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08. Out of Norway Falls Aluminum
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 30-08-2012
/ Canal-u.fr
STORLI Espen
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Plenary : Dissertations Session
(Amphithéâtre François Furet)
- Chair: Ludovic Cailluet, Université du Littoral
Foreign Direct Investment and the Creation of Local Organizational Capabilities: An Assessment of the Impact of the United States on the Spanish Enterprise (1918-1975)
- Adoración Álvaro-Moya, Complutense University
Religion, Competition and Liability: Dutch Cooperative Banking in Crisis, 1919-1927 -
-Christopher L. Colvin, London School of Economics
Out of Norway Falls Aluminum: The Norwegian Aluminium Industry in the International Economy, 1908-1940
- Espen Storli, Norwegian University of Science and Technology Mot(s) clés libre(s) : économie, Norvège, industrie de l'aluminium, exportation
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01. Reimagining Business History: A Roundtable
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 30-08-2012
/ Canal-u.fr
STOKES Ray
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Reimagining Business History: A Roundtable
30 Aug 2012 Amphithéâtre François Furet
Chair: Robert Boyer, Institut des Amériques
- Ray Stokes, University of Glasgow
- Claire Lemercier, CNRS
- Francesca Polese, Università Bocconi
- Steve Tolliday, University of Leeds.
-Responses by Philip Scranton, Rutgers University- Patrick Fridenson, EHESS Mot(s) clés libre(s) : politique économique, histoire de l'entreprise, histoire contemporaine
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L'Etat souverain face à la mondialisation
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 10-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
STERN Brigitte
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""" No man is an island "", "" Aucun homme n'est une île "" disait le poète John Donne. L'homme ne vit pas isolé, il est inséré dans toute une série de collectivités, dans tout un ensemble de sociétés : la société familiale, la société tribale, les sociétés religieuses, les sociétés sportives, les sociétés savantes, voire des sociétés secrètes, mais aussi la société étatique. L'Etat se distingue fondamentalement des autres collectivités humaines, parce qu'il est une collectivité souveraine, du fait qu'il dispose du monopole de la force armée organisée sur son territoire. A ce monopole de la force armée organisée est lié le monopole d'édiction du droit : est règle juridique la règle que l'État considère comme une règle juridique, soit qu'il l'édicte lui-même à travers ses organes, soit qu'il reconnaisse des règles posées par d'autres, comme par exemple dans les contrats nationaux ou internationaux établis par les particuliers ou des sociétés multinationales, comme ayant valeur juridique. On conçoit facilement qu'un droit destiné à s'appliquer au sein d'un État qui dispose de la force - le droit national - n'aura vraisemblablement pas les mêmes caractéristiques qu'un droit destiné à s'appliquer entre États souverains, disposant chacun du monopole de la force armée organisée sur son territoire, mais non dans l'ensemble de la communauté des États : le droit international apparaît dès lors comme un droit s'appliquant dans une société où il n'y a pas de centralisation de la force armée organisée. Cette structuration différente des sociétés internes et de la société internationale explique que les contours de la souveraineté ne soient pas les mêmes dans l'ordre interne et dans l'ordre international. " Mot(s) clés libre(s) : état, mondialisation, souveraineté
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L'État souverain face à la mondialisation
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 10-06-2000
/ Canal-u.fr
STERN Brigitte
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""" No man is an island "", "" Aucun homme n'est une île "" disait le poète John Donne. L'homme ne vit pas isolé, il est inséré dans toute une série de collectivités, dans tout un ensemble de sociétés : la société familiale, la société tribale, les sociétés religieuses, les sociétés sportives, les sociétés savantes, voire des sociétés secrètes, mais aussi la société étatique. L'Etat se distingue fondamentalement des autres collectivités humaines, parce qu'il est une collectivité souveraine, du fait qu'il dispose du monopole de la force armée organisée sur son territoire. A ce monopole de la force armée organisée est lié le monopole d'édiction du droit : est règle juridique la règle que l'État considère comme une règle juridique, soit qu'il l'édicte lui-même à travers ses organes, soit qu'il reconnaisse des règles posées par d'autres, comme par exemple dans les contrats nationaux ou internationaux établis par les particuliers ou des sociétés multinationales, comme ayant valeur juridique. On conçoit facilement qu'un droit destiné à s'appliquer au sein d'un État qui dispose de la force - le droit national - n'aura vraisemblablement pas les mêmes caractéristiques qu'un droit destiné à s'appliquer entre États souverains, disposant chacun du monopole de la force armée organisée sur son territoire, mais non dans l'ensemble de la communauté des États : le droit international apparaît dès lors comme un droit s'appliquant dans une société où il n'y a pas de centralisation de la force armée organisée. Cette structuration différente des sociétés internes et de la société internationale explique que les contours de la souveraineté ne soient pas les mêmes dans l'ordre interne et dans l'ordre international. " Mot(s) clés libre(s) : etat, mondialisation, souveraineté
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2 - Conférence « Le capital au XXIe siècle. Dialogue avec les historiens et les sociologues »
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 02-04-2014
/ Canal-u.fr
STANZIANI Alessandro, PIKETTY Thomas
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« Le capital au XXIe siècle. Dialogue avec les historiens et les sociologues »
Conférence-débat autour de l’ouvrage, « Le Capital au XXIe siècle », de Thomas Piketty, en présence de l’auteur.
Intervenants : Katia Béguin (EHESS), Michel Forsé (CNRS), Alessandro Stanziani (EHESS). Cet évènement est animé par Sébastien Lechevalier (EHESS).
conférence organisée par les Cercles de formation de l’EHESS Mot(s) clés libre(s) : capital, economie
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"Knit together in brotherly society". L'idéal fraternel au sein des corporations de métiers londoniennes dans la seconde moitié du XVIe siècle : l'exemple des spectacles / Olivier Spina
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 23-03-2012
/ Canal-u.fr
SPINA Olivier
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"Knit together in brotherly society". L'idéal fraternel au sein des corporations de métiers londoniennes dans la seconde moitié du XVIe siècle : l'exemple des spectacles / Olivier Spina. In "Frères et sœurs du Moyen Âge à nos jours", colloque international organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne: histoire des sociétés, du Moyen Âge à l'époque contemporaine (Framespa) de l'Université Toulouse II-Le Mirail et par le Centre de recherches historiques de l'Ouest (Cerhio) de l'Université Rennes 2. Toulouse, Université Toulouse II-Le Mirail, 22-23 mars 2012. Session 4 : Fratrie/fraternité, le lien rêvé, 23 mars 2012. [Ce colloque de Toulouse constitue la seconde partie d'un double
colloque international dont la première partie s'est tenue à Rennes, les
1er et 2 décembre 2011].Les corporations de métiers londoniennes sont fondées à partir du XIIe siècle comme des fraternités religieuses regroupant des "frères" aux activités économiques similaires (merciers, marchands-tailleurs...). Durant le XIVe et XVe siècles, ces fraternités religieuses ou brotherhoods se voient conférer par le pouvoir royal et le pouvoir municipal des compétences politiques et économiques de plus en plus vastes. A la suite de la réforme protestante, le roi Edouard VI supprime en 1547 toutes les fraternités religieuses "ayant un but religieux supersticieux". Si les corporations de métiers échappent à la dissolution, elles sont privées de leur assise idéologique de communauté fraternelle unie par les prières pour les défunts et l'entraide des vivants. Sans cette raison d'être, comment légitimer le fonctionnement quotidien des institutions du métier et l'existence de rapports sociaux spécifiques entre les membres ? Refusant de faire du métier un simple corps institutionnel et économique, elles entendent le faire perdurer comme organisme social fraternel en conservant la "fraternité corporative" au coeur de l'imaginaire du groupe. Alors que les magistrats du corps civique londonien usent essentiellement de la métaphore patriarcale (les City fathers), les membres des métiers mobilisent un lexique adelphique. L'insistance sur le lien fraternel permet aux officiers de légitimer la hiérarchie au sein de la corporation sur la base d'une relation aînés/cadets. Il implique surtout un rapport d'amitié et d'égalité entre les frères, quelque soit leur richesse, leur âge, leur place dans le métier (assistant/maître/journalier). La corporation est donc un tissu d'obligations sociales réciproques, ce qui permet une certaine stabilité des relations socio-économiques entre "frères". Les officiers du métier sont contraints de prendre en compte cette idéologie fraternelle dans chacune de leurs décisions sous peine de voir leur autorité remise en cause et voir menacée la légitimité de la corporation en tant que communauté. L'ensemble des décisions de la corporation sont ainsi marquées du coin de la fraternité. Loin d'être simplement un discours, la "fraternité" est une catégorie sociale, politique et économique.Les spectacles organisés dans le dernier tiers du XVIe siècle par les corporations à l'occasion de l'élection d'un Lord Maire issu de leurs rangs (parade du Lord Maire) et les discussions autour de leur mode de financement sont un bon exemple de la complexité de la mise en oœuvre des "liens fraternels" par le métier. Les officiers entendent faire participer financièrement et matériellement à ce spectacles très onéreux le plus grand nombre de frères possible afin de manifester en acte la "fraternité corporative". Dès lors, il apparaît que c'est au prisme du concept pluriel et complexe de fraternité que les membres des corporations vivent, pensent et comprennent leur position et leurs actions au sein de la communauté londonienne. Mot(s) clés libre(s) : histoire des mentalités, ordres professionnels (Londres), Angleterre (16e siècle), communauté de métiers
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Comment gérer les nouveaux risques ?
/ 24-03-2015
/ Canal-u.fr
SPAETER Sandrine
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Des enseignants-chercheurs et jeunes chercheurs de l'Université de Strasbourg présentent en 500 secondes leur passion et l'essentiel de leur activité de recherche. Sandrine Spaeter Professeur à la Faculté de sciences économiques et de gestion, chercheuse au BETA UMR 7522 Domaine de recherche : Economie de l'assurance et gestion des risques, Couverture des risques majeurs
Mot(s) clés libre(s) : économie, assurance, risques
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1. Les Questions Socialement Vives (QSV) comme enjeux d'une société plus durable
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 20-05-2015
/ Canal-u.fr
SIMONNEAUX Jean
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Dans cette vidéo, Jean Simonneaux présente ce que sont les Questions Socialement Vives (QSV), questions émergentes, complexes, associées à des controverses, à des incertitudes, à des risques. Il propose plusieurs pistes d'appréhension et d'action pour tenter de les gérer au mieux. Mot(s) clés libre(s) : complexité, controverses, questions socialement vives
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Devenir de l'agriculture et du monde rural en Amérique Latine
/ Bruno BASTARD, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, UOH - Université Ouverte des Humanités, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 12-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
SILI Marcelo, VIDAL Franck
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Entre grandes exploitations agro-industrielles exportatrices de soja et petites exploitations paysannes, le monde agricole et rural latino-américain est au cœur d'un vaste bouleversement entamé depuis les années 1980. En Argentine, en particulier depuis la crise économique du pays en 2001 (dévaluation par trois du péso) de profonds changements s'opèrent non seulement sur le monde rural mais également sur l'ensemble de la société. Le point de vue du professeur Marcelo Sili est doublement intéressant sur cette problématique : c'est un géographe argentin (chercheur et professeur d'université), mais c'est également un conseiller auprès de la Banque Mondiale.GénériqueInterview : Franck Vidal, Réalisation et montage : Bruno Bastard, Cadreurs : Nathalie Michaud et Claire Sarazin, Production et moyens techniques : CAM Université de Toulouse-Le Mirail. Mot(s) clés libre(s) : agriculture, Amérique latine (conditions économiques), Argentine (conditions rurales), Banque mondiale, biocarburants, culture du soja, écologie, géographe (métier), géographie économique, industrie agro-alimentaire, nationalisations, OGM, organismes tran
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Recherche et ouverture au monde scientifique
/ UTLS - la suite
/ 11-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
SHAOQI Wang
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Depuis 1978, la Chine mène une politique de réforme et d'ouverture vers l'extérieur qui lui a permis de se développer très rapidement aussi bien sur son économie que sur sa recherche en science et technologie. Elle a déjà son propre système d'innovation et ses programmes nationaux en vue de développer la recherche fondamentale et appliquée. Depuis son ouverture, la Chine a envoyé beaucoup d'étudiants à l'étranger et établit des relations de coopération avec plus de 100 pays. La France étant le premier pays occidental à reconnaître la Chine a une très bonne coopération dans le domaine de la science et la technologie avec La Chine et elle sera renforcée dans le futur. Mot(s) clés libre(s) : Chine, coopération internationale, recherche scientifique
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