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Paysans et paysages en Biros / Jean-Paul Métailié
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 01-07-1997
/ Canal-u.fr
MÉTAILIÉ Jean-Paul
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Dans le Biros (Ariège, France), le paysage rural a été profondément marqué au cours du XXème siècle par la dépopulation, l’abandon des terroirs et l’enfrichement. Cependant, on rencontre encore des paysages d’aspect traditionnel et étroitement liés à l’activité de quelques éleveurs et retraités : ce paysage est le produit d’un travail manuel constant, de pratiques imposées par les contraintes de la montagne. Le propos du film est de retracer le cycle des travaux, les difficultés auxquelles sont confrontés les éleveurs ainsi que les évolutions
actuelles du paysage.
> Visionner aussi Histoire et dynamiques de l'environnement : l'exemple des Pyrénées. Mot(s) clés libre(s) : Pyrénées ariégeoises (France), pastoralisme, paysages agricoles
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Géographie et observation par satellite
/ UTLS - la suite
/ 16-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
MERING Catherine
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La géographie s'intéresse aux structures spatiales et aux processus d'origine anthropique et naturelle qui les produisent. La question se pose alors d'observer ces structures de la façon la plus objective et la plus directe possible. Depuis l'avènement de la photographie aérienne et de la télédétection, les géographes ont à leur disposition une source d'information irremplaçable pour observer, analyser et cartographier ces structures sous leur forme la plus directement perceptible et mesurable, c'est à dire les paysages. Les photographies aériennes, qui ont été prises de façon systématique à partir des années 50 leur permettaient déjà d'observer le paysage en laboratoire, d'en délimiter les différentes unités pour produire des croquis interprétatifs et enfin des cartes. Au début des années 70, les images multispectrales, prises de façon systématique sur l'ensemble du globe par le satellite Landsat MSS inauguraient la série de prises de vue périodiques de la surface terrestre sous forme d'images numériques. Les méthodes statistiques et informatiques allégeaient désormais sa tâche en classant automatiquement les points de l'image, l'aidant ainsi à produire plus rapidement et de façon plus objective une carte des paysages de la scène étudiée. L'avancée incontestable que constituait la télédétection satellitaire et l'accès aux images numériques de la Terre, ne remettait pas en cause l'intérêt des photographies aériennes . En effet, le pouvoir de résolution de ces nouvelles images était encore insuffisant puisqu'il ne permettait pas de distinguer les tissus urbains, les lieux d'habitats dispersés, ni les paysages complexes et discontinus comme les steppes et les savanes de la zone intertropicale. Les satellites SPOT et Landsat Thematic Mapper, lancés au milieu des années 80, allaient combler ce fossé: il était désormais possible d'étudier de nombreuses catégories de paysages, quel que soit leur niveau de complexité. Un problème demeurait cependant : les prises de vues effectuées par les capteurs comme ceux de SPOT et Landsat dits "passifs" parce qu'ils ne font qu'enregistrer l'énergie renvoyée par la surface, sont difficilement exploitables en période de forte nébulosité où les paysages sont totalement masqués par les nuages. Mais depuis les années 90, grâce aux images radar des satellites ERS et JERS , l'observation des paysages peut se faire indépendamment des conditions climatiques et météorologiques, ce qui ouvre la voie à l'étude par satellite des zones tropicales et équatoriales où l'atmosphère est rarement limpide ou ceux des zones boréales éclairées la plupart du temps par une lumière rasante. Les géographes, disposent donc aujourd'hui d'une immense banque d'images sur les paysages terrestres. Ces archives, acquises depuis environ un demi-siècle continuent de s'enrichir d'images numériques produites par des capteurs passifs ou actifs, prises sous des angles variés et à des résolutions de plus en plus grandes. A l'aube du troisième millénaire, il ne s'agira plus seulement pour eux de faire un inventaire des paysages en les cartographiant, mais d'analyser et de mesurer leurs transformations : En effet, ces transformations qu'elles soient très rapides quand elles sont dues à des catastrophes naturelles, comme les séismes, les éruptions volcaniques, les cyclones ou les inondations ou plus lentes lorsqu'elles sont liées à l'évolution des sociétés telles la déforestation, la déprise agricole ou la croissance urbaine sont désormais directement observables par télédétection. Mot(s) clés libre(s) : photographie aérienne, photographies spatiales, satellites artificiels en télédétection, SPOT (satellites de télédétection), télédétection, terre (images de télédétection), traitement d'images (techniques numériques)
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Les enjeux scientifiques des changements environnementaux
/ UTLS - la suite
/ 03-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MEGIE Gérard
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Inondations, tempêtes, sécheresses
.. Pouvons-nous établir un lien entre ces aléas météorologiques et les changements induits dans l'environnement par les activité humaines, qu'elles concernent l'industrie, l'agriculture, la production d'énergie, l'habitât ou les transports ? Nos concitoyens franchissent souvent ce pas, alors même que nombre de ces phénomènes sont récurrents et que notre mémoire collective a tendance à les oublier, ou à ne les prendre en compte que lorsque leurs effets deviennent catastrophiques. Mais cette inquiétude montre clairement que le débat sur l'éventualité de changements liés à l'impact de l'homme sur l'environnement concerne aujourd'hui chacun d'entre nous. Il convient donc d'apprécier les tenants et aboutissants de ces problèmes qui sont d'autant plus complexes qu'ils mettent en jeu l'ensemble des processus qui régissent et couplent entre eux les différents compartiments de l'environnement terrestre océan, atmosphère, biosphère. Et qu'ils trouvent pour l'essentiel leur origine dans nos modes de production d'énergie fondés sur l'utilisation sans contrainte d'une énergie fossile (charbon, pétrole, gaz) que la Terre a mis des millions d'années à produire. Enfin, qu'ils sont d'autant plus urgents à résoudre que la nature et l'intensité des changements induits aujourd'hui par l'homme dans l'environnement planétaire sont sans précédent dans l'histoire de l'humanité. Comment alors définir des stratégies permettant une prise en compte de cette évolution non contrôlée de la Terre, et ce alors même que ces changements potentiels viennent se superposer aux défis que posent l'état de pauvreté, la mauvaise santé et la malnutrition d'une large part de l'humanité et le nécessaire développement des pays du Sud ? Toutes les données dont nous pouvons disposer montrent que le 21ème siècle sera un siècle de rupture, et que nous ne pourrons vraisemblablement pas éviter d'avoir à nous adapter aux changements. C'est alors de notre capacité à anticiper sur des effets, dont la portée reste difficile à évaluer avec précision, qu'il s'agisse des modifications des régimes des précipitations, de l'altération des écosystèmes, de l'élévation du niveau des mers, de la répartition des ressources en eau ou de la santé, que dépend pour une large part le devenir de notre planète. C'est tout l'enjeu d'un développement durable, terme dans lequel le mot de développement n'est pas moins important que l'idée de responsabilité vis-à-vis des générations futures qu'implique la notion de « durabilité », dans ses trois dimensions économique, sociale et environnementale. Nous sommes ainsi tous concernés par un problème dont la solution passe par une prise de conscience accélérée des enjeux, de nouvelles approches interdisciplinaires dans le domaine de le recherche et un changement décisif dans nos mode de vie, de production et de consommation. Mot(s) clés libre(s) : atmosphère, effet de serre, gaz
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La qualité de l'air et l'atmosphère
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 14-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MEGIE Gérard
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La qualité de l'air par Gérard Mégie La présence de la vie sur Terre est indissociable de la composition chimique de l'air que nous respirons. C'est à ce titre que nous pouvons parler de " qualité de l'air " puisque tous les constituants de l'atmosphère - azote, oxygène, vapeur d'eau, gaz carbonique, ozone... - jouent, à des titres divers, un rôle déterminant dans l'équilibre précaire qui conditionne le maintien des différentes formes de vie sur Terre. Si les dangers des émanations liées à l'usage du charbon étaient mentionnés dès le XVIIe siècle et l'apparition de pluies acides mise en évidence au XIXe siècle, le développement des activités industrielles et agricoles, la multiplication des moyens de transport, l'explosion démographique, ont entraîné, au cours du dernier siècle , une modification de la composition chimique de l'atmosphère sans commune mesure avec celle induite par les phénomènes naturels. La pollution de l'air concerne aujourd'hui aussi bien l'air ambiant, de l'échelle locale à l'échelle planétaire, que celui des locaux de travail et des habitations domestiques. Les mécanismes physiques et chimiques qui conduisent à la production de composés nocifs pour la santé humaine, l'équilibre des écosystèmes et l'environnement global de la Terre, sont pour l'essentiel élucidés. Les principales sources des précurseurs de la pollution photo-oxydante et acide sont également connus : transports, foyers de combustion, procédés industriels fixes. Les études épidémiologiques montrent également que si la pollution de l'air a été sensiblement réduite par rapport aux situations qui prévalaient il y a quelques décennies, principalement par la réduction des émissions des sources fixes, elle continue aujourd'hui à exercer des effets néfastes sur la santé, particulièrement sur les populations à risques, dont les conséquences à long terme sont encore mal comprises. La prise en compte des problèmes de qualité de l'air nécessite donc une action cohérente en termes de politique publique, qui prenne en compte à la fois des efforts ciblés sur les lieux et niveaux d'exposition affectant le plus de personnes pendant le plus de temps, et une réduction générale, tout au long de l'année, des niveaux moyens de pollution. Pour autant qu'elle soit respectée, la loi sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie de 1996, offre le cadre nécessaire à une mise en oeuvre efficace de telles politiques. Mot(s) clés libre(s) : atmosphère, conséquences, fonctionnement, modification chimique, pollution
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Une société post-croissance est-elle souhaitable ?
/ FMSH Production
/ 04-02-2016
/ Canal-u.fr
MEDA Dominique, WIEVIORKA Michel
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Conférence co-organisée par le Collège d'études mondiales et la Fondation Calouste Gulbenkian.
Conférence donnée par Dominique Méda, titulaire de la chaire Écologie, travail et emploi du Collège d'études mondiales.
Sociologue et philosophe, Dominique Méda est titulaire de la chaire
"Reconversion écologique, travail, emploi et politiques sociales" au
Collèges d'études mondiales - Fondation Maison des sciences de l'homme.
Ses travaux ont marqué la sociologie du travail en France et en Europe,
tout en provoquant de vastes débats publics.
En partenariat avec le Collège d'études mondiales - Fondation Maison des sciences de l'homme Mot(s) clés libre(s) : économie, écologie, croissance, emploi, travail, post-croissance
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Après la Cop 21 : quels acteurs pour une transition juste ?
/ FMSH Production
/ 07-03-2016
/ Canal-u.fr
MEDA Dominique, MORENA Edouard, PLEYERS Geoffrey, ROSEMBERG Anabella, POCHET Philippe
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Conférence organisée par la Chaire "reconversion écologique, travail, emploi et politiques sociales" (FMSH/Dauphine), le Laboratoire de Changement Social et Politique (dont les travaux portent sur les phénomènes sociaux et politiques envisagés dans leurs dimensions sociologique, philosophique, historique et esthétique et dans leurs déploiements internationaux et genrés) et l'Institut Veblen, avec le soutien de la Fondation de l'Ecologie Politique-FEP
Nos sociétés sont confrontées à une possibilité radicalement nouvelle : laisser notre planète devenir inhabitable, à moins de mettre en œuvre les moyens permettant de l’éviter. La prise de conscience que le rythme de croissance des sociétés occidentales est insoutenable, qu’elles doivent changer de cap et leurs membres de comportements, et plus généralement que nos modes de production et de consommation doivent – dans un délai relativement court d’une vingtaine d’années – être profondément revus, commence à se développer.
Comment de tels changements peuvent-ils s’opérer ?
Alerter sur le « péril climatique » ne suffira pas : la peur paralyse davantage qu’elle n’incite à agir. Il faut proposer un récit commun positif, qui mobilise le principe de justice sociale. Car les crises écologiques renforcent les inégalités, tout comme les inégalités accroissent les dégâts environnementaux.
Avec les interventions de :
Edouard Morena : chercheur, University of London Institute in Paris,
Philippe Pochet : directeur de l'Institut syndical européen,
Anabella Rosemberg : CSI.
Discussion : Geoffrey Pleyers (FNRS)
Mots-clés associés :
écologie, COP21, transition écologique
Sociologie Mot(s) clés libre(s) : sociologie, écologie, développement durable, COP21, transition écologique
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EN-4. Origins of life
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 28-10-2014
/ Canal-u.fr
Maurel Marie-Christine
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Marie-Christine Maurel comes back to the formation of the first living cells on the earth surface, relying on several great experiments. The she presents the extent of questionings which still remain, especially regarding the DNA and virus role in the appearance and evolution of the life. Mot(s) clés libre(s) : virus, Miller, Oparine, Haldane, origin of life, RNA
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EN-3. Origins of life: the context
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 28-10-2014
/ Canal-u.fr
Maurel Marie-Christine
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Marie-Christine Maurel explores the origins of life on earth. She highlights the main conditions 3 billion years ago, as well as the emergence of the first forms of life, which gave birth to the tree of life. Mot(s) clés libre(s) : bacteria, origin of life, eucaryote, archaea, stromatolite
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4. Les origines du vivant
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 28-10-2014
/ Canal-u.fr
Maurel Marie-Christine
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Marie-Christine Maurel revient sur la formation des premières cellules vivantes à la surface de la terre. Elle s'appuie sur plusieurs grandes expériences qui, depuis un siècle, permettent de comprendre cela. Puis elle présente l'étendue des questionnements qui subsistent encore à l'heure actuelle, notamment concernant le rôle de l'ARN et celui des virus dans l'apparition et l'évolution du vivant. Mot(s) clés libre(s) : virus, ARN, Miller, Origine de la vie, Oparine, Haldane
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3. Origines de la vie : le contexte
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 28-10-2014
/ Canal-u.fr
Maurel Marie-Christine
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Marie-Christine Maurel explore les origines de la vie sur terre. Elle met en évidence les conditions qui prévalaient il y a plus de 3 milliards d'années, ainsi que l'émergence des premières formes de vie ayant donné naissance par la suite à l'arbre du vivant. Mot(s) clés libre(s) : bactéries, stromatolithe, Origine de la vie, Archées, Eucaryotes
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