Crusoé, le dernier roman de Patrick
Chamoiseau marque un retour vers la sphère antillaise. "Hypérion victimaire, martiniquais épouvantable" peut
se lire comme le parcours croisé du tueur Hypérion et d’Évariste Pilon,
commissaire de police déjà rencontré dans Solibo
Magnifique
(1988). Ces trajectoires s’ancrent en Martinique. Cependant, la Martinique d’Hypérion
victimaire n’est
plus la Martinique post-plantationnaire des œuvres des années 1990. Avec Hypérion Victimaire, nous sommes face à un sombre
tableau des problèmes de la Martinique actuelle (il est question des
« naufragés du crack et de l’alcool », de la pollution au
Chlordecone) et autres dérives de la surconsommation…). Alain
Leauthier a constaté que « de Texaco la magnifique, insalubre mais
prometteuse, et sur laquelle Chamoiseau fondait le rêve de la nation créole, il
ne subsiste que des favelas sordides, squattées par la drogue, la violence et
la prostitution ». Plus qu’un roman policier
antillais, Hypérion
Victimaire peut
ainsi être lu comme un cri d’alerte. Ce renouvellement thématique constaté dans Hypérion victimaire est soutenu par un
renouvellement générique : après "Texaco",
Patrick
Chamoiseau va encore plus loin dans l’exploration des potentialités du récit
polymorphe en mêlant des enregistrements de procès-verbaux du tueur et un récit
suivant le point de vue du commandant Evariste Pilon. Tissus oraux et écrits
sont à nouveau mêlés. Nous ne sommes plus ici face au recueil ethnographique
des dires d’une Marie-Sophie Laborieux mais nous assistons tout de même à une
certaine sacralisation du récit oral. Hypérion apparaît comme un véritable
conteur. Tout comme dans
Les Mille et une nuits, le temps semble s’être
arrêté pendant son récit, les hostilités sont suspendues « car tant que la
confession dure, la mort est tenue à distance » nous annonce-t-on en
quatrième de couverture. On même voir au travers de la figure du
“tueur conteur” s’esquisser celle de l’auteur de la fiction. Il s’agirait là
d’une mise en abyme détournée permettant de penser l’art du récit. En évoquant ses crimes, Hypérion (qui accompagne ses
mets anthropophages de vers de Perse et de Césaire) parle d’œuvres qu’il
exécute sous l’emprise d’une source d’inspiration qui le dépasse et qui le rend
polyglotte. Nous pouvons voir ici des
clins d’œil de l’auteur qui se réfère à ses propres pratiques du récit,
notamment l’écriture en présence de plusieurs langues à inspiration
glissantienne. Dans cette communication, Anaïs Stampfli propose ainsi d’explorer dans le détail le
renouvellement thématique et narratif d’Hypérion
Victimaire,
ce roman dans lequel Patrick Chamoiseau démontre une fois de plus ses talents
de raconteur de grande envergure.[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise, multilinguisme et littérature
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"Biblique des derniers gestes" ou la quête de l'epos / María Celeste Biorda, Pierre Soubias
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
SOUBIAS Pierre, BIORDA María Celeste
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"Biblique des derniers gestes" ou la quête de l'epos / María Celeste Biorda, Pierre Soubias. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 5 : Explorations génériques.Marqueur de paroles, chercheur de paroles ou metteur en scène d’une
parole ? Depuis ses premiers romans, Chamoiseau s’intéresse
à des histoires sinon oubliées du moins tues, qui sont à la
marge de l’Histoire et qu’il veut faire entendre (Chronique de
sept misères, Texaco). Mais dans Biblique des derniers
gestes, sans doute son roman le plus ambitieux, on raconte moins
l’Histoire vraie qu’on ne profère des histoires. Chamoiseau
semble dépasser la dimension historique au profit d’une
dimension épique, en prenant l’adjectif dans son acception
étymologique (relatif à epos –l’epos
désignant à la fois le contenu de l’épopée et la parole
incarnée dans laquelle elle est énoncée). María Celeste Biorda et Pierre Soubias montrent comment le
romancier construit soigneusement des situations de communication
bien précises, qui permettent l’émergence et le déploiement du
récit, afin que ce dernier prenne la valeur d’une parole
primordiale et collective.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), analyse du discours narratif
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De Renan à Salomon Reinach, Proust acteur de la révolution des sciences religieuses
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
SIMON-NAHUM Perrine, SIMON Anne
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Proust et les sciences sociales : allers-retours organisée par Marielle Macé et Anne SimonEHESS, 27 mars 2015, 9h-18h30Salle du Conseil, 190 avenue de France, 75013 ParisJournée organisée dans le cadre du projet « Arts, littérature et sciences sociales » célébrant les quarante ans de la création de l’EHESSLa Recherche : une science de l’homme ?Perrine Simon-Nahum (CNRS/EHESS)« De Renan à Salomon Reinach, Proust acteur de la révolution des sciences religieuses » Mot(s) clés libre(s) : Marcel Proust, XIXe, sciences religieuses
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Une microesthétique du social : Proust en dialogue avec Tarde et Simmel
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
SIMON Anne, CARNEVALI Barbara
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Proust et les sciences sociales : allers-retours organisée par Marielle Macé et Anne SimonEHESS, 27 mars 2015, 9h-18h30Salle du Conseil, 190 avenue de France, 75013 ParisJournée organisée dans le cadre du projet « Arts, littérature et sciences sociales » célébrant les quarante ans de la création de l’EHESS Présentation, Marielle Macé (CNRS/EHESS) et Anne Simon (CNRS/EHESS) : Proust, une ressource pour les sciences sociales Barbara Carnevali (EHESS)« Une microesthétique du social : Proust en dialogue avec Tarde et Simmel» Mot(s) clés libre(s) : sociologie, esthétique, Marcel Proust (1871-1922), Tarde, Simmel
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L’intelligence de l’intellectuel : une “pince-monseigneur” à l’efficacité douteuse
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
SIMON Anne, CHARDIN Philippe
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Proust et les sciences sociales : allers-retours organisée par Marielle Macé et Anne SimonEHESS, 27 mars 2015, 9h-18h30Salle du Conseil, 190 avenue de France, 75013 ParisJournée organisée dans le cadre du projet « Arts, littérature et sciences sociales » célébrant les quarante ans de la création de l’EHESSLa Recherche : une science de l’homme ?Philippe Chardin (Université François Rabelais de Tours)« L’intelligence de l’intellectuel : une “pince-monseigneur” à l’efficacité douteuse » Mot(s) clés libre(s) : Marcel Proust, roman, réflexivité
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