Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
La France et l'Algérie : 130 ans d'aveuglement
/ UTLS - la suite
/ 07-02-2002
/ Canal-U - OAI Archive
WINOCK Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
La guerre d'Algérie a durée de 1830 à 1962. Un raccourci provocateur si l'on considère qu'entre la conquête d'Alger en 1830 et les accords d'Evian en 1962, il y eut des périodes de paix et de stabilité. Mais on peut employer une telle formule dans le but de mettre en évidence la durée du conflit. Un conflit qu'il ne faut pas réduire aux dernières années. Il a fallu une longue période à la France pour coloniser la totalité de l'Algérie. Une longue guerre inexpiable et très violente de part et d'autres. Violence fondatrice des rapports entre les deux communautés. Il faut aussi évoquer la violence de la confiscation des terres, la France voulant faire de l'Algérie une colonie de peuplement. Il en est résulté une paupérisation importante de la population musulmane. A cause de ces violences l'Algérie n'a jamais trouvé son statut, « pendant 130 ans d'aveuglement »
Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), algérie 1830-1871 (Conquête française), colonies françaises, guerre d'algérie, guerre d'indépendance, relations france-algérie
|
Accéder à la ressource
|
|
2 - Le Rwanda dans les magazines d'information télévisés français (1994-2014) par François Robinet
/ Nicolas Boileau, Hélène Veillard
/ 14-11-2014
/ Canal-u.fr
WALTER Jacques, ROBINET François
Voir le résumé
Voir le résumé
Vendredi 14 novembre 2014
Deuxième journée - Construction des mémoires du génocide des Tutsi : représentations médiatiques et artistiques de l'événement
Les récits médiatiques d'information et leurs rôles dans l'écriture de l'histoire et les construction mémorielles. Sous la présidence de Jacques Walter.
Le Rwanda dans les magazines d'information télévisés français (1994-2014) par François Robinet
Colloque International "Rwanda, 1994 - 2014 : Récits, constructions mémorielles et écriture de l’histoire"
13, 14 et 15 novembre 2014.
Programme complet
Voir toutes les vidéos de la première journée. Le génocide des Tutsi du Rwanda : 20 ans après, bilan et questions historiographiques.
Voir toutes les vidéos de la deuxième journée. Construction des mémoires du génocide des Tutsi : représentations médiatiques et artistiques de l'évènement
Voir toutes les vidéos de la troisième journée. Littérature, théâtre et témoignage : pour quels dialogues contemporains.
Tandis que les productions artistiques, littéraires et
visuelles – cinéma, théâtre, photographie – au sujet du
génocide des Tutsi perpétré au Rwanda en 1994 se sont
très vite multipliées, l’écriture de l’histoire, tributaire
des archives et des dispositions légales qui en régissent
l’accès, doit se frayer un chemin entre les clichés
des atavismes tribaux et les manipulations politiques
conscientes, en particulier en France. Démêler ce qu’il
en est du réel et de son incessante reconstruction dans
les discours et images publics, tenter un état présent
critique des savoirs et réflexions qu’il continue de susciter
s’avère d’autant plus nécessaire que les enjeux d’ordres
éthique, cognitif, pédagogique, judiciaire et politique,
culturel et artistique, se croisent et souvent se brouillent,
requérant un travail de différenciation, d’articulation et
d’échange.
Six sessions de rencontres entre chercheurs de toutes
disciplines, associant aussi des artistes, des acteurs
de la mémoire et des témoins, seront consacrées à
l’écriture et la transmission de l’histoire du génocide,
aux imbrications et antinomies entre histoire, justice
et politique, au rôle des récits médiatiques dans les
constructions mémorielles, aux enjeux des productions
visuelles, aux écritures testimoniales et fictionnelles,
ainsi qu’aux expériences théâtrales qui voient le jour au
Rwanda, en Europe et aux États-Unis. Les productions
occidentales se verront reconsidérées au regard de
ce qui se fait, se construit et s’écrit au Rwanda et en
Afrique, productions et réflexions trop souvent laissées
à la périphérie des débats. On tentera ainsi une réflexion
sur les manières dont se vit et se pense l’après-génocide
dans un espace-temps postcolonial singulièrement
chargé, mais porteur aussi d’horizons de pensée et de
perspectives significatifs pour tous. Peut-on écrire une
telle histoire autrement que dans la dispute polémique ?
Peut-on penser ensemble un tel événement ?
Comité d’organisation :
Virginie Brinker (CPTC, Univ. de Bourgogne)
Catherine Coquio (CERILAC, Univ. Paris-Diderot)
Alexandre Dauge-Roth (Bates College)
Éric Hoppenot (ESPE Paris, Univ. Paris-Diderot)
Nathan Réra (HiCSA/Labex CAP, Univ. Paris 1)
François Robinet (CHCSC, Univ. Versailles Saint-Quentin)
Comité scientifique :
Stéphane Audoin-Rouzeau (Cespra, EHESS)
Virginie Brinker (CPTC, Univ. de Bourgogne)
Catherine Coquio (CERILAC, Univ. Paris-Diderot)
Alexandre Dauge-Roth (Bates College)
Christian Delporte (CHCSC)
Éric Hoppenot (ESPE Paris, Univ. Paris-Diderot)
Marcel Kabanda (Président d’Ibuka France)
Naasson Munyandamutsa (Psychiatre- psychothérapeute)
Nathan Réra (HiCSA/Labex CAP, Univ. Paris 1)
François Robinet (CHCSC, Univ. Versailles Saint-Quentin)
Josias Semujanga (CRIST, Univ. de Montréal)
Jacques Walter (CREM, Univ. de Lorraine)
Organisation :
CERILAC, axes « Écrire et penser l’histoire » et « Pensée et création contemporaines » / Université Paris-Diderot
Centre d’Histoire Culturelle des sociétés contemporaines / Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines
Labex « Création, arts et patrimoines » / Université Paris 1
Co-organisation : CPTC / Université de Bourgogne ; ESPE Paris / Université Paris Sorbonne ; French and Francophone Studies / Bates College.
Avec le soutien de : CREM-Écritures / Université de Lorraine ; International Languages and Cultures Department / St Mary’s College of Maryland ;
CERC / Paris 3 ; « République des savoirs » / ENS-Ulm / Institut Universitaire de France.
Partenaires institutionnels : Fondation pour la mémoire de la Shoah ; Région Ile-de-France ; avec le soutien de la Communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines.
Autres partenariats : Institut des Humanités de Paris ; Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines ; Services culturels de Paris 7 ; Groupov ; Cinéma Les Trois Luxembourg ; INA. Mot(s) clés libre(s) : Rwanda, le génocide des Tutsi du Rwanda
|
Accéder à la ressource
|
|
Les maghrébins si loin si proche
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 11-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
VERMEREN Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Quels rapports entretiennent français et maghrébins ? Quel regard portent-ils les uns sur les autres ? Pierre Vermeren revient sur des siècles d’histoire maghrébine, ponctués d’invasions et de guerres, de rêves et de désillusions pour expliquer la complexité des rapports nord-sud.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2006-2007 sur le thème "L'autre". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : afrique du Nord (civilisation), civilisation arabe, civilisation islamique, colonies françaises, colonisation (afrique du Nord), relations afrique du nord - France
|
Accéder à la ressource
|
|
Les Pieds noirs
/ UTLS - la suite
/ 28-02-2002
/ Canal-U - OAI Archive
VERDES-LEROUX Jeannine
Voir le résumé
Voir le résumé
L'histoire des « pieds noirs » a souvent été déformée car totalement méconnue, remplacée par une histoire coloniale qui manipule des catégories mais ne considère pas les vivants, les rapports qu'ils entretenaient et leur vie quotidienne en Algérie. Ces français sont oubliés et souvent caricaturés 40 ans après un exode dramatique. Sont-ils difficile à comprendre ? Ils sont certes différents, tous n'étaient pas colons au sens strict. Nombreux étaient ouvriers, enseignants, chefs d'entreprise, commerçants. L'ensemble des français représentait l'infrastructure économique du pays. Il ne s'agissait pas de riches propriétaires comme certains clichés le laissent penser. Il existe une histoire réelle, importante, entre français et algériens, faite d'échanges, de fraternité, parfois de tendresse. Il faut désormais souhaiter que les historiens repensent, réévaluent le passé des « humilier de l'histoire ». Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), colonies françaises, guerre d'algérie, harkis, pieds-noirs (histoire), rapatriement forcé, relations france-algérie
|
Accéder à la ressource
|
|
Guerre et diplomatie : victoire militaire, défaite diplomatique ?
/ UTLS - la suite
/ 14-02-2002
/ Canal-U - OAI Archive
VAISSE Maurice
Voir le résumé
Voir le résumé
Victoire militaire, défaite diplomatique. 0n peut y voir un constat objectif au regard des résultats positifs de l'armée française et de l'issue négative du conflit pour la France. Mais comment ne pas déceler dans cette opposition des termes une intention polémique. Aux yeux d'une partie de l'armée, des pieds noirs, la victoire fut manquée parce que le chef de l'état n'en a pas voulu ainsi. La guerre gagnée sur le terrain fut mise à mal par une politique ambiguë poussant les Algériens à se rallier au FLN et à préférer l'indépendance au maintien de la France en Algérie.Il y a effectivement un paradoxe, comment une victoire militaire s'est-elle transformée en défaite diplomatique ? Mais d'abord, y-a-t-il eu victoire militaire et dans quelle mesure peut-on parler de défaite diplomatique ? Pour y voir plus clair, il convient d'analyser la guerre d'Algérie, non pas comme une guerre classique, mais bien comme une guerre de décolonisation. Hors dans un tel conflit, c'est la hantise d'une défaite qui a plané au-dessus de la France après l'Indochine et Dien Bien Phu, après le retrait de la Tunisie et du Maroc. Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), armée française, colonies françaises, FLN, front de libération nationale (algérie), guerre d'algérie, guerre d'indépendance, harkis, relations france-algérie, torture
|
Accéder à la ressource
|
|
La guerre d'Algérie dans la mémoire des Français
/ UTLS - la suite
/ 21-03-2002
/ Canal-U - OAI Archive
ROUSSO Henri
Voir le résumé
Voir le résumé
La mémoire de l'événement, l'étude de la postérité dans l'imaginaire collectif est un thème aujourd'hui classique dans l'historiographie. Qu'elles sont les évolutions successives depuis la fin de la guerre d'Algérie des représentations que cet événement a suscité ? Le sujet reste extrêmement vif dans les mémoires. Est-il possible de comparer, même de façons lointaines, la mémoire de la guerre d'Algérie et de la seconde guerre mondiale ? Il existe une constante chez les historiens qui considèrent que les événements traumatisant du XXème siècle ne finissent pas, un passé qui ne passe pas. Nous vivons encore aujourd'hui dans l'écho de cette guerre qui n'a pas fini de poser des questions, des problèmes, de soulever des polémiques. L'historien a donc une tache un peu différente de celle qui consiste à analyser l'événement, il doit se pencher sur la mémoire de l'événement. Comment la guerre d'Algérie s'est perpétuée dans la conscience collective ? Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), algérie 1830-1871 (Conquête française), colonies françaises, guerre d'algérie, guerre d'indépendance, relations france-algérie
|
Accéder à la ressource
|
|
Terrorisme et guérilla : de la Toussaint rouge à la tragédie des Harkis
/ UTLS - la suite
/ 21-02-2002
/ Canal-U - OAI Archive
PERVILLE Guy
Voir le résumé
Voir le résumé
La compréhension et l'analyse de la guerre d'Algérie sont complexes et bien souvent faussées car ces événements sont considérés de manière unilatérale. Il convient au contraire d'analyser l'interaction et l'interdépendance des deux camps ainsi que l'engrenage de la violence qui en est résulté. Qui a commencé ? Incontestablement le FLN par son insurrection du 1er novembre 1954 et ses chefs ont clairement revendiqué la responsabilité de leur initiative. Mais il faut aussi noter qu'ils la voyaient comme une riposte nécessaire à la violence et à l'injustice du régime colonial établi par la force depuis 1830. Une riposte face à l'impossibilité démontrée d'une émancipation pacifique par la voie légale. Mais la recherche du premier responsable, de la première violence est vaine. Il appartient aux historiens de tenir compte de toutes les victimes et d'expliquer leur sort tragique. Mot(s) clés libre(s) : colonisation, guerre d'Algérie
|
Accéder à la ressource
|
|
L'arachide au Sénégal
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Musée du quai Branly
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MICHEL Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence de Marc Michel donnée le 8 octobre 2009 dans le cadre de l'Université populaire du quai Branly. Histoire mondiale de la colonisation : les matières premières L'arachide au Sénégal, par Marc Michel. Mot(s) clés libre(s) : Afrique occidentale, arachide, colonialisme, colonisation, commerce des arachides, esclavage, gomme, histoire coloniale, matière première, Sénégal, traite de l'arachide, traite des esclaves
|
Accéder à la ressource
|
|
033 - Pourquoi le 1er novembre 1954 ? par Gilbert Meynier
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
MEYNIER Gilbert
Voir le résumé
Voir le résumé
De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1)Résistances anticoloniales et nationalisme : l’avant 1954 : session thématique (prés. Omar Carlier)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne En reprenant la classique gradation en histoire des causes lointaines aux plus immédiates, cette contribution entend situer le déclenchement de la Guerre d’indépendance le 1er novembre 1954 à la rencontre de plusieurs séries factuelles et de plusieurs échelles temporelles. Le récit ainsi constitué renvoie l’événement que les journalistes français nommèrent la « Toussaint rouge » : À la colonisation de l’Algérie par la France, depuis la conquête entamée en 1830, à son caractère violent, aux spoliations et aux traumatismes qui l’ont accompagnée. Au dépérissement culturel qu’a engendré la colonisation. À la discrimination et au racisme et aux corollaires politico-culturels de cet état de fait. À la naissance de l’idée indépendantiste/nationale, apparue en exil, constituée en 1926, en « Étoile Nord-Africaine »puis en Parti du peuple algérien - PPA (1937) et après la Seconde Guerre mondiale, en Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques - MTLD (1946). Au dépit de non-possession des élites rurales, le plus souvent mises sur la touche par la colonisation. De ce fait, on a pu dire que le peuple algérien fut à ce moment un « peuple-classe » et que la lutte des classes fut donc presque toujours, en même temps, une lutte anticoloniale, contrairement à ce qui a pu exister en d’autres aires du Tiers-monde. Aux blocages coloniaux et à l’incapacité du système colonial à se réformer. À des détonateurs précurseurs qui, de la grande insurrection à vecteurs confrériques de 1871 aux soubresauts du Constantinois de mai 1945 et à la répression consécutive, pérennisèrent dans la masse algérienne le non-dit de la reprise des armes pour chasser les envahisseurs. À la crise du parti indépendantiste MTLD à l’été 1953, où la figure de Messali Hadj fut remise en cause, ouvrant la voie à des militants activistes qui décidèrent d’une rupture par les armes pour sortir du désarroi et de l’impasse.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : ahmed messali hadj (1898-1974), algérie (1830-1962), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), autonomie et mouvements indépendantistes, colonisation, étoile nord-africaine, guerre d’indépendance, histoire, mouvement pour le triomphe des libertés démocratiq
|
Accéder à la ressource
|
|
Colonisation, décolonisation, postcolonialisme
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 03-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
M'BOKOLO Elikia
Voir le résumé
Voir le résumé
A trois mots, trois concepts et toute une série de pratiques qu'ils désignent, approuvées bruyamment par les uns, rejetées avec force par les autres. A eux trois, ces mots pourraient à première vue résumer toute l'histoire de l'Afrique au XXème siècle, en même temps qu'ils semblent vouloir baliser les voies du devenir africain pour les temps à venir. A y regarder de plus près, découper le XXème siècle africain en ces trois séquences ne va pas sans problèmes. Si cette succession semble aller de soi, c'est parce qu'on sait, par expérience et par définition, que tout empire périra. Mais, quel contenu donner à la colonisation, en termes de durée et de processus mis en oeuvre ? Jusqu'à quel point peut-on souscrire à l'idée d'innovation radicale et positive sur laquelle elle a prétendu se fonder ? Et la décolonisation, comment procède-t-elle de la colonisation ? Comment les stratégies et les tactiques élaborées " en haut " par les pouvoirs locaux et métropolitains s'articulent-elles avec les diverses luttes menées à la fois " en haut " et " en bas ", dans ce qui constitue le centre et la périphérie de formations géopolitiques complexes ? Il apparaîtra alors que la notion commode de postcolonialisme ne se réduit pas à un après-colonisation. Plus qu'une mise en ordre de faits, dont beaucoup restent controversés, on propose ici des interrogations et des réflexions sur l'un des grands malentendus du XXème siècle. Mot(s) clés libre(s) : afrique, christianisme, civilisation, colonialisme, colonisation, décolonisation, esclavage, europe, postcolonialisme
|
Accéder à la ressource
|
|