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Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
DOLISANE-EBOSSE Cécile
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Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Les mémoires oubliées de la création artistique des femmes de la Harlem Renaissance méritent d'être exhumées, vivifiées et édifiées comme appartenant au patrimoine culturel mondial. Carrefour cuturel du monde noir, ce mouvement a fait connaître Langston Hugues, Claude Mac Kay et Alain Lockes et bien d'autres encore. Mais le talent féminin des personnalités telles la sculpteuses Augusta Savage, qui vouait un culte à Léopold sedar Senghor, et Faith Ringgold, qui a dédié un buste à W.E.B Dubois, sont très peu connues dans l'aire francophone. Pourtant leurs productions artistiques étaient essentiellement consacrées à la cause et à la libération des peuples opprimés. Il s'agit, à n'en pas douter, dans une approche socio-historique et genre, de la responsabilité culturelle et politique de la femme créatrice dans l'avancement de l'humanité en arborant la vitalité de l'art nègre. Mais qui se souvient encore de celles qui ont contribué à cet humanisme de la différence ? Quelles sont les raisons de cette amnésie collective ? Mot(s) clés libre(s) : Renaissance de Harlem, femmes artistes noires américaines, Augusta Savage ( 1892-1962), Faith Ringgold (1930-….)
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La francophonie en Saskatchewan
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 18-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DESGAGNE Denis, SARNY Dominique, VIDAL Franck
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La province canadienne de la Saskatchewan compte une communauté francophone de 20 740 personnes, les fransaskois, représentant 2% de la population provinciale. Si, au Canada, l'utilisation du français apparaît essentiellement au Québec (près de 6 millions d'individus), les diasporas francophones sur l'ensemble des provinces (Ontario, Acadie, Alberta, Yukon....) se révèlent très actives notamment en Saskatchewan où, de plus en plus, les populations anglophones rejoignent les francophones de souche dans l'utilisation quotidienne du français. Comment se vit cette francophonie? Comment, au travers des structures administratives, politiques et universitaires se construit une francophonie de plus en plus présente ? Les points de vue du directeur de l'Institut Français de Régina et du directeur de l'Assemblée Communautaire Fransaskoise éclairent cette position géo-culturelle de l'usage du français dans l'ouest canadien. (Entretien enregistré le 18 octobre 2006)GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et Post-Production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : CAM/Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : communautés francophones (canada), français (langue), français québécois (langue), francophonie, fransaskois, géographie linguistique, langues en contact (canada), politique linguistique, saskatchewan (Canada)
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Le 4 août 1701 — La Grande Paix de Montréal : les Français et les Amérindiens concluent une alliance décisive
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 11-01-2012
/ Canal-u.fr
Delâge Denys
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Après plus un siècle de guerres, Montréal fut en 1701 le haut lieu de la
conclusion d’un traité de paix regroupant 1 300 ambassadeurs
représentant 40 nations amérindiennes habitant un immense territoire
depuis l’Acadie jusqu’aux Prairies et depuis le bassin de la Baie James
jusqu’au Missouri. Les signataires étaient d’un côté, les Français et
l’ensemble des nations du grand réseau d’alliance huron-outaouais et de
l’autre, la Ligue iroquoise des Cinq Nations. La cérémonie protocolaire
du 4 août 1701 fut empreinte de solennité tout en empruntant largement
aux traditions diplomatiques amérindiennes : la hache de guerre fut
jetée au plus profond de la terre et l’Arbre de Paix érigé sur une grande montagne, ses racines s’étendant sur ce vaste continent.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-4-aout-1701-La-Grande-Paix-de.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Grande-Bretagne, Nouvelle-France, Nouvelle-Angleterre, États-Unis, France, Grande Paix de Montréal
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Taking Back the Arts: 21st Century Audiences, Participatory Culture and the End of Passive Spectatorship / Lynne Conner
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2016
/ Canal-u.fr
CONNER Lynne
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Taking Back the Arts: 21st Century Audiences, Participatory Culture and the End of Passive Spectatorship / Lynne Conner, in "Ressources et innovations dans les Amériques", 13e colloque international de l'Institut des Amériques organisé par l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut d'Études Politiques (IEP) de l'Université Toulouse 1 Capitole et la Maison Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015.
Au-delà des difficultés rencontrées, l’Amérique latine est également reconnue sur la scène mondiale pour l’amélioration de ses situations économiques, sociales et politiques, et pour ses capacités à expérimenter et à innover, dans des contextes à la fois complexes et stimulants. Afin de donner la mesure de ce que le continent américain peut proposer dans ce qu’il a de positif, de novateur, qui fait source et ressource, qui pousse à l'inventivité et à l’adaptation, qui tend au dépassement de certains problèmes, l’édition 2015 du colloque annuel de l‘IdA se donne pour objectif d’identifier et d’analyser les dynamiques d’innovations et de valorisation des ressources dans les Amériques.
La réflexion s’enracine dans les substrats socio-culturels et historiques du continent, nationaux et régionaux, afin d’apporter des éléments de compréhension des contraintes, des convoitises, des spoliations mais également des avancées, des créations, des expériences inédites, etc. Dans les Amériques, la prise en main de leur destin par un grand nombre d’individus et de sociétés, locales ou nationales, invite donc à (re)visiter les notions (sans opposition systématique
entre elles) de ressources matérielles / symboliques, naturelles / culturelles, historiques / patrimoniales, sociales / territoriales, expressives / artistiques, sous-valorisées / idéalisées, géopolitiques / géoéconomiques. Elle invite aussi à se pencher sur les innovations
techniques, productives, sociales, politiques, organisationnelles, etc.
Elle suppose de s’interroger sur les questions des conflits vs appropriation, épuisement vs préservation, normes vs illicite, développement durable vs développement économique, valorisation vs (co)gestion. Mot(s) clés libre(s) : réception des oeuvres, arts du spectacle (Etats-Unis), arts du spectacle (21e siècle)
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L'afro-africanité retracée dans "That's My Face" (Thomas Allen Harris, 2001) / Hélène Charlery
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHARLERY Hélène
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L'afro-africanité retracée dans "That's My Face" (Thomas Allen Harris, 2001) / Hélène Charlery, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 5 : Entendre et voir les Amériques noires. "É Minha Cara" (That's My face, 2001) est un documentaire que son réalisateur, le metteur en scène noir américain Thomas Allen Harris, qualifie de « mythobiographie » associant les images d'archives de sa famille, tournées par son grand-père, à celles du voyage initiatique du réalisateur. Dès la scène d'ouverture, Harris questionne la manière dont ses grands-parents et sa mère, chacun à leur façon et à leur époque respective, ont imaginé l'Afrique pour construire leur propre afro-américanité. La lecture intergénérationnelle que le documentaire propose offre aux spectateurs trois constructions différentes de l'Afrique-source, la "mère-patrie", imaginée, recherchée, fantasmée et vécue par les protagonistes. Lorsque le réalisateur, narrateur et personnage, entame à son tour cette quête vers sa « propre Afrique », comme il le dit lui-même, il se retrouve à Salvador de Bahia au Brésil, déplaçantainsi ce que Patricia de Santana Pinho appelle la « carte de l'africanité » (Maps of Africanness). Cette communication a pour but d'analyser le dialogue triangulaire et intergénérationnel, individu et collectif, entre les États-Unis, l'Afrique et le Brésil que le metteur en scène élabore dans son documentaire, et la place centrale que la voix féminine occupe dans cette afro-africanité dont le réalisateur redessine les contours autant qu'il les interroge. Mot(s) clés libre(s) : noirs américains, identité culturelle (Etats-Unis), film documentaire, Brésil (20e-21e siècle), Noirs (identité collective)
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Le 1er juillet 1867 — L’Acte de l’Amérique du Nord britannique : la fondation d’un pays en devenir
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 01-07-2012
/ Canal-u.fr
Brouillet Eugénie
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La fédération canadienne est née de la confrontation de diverses
idéologies, de différentes visions quant au nouveau pays projeté. De
cette confrontation émergeait un compromis, fruit d’une série de
concessions mutuelles qui permirent l’adhésion de trois colonies
britanniques d’Amérique du Nord au projet fédératif et, conséquemment,
la naissance d’un nouvel État. La fédération de 1867 apparaît ainsi
comme la résultante d’une négociation politique poursuivie de bonne foi
par les représentants coloniaux, comme une entente ou un pacte auquel
ont adhéré toutes les parties coloniales. La principale considération
des Québécois et de leurs leaders politiques était l’adoption du
principe fédératif comme fondement du nouveau système de gouvernement :
c’était la condition sine qua non de leur adhésion à la nouvelle
Constitution et la garantie constitutionnelle de leur survie et de leur
épanouissement comme peuple distinct au sein d’une structure qui
donnerait naissance à une nationalité politique commune.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-1er-juillet-1867-L-Acte-de-l.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Ontario, Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick, Acte de l'Amérique du Nord britannique, Fédéralisme canadien
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Le 30 octobre 1995 — Le référendum sur la souveraineté : il était une fois l’indépendance
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 16-04-2013
/ Canal-u.fr
Bock-Côté Mathieu
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Le 30 octobre 1995, les Québécois étaient convoqués pour la deuxième fois en quinze ans à une grande consultation populaire portant sur la souveraineté. Le camp du Oui passe alors tout près de la victoire, mais le Québec en ressort profondément divisé. Cet événement n’arrive pas de nulle part. Il représente, en quelque sorte, le point culminant d’une longue transformation de la question nationale qui se déclenche à partir des années 1920 et qui deviendra de plus en plus importante à partir de la Révolution tranquille. Le nationalisme québécois se transformait au même moment où il transformait le Québec en profondeur. Dans cette dixième et dernière conférence de la série Dix journées qui ont fait le Québec, il s’agira de comprendre à la fois le référendum du 30 octobre 1995, le contexte qui l’a rendu possible et l’histoire qui nous y a collectivement conduits. Nous partirons à la recherche des personnages, des idées et des mouvements politiques qui sont à l’origine de cette importante journée québécoise.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-30-octobre-1995-Le-referendum.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Indépendance du Québec
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/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 11-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BIGSBY Christopher
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Mot(s) clés libre(s) : caractère national américain, culture américaine, Etats-Unis (21e siècle), identité collective (Etats-Unis)
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What's American about America ? / Christopher Bigsby
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 11-06-2010
/ Canal-u.fr
BIGSBY Christopher
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What's American about America ? Christopher BIGSBY. In colloque "Identités américaines : relations et interactions - American Identities in relation and interaction" organisé par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 10-11 juin 2010.Christopher Bigsby, écrivain britannique et spécialiste de la littérature et de la culture américaines, explore les images et les réalités de l'identité américaine au vingt-et-unième siècle au moment où l'économie globale et la circulation des hommes et des biens mettent en question les concepts d'origine, d'authenticité et de nation. L'américanité est devenue un produit destiné à l'exportation et ses liens avec le pays d'origine sont de plus en plus distendus. A travers de nombreux exemples précis, Christopher Bigsby nous donne l'image d'un monde qui devient de plus en plus homogène.[La communication de Christopher Bigsby est précédée d'une présentation par Matthew Roudane (Georgia State University) et suivie d'un débat avec le public.] Mot(s) clés libre(s) : caractère national américain, culture américaine, Etats-Unis (21e siècle), identité collective (Etats-Unis)
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Le 22 juin 1960 — L’élection de Jean Lesage : « un changement de la vie » ?
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 28-03-2013
/ Canal-u.fr
Bédard Éric
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Le soir de sa victoire du 22 juin 1960, le chef libéral Jean Lesage
s’écrie : « C’est plus qu’un changement de gouvernement, c’est un
changement de la vie ! ». Ce jour-là, une « équipe du tonnerre » prend
le pouvoir dont font partie des personnages marquants comme René
Lévesque, Paul Gérin-Lajoie ou Georges-Émile Lapalme. Notre mémoire
collective présente cet événement comme un point tournant qui marquerait
l’entrée du Québec dans la modernité. Qu’en est-il vraiment ? À quoi
ressemblait la société québécoise en 1960 ? Quelles idées Jean Lesage et
Antonio Barrette se faisaient-ils du Québec et quels programmes
proposaient-ils ? Quels sont les thèmes qui vont dominer la campagne
électorale ? L’élection des Libéraux était-elle acquise et l’Union
nationale dans les câbles ? Après les 100 premiers jours du gouvernement
Lesage, la vie avait-elle vraiment changé ? Voilà quelques-unes des
questions auxquelles nous tenterons de répondre.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-22-juin-1960-L-election-de-Jean.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Révolution tranquille
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