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Réseaux et interactions entre villes celtiques

/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne / 02-12-2015 / Canal-u.fr
FILET Clara
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Au cours des trois derniers siècles avant J.-C., l’Europe centrale et occidentale voit l’apparition de grandes agglomérations : leurs dimensions et la diversité de leurs fonctions nous incitent aujourd’hui à les considérer comme de véritables villes. Loin d’être des agglomérations isolées et autarciques, ces sites ont puisé leur richesse dans les nombreuses interactions économiques et politiques avec leurs voisins, échangeant largement des biens de consommation et des idées, les uns et les autres s’influençant réciproquement. Le mobilier archéologique témoigne de ces circulations à longue distance de produits d’échanges lointains, par exemple l’ambre de la mer Baltique, ou le vin d’Italie. L’ampleur et l’intensité de ces échanges peuvent être analysés et testés par ordinateur. On cherche ainsi à mesurer l’impact de ces réseaux d’interactions dans le développement des premiers habitats urbains de nos régions. Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Pour rester informé de la mise en ligne des futurs épisodes : - rejoignez-nous sur notre page Facebook - suivez-nous sur Twitter
Mot(s) clés libre(s) : réseaux, Echanges, Archéologie, Protohistoire, Age du Fer, Ville
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La passion du dessin et de la préhistoire

/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne / 23-05-2016 / Canal-u.fr
FERUGLIO Valérie
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Les archéologues découvrent des objets abandonnés par les Hommes préhistoriques dans les sites qu’ils ont habités ou visités. La plupart de ces objets sont ceux du quotidien : des ustensiles, des armes, des outils en pierre, en os, en bois de cervidés ou en ivoire. Certains d’entre eux sont décorés. D’autres traces ont été laissées par ces Hommes ; elles se sont surtout conservées dans les grottes, protégées des assauts du temps. Il s’agit de dessins, gravures ou peintures exécutés sur les parois et les sols. L’art tel qu’il nous est parvenu aujourd’hui n’apparait qu’avec l’Homme moderne (l’Homo sapiens). Les objets décorés les plus anciens sont vieux d’au moins 100 000 ans en Afrique du Sud, tandis que l’art pariétal date de 36 000 ans : la grotte Chauvet en Ardèche.Ces manifestations artistiques intéressent les chercheurs car elles expriment la spiritualité même de ces Hommes. Si les objets du quotidien nous renseignent sur les modes de vie, l’art révèle une partie plus immatérielle des rapports au monde. Cet art sur objet (art mobilier) ou sur parois (art pariétal) est très codifié : beaucoup de motifs géométriques, des animaux mais pas n’importe lesquels et surtout très peu d’images humaines. L’étude de ces témoignages cherche à décoder le message et comment les artistes l’expriment. Si les techniques d’exécution se révèlent à nous progressivement, le sens de cet art nous demeure inconnu. Il prouve tout de même que le sens artistique est à l’origine de notre humanité. Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.Pour rester informé de la mise en ligne des futurs épisodes :
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Mot(s) clés libre(s) : préhistoire, art pariétal, Paléolithique supérieur, Art mobilier, artistes préhistoriques
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Restitution de la morphologie littorale et aménagements portuaires de Forum Iuli

/ Muriel Richard / 23-05-2014 / Canal-u.fr
EXCOFFON Pierre, BONNET Stéphane
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Aujourd'hui totalement comblé et situé à l'intérieur des terres, le port romain de Fréjus, exceptionnellement préservé de toute construction récente, constitue l'un des témoignages les plus remarquables de ce type d'aménagement en Méditerranée occidentale. Les études archéologiques et géoarchéologiques menées depuis dix ans à l'emplacement de l'antique port, ainsi que sur la zone littorale à l'ouest, au débouché de l'Argens, ont abouti à une restitution fiable de l'évolution de la configuration du littoral. On sait, depuis 2005, que le bassin portuaire n'était pas, à l'origine, enclavé, comme on le supposait jusqu'alors, mais largement ouvert sur la mer. On connaissait cependant assez mal le contexte de mise en place du port, ou même l'évolution des milieux, sur ses abords orientaux. Ainsi, des études sont actuellement menées vers l'est, jusqu'à l'extrémité du cours du Valescure et permettent aujourd'hui d'esquisser plusieurs hypothèses, notamment avec la découverte d'un vivier en eau vive du Ier siècle ap. JC, en 2009. Ce vestige, par sa configuration, atteste, non seulement que, contrairement à ce que l'on croyait, la mer baignait l'extrémité Est de la ville antique à cette époque, mais témoigne également de grandes modifications du littoral au cours de l'Antiquité. En effet, la restitution des modalités du colmatage du vivier, point de départ de notre réflexion, a clairement démontré l'existence d'un phénomène d'avancée du rivage à partir du Ier siècle ap. J.-C., condamnant ainsi, progressivement, l'utilisation du vivier. Depuis, trois carottages (Madeleine, quartier des Horts, Valescure) réalisés dans la zone orientale ont confirmé cette hypothèse. L'implantation des différents aménagements constituant le port, aussi bien à l'ouest qu'à l'est, a probablement modifié le transit naturel des sédiments. La structuration du port telle qu'elle nous apparaît aujourd'hui pourrait alors résulter, en réalité, de plusieurs étapes distinctes, liées aussi bien à la volonté d'augmenter sa capacité, qu'à la nécessité de s'adapter à la transformation du littoral et de sa dynamique.
Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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L’archéologie des périodes historiques, un dialogue avec l'histoire

/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne / 25-01-2016 / Canal-u.fr
DUPLOUY Alain
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Parler d’une archéologie des périodes historiques, c’est poser la question des rapports entre histoire et archéologie. C’est aussi s’interroger sur la genèse d’une discipline archéologique qui, en France, n’a fait qu’une entrée tardive à l’Université, alors que l’histoire y est établie de longue date. En l’occurrence, l’histoire de l’Antiquité classique s’est développée depuis le XIXe siècle comme une discipline essentiellement littéraire, reléguant la culture matérielle au rang de simple illustration des textes anciens. Parallèlement, si la philologie des vestiges archéologiques – consistant à établir la documentation matérielle selon des normes scientifiques – constitue la base du métier d’archéologue, elle ne saurait le résumer. En Grèce ou en Italie, en effet, l’archéologie de terrain a fortement évolué au cours du XXe siècle et les objets de l’enquête se sont considérablement renouvelés : d’une archéologie de sites et monumentale, elle est passée à une archéologie des espaces et des territoires, à une archéologie des gestes et des pratiques, et aussi à une archéologie environnementale. Ces nouveaux objets d’étude doivent désormais alimenter une synthèse à finalité historique. L’archéologie des périodes historiques vise en ce sens à une histoire totale, qui exploite aussi bien la documentation archéologique que la documentation textuelle, sans hiérarchie aucune entre les deux types de sources. Seule l’histoire des hommes a un quelconque intérêt, pas celle des objets. Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Pour rester informé de la mise en ligne des futurs épisodes : - rejoignez-nous sur notre page Facebook - suivez-nous sur Twitter
Mot(s) clés libre(s) : Archéologie
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Le port fluvial d'Arles et ses avant-ports maritimes

/ Muriel Richard / 23-05-2014 / Canal-u.fr
Duperron Guillaume, LONG Luc
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Les recherches subaquatiques récentes menées par le DRASSM dans le Rhône à Arles et au large de la Camargue face aux Saintes-Maries-de-la-Mer apportent des informations nouvelles sur le fonctionnement du système portuaire arlésien. Ces données concernent tout d'abord un vaste espace situé à l'embouchure de l'ancien Rhône de Saint-Ferréol, où se trouvait très probablement l'un des avant-ports maritimes principaux - avec Fos-sur-Mer - de la cité d'Arles. Dans ce secteur aujourd'hui submergé, l'étude d'une vingtaine d'épaves romaines, échouées principalement au Ier siècle de notre ère, a permis de restituer le paléorivage, dont le tracé présente une forme à peu près circulaire. L'exploration sous-marine de ce vaste lobe d'embouchure ouvert sur la mer a livré des ancres antiques qui attestent l'existence d'une zone de mouillage et de circulation. De plus, la découverte de blocs de calcaire dispersés, parfois percés d'un orifice comme sur les « navalia » de l'anse Saint-Gervais à Fos-sur-Mer, signale vraisemblablement la présence d'édifices implantés sur des atterrissements du Rhône. Ces différents éléments sont associés à un très riche dépotoir portuaire constitué principalement d'amphores et de céramiques, qui soulignent l'ampleur des échanges commerciaux dans cette zone et montrent que ce site fonctionne sans discontinuité entre la VIe s. av. J.-C. et le VIe siècle de notre ère. D'autre part, l'étude des épaves en Camargue et dans le lit du Rhône à Arles enrichit notre connaissance des navires impliqués dans l'organisation des trafics commerciaux, au sein d'un vaste espace nautique situé à la charnière entre la navigation maritime et la distribution fluviale des denrées. Devant les Saintes-Maries-de-la-Mer, un groupe varié d'épaves comprend d'abord des navires hauturiers, à fort tirant-d'eau, dont les plus grands restaient au mouillage vraisemblablement dans le lobe d'embouchure. Il s'agit ensuite de caboteurs maritimes dotés d'une quille mais à fond relativement plat, qui pouvaient emprunter les étangs et franchir la passe d'embouchure. Certains d'entre eux possèdent en commun un système d'assemblage par ligatures de la membrure au bordé, attesté seulement sur une dizaine d'épaves en Méditerranée, principalement entre Narbonne et Arles. Il correspond à une tradition très particulière, à une période où la construction navale antique n'utilise plus depuis longtemps de ligatures végétales pour assembler ses structures. Près d'une douzaine d'épaves antiques marquent ensuite, sur la rive droite du Rhône à Arles, la spécificité d'une zone de rupture de charge et de redistribution des marchandises. Elles se déclinent en plusieurs groupes incluant d'abord des navires maritimes de petit tonnage, dotés d'une quille, qui pouvaient cependant remonter le fleuve. Viennent ensuite des embarcations fluviomaritimes très ouvertes aux influences méditerranéennes, assemblées notamment par tenons et mortaises avec un fond plat dépourvu de quille. Les traces d'organismes marins décelées sur leur fond de carène attestent qu'elles fréquentaient la mer, sans doute au moment d'alléger les gros bateaux de charge stationnés dans les avant-ports maritimes. On compte enfin des chalands typiquement fluviaux, à fond plat, de type monoxyle assemblé. Ces épaves sont incluses dans de grands dépotoirs de type urbain et portuaire qui révèlent l'ampleur et la richesse des activités commerciales qui se déroulaient à Arles sur la rive droite du Rhône. C'est en effet là, au pied d'une très belle façade monumentale dont témoigne la découverte dans le fleuve de nombreux éléments architecturaux et statuaires, que prenait place le principal port fluvial d'Arles, entre la fin de la République romaine et l'Antiquité tardive. Les très riches ensembles de mobiliers issus des fouilles conduites sur ces dépotoirs livrent de nombreuses informations nouvelles sur la vie matérielle et les échanges commerciaux dans l'un des plus grands ports de l'Empire.
Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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L'établissement littoral de Saint-Martin à Gruissan : un avant-port de Narbonne ?

/ Muriel Richard / 22-05-2014 / Canal-u.fr
Duperron Guillaume
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Le site de Saint-Martin, situé sur la commune de Gruissan à une douzaine de km au sud-est de Narbonne, occupe une position remarquable au cœur des étangs narbonnais. Les recherches conduites depuis 2011 sur cet établissement dans le cadre du PCR « Les ports antiques de Narbonne » s'inscrivent dans la continuité des travaux réalisés précédemment sur ce site par C. Sanchez, qui avait mis en évidence son intérêt majeur pour la connaissance de l'histoire du littoral narbonnais. Les fouilles ont permis de mettre au jour sur près de 2000 m² un vaste complexe édifié à l'époque augustéenne et occupé jusqu'à la fin de l'Antiquité. Il se caractérise par la présence d'un bâtiment en grand appareil d'assez grande dimension (14 x 7,5 m), associé à une cour centrale de 380 m², équipée sur trois côtés de portiques d'une largeur de 4 m. A l'est, plusieurs petites pièces ouvertes sur la galerie pourraient correspondre à des espaces à vocation commerciale ou administrative, tandis qu'une vaste pièce (91 m²) comporte un niveau souterrain qui évoque un espace de stockage. Une forge et deux installations thermales ont également été reconnues. L'objectif de cette communication est de présenter un nouveau bilan des connaissances sur ce site et nos hypothèses sur la nature et les fonctions de cet établissement atypique, qui pourrait jouer un rôle-clé au sein du système portuaire de Narbonne antique.
Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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Les bas fourneaux de Lercoul / Claude Dubois

/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 01-06-2000 / Canal-U - OAI Archive
DUBOIS Claude
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Les bas fourneaux du IIIe siècle de notre ère, fouillés à Lercoul, en Ariège (Vicdessos), sont les plus anciens et les mieux connus des Pyrénées. L'un des antiques creusets, taillés dans le schiste de la montagne, a été utilisé pour une reconstitution, avec les matériaux locaux. Le charbon de bois de hêtre a été fabriqué en meule, sur place. Le minerai de fer, goéthite et hématite, a été récolté aux abords de la célèbre mine voisine de Rancié. La réduction expérimentale directe du minerai a produit un fer très doux et une scorie coulée. Un petit lingot a pu être mis en forme lors de l'affinage. Ce fut aussi un retour à la vie pour ce site fragile dont il ne reste visibles que des images et une maquette virtuelle relevée par laser.Ce film montre la reconstitution expérimentale de deux des opérations fondamentales de l'économie métallurgique ancienne : le charbonnage (construction et combustion d'une meule traditionnelle) et la reconstruction d'un bas fourneau pour la réduction du minerai, sur l'emplacement des sites du III ème siècle à Lercoul. Le tournage du film s'est déroulé du 14 au 26 septembre 1998.Mission scientifique menée par Claude Dubois avec Alain Ploquin (chargé de recherche en minéralogie, et spécialiste de la paléométallurgie du fer, CNRS,UPR A 9046, CRPG Nancy), Jean-Paul Métailié (CNRS, GEODE, UMR 5602, Toulouse 2), Jean-Claude Leblanc (professeur de métallographie, ENSAM Bordeaux, UMR 5608) et Francis Dabosi (ENS Chimie de Toulouse, INPT, CNRS UMR 5085).> Visionner aussi la reconstitution expérimentale d'une charbonnière, "Les Charbonniers de l'Antola".
Mot(s) clés libre(s) : archéologie expérimentale, archéologie médiévale, charbon de bois, fours métallurgiques, Pyrénées ariégeoises (France)
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Activité pédagogique : la détermination des crânes

/ Sébastien PAGANI / 01-02-2016 / Canal-u.fr
DETROIT Florent
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Sur quels critères peut-on déterminer à quelle espèce d'Homo nous avons affaire?
Mot(s) clés libre(s) : préhistoire, archéologie, crâne, activités pédagogiques, habitat préhistorique, paléo-anthropologie, Muséum national d'histoire naturelle
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Le système portuaire fluvio-lagunaire de la vallée du Bétis (Guadalquivir), réflexions sur son organisation et son évolution de la fin de la République à la fin du Haut-Empire romain

/ Muriel Richard / 22-05-2014 / Canal-u.fr
DES BOSCS Françoise
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Depuis la plus haute Antiquité, du fait de la puissance des marées qui affectent cette zone du littoral Atlantique, en partie liée elle-même à la proximité du détroit de Gibraltar, la vaste lagune dans laquelle il se jette et le fleuve lui-même ont bénéficié de conditions de navigabilité exceptionnelles, faisant de cette vallée tout à la fois un axe de pénétration et d'échanges remarquable. En m'appuyant sur la documentation littéraire épigraphique et archéologique, je souhaiterais présenter ici les grandes lignes d'une organisation de ce que l'on peut qualifier d'un véritable « système portuaire », autour du port de Gadès situé sur le continent au débouché de la lagune, d'un système de canaux, dans celle-ci et de divers points de rupture de charge sur le fleuve. Il s'agira aussi d'envisager comment ce système a évolué au cours du temps en fonction notamment de la spécialisation oléicole de la vallée qui s'affirme durant tout le Haut-Empire et du souci croissant des autorités romaines d'assurer un approvisionnement régulier, tant à Rome, que pour les armées du Rhin, de cette denrée précieuse. Travaux de régulation du cours du fleuve, création de fonctions administratives pour veiller à l'entretien des berges, émergence de nouveaux niveaux de ports, affirmation de la place d'Hispalis dans le système sont quelques aspects de cette évolution que nous permettent de cerner plus particulièrement l'épigraphie et l'archéologie.   Françoise des Boscs   Bibliographie succinte Un parti hispanique à Rome ? Ascension des élites hispaniques et pouvoir politique d'Auguste à Hadrien (27 av.J.-C.-138ap. J.-C.), Bibliothèque de la Casa de Velázquez, n° 32, Madrid, 2005, 763 pp. - "La richesse des aristocraties de Bétique et de Tarraconaise : essai de synthèse", Gerión, 22, 1, 2004, pp. 305-353.   « Les patrimoines des sénateurs hispaniques sous le Haut-Empire (Ier-IIIème siècle). L'apport de l'épigraphie des amphores », Cahiers du Centre Gustave Glotz, XVI, 2005, pp. 165-211 "L'économie de l'huile dans les provinces hispaniques de l'Empire romain ( Ier siècle av. J-C.- IIIème siècle ap. J;-C.)", dans les Actes du colloque international "L'économie de l'huile en Méditerranée grecque ( VIème s. av. J.-C. - VIème s. ap. J.-C.)", Poitiers, décembre 2009, article de 37 pp, à paraître « Apports de l'épigraphie à notre connaissance du système portuaire de la moyenne vallée du Baetis (Guadalquivir) sous le Haut-Empire romain », Actes de la XVIIème rencontre d'épigraphie franco-italienne, (Aquilée, octobre 2010), Trieste, 2013, pp. 105-125 (sortie imminente)
Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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Conservateur du Patrimoine - Musée

/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne / 13-07-2016 / Canal-u.fr
DELPUECH André
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Au sein d’un musée, le conservateur du patrimoine est le responsable des collections dont il assure la gestion. Ainsi, au musée du quai Branly – Jacques Chirac, André Delpuech est en charge d’une collection de plus de 100 000 objets archéologiques et ethnographiques de toutes les Amériques : pièces précolombiennes de Mésoamérique, de la Caraïbe et des Andes, collections Inuit de l’Arctique, des Indiens des Plaines, des Grands Lacs et de la Côte Nord-Ouest, collections amérindiennes d’Amazonie, de Patagonie, productions coloniales et œuvres afro-américaines. Il prépare et met en œuvre la muséographie des collections permanentes des Amériques en participant à la programmation muséographique, à la sélection des œuvres, à l’installation, la rédaction de la signalétique, des publications et médias associés… Le conservateur assure, par ailleurs la gestion des inventaires, la responsabilité des prêts et dépôts et l’enrichissement de la documentation des collections en développement des recherches sur les cultures matérielles. Il mène une politique d’acquisition du musée afin d’enrichir les collections par la recherche d’œuvres, le suivi des ventes et du marché de l’art, des collectes sur le terrain. Il assure ensuite l’étude scientifique et technique des collections intégrant le musée. Le rôle de médiation est une autre dimension du travail de conservateur avec la participation à la diffusion scientifique et aux actions d’éducation, à des projets d’exposition et de manifestations culturelles et scientifiques. Enseignements, colloques, conférences et publications complètent les activités du conservateur qui s’inscrivent souvent dans le cadre de coopération avec des institutions muséales et de recherche, en France et à l’étranger. Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Pour rester informé de la mise en ligne des futurs épisodes :
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Mot(s) clés libre(s) : Amérique, musée, collections, précolombien, amérindien
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