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Qu'est ce qu'un produit bio ?
/ BioMedia-UPMC
/ 03-03-2011
/ Unisciel
Camus Gilles
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Les produits "Bio" sont souvent entourés de beaucoup de méconnaissance. En effet, au delà d'arguments simplistes ("C'est plus cher" ou "C'est plus naturel") on peut se poser la question de savoir qu'est-ce qui se cache réellement dernière le label "AB" et le logo qui figure sur un nombre croissant de produits.
La réponse peut être exposée en terme de méthodes de production ou en terme règlementaire, les deux étant liés : pour avoir le droit d'apposer le logo qui signal un produit "Bio", il faut que toutes les étapes de la vie du produit répondent aux règlementations en rapport, ce qui a bien sur une incidence sur les méthodes utilisées pour sa production. Mot(s) clés libre(s) : Produits, Bio, Réglementation
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Le développement durable
/ BioMedia-UPMC
/ 03-03-2011
/ Unisciel
Camus Gilles
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Synthèse des travaux sur le développement durable dans le cadre des ressources ENS-DGESCO. Mot(s) clés libre(s) : Développement, durable
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L'écocertification du bois
/ BioMedia-UPMC
/ 03-03-2011
/ Unisciel
Camus Gilles, Durand Marc
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Le bois est un matériau aux multiples débouchés : habitat, chauffage, chemins de fer pour ne citer que quelques exemples. Avec les préoccupations environnementales actuelles, le bois est (re)devenu un matériau d'avenir car outre ses qualités intrinsèques (thermique, mécanique, esthétique, etc...), il s'agit d'une ressource renouvelable et son utilisation n'entraîne pas une augmentation du taux de CO2 atmosphérique, tout ceci à condition qu’il soit produit de manière durable. Mot(s) clés libre(s) : Ecocertification, Bois
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La Normandie en débat : Comment gouverner la Normandie demain ?
/ 16-01-2015
/ Canal-u.fr
BUSSI Michel, BULEON Pascal
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Conférence débat organisée à l'initiative d'Arnauld Brennetot, géographe, laboratoire UMR CNRS IDEES.Cette rencontre a pour objectif de présenter les enjeux de gouvernance que pose la fusion des deux Régions normandes. Souvent évoquée, cette réforme a longtemps été empêchée par l’épineux problème politique du choix de la capitale normande. La création d’une seule Normandie doit-elle impliquer une perte d’influence pour l’une des deux villes concernées, Caen ou Rouen ? Les emplois liés à la présence du Conseil Régional mais aussi de l’administration déconcentrée de l’État (préfecture régionale, rectorat, DREAL, etc.) doivent-ils tous être localisés dans une seule et même ville ? Est-il encore judicieux, à l’heure des systèmes urbains en réseaux, que les fonctions dévolues traditionnellement aux capitales régionales, soient concentrées en un seul point du territoire ? Alors que les grandes villes normandes connaissent un faible dynamisme et ont un rayonnement réduit, construire une capitale en réseau ne serait-il pas de nature à impulser une dynamique positive ? À stimuler de nouvelles synergies ? À donner un nouveau souffle à une région devenue peu attractive ? La fusion régionale ne représente-t-elle pas une occasion historique pour faire de la Normandie un laboratoire d’innovation politique et, demain, un territoire équitable, audacieux et intégrateur ? Mot(s) clés libre(s) : réseau, territoire, gouvernance, capitale, aménagement, Normandie, région, politique
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ANDès Table ronde 3
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 29-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BUGNICOURT Amandine, CATEURA Olivier, Déjean Emmanuel, DERUAZ Jean-Christophe, GUILLOT Eric
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Matinée ANDès, « Docteurs, acteurs de l’innovation ? L’exemple Rhônalpin »29 mai 2010, de 9h30 à 13h30, dans les locaux de l’INRP à Lyon. En ce début de XXIème siècle qui voit disparaitre le monde d’après-guerre, dans lequel les marchés sont saturés et les consommateurs moins passifs et aussi moins solvables, les entreprises font face à « l’impérieuse nécessité » d’innover. Qui dit « innover » évoque inévitablement la recherche et donc les chercheurs. Lorsqu’on demande aux entreprises d’expliquer leur politique d’innovation, la plupart répondent qu’elles consacrent X% de leur CA à la R&D, comme si c’était l’évidente démonstration de leur capacité à innover. Reste toujours présent dans les esprits, le modèle marquant de l’innovation des « Trente glorieuses », fondé sur la séquence linéaire :« recherche – technologie - innovation- accroissement du bien-être des utilisateurs » Pourtant, science et innovation ne sont pas nécessairement liées. Aujourd’hui, l’innovation est un processus complexe et collectif, impliquant des interactions quelquefois continues entre concepteurs, financeurs, réalisateurs et utilisateurs. En outre, plus de la moitié des innovations récentes est de type social, organisationnel ou commercial donc déconnectée des sciences exactes et de la technologie. En quoi, la contribution d’un professionnel formé par la recherche scientifique (issu des sciences exactes ou des sciences humaines), est déterminante pour ce processus d’innovation? C’est ce qui fait l’objet de notre débat : « Docteurs, acteurs de l’innovation » : une « évidence » à redécouvrir ou à revisiter.Pour avancer sur le sujet, nous donnons la parole aux professionnels qui font l’innovation ou qui accompagnent l’innovation en Rhône-Alpes. Mot(s) clés libre(s) : andès, docteur, emploi, entreprise, innovation, Lyon
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Today’s initiatives and problems
/ 25-11-2013
/ Canal-u.fr
BUCHELI Marcelo, SHIBUSAWA Ken, ZINSOU Lionel
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INTERNATIONAL SYMPOSIUM : PIONEERING ETHICAL CAPITALISM
MONDAY, NOVEMBER 25TH, 2013
There is more than one way to do capitalism. In Japan, in the second half of the 19th century, a major business leader, Shibusawa Eiichi, expressed the view that business enterprise could and should simultaneously accomplish profits and enhance public welfare. The solutions he suggested are still relevant today. This symposium aims at understanding the Asian and Western origins of ethical capitalism, mapping the evolving arguments about the responsibilities of business and the changing practices of firms, debating the relations between morality and economy for globalised economies and societies in a perspective of sustainable growth.
PROGRAM
10:00 - Morning Session > What does an approach of this major issue by history bring to us?
Moderator: Patrick Fridenson (École des hautes études en sciences sociales)
Opening speech: Kazuo Kodama, Japanese Ambassador to the OECD
Keynote speech: Takeo Kikkawa (Hitotsubashi University), Why ethical capitalism? Origins and development
Geoffrey Jones (Harvard Business School), The responsibility of capitalism: past, present, future
Janet Hunter (London School of Economics), Business and morality: can we still learn from Japan?
Discussion
14:30 - Afternoon Session > Today’s initiatives and problems
Moderator : Marcelo Bucheli (University of Illinois at Urbana-Champaign)Keynote speeches
Ken Shibusawa (Founder and Chairman, Commons Asset Management), Rongo (ethics) andSoroban (business): Sustainable Capitalism
Lionel Zinsou (Chairman and CEO, PAI partners): What does Finance mean by corporate socialresponsibility?
Round table: Can you be ethical in global business today?
Participants: Philippe Lagayette, president of the Fondation de France ; Hartmut Berghoff, director of the German Historical Institute in Washington ; business leaders ; officials and scholars.
General discussion Mot(s) clés libre(s) : éthique, mondialisation, capitalisme, développement durable
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L'évolution du droit du travail (création et destruction d'emplois) et les marchés du travail
/ Mission 2000 en France
/ 16-05-2000
/ Canal-u.fr
BRUNHES Bernard
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Les grands changements des débuts du XXIe siècle :
- Le travail n'est plus un face-à-face entre un homme et une machine, mais un tête-à-tête entre deux personnes.
- La nouvelle économie ouvre la voie aux manipulateurs de symboles, hommes et femmes de chiffres et de lettres, habitués des nouvelles techniques de l'information et de l'international. - Les services aux personnes sont le principal des nouveaux pourvoyeurs d'emploi.
- La disparition du taylorisme fait de chaque employé une personne responsable de ses objectifs. - L'entreprise fonctionne en réseaux. La plupart des métiers sont faits de relations humaines et de communication.
- La qualification ne suffit plus : il faut la compétence, une notion moins confortable, moins permanente, plus floue.
- La baisse séculaire du temps de travail change la place du travail dans l'organisation de la vie : le temps de la vie et le temps de la ville prennent de l'importance.
- Temps et rythme de travail sont de moins en moins collectifs, de plus en plus diversifiés. - La vie professionnelle des jeunes sera faite de nombreux changements : technique, métier, entreprise. Il faudra s'adapter en permanence.
- On ne peut plus considérer la retraite à 55 ou 60 ans comme l'âge des loisirs : il faut inventer le travail des plus âgés.
- Les parcours professionnels en dents de scie se substituent aux carrières régulières des Trente glorieuses. Ce changement est porteur d'angoisse et d'inégalités.
- Dans l'économie mondialisée et basée sur la connaissance, il reste à préserver et à réinventer l'identité européenne, faite de culture et de solidarité. Mot(s) clés libre(s) : réseau, travail, Internet, emploi, service
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Droit du travail (création et destruction d'emplois) et marchés financiers - Bernard BRUNHES
/ Mission 2000 en France
/ 16-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BRUNHES Bernard
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Les grands changements des débuts du XXIe siècle : - Le travail n'est plus un face-à-face entre un homme et une machine, mais un tête-à-tête entre deux personnes. - La nouvelle économie ouvre la voie aux manipulateurs de symboles, hommes et femmes de chiffres et de lettres, habitués des nouvelles techniques de l'information et de l'international. - Les services aux personnes sont le principal des nouveaux pourvoyeurs d'emploi. - La disparition du taylorisme fait de chaque employé une personne responsable de ses objectifs. - L'entreprise fonctionne en réseaux. La plupart des métiers sont faits de relations humaines et de communication. - La qualification ne suffit plus : il faut la compétence, une notion moins confortable, moins permanente, plus floue. - La baisse séculaire du temps de travail change la place du travail dans l'organisation de la vie : le temps de la vie et le temps de la ville prennent de l'importance. - Temps et rythme de travail sont de moins en moins collectifs, de plus en plus diversifiés. - La vie professionnelle des jeunes sera faite de nombreux changements : technique, métier, entreprise. Il faudra s'adapter en permanence. - On ne peut plus considérer la retraite à 55 ou 60 ans comme l'âge des loisirs : il faut inventer le travail des plus âgés. - Les parcours professionnels en dents de scie se substituent aux carrières régulières des Trente glorieuses. Ce changement est porteur d'angoisse et d'inégalités. - Dans l'économie mondialisée et basée sur la connaissance, il reste à préserver et à réinventer l'identité européenne, faite de culture et de solidarité. Mot(s) clés libre(s) : chômage, emploi, formation, informatique, internet, réseau, service, travail
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9. L'économie du châtaignier
/ Jean JIMENEZ, UVED
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
BRIANE Gérard, JIMENEZ Jean
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Ressource non labellisée UVED - En cours d'expertise
Depuis quelques années, la filière castanéicole a beaucoup évolué, passant d'une production essentiellement vivrière, familiale, à une production transformée et commercialisée. L'Europe du Sud, méditerranéenne, reste une des principales zones de production mais surtout la plus importante zone d'importation et de transformation. Quant à l'Asie, et surtout la Chine, qui ont toujours été des pays producteurs et consommateurs importants, ils connaissent aujourd'hui un regain de production et surtout d'exportation. Mot(s) clés libre(s) : environnement, biodiversité, écologie, paysage, développement durable, lutte biologique, patrimoine, coopérative, agrodiversité
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8. Le châtaignier, un atout pour l'agrodiversité ?
/ Jean JIMENEZ, UVED
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
BRIANE Gérard, JIMENEZ Jean
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Ressource non labellisée UVED - En cours d'expertise
Dès la fin du Néolithique, l'homme a domestiqué les espèces fruitières. Depuis, par le jeu incessant de la sélection et du brassage génétique, il a créé de nombreuses variétés, notamment chez le châtaignier où l'on peut en recenser plus de 500 en Europe du Sud-Ouest.
En Aveyron, une poignée de passionnés a tenté de sauver les dernières variétés locales de la Région Midi-Pyrénées. Créé en 1992 à Rignac, le Conservatoire Régional de la Châtaigne a recensé, depuis sa création, près d'une soixantaine de variétés qui ont pu être sauvées et conservées. Paradoxalement, dans des régions où la castanéiculture est aujourd'hui plus vivace, il n'existe pas de conservatoires comme en Ardèche, dans les Cévennes ou en Corse. Nos sociétés modernes ont redécouvert chez cet ancêtre beaucoup de qualités : d'abord une richesse génétique considérable, fruit de la patience des hommes qui a abouti à la sélection de ces multiples variétés, adaptées à chaque terroir. Mot(s) clés libre(s) : environnement, biodiversité, écologie, paysage, développement durable, lutte biologique, patrimoine, coopérative, agrodiversité
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