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Les lasers
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 03-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GIACOBINO Elisabeth
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Depuis l'invention du premier laser en 1960, la diversité des lasers en couleurs, taille ou puissance n'a fait que croître. Les plus petits lasers sont si minuscules qu'on ne peut les voir qu'au microscope, les plus gros consomment autant d'électricité qu'une ville moyenne. Tous les lasers ont la faculté d'émettre des rayons d'une lumière inconnue dans la nature, qui forment de minces pinceaux d'une couleur pure, et que l'on peut concentrer sur un petit foyer. Ils exploitent la possibilité, prévue par Einstein, de multiplier les photons, qui sont les particules formant la lumière, dans un matériau bien choisi. Les caractéristiques des lasers, fort différentes de celles des lampes ordinaires, leur ont ouvert des utilisations très variées. En délivrant sa puissance de façon localisée, l'outil laser est capable de percer, découper et souder avec vitesse et précision. Il est aussi utilisé en médecine où il remplace les bistouris les plus précis et cautérise les coupures. Ce sont des lasers circulant dans des fibres optiques, fins cheveux de verres dont le réseau couvre maintenant le globe terrestre, qui transportent maintenant les conversations téléphoniques et les données sur Internet. Le laser intervient aussi dans les analyses les plus fines, en physique, en chimie ou en biologie, où il permet soit de manipuler les atomes ou les molécules individuellement, soit de véritablement déclencher et photographier des réactions chimiques ou biologiques. Il identifie les molécules qui composent l'air et beaucoup de grandes villes s'équipent de lasers spéciaux pour détecter la pollution à distance. Les sciences et techniques d'aujourd'hui vivent à l'heure du laser. Beaucoup pensent que le XXIe sera celui de l'optique, et ceci, grâce au laser. Mot(s) clés libre(s) : absorption, amplificateur optique, cavité optique, émission stimulée, laser, lumière, onde lumineuse, optique quantique, photon, rayonnement
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De la diode laser à la source à un photon
/ Physique au Printemps 2010, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 24-03-2010
/ Unisciel
Gérard Jean-Michel
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Une conférence de Jean-Michel Gérard, chercheur au laboratoire Nanophysique et semi-conducteurs, directeur
du Service de Physique des Matériaux et Microstructures, CEA de Grenoble, présentée dans le cadre de
"Physique au Printemps" 2010. Présentation des sources lumineuses basées sur
les semi-conducteurs et leurs applications. Plus précisément, principe de fonctionnement et nombreuses applications des diodes laser.
Puis présentation de thèmes de recherches récents : physique des boîtes quantiques ; microcavités optiques ; sources de photon unique. Mot(s) clés libre(s) : laser, diode laser, optoélectronique, boîte quantique, microcavité optique, photon, semi-conducteur, épitaxie, puit quantique
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Les lasers visibles continus pour la métrologie
/ Lycée Felix Le Dantec, Foton, Enssat
/ 12-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GEORGES Thierry
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Nous percevons notre environnement grâce à la diffusion, l’absorption et la réflexion de la lumière visible. Depuis plusieurs siècles, les instruments d’optique (télescopes, microscopes) permettent de mieux voir des objets éloignés ou petits. Les faisceaux lasers présentent de nombreuses propriétés que la lumière blanche ne possède pas : sans être exhaustif, ils peuvent être focalisés sur des dimensions de l’ordre de la longueur d’onde (sub-micrométrique), ils peuvent être très stables en puissance, leur cohérence autorise les phénomènes d’interférence, leur spectre étroit permet une excitation sélective et donnent accès à la mesure des décalages Raman et Doppler. Ces propriétés ont permis d’élaborer de nouvelles techniques de mesure comme la microscopie confocale, la cytométrie en flux, la spectroscopie Raman, la vélocimétrie Doppler ou l’holographie. Certaines de ces techniques seront décrites dans la conférence. Les premiers lasers émettant dans le visible ont été les lasers à gaz comme l’Hélium-Néon, l’Argon, le Krypton ou l’Hélium-Cadmium. Développés dès les années 60, ils n’ont commencé à être remplacés que récemment par des diodes et des lasers pompés par diodes. Les spécifications et les avantages de ces nouvelles sources seront présentés.Vous pouvez télécharger le diaporama de cette conférence sur le site A la lumière du laser Mot(s) clés libre(s) : 50 ans, applications, laser, laser continu, laser visible, métrologie
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Lasers solides de puissance continus et impulsionnels : état de l'art et applications
/ Physique au Printemps 2010, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 17-03-2010
/ Unisciel
Georges Patrick
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Une conférence de Patrick Georges, chercheur au CNRS et responsable de l'équipe « Lasers et Biophotonique »
du Laboratoire Charles Fabry à l'Institut d'Optique Graduate School, présentée dans le cadre de "Physique au Printemps" 2010.
Une présentation du principe et des performances des lasers à solide et lasers à fibre
pompés par diodes laser de puissance. Illustrations par de très nombreuses applications. Mot(s) clés libre(s) : laser, laser solide, laser à fibre, diode laser, laser impulsionnel, cavité laser, laser visible, laser à disque mince
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Les dernières avancées technologiques en holographie couleurs
/ Lycée Felix Le Dantec, Foton, Enssat
/ 09-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GENTET Yves
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Les technologies d'holographie applicables à la muséographie ont évolué depuis les prises de vues monochromatiques dans les lourds laboratoires enterrés soviétiques (Y.Denisyuk) !Aujourd'hui l'émulsion "Ultimate" inventée par Yves GENTET est en couleurs et est si sensible que 3 lasers miniatures de 20mW suffisent, intégrés dans un boitier mobile, à faire des prises de vues IN SITU. Les objets les plus précieux et fragiles peuvent désormais être enregistrés en leur lieu de conservation, et l'hologramme obtenu, reproduction au micron près de l'original, est bien au delà en qualité de toute autre technique de copie.Vous pouvez télécharger le diaporama de cette conférence sur le site A la lumière du laser Mot(s) clés libre(s) : 50 ans, application, holographie couleur, lasr
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Les cyclotronistes du Collège
/ Marcel DALAISE, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, MUSEE DU CNAM
/ 01-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
GABLOT Ginette
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Le 1er cyclotron français, construit au Laboratoire de chimie nucléaire du Collège de France, dirigé par Frédéric Joliot, commence tant bien que mal à fonctionner en 1938. Sa principale mission est de produire les radioéléments artificiels que demandent les chercheurs, parmi lesquels Irène Joliot-Curie. Modifié 20 ans plus tard, il permettra d'étudier les réactions nucléaires. Le fonctionnement de cet accélérateur de particules ionisées repose sur une équipe technique. Les témoignages de ces cyclotronistes, anciens collaborateurs des Joliot, remontent pour certains, à la période de l'Occupation. Tous se remémorent cette époque des débuts de la Big Science, qui fut aussi celle de leur jeunesse. Le cyclotron est exposé aujourd'hui au Musée des arts et métiers.GénériqueRéalisateur : Marcel Dalaise (CNRS Images) Conseiller Scientifique : Ginette Gablot (CNAM, Musée des Arts et Métiers, CNRS) Production : CNRS et Musée du CNAM Diffuseur : CNRS Images. www.cnrs.fr/cnrs-images/ Mot(s) clés libre(s) : accélérateur de particules, cyclotron
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La spectrométrie d'électron Auger
/ Ecole Centrale de Paris, Laboratoire de Physique Experimentale (LPE) - ECP
/ 01-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FOULET Gloria, WEHLING Franz
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Descriptif de l'appareil et explication de l'obtention des images.Vidéo issue du projet VideoManip dont l'objectif est la réalisation de courtes séquences filmées, montrant des expériences réelles, qui seraient à la fois trop complexes pour être montées et montrées en amphi, et pas assez riches d'enseignement pour justifier un TP de plusieurs heures. Les sciences de l'ingénieur consistent à utiliser un phénomène physique pour construire un objet répondant à un besoin donné. Cela suppose de la part des scientifiques, des (futurs) ingénieurs et des (futurs) enseignants qui les forme(ro)nt une connaissance assez intime des phénomènes physiques exploitables. Dans le processus d'acquisition de cette connaissance, rien ne remplace la confrontation directe au phénomène étudié au travers de l'expérimentation. La "manip de cours" ou "manip d'amphi" (expérimentation par le professeur pendant le cours magistral) permet de confronter immédiatement les étudiants au phénomène étudié sans avoir à attendre qu'ils aient acquis suffisamment de compétence pour pouvoir manipuler eux-mêmes. Ce genre d'illustration représente un investissement important, tant pour la mise en place de l'expérimentation elle-même que pour celle des dispositifs annexes permettant de la faire visualiser par un grand auditoire. Mot(s) clés libre(s) : analyse de surface, électron Auger, spectrométrie électronique
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Analyse de gaz par spectrométrie de masse
/ Ecole Centrale de Paris, Laboratoire de Physique Experimentale (LPE) - ECP
/ 01-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FOULET Gloria, WEHLING Franz
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Il s'agit de montrer comment analyser les constituants d'un gaz en utilisant un spectromètre de masse. Le système est bien décomposé pour expliquer le fonctionnement et les utilisations possibles.Vidéo issue du projet VideoManip dont l'objectif est la réalisation de courtes séquences filmées, montrant des expériences réelles, qui seraient à la fois trop complexes pour être montées et montrées en amphi, et pas assez riches d'enseignement pour justifier un TP de plusieurs heures. Les sciences de l'ingénieur consistent à utiliser un phénomène physique pour construire un objet répondant à un besoin donné. Cela suppose de la part des scientifiques, des (futurs) ingénieurs et des (futurs) enseignants qui les forme(ro)nt une connaissance assez intime des phénomènes physiques exploitables. Dans le processus d'acquisition de cette connaissance, rien ne remplace la confrontation directe au phénomène étudié au travers de l'expérimentation. La "manip de cours" ou "manip d'amphi" (expérimentation par le professeur pendant le cours magistral) permet de confronter immédiatement les étudiants au phénomène étudié sans avoir à attendre qu'ils aient acquis suffisamment de compétence pour pouvoir manipuler eux-mêmes. Ce genre d'illustration représente un investissement important, tant pour la mise en place de l'expérimentation elle-même que pour celle des dispositifs annexes permettant de la faire visualiser par un grand auditoire. Mot(s) clés libre(s) : analyse de gaz, détection d'ions, ionisation, phase gazeuse, spectrométrie de masse
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Jusqu'où peut-on produire des noyaux atomiques ?
/ Mission 2000 en France
/ 28-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
FLOCARD Hubert
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Produire des noyaux atomiques revêt aujourd'hui une importance considérable. Ces noyaux, le plus souvent instables, ont de nombreuses applications. Ils sont utilisés en imagerie médicale, dans des expériences concernant des semi et supra conducteurs, en astrophysique, etc
Actuellement la situation est telle que les ingénieurs et physiciens nucléaires sont en mesure de construire des appareillages qui leur permettront d'explorer la fabrication de tels noyaux. Ils pourront arriver à une connaissance relativement complète de l'interaction forte dans le domaine des noyaux et bien maîtriser les principes d'interaction nucléaire. Ces principes sont la base de la compréhension des processus astrophysique et donc de l'explication de l'univers qui nous entoure. Mot(s) clés libre(s) : accélérateur de particules, force électrostatique, fragmentation, interaction forte, isotope, neutron, noyau de l'atome, nucléosynthèse, physique nucléaire, proton, radioactivité
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Lidar météorologique - Télédétection active de l'atmosphère (2ème partie)
/ Lycée Felix Le Dantec, Foton, Enssat
/ 17-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
FLAMANT Pierre H.
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Le lidar (Light Detection and Ranging ou sondage par laser) est aujourd’hui incontournable dans les études atmosphériques, l’étude des surfaces et des zones urbanisées, l’observation de la terre à partir de l’espace et l’exploration des planètes. Le mot lidar recouvre des méthodes et des instruments différents. Il recouvre aussi deux communautés différentes quant aux objectifs, l’une développe ses propres instruments lidar pour obtenir des profils de variables atmosphériques (nuages, aérosols, gaz minoritaires, etc) alors que l’autre utilise des lidars industriels et des sociétés de service pour les applications altimétriques et bathymétriques. D’une manière générale, un instrument lidar est composé d’un émetteur laser pulsé et d’un récepteur (un télescope) équipé d’un détecteur et d’un système de conversion analogique numérique de sorte que toutes les opérations ultérieures (traitement et calculs) sont effectuées sur des signaux numériques par ordinateurs. La première information fournie par un lidar, c’est le temps de vol de la lumière, donc la distance, entre le lidar et la cible ou la zone de l’atmosphère à étudier. Ensuite, les informations pertinentes que l’on recherche sont obtenues à partir de la distance, de l’intensité réfléchie et de l’atténuation du rayonnement laser au cours de sa propagation. Le but de cet exposé est de présenter les différentes méthodes lidar et les instruments, ainsi que les méthodes d’inversion qui conduisent à l’obtention des variables atmosphériques ou des propriétés de surfaces. Les différentes applications seront présentées en mettant l’accent sur les applications atmosphériques.Vous pouvez télécharger les diaporamas de cette conférence sur le site A la lumière du laser Mot(s) clés libre(s) : 50 ans, laser, lidar, météorologie
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