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Le corps fragmenté (1996)
/ Marcel DALAISE, Jean-François TERNAY, Cité des Sciences et de l'Industrie, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
/ 01-01-1996
/ Canal-U - OAI Archive
DALAISE Marcel, TERNAY Jean-François
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Les imageurs, nouveaux équipements de diagnostic médical qui dévoilent le corps en profondeur, sont présentés lors de leur utilisation en hôpital par des médecins et chercheurs de diverses spécialités. L'hôpital d'Orsay, grâce à son cyclotron, peut produire des éléments radioactifs qui, fixés sur des molécules biologiques, sont captés par une caméra à émission de positons qui suit la circulation de ces marqueurs dans le corps. A l'Institut Curie, les éléments radioactifs injectés sont repérés par une caméra Gamma. La scintigraphie osseuse permet de détecter une anomalie osseuse, mais sans diagnostic spécifique. Le scanner X, associant la radiographie X conventionnelle et le traitement numérique de l'image, produit une imagerie en coupes. L'hôpital du Val de Grâce exploite l'imagerie RMN (résonance magnétique nucléaire), qui trouve sa place dans des opérations délicates, comme celles du cerveau. Ainsi, chaque technique a ses propres applications et apporte une précision spécifique au diagnostic.GénériqueAuteurs - Réalisateurs : DALAISE Marcel et TERNAY Jean-François (Science Actualités, CSI, Paris) Production : CSI-Science Actualités, CNRS AV Diffuseur : CNRS Images, http://videotheque.cnrs.fr/ Mot(s) clés libre(s) : cyclotron, éléments radioactifs, Imageurs, radiographie X, scanner X, scintigraphie osseuse
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Apprendre à coloriser des images
/ Inria / Interstices
/ 15-07-2019
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Bugeau Aurélie, Papadakis Nicolas
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La colorisation d’archives est couramment utilisée dans le milieu audiovisuel pour restaurer et rendre plus réalistes des vidéos anciennes. Elle nécessite un travail manuel fastidieux qu'il est actuellement difficile d'automatiser. Quelles en sont les raisons ? Mot(s) clés libre(s) : colorisation image, apprentissage automatique, algorithme
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Les Métiers des Géosciences (par Pierre Briole et Christophe Vigny)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 09-10-2013
/ Canal-u.fr
BRIOLE Pierre, VIGNY Christophe
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A l'occasion de la Fête de la Science 2013, deux enseignants chercheurs, directeurs de recherche au CNRS, forts d'une longue expérience de terrain et de laboratoire, animent une conférence sur les métiers des géosciences. Cette présentation, bien qu'elle s'adresse notamment à des CPGE scientifiques et des élèves de terminale, s'avère, volontairement, d'un accès aisé et cible un large public.Pierre Briole (Directeur du Département des Géosciences de l'Ecole Normale Supérieure de Paris), et Christophe Vigny (Directeur du Laboratoire de Géologie de l'Ecole
Normale Supérieure de Paris, Directeur CNRS du Laboratoire International Associé -LIA- Franco-Chilien, "Montessus de Ballores"), présentent synthétiquement leur travail. Au moyen d'exemples concrets, d'images, d'anecdotes.Ils évoquent leurs dernières campagnes et observations sur les deux laboratoires à ciel ouvert du Corinth Rift laboratory en Grèce et du LIA (Laboratoire International Associé) au Chili. Ils répondent finalement, avec clarté et simplicité, aux questions de l'auditoire. Mot(s) clés libre(s) : sismologie, géotechnique, géophysique, géomorphologie, séisme, tectonique des plaques, géomécanique, géodynamique, géologie structurale
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L'image informatique
/ UTLS - la suite
/ 17-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
BOUJEMAA Nozha
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pas de résumé disponible Mot(s) clés libre(s) : image numérique, indexation multimedia, métadonnée automatique, page zéro, recherche d'images par le contenu, recherche d'information, recherche interactive, reconnaissance de formes, signature visuelle
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Instruments de la physique au service de la biologie et de la médecine
/ Olivier BLOND, C.N.R.S Images
/ 01-01-2001
/ Canal-U - OAI Archive
BLOND Olivier
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Sept chercheurs présentent des applications récentes en médecine et biologie de techniques mises au point au départ dans le domaine de la physique. Sigrid Avrillier (Laboratoire de physique des lasers, Villetaneuse) décrit un capteur laser qui permet de mesurer les propriétés d'oxygénation des tissus. Le principe de l'appareil repose sur l'analyse de la réflexion d'un rayon laser par un tissu biologique : lorsque le laser entre en contact avec la peau, on observe une tache de couleur due à la réémission de lumière par le tissu. Philippe Lanièce (Institut de physique nucléaire, Orsay) présente le système de tomographie gamma haute résolution TOHR. TOHR est utilisé pour obtenir une image du cerveau d'un petit animal (ici un rat). Le marqueur radioactif utilisé est le technétium. Pascal Laugier (Laboratoire d'imagerie paramétrique, Faculté de médecine de Paris) étudie l'utilisation des ultrasons en imagerie médicale. Un test basé sur l'analyse d'une image du calcanéum, un os du talon, a été mis au point pour mesurer l'évolution de l'ostéoporose. Bernard Renault (Laboratoire Neurosciences cognitives et imagerie cérébrale, hôpital de la Pitié Salpétrière de Paris) utilise la magnéto-encéphalographie et l'électro-encéphalographie pour localiser les zones d'activité du cerveau et les relier aux gestes du patient. Les zones activées sont visualisées par des gradients de couleur sur les images de la tête. L'intérêt de la magnéto-encéphalographie est sa résolution temporelle exceptionnelle (de l'ordre du millième de seconde). Mathias Fink (Laboratoire Ondes et acoustique, Ecole supérieure de physique et de chimie industrielle de Paris) est un spécialiste de la propagation des ultrasons. Il présente d'abord un détecteur d'ultrasons à très haute fréquence qui permet de visualiser les ondes de cisaillement dans les tissus et de différencier ceux-ci en fonction de leur dureté (détection de nodules plus durs que les tissus mous qui les entourent). Est ensuite décrite une technique de correction du front d'onde qui permet d'éliminer les effets de distorsion engendrés par les os du crâne dans l'échographie cérébrale. Jacques Bittoun (Unité de recherche en résonance magnétique médicale, hôpital du Kremlin Bicêtre) utilise l'IRM pour étudier les fonctions cardiaques et pulmonaires. L'air qui remplit les poumons étant insensible à la RMN, il faut utiliser de l'hélium hyperpolarisé, inoffensif pour l'être humain. L'IRM cardiaque permet de visualiser la vitesse et l'accélération du sang dans l'aorte. Didier Chatenay (Laboratoire de dynamique des fluides complexes, Strasbourg) s'intéresse à la structure de l'ARN. Une "pince optique" (laser) permet de manipuler une molécule d'ARN pour mesurer à l'aide de la microscopie par ondes évanescentes le repliement lors de la transcription. Le repliement est également étudié par simulation numérique.GénériqueAuteur, réalisateur : Olivier Blond Producteur : CNRS Audiovisuel Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS 2001 Mot(s) clés libre(s) : ondes
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Les cartes des Détroits et d’Istanbul issues de la mission Graviers d’Ortières au XVIIe siècle
/ Pascal Lebouteiller
/ 27-10-2014
/ Canal-u.fr
BILICI Faruk
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De Henri IV jusqu’à la fin de l’Empire ottoman, deux politiques françaises coexistent vis-à-vis de l’Empire : l’une officielle, dictée par la « raison d’État », l’autre plus ou moins secrète, cachée, exprimée çà et là par des personnalités diplomatiques, militaires ou religieuses à peine « autorisées ». Ces politiques contradictoires s’expriment au XVIIe siècle d’un côté, par des professions de foi amicales, de l’autre par la participation plus ou moins clandestine des contingents français aux côtés des puissances en guerre avec l’Empire ottoman.
Ces idéologies s’expriment également à travers ouvrages, journaux, pamphlets, poèmes, mais aussi par des projets de croisade ou de guerre sainte. Les mythes messianiques judéo-chrétiens sont remis au goût du jour, de nouvelles généalogies sont élaborées. Polémistes, religieux, juristes et intellectuels ne cessent de découvrir dans les Ancien et Nouveau Testaments des prophéties désignant le roi de France comme le « dernier roi sauveur », tandis que d’autres établissent des arbres généalogiques, montrant des « liens directs » entre les rois de France et les empereurs byzantins.
Après le second échec turc devant Vienne, en 1683, ces projets deviennent de plus en plus concrets et pressants. La France est conduite à repenser la configuration de l’Europe orientale et du Moyen-Orient. Elle participe en quelque sorte au partage de l’Empire ottoman en bombardant les ports maghrébins ottomans et même en prenant pied sur d’autres zones du continent africain.
À partir de 1685, les missions d’exploration maritimes, cartographiques, politiques et militaires dans tous les points importants de l’Empire se sont donc multipliées, afin de « faire des descentes » à Istanbul, à travers le détroit des Dardanelles, mais aussi dans d’autres parties névralgiques de l’Empire, en Grèce, en Égypte, en passant par les côtes libanaises, syriennes, palestiniennes et chypriotes.
C’est dans ce contexte que se place la mission de Graviers d’Ortières dans la suite de l’ambassadeur Girardin nommé à Istanbul en 1685. Officiellement chargé d’inspecter les échelles du Levant, Graviers d’Ortières, accompagné d’ingénieurs français de la marine, avait surtout pour mission de dresser des cartes exactes des Dardanelles et d’Istanbul, de relever les mouillages, de prendre des plans des forteresses et des murailles. Les mêmes observations devaient être faites dans l'Archipel et sur les côtes anatoliennes, de Syrie et d'Égypte. Sous prétexte de travailler à un portulan de la Méditerranée et de visiter les implantations françaises des échelles du Levant, la mission confiée à Graviers d'Ortières et à ses collaborateurs ne semble avoir eu d'autre but que de préparer la grande entreprise que Louis XIV projetait en Orient, mais que les guerres avec le Saint-Empire, l'Espagne, l'Angleterre et la Hollande devaient bientôt empêcher.
Au-delà d’une seule tentative de coup de force militaire, l’analyse de la documentation permet de montrer son grand intérêt historique. Ce sont les documents issus de cette mission qui feront l’objet de notre conférence. Mot(s) clés libre(s) : cartographie, Empire ottoman, Dardanelles, Graviers d'Ortières
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Visualisation des réseaux savants / Anthony Andurand, Marion Maisonobe, Laurent Jégou
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-04-2014
/ Canal-u.fr
ANDURAND Anthony, MAISONOBE Marion, JÉGOU Laurent
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Visualisation des réseaux savants / Anthony Andurand, Marion Maisonobe, Laurent Jégou, in colloque "Comprendre les mondes sociaux 2014", organisé par Le Labex Structuration des Mondes Sociaux (SMS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail. Toulouse, Centre de congrès Pierre Baudis, 7-9 avril 2014.L'activité scientifique, comme activité sociale dédiée à la production
et à la diffusion des savoirs, produit à chaque époque d'abondantes
traces documentaires, dont l'exploitation et le traitement permettent de
reconstituer autant de mondes savants, dans la pluralité de leur
organisation et de leur fonctionnement. L'analyse de ces configurations
et de leurs variations, modelées par des contextes et des logiques
spécifiques, est au coeur de la réflexion menée par les chercheurs de
l'opération "Mondes scientifiques" de SMS, élaborée à l'articulation de
plusieurs domaines des sciences sociales. Le croisement de l'analyse
des réseaux et de l'approche spatiale constitue l'un des objectifs de
cette démarche pluridisciplinaire. A l'automne 2013, la préparation
d'une publication collective pour un numéro de la revue "Histoire et informatique",
portant sur la visualisation des données en sciences sociales, à été
l'occasion de tester cette approche sur divers terrains empiriques et
dans différents contextes ou périodes, selon un parcours menant des
banquets de lettrés dans l'Empire romain au très contemporain Web of Science. En revenant sur ce travail qui a permis d'associer dans une réflexion commune historiens et géographes, l'exposé présenté lors du Conseil scientifique de SMS, conçu sous la forme d'un "retour d'expérience", permettra d'envisager les enjeux épistémologiques et méthodologiques propres à une cartographie des mondes savants. Il s'agit d'envisager, à travers la confrontation des résultats produits par cette étude, les matériaux documentaires et les données, les protocoles d'enquête et les outils que peuvent mobiliser les recherches liées au domaine émergent du science mapping. Cette présentation vise également à évaluer l'apport de ces questionnements et de ces méthodes à la compréhension des mondes savants et des logiques sociales de l'activité scientifique. Mot(s) clés libre(s) : histoire (recherche), sciences humaines et sociales (recherche), traitement graphique de l'information, visualisation de données
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Cafés des sciences Nancy 2011 - Interface cerveau - machine
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 18-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
ALEXANDRE Frédéric, ANDRIEU Bernard
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Les Cafés des Sciences sont organisés par les Universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, L’INRIA et l’INRA.Titre : Cafés des Sciences 2010 - Interfaces cerveau - machine : duo gagnant ?Résumé : Les interfaces cerveau-ordinateur permettent aux utilisateurs d'agir sur leur environnement réel ou virtuel en utilisant uniquement l'activité cérébrale. Elles collectent cette activité via des électrodes positionnées sur le crâne, puis l'analysent et la traduisent en commandes permettant de contrôler ordinateurs, prothèses robotisées ou fauteuils roulants... Ces interfaces sont principalement destinées à rétablir la communication et le contrôle chez des personnes souffrant de handicaps moteurs. Quels espoirs sont permis pour l’avenir ? Est-il possible d’envisager des êtres mi humain - mi robot ? La réalité rattrapera-t-elle la fiction ? Venez en débattre en (inter)faces à faces ! Intervenants : • Bernard Andrieu, Philosophe, Pr à la Faculté du sport, Chercheur au LHSP Archives Poincaré . Auteur de l'ouvrage "Philosophie du corps", Paris, Vrin, 2010.• Frédéric Alexandre, directeur de recherches INRIA et responsable de l'équipe-projet Cortex.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy 2011, communication, handicap moteur, robot
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Visions des châteaux des Dardanelles
/ Canal-u.fr
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Avec le Bosphore, les Dardanelles sont l’un des deux détroits qui
mettent en communication la Méditerranée et la mer Noire via la mer Égée
et l’antique Propontide, aujourd’hui mer de Marmara. Elles constituent
donc l’un des points stratégiques majeurs sur une route commerciale
nord-sud fréquentée de tout temps. On sait peu de chose sur l’aspect des
constructions qui en protégèrent l’accès avant que le souverain ottoman
Mehmed II fasse édifier de part et d’autre du détroit deux forteresses
qui, lors du siège de Constantinople en 1453, complétèrent le dispositif
d’isolement systématique de cette ville : Kilidülbahir (« la clé de la
mer », l’antique Sestos) du côté européen et Seddülbahir (« le mur de la
mer », l’antique Abydos) du côté asiatique. Aucune menace navale
n’ayant affecté la capitale ottomane au cours des trois cents années qui
suivirent, ce n’est qu’au milieu du XVIIe siècle que des
travaux de remaniement s’imposèrent, la guerre de Crète contre les
Vénitiens ayant pris un moment une tournure favorable à ces derniers. À
quelques réfections près, ce sont ces mêmes forteresses que l’escadre
des Alliés découvrit en face d’elle en 1915.
Nous présenterons
quelques textes peu connus en français qui contribuent à préciser la
topographie et l’aspect des lieux à l’époque ottomane. L’un d’eux est dû
à Pîrî Re’îs, ancien corsaire devenu amiral ottoman et auteur d’une
remarquable description nautique des côtes et des îles de la
Méditerranée au début du XVIe siècle. Un autre est celui
qu’on peut trouver dans l’énorme manuscrit inédit de la relation de
voyage du Périgourdin Julien Bordier qui les vit plusieurs fois à partir
de 1605. Enfin nous examinerons ce qu’en dit un quart de siècle plus
tard Evliyâ Çelebî, voyageur ottoman qui parcourut infatigablement
pendant plus de quarante années les terres de l’Empire et quelques
autres plus ou moins lointaines. Mot(s) clés libre(s) : cartographie, Turquie, Empire ottoman
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Noël 2015 à Villejuif
/ Canal-u.fr
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Comme chaque année, le CLAS de Villejuif a installé son marché de Noël. Gastronomie, bijoux, chocolat, céramique ou bien couture, chacun a pu venir préparer ces cadeaux ou bien se faire plaisir auprès des 12 artisans exposants.
Après les achats, place maintenant à la culture et aux artistes amateur. Cette année, le CLAS de Villejuif a organisé le concours FOTOFOLIE du CAES du CNRS. Mot(s) clés libre(s) : photographie, écriture
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