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Le débarcadère de Port-la-Nautique
/ Muriel Richard
/ 22-05-2014
/ Canal-u.fr
CARRATO Charlotte
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Aujourd'hui, Port-la-Nautique est un
port de plaisance situé à 4 km au sud de Narbonne, au nord des étangs de
Bages et Sigean. Dès 1914, H. Rouzaud envisage La Nautique comme l'un
des principaux débarcadères de Narbonne antique, connu depuis longtemps sous le nom de Port des Galères ou de Capelles.
La chronologie du site de Port-la-Nautique correspond à la période
pendant laquelle le vin de Catalogne remplace les importations de vins
d'Italie. Port-la-Nautique est donc un débarcadère en grande partie
tourné vers le commerce du vin. Des entrepôts à dolia, fouillés
en 2010 par O. Ginouvez (Inrap), mesurent une centaine de mètres de long
sur une trentaine de large, les plaçant parmi les plus importants du
monde romain. Les fouilles récentes menées à Port-la-Nautique ont
également révélé des fours de potiers adossés aux entrepôts, au plus
près du rivage. Ils ont pu produire des matériaux de construction pour
l'agglomération portuaire, mais également des amphores pour le
reconditionnement des produits et des gobelets à parois fines, peut-être
destinés à l'exportation. Ces fours constituent une découverte inédite
qui ouvre de nouvelles perspectives : leurs productions étaient-elles
liées au conditionnement du vin stocké en vrac dans les dolia ou des fruits de mer préparés en saumure dans les bassins qui sont visibles le long de la route ?
À
proximité de ces fours, une dépression d'au moins 480 m2 pouvant
atteindre 3,50 m de profondeur est comblée par des coquillages : les
huîtres étaient particulièrement appréciées à l'époque romaine et
faisaient l'objet d'exploitation. L'amas de coquilles ne permet pas de
fouiller cet important creusement proche des entrepôts mais ces
découvertes attestent la multiplicité des activités au sein de cet
espace portuaire et donnent à Port-la-Nautique une nouvelle dimension :
outre l'exportation des sigillées sud-gauloises et l'importation des
amphores de Tarraconaise, le transport du vin en vrac, la fabrication de
céramiques et l'exploitation industrielle des fruits de mer sont mis en
évidence. Les activités de production sans doute en partie liées au
conditionnement des produits constituent une découverte majeure qui
modifie notre vision du système portuaire. Port-la-Nautique peut donc
bien être qualifiée d'agglomération portuaire avec des espaces publics,
des entrepôts, l'exploitation des ressources littorales et des activités
artisanales correspondant à la production céramique.
Les causes
de l'abandon de Port-la-Nautique restent encore inconnues. Au départ
proche d'une embouchure qui devait se situer au niveau de l'anse de
Montfort, les difficultés d'accès dues à l'ensablement corrélées avec
une évolution du commerce ont sans doute rendu caduques les
installations de la Nautique et pourraient expliciter la désertion de ce
lieu. La zone du Castélou, qui prend le relais, paraît pourtant bien
problématique : l'ensablement y est conséquent et exige un entretien
régulier. Elle permet cependant d'accéder depuis les lagunes à la voie
fluviale en canalisant l'embouchure. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CAROZZA Laurent
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Mot(s) clés libre(s) : chalcolithique, géographie historique, métallurgie préhistorique (Hautes-Alpes ; France)
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Le vivier augustéen du Lac de Capelles à Port-la-Nautique (Narbonne)
/ Muriel Richard
/ 22-05-2014
/ Canal-u.fr
CARAYON Nicolas, FLAUX Clément
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Les fouilles du Lac de Capelles à
Port-la-Nautique, entreprise dans le cadre du PCR sur les ports antiques
de Narbonne, ont permis la découverte d'un vivier d'agrément
exceptionnel d'époque augustéenne classé monument historique en 2013.
Cet ensemble unique en dehors des lieux de villégiature habituel de
l'aristocratie romaine en Italie est composé d'un bassin circulaire de
65 m de diamètre au centre duquel émerge un bâtiment quadrangulaire
ayant fait office de triclinium estival. Un bassin rectangulaire à
abside cuvelé occupe la partie septentrionale du bâtiment central. Il a
été comblé volontairement par la destruction de la superstructure
monumentale piégeant les poissons conservés dans le vivier et favorisant
une conservation parfaite du matériel archéologique, notamment une
vanne à glissière en bois et un casier de conservation des huîtres avant
consommation. L'ensemble a été édifié aux alentours de 30 av. J.-C. et
détruit vers 10 apr. J.-C. L'étude pluridisciplinaire du vivier a permis
de préciser le contexte paléoenvironnemental dans lequel il s'est
inscrit et de mettre en évidence une gestion précise de la salinité et
de la température de l'eau. La découverte et l'analyse de cette
structure apporte des éléments nouveaux pour la compréhension du
quartier portuaire d'époque augustéenne à Port-la-Nautique connu par les
fouilles depuis le début du XXe s. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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Visage de l’Autre : les barbares de l’empire romain
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 13-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
CAMBRONNE Patrice
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La représentation du « barbare » évolue avec le temps et l’histoire. Désignant à l’origine celui qui ne parlait pas la même langue, sa signification se déplace avec les « invasions barbares » vers l’étrange et le mystère puis au fil des conquêtes et des batailles en peur de l’Autre. Patrice Cambronne retrace les grands événements de l’histoire (Bataille d’Andrinople, Sac de Rome, Bataille des Champs Catalauniques…) qui ont bousculés les mentalités et donner au mot « barbare » le sens que nous lui connaissons aujourd’hui.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2006-2007 sur le thème "L'autre". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : altérité, barbares, histoire antique, invasions barbares
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Sur les traces de "Little Foot" / Laurent Bruxelles
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Bruno BASTARD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 07-10-2015
/ Canal-u.fr
BRUXELLES Laurent
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Dans cette conférence, Laurent Bruxelles, géomorphologue à l’Institut de recherches archéologiques préventives (Inrap) et chercheur au laboratoire TRACES à l'Université Toulouse Jean Jaurès, présente la découverte par Ronald Clarke de l'Australopithecus prometheus surnommé "Little Foot" [Petit Pied] et ses propres travaux en vue de la datation du squelette retrouvé dans une des grottes de Sterkfontein, près de Johannesbourg en Afrique du Sud.
Cette grotte située dans une région de dolomies constituées il y a 2,5 milliards d'années, sur des fonds marins peu profonds, a été creusée par les eaux sur 400 m. de galeries labyrinthiques étagées qui, en se comblant progressivement de sédiments, ont piégé de très nombreux fossiles. À la fin du XIXe siècle, les mineurs sud-africains exploitant la calcite des stalagmites des grottes, extraient également des vestiges osseux qu'ils signalent au paléoanthropologue Raymond Dart. Celui-ci mettra au jour, en 1924, le crâne fossilisé d'un jeune hominidé d'une nouvelle espèce, l'Australopithecus africanus, inaugurant une longue série de découvertes dans cette région, notamment celles de Robert Broom ("Mrs. Ples" en 1947), de Phillip Tobias (qui identifia l'espèce Homo habilis) et de Ronald Clarke, découvreur en 1997 de "Little Foot".
Jusqu'en 2006, en fonction de la méthode de datation utilisée, les résultats des études sur l'âge de "Little Foot" ont dérouté les spécialistes et c'est à la demande des anthropologues sud-africains que Laurent Bruxelles a reconstitué
l'histoire géomorphologique de la vallée de la Blauawbankspruit et de la grotte dans laquelle furent mis au jour les ossements. En étudiant la structure karstique, les brèches sédimentaires,
les inversions stratigraphiques ainsi que les modifications des planchers
stalagmitiques, il est parvenu à rassembler les données nécessaires à la datation de "Little Foot".
"Little Foot" a plus de 3,6 millions d'années et son squelette constitue un élément important pour la connaissance, d'une part, du groupe des pré-humains se situant antérieurement aux Parenthropes (Homo robustus) et aux Homo habilis et, d'autre part, la connaissance des origines et de l'évolution de
l’espèce humaine.
Conférence présentée dans le cadre de la Fête de la Science 2015, Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 7 octobre 2015. Mot(s) clés libre(s) : paléoenvironnement, évolution humaine, hominidés fossiles, fouilles archéologiques, grottes de Sterkfontein (Afrique du sud), géomorphologie karstique, datation cosmogénique, Australopithecus prometheus
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La tracéologie
/ Sébastien PAGANI
/ 02-05-2016
/ Canal-u.fr
Borel Antony
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En archéologie expérimentale, la tracéologie consiste à étudier les traces d’utilisation visibles à la surface
des objets afin d’émettre des hypothèses sur leur fonction. Mot(s) clés libre(s) : chercheur, archéologie expérimentale, archéologie préhistorique, outil préhistorique, Muséum national d'histoire naturelle, Archéologie
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Le port lagunaire de Kition (Larnaca, Chypre)
/ Muriel Richard
/ 23-05-2014
/ Canal-u.fr
BONY Guénaëlle
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Au Sud-Est de l'île de Chypre, sur les
rives de la baie de Larnaca, ouverte vers le levant, l'antique cité de
Kition fut fondée au 13ème siècle avant J.-C. Installée sur une ancienne
terrasse marine et entourée par un mur d'enceinte cyclopéen, la cité se
distingue au Sud-Est (quartier de Bamboula) par la présence d'un port
militaire d'époque classique abritant des rampes de hallages très bien
préservées (Yon, 2000 ; Morhange et al., 2000 ; Sourisseau et al.,
2003). Au Nord de la cité, le quartier de Kathari, situé en face d'une
nécropole classique de la ville, abrite une zone de temples ainsi que
des ateliers de travail du cuivre. L'organisation interne des ports
phéniciens laisse à penser que la cité pouvait abriter un port de
commerce éventuellement localisé au pied du quartier de Kathari dans une
ancienne petite baie aujourd'hui colmaté. Afin de reconstituer
l'évolution paléo-environnementale du littoral dans ce secteur et de
comprendre l'organisation de la cité phénicienne, nous avons réalisé une
série de 9 carottages répartis dans l'ancienne baie de Kathari. Les
résultats bio-sédimentologiques révèlent une mobilité des rivages dictée
par les apports sédimentaires fluviaux du Tremithos. Vers le 5ème
siècle avant J.-C., des apports sédimentaires grossiers sont
responsables de la transformation de la baie de Kathari en un milieu
lagunaire, évoluant ensuite progressivement en un marais d'eau douce.
Cet environnement lagunaire protégé naturellement par ce cordon de
galets a donc favorisé l'installation d'une activité portuaire militaire
à Bamboula et probablement commerciale à Kathari. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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Les hommes et l'activité portuaire dans l'emporion de Narbonne (IIe siècle av. J.-C. – IIe siècle ap. J.-C.)
/ Muriel Richard
/ 22-05-2014
/ Canal-u.fr
Bonsangue Marie-Luisa
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Grand port de la Méditerranée romaine
sous la République et le Haut-Empire, Narbonne est aussi qualifiée
d'emporion dans les sources littéraires. Outre l'activité portuaire
intense qui l'a caractérisée, elle a été aussi un port de stockage de
marchandises d'origines lointaines destinées à être redistribuées à
l'échelle régionale. Elle a atteint, au début du Ier siècle ap. J.-C.,
l'une des places les plus élevées dans la hiérarchie des ports romains
du pourtour méditerranéen. Dans ce contexte, notre enquête a pour
objectif d'étudier les caractéristiques de la société de l'emporion. Il
sera question de faire la lumière, à partir de la documentation
littéraire, épigraphique et iconographique, sur les milieux d'affaires
de l'emporion, sur le monde des métiers portuaires et sur les acteurs
principaux de l'essor commercial narbonnais. On s'interrogera sur les
hiérarchies internes des milieux d'affaires, sur les liens qui les
unissent avec les autres groupes de la société locale, et sur leurs
éventuelles possibilités d'accéder au niveau des élites aux fortunes
foncières. On essayera d'étudier dans quelle mesure la particularité du
système portuaire fluvio-lagunaire de Narbonne a eu des répercussions
sur le paysage des métiers portuaires attestés dans les sources. Il sera
enfin question de comprendre si la société de cet emporion comporte des
spécificités par rapport à celle d'autres ports et d'autres emporia de
la Méditerranée romaine. Mot(s) clés libre(s) : archéologie
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Archéozoologie et paléopathologie animale
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 02-12-2015
/ Canal-u.fr
BINOIS-ROMAN Annelise
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L’archéozoologie, c’est
l’étude des restes animaux, souvent osseux, mis au jour sur les sites
archéologiques. Composante essentielle de la recherche archéologique, l’archéozoologie
est le plus souvent employée pour reconstituer les régimes alimentaires des
populations passées en caractérisant les animaux élevés ou chassés par
celles-ci.
Dans cette vidéo, Annelise Binois nous explique comment les
techniques de l’archéozoologie peuvent aussi être utilisées pour identifier les
dépôts de carcasses animales consécutifs à des crises de mortalité ou à des
épidémies, et comment, en combinant ces résultats à des données issues d’autres
champs de recherche, il peut être possible de poser un diagnostic quant aux
causes précises de mortalités. L’exemple d’un dépôt de six squelettes de moutons
datés du XIIIe siècle et mis au jour à Téteghem, dans le Nord de la France,
permet d’illustrer cette démarche. Cette recherche contribue à notre
connaissance des maladies dans les élevages du passé et à l’histoire des
pathogènes sur le temps long.
Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par
l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Pour rester informé de la mise en ligne des futurs épisodes :
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Premiers indices d'exploitation de cuivre et de fer dans les Pyrénées occidentales / Argitxu Beyrie
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BEYRIE Argitxu
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Aux origines de la métallurgie pyrénéenne : premiers indices d'exploitation de cuivre et de fer dans les Pyrénées occidentales Argitxu BEYRIE. In "Constructions des territoires montagnards", 2ème International Workshop on archaeology of european mountain landscape, organisé par les laboratoires GEODE, FRAMESPA, GEOLAB et Chrono-Environnement. Université Toulouse 2-Le Mirail, 8-11 octobre 2009.Les vestiges d’activités minières et métallurgiques se trouvent en abondance à l’extrémité occidentale de la chaîne pyrénéenne, sur l’ensemble du territoire montagnard qui s’étend d’ouest en est de l’océan Atlantique aux vallées du haut Béarn (Pyrénées-Atlantiques). Les gîtes métallifères, souvent modestes mais particulièrement abondants, y ont été exploités pour l’or, l’argent et principalement pour le cuivre et le fer. Les recherches menées depuis une dizaine d’années dans le domaine de l’archéologie minière et de la paléométallurgie permettent aujourd’hui de retracer les grandes lignes de l’histoire minière de l’extrémité occidentale du massif. En révélant l’importance du foyer de production polymétallique installé en bordure de l’océan Atlantique au début de notre ère, les travaux de recherche ont apporté un éclairage inédit sur la connaissance des activités économiques de l’Aquitaine antique. Ils améliorent en outre la compréhension des modes d’occupation et d’exploitation des territoires de haute et moyenne montagne. Cette phase, au cours de laquelle la production métallique se développe de manière sensible, démarre au IIIe siècle av. J.C. et connaît son apogée aux Ier et IIe siècles ap. J.C. Les recherches menées en Béarn dans le domaine de l’archéologie des mines ont également mis en évidence une phase d’activité beaucoup plus ancienne, coïncidant cette fois avec la naissance de l’activité minière en Europe occidentale. Comme le laissaient augurer les résultats des études paléoenvironnementales menées au Pays Basque (D. Galop et F. Monna), la découverte de la mine de cuivre de Causiat en vallée d’Aspe permet de situer le démarrage des activités minières et métallurgiques dans l’Ouest pyrénéen au IIIe millénaire av. J.C. Mot(s) clés libre(s) : archéologie préhistorique, chalcolithique, métallurgie préhistorique (Pyrénées ; France)
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