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Le sport, pour une richesse responsable ?
/ 02-04-2014
/ Canal-u.fr
BERIA Franck, BROUARD Emmeline, WAQUET Arnaud, MATARUNA Leonardo
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Table ronde avec Franck Béria, Emmeline Brouard et Leonardo Mataruna
Le sport est un objet social dont les valeurs d’intégration, de fair-play et de self-government ont été largement remises en question par la médiatisation de ses dérives, en premier lieu desquelles on trouve le dopage, l’affairisme ou encore la violence.
Poser la question de la richesse dans le sport n’est-il pas, dans la conjoncture actuelle de défiance vis-à-vis des sportifs, dopés, trop payés, et de la corruption pour l’organisation des grands événements que sont les Jeux olympiques de Sotchi (2014), la Coupe du Monde de football au Brésil (2014) ou au Qatar (2022), une manière d’affaiblir les valeurs du sport et de «braquer» l’opinion publique sur les futurs projets de développement sportif en France et dans ses territoires ?
Le sport, les sportifs, les événements sportifs possèdent des richesses et des fonctions sociales qui sont aujourd’hui à réaffirmer, mieux, à débattre. Sur le plan social, culturel, infrastructurel, mais également pour la santé physique et sociale des personnes ou économique des territoires, les richesses du sport se doivent d’être questionnées afin de leur permettre de répondre au projet des sociétés contemporaines du XXIe siècle tournées vers le développement durable et la responsabilité sociale des acteurs et des actions à mener.
A. W.
Avec :
Franck Béria, joueur professionnel de football au Lille olympique sporting club (LOSC)
Emmeline Brouard, coordinatrice du service «sport» de la ville de Lille
Leonardo Mataruna, docteur en sciences du sport de l’université de Rio de Janeiro (Brésil), titulaire d’une bourse de recherche Marie Curie en partenariat avec l’université de Coventry (Grande-Bretagne)
Présentation :
Arnaud Waquet, maître de conférences en sciences sociales des activités physiques et sportives à l’université Lille 2
Voir le Printemps des sciences humaines et sociales sur le site de la MESHS.
Voir Publi.MESHS, le portail multimédia de la MESHS. Mot(s) clés libre(s) : richesse, medias et sports
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Les tribulations du capitalisme en Chine au 20e siècle
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BERGERE marie-claire
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En Chine, le développement du capitalisme a pris plusieurs faux départs. L'essor du capitalisme commercial sous la dynastie des Ming (1368-1644) n'a pas débouché sur une révolution industrielle. Le capitalisme bureaucratique qui apparaît dans la seconde moitié du XIX ème siècle, après l'ouverture de la Chine aux étrangers, aboutit rapidement à l'échec. L'entreprise privée qui prend alors le relais s'épanouit pendant « l'âge d'or » des premières décennies du XX ème siècle. Mais le retour d'un pouvoir central fort (Guomindang) à partir de 1927, communiste après la révolution de 1949), qui entend gérer lui-même la modernisation de l'économie nationale selon des méthodes autoritaires, planifiées et centralisées provoque l'affaiblissement puis la disparition du jeune capitalisme chinois. Depuis la mort de Mao-Zedong et l'adoption d'une politique de réforme par Deng Xiaoping en 1978, le capitalisme a pris en Chine un nouvel et puissant élan. Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ? Les avortements antérieurs appellent à une certaine prudence dans la prospective. Ils appellent à s'interroger sur les causes de ces échecs successifs et à examiner attentivement les diverses formes-étatique, bureaucratique, privé qu'à revêtues le capitalisme en Chine ; à étudier le rôle que les étrangers ont joué dans son développement ; à analyser les modes de fonctionnement des entreprises chinoises soumises (ou destinées à se soumettre) à la « rationalité économique » wéberienne ? Freinées ou renforcées par leur enracinement dans les réseaux de solidarités familiales et régionales ? Au moment où le XVI ° congrès du parti communiste chinois invite les capitalistes à jouer un rôle accru dans la vie politique nationale, on peut aussi se pencher sur cette nouvelle classe sociale : sur sa généalogie, sur cette foule d'ancêtres : marchands, changeurs, compradores, entrepreneurs de « l'âge d'or » dont les relations avec le pouvoir furent plus souvent marquées par les compromis que par la confrontation. On peut aussi s'interroger sur son avenir. Dans la perspective- non encore assurée d'une Chine devenue enfin moderne et partie prenante de la mondialisation, cette nouvelle classe trouvera-t-elle son identité et affirmera t-elle sa puissance ? Le triomphe éventuel du capitalisme conduira-t-il comme on le postule un peu rapidement, à celui de la démocratie ou bien à l'apparition de formes particulières de participation politique et de citoyenneté. Mot(s) clés libre(s) : capitalisme (chine), économie politique (chine), mondialisation
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Les tribulations du capitalisme en Chine au 20e siècle
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2003
/ Canal-u.fr
BERGERE marie-claire
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En Chine, le développement du capitalisme a pris plusieurs faux départs. L'essor du capitalisme commercial sous la dynastie des Ming (1368-1644) n'a pas débouché sur une révolution industrielle. Le capitalisme bureaucratique qui apparaît dans la seconde moitié du XIX ème siècle, après l'ouverture de la Chine aux étrangers, aboutit rapidement à l'échec. L'entreprise privée qui prend alors le relais s'épanouit pendant « l'âge d'or » des premières décennies du XX ème siècle. Mais le retour d'un pouvoir central fort (Guomindang) à partir de 1927, communiste après la révolution de 1949), qui entend gérer lui-même la modernisation de l'économie nationale selon des méthodes autoritaires, planifiées et centralisées provoque l'affaiblissement puis la disparition du jeune capitalisme chinois. Depuis la mort de Mao-Zedong et l'adoption d'une politique de réforme par Deng Xiaoping en 1978, le capitalisme a pris en Chine un nouvel et puissant élan. Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ?
Les avortements antérieurs appellent à une certaine prudence dans la prospective. Ils appellent à s'interroger sur les causes de ces échecs successifs et à examiner attentivement les diverses formes-étatique, bureaucratique, privé qu'à revêtues le capitalisme en Chine ; à étudier le rôle que les étrangers ont joué dans son développement ; à analyser les modes de fonctionnement des entreprises chinoises soumises (ou destinées à se soumettre) à la « rationalité économique » wéberienne ? Freinées ou renforcées par leur enracinement dans les réseaux de solidarités familiales et régionales ? Au moment où le XVI ° congrès du parti communiste chinois invite les capitalistes à jouer un rôle accru dans la vie politique nationale, on peut aussi se pencher sur cette nouvelle classe sociale : sur sa généalogie, sur cette foule d'ancêtres : marchands, changeurs, compradores, entrepreneurs de « l'âge d'or » dont les relations avec le pouvoir furent plus souvent marquées par les compromis que par la confrontation. On peut aussi s'interroger sur son avenir. Dans la perspective- non encore assurée d'une Chine devenue enfin moderne et partie prenante de la mondialisation, cette nouvelle classe trouvera-t-elle son identité et affirmera t-elle sa puissance ? Le triomphe éventuel du capitalisme conduira-t-il comme on le postule un peu rapidement, à celui de la démocratie ou bien à l'apparition de formes particulières de participation politique et de citoyenneté. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, capitalisme (chine), économie politique (chine)
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Rendez-vous de crise : la culture a-t-elle un avenir ? Séq. 2
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 24-11-2011
/ Canal-u.fr
BENHAMOU Françoise, HERSANT Yves, MENGER Pierre-Michel, FABIANI Jean-Louis
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Débat dans le cadre du cycle Rendez-vous de crise organisé par les Cercles de formation de l'EHESS et les Editions de l'EHESS
Peut-on penser la culture hors de ses enjeux politiques et
financiers ? La culture est-elle promise à n’être qu’une industrie culturelle
dans une société de loisirs ? La culture de masse est-elle le versant négatif
d’une culture de luxe qui serait réservée à certaines élites ?
L’exception culturelle existe-t-elle encore ? Ce débat
tentera sinon de répondre à ces questions, du moins d’y apporter quelque
clarté.
Avec
Françoise Benhamou, économiste, Professeur à l'Université
Paris 13, membre du Cercle des Economistes, Présidente de l'ACEI (Association
for Cultural Economics International), membre du Conseil d’administration et du
Conseil scientifique du Musée du Louvre. Dernier ouvrage paru : Les
dérèglements de l'exception culturelle : Plaidoyer pour une perspective
européenne (Seuil, 2006) et avec Joëlle Frachy Droit d'auteur et copyright
(coll. Repères, La Découverte, 2007)
Jean-Louis Fabiani, directeur d'études à l'EHESS et professor
à Central European University Budapest. Travaille sur l'analyse sociologique
des pratiques culturelles. Dernier ouvrage paru : Qu’est-ce qu’un philosophe
français? La vie sociale des concepts (1880 - 1980) (Éditions de l’EHESS,
2010)
Pierre-Michel Menger, sociologue, directeur de recherche au
CNRS et directeur d'études à l'EHESS. Dernier ouvrage paru : Les intermittents
du spectacle. Sociologie du travail flexible, 2e édition augmentée, Paris
(Éditions de l'EHESS, 2011)
Yves Hersant (modérateur du débat), directeur d'études de
"Histoire et critique de l'humanisme" à l’EHESS, membre du comité de
rédaction de la revue "Critique". Dernier ouvrage paru : Mélancolies,
de l'Antiquité au XXe siècle (Bouquins Laffont, 2005) Mot(s) clés libre(s) : politique culturelle, exception culturelle, pratiques culturelles, industries culturelles
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Rendez-vous de crise : la culture a-t-elle un avenir ? Séq. 1
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 24-11-2011
/ Canal-u.fr
BENHAMOU Françoise, HERSANT Yves, MENGER Pierre-Michel, FABIANI Jean-Louis
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Débat dans le cadre du cycle Rendez-vous de crise organisé par les Cercles de formation de l'EHESS et les Editions de l'EHESS
Peut-on penser la culture hors de ses enjeux politiques et
financiers ? La culture est-elle promise à n’être qu’une industrie culturelle
dans une société de loisirs ? La culture de masse est-elle le versant négatif
d’une culture de luxe qui serait réservée à certaines élites ?
L’exception culturelle existe-t-elle encore ? Ce débat
tentera sinon de répondre à ces questions, du moins d’y apporter quelque
clarté.
Avec
Françoise Benhamou, économiste, Professeur à l'Université
Paris 13, membre du Cercle des Economistes, Présidente de l'ACEI (Association
for Cultural Economics International), membre du Conseil d’administration et du
Conseil scientifique du Musée du Louvre. Dernier ouvrage paru : Les
dérèglements de l'exception culturelle : Plaidoyer pour une perspective
européenne (Seuil, 2006) et avec Joëlle Frachy Droit d'auteur et copyright
(coll. Repères, La Découverte, 2007)
Jean-Louis Fabiani, directeur d'études à l'EHESS et professor
à Central European University Budapest. Travaille sur l'analyse sociologique
des pratiques culturelles. Dernier ouvrage paru : Qu’est-ce qu’un philosophe
français? La vie sociale des concepts (1880 - 1980) (Éditions de l’EHESS,
2010)
Pierre-Michel Menger, sociologue, directeur de recherche au
CNRS et directeur d'études à l'EHESS. Dernier ouvrage paru : Les intermittents
du spectacle. Sociologie du travail flexible, 2e édition augmentée, Paris
(Éditions de l'EHESS, 2011)
Yves Hersant (modérateur du débat), directeur d'études de
"Histoire et critique de l'humanisme" à l’EHESS, membre du comité de
rédaction de la revue "Critique". Dernier ouvrage paru : Mélancolies,
de l'Antiquité au XXe siècle (Bouquins Laffont, 2005) Mot(s) clés libre(s) : politique culturelle, exception culturelle, pratiques culturelles, industries culturelles
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Valoriser les externalités positives de l'économie de fonctionnalité : l'Institut de la monétarisation
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
BELLINI Béatrice
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Béatrice Bellini présente les objectifs de l'Institut de Monétarisation, en s'appuyant sur les propos de Michel Veillard. Il s'agit d'aider à quantifier la valeur monétaire ou le coût global d'un projet, en prenant mieux en compte ses impacts écologiques et sociaux. Mot(s) clés libre(s) : impacts écologiques, économie de fonctionnalité, impacts sociaux, évaluation des coûts, Institut de la Monétarisation
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Rendre le produit intelligent : un pré-requis pour l'économie de la fonctionnalité ?
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
BELLINI Béatrice
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Béatrice Bellini présente les travaux de recherche de Dominique Millet et d'Olivier Pialot, de l'école SITEC, sur le développement de produits "intelligents". Cela implique différentes dimensions comme la proactivité ou encore l'évolutivité des produits. Mot(s) clés libre(s) : modularité, évolutivité, éco-conception, économie de fonctionnalité
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Les principes clés de l'économie de fonctionnalité
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
BELLINI Béatrice
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Béatrice Bellini propose une définition de l'économie de fonctionnalité, et situe ce modèle dans une perspective historique. Mot(s) clés libre(s) : usage, éco-conception, définition, économie de fonctionnalité
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Economie de fonctionnalité, acteurs et chaîne de valeur
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
BELLINI Béatrice
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Béatrice Bellini met en évidence la nécessité d'une collaboration entre tous les acteurs de la chaîne de valeur pour la mise en place d'une économie de fonctionnalité. Les approches d'analyse des coûts sur l'ensemble du cycle de vie des produits doivent être privilégiées. Dans ce contexte, l'acheteur occupe une position essentielle dans la perspective d'achats responsables. Mot(s) clés libre(s) : cycle de vie, économie de fonctionnalité, coût global, achat responsable
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Cadrage de l'économie de fonctionnalité
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
BELLINI Béatrice
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Béatrice Bellini discute du positionnement de l'économie de fonctionnalité par rapport à l'économie circulaire, à l'éco-conception, à l'écologie industrielle, et au développement durable. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-conception, écologie industrielle, économie circulaire, économie de fonctionnalité
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