Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Comparaison des politiques internationales d'économie circulaire
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
AUREZ Vincent
Voir le résumé
Voir le résumé
Vincent Aurez présente les spécificités des politiques d'économie circulaire mises en oeuvre dans quatre pays pionniers en la matière : l'Allemagne, les Pays-Bas, la Chine et le Japon. Mot(s) clés libre(s) : Chine, Japon, Allemagne, Pays-Bas, économie circulaire
|
Accéder à la ressource
|
|
Paris Centre financier
/ UTLS - la suite
/ 30-10-2003
/ Canal-U - OAI Archive
AUGUSTIN-NORMAND Gerard
Voir le résumé
Voir le résumé
Pas de résume disponible pour le moment Mot(s) clés libre(s) : bourse, finance, gestion, Paris
|
Accéder à la ressource
|
|
Paris Centre financier
/ UTLS - la suite
/ 30-10-2003
/ Canal-u.fr
AUGUSTIN-NORMAND Gerard
|
|
La sortie de crise de l’Islande
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 26-05-2014
/ Canal-u.fr
AUCANTE Yohann, LECHEVALIER Sébastien, BELAND Daniel, OLAFSSON Stefán
Voir le résumé
Voir le résumé
L’EHESS poursuit son cycle de débats Les Agendas du Politique sous l’égide du laboratoire d’excellence Tepsis et des Éditions de l’EHESS.
Conférence du 28 mai 2014
En dépit d’un effondrement de son système bancaire et d’une crise sans précédent en 2008, l’Islande a trouvé la voie d’un redressement. Y a-t-elle réussi en préservant des conditions d’égalités et de protection sociales ?
Intervenant :
Stefán Ólafsson (University of Iceland)
Discutants :
Daniel Béland (Canada Research Chair in Public Policy & University of Saskatchewan)
Sébastien Lechevalier (EHESS & Fondation France/Japon)
Modérateur :
Yohann Aucante (CESPRA/EHESS) Mot(s) clés libre(s) : islande, finances, crise économique
|
Accéder à la ressource
|
|
Conférence de Jacques Attali à l'École polytechnique : Peut-on penser le monde en 2030 ?
/ 18-02-2014
/ Canal-u.fr
ATTALI Jacques
Voir le résumé
Voir le résumé
Jacques Attali donnait le 18 février 2014 une conférence à l'École polytechnique sur le thème : "Peut-on penser le monde en 2030" ?
Retrouvez le Livetweet de la conférence : https://twitter.com/search?q=%23AttaliX&src=hash Mot(s) clés libre(s) : économie, conférence, prospective, école polytechnique (paris), sciences politiques, Polytechnique, Jacques Attali, Attali, 2030
|
Accéder à la ressource
|
|
Forum Nîmois - Charles GIDE - Patrick ARTUS - 8 Octobre 2015
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
ARTUS Patrick
Voir le résumé
Voir le résumé
L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 8 octobre 2015, au lycée Daudet de Nimes Patrick Artus.
Te voici de nouveau parmi nous. Ce soir, le Forum Charles
Gide t’accueille dans le plus ancien Lycée de la Ville, celui sur les bancs
duquel se sont assis ,entre autres,
quatre Gaston célèbres : Gaston
Doumergue, Président de la république de 1924 à 1931, , Gaston Deferre, Gaston
Darboux mathématicien, secrétaire
perpétuel de l'Académie des Sciences, Gaston Boissier écrivain, professeur d'éloquence latine
au Collège de France, et Secrétaire perpétuel de l'Académie Française en 1895 et quelques autres dont Jean-Pierre Serre,
Médaille Fields à l'âge de 28 ans, Professeur au Collège de France...
Nous t’accueillons ici à
la demande de Madame Barbé, le proviseur, et d’enseignants d’économie qui ont
préparé l’écoute de ton intervention
avec quelques élèves.
Tu es l’un de nos grands économistes, l’un de meilleurs
d’entre nous oserais-je dire. Tu es ancien élève de l’Ecole Polytechnique et de
l’Ecole nationale de la statistique et des études économiques, professeur à
Paris I Panthéon Sorbonne. Tes mérites ont été largement reconnus, puisque tu
es membre de trois viviers des plus grands esprits de l’économie en
France : Le Conseil d’analyse économique, près du Premier ministre, de la
Commission économique de la nation, et, last but not least, du Cercle des
économistes, dont j’essaye de ne manquer aucune manifestation, notamment les
célèbres rencontres d’Aix en Provence.
Ce soir tu viens, avec un livre à l’appui : Croissance zéro. Comment éviter le
chaos, », publié chez Fayard, succédant, il faut le savoir, à un
autre, qui, en quelque sorte l’anticipait, « Les apprentis sorciers. Quarante ans d’échecs de la politique
économique française », nous parler de la croissance. Ou plus précisément du manque de
croissance dont tu crains qu’il ne soit durable. Soyons clair, faudra-t-il que
nous nous contentions définitivement, dois-je dire au mieux, d’une croissance
de 1,5% à 2%, telle que celle que nous espérons encore pour 2016 en
France ? Pourquoi ? Quelles sont ou seraient les causes de cette
anémie pernicieuse, de cette
« languitude économique» en osant ce néologisme.
Et, si c’est le cas, comment doit-on organiser la société,
quelles actions l’Etat doit-il mener pour qu’elle ne se traduise pas, à moyen
terme, par un chaos social.
Sur la première partie du sujet, la croissance languissante,
à titre purement introductif, je voudrais brosser un tableau élémentaire de départ des connaissances sur le sujet. On
apprend à nos étudiants que la croissance a deux facteurs : les hommes,
c’est-à-dire la population active disponible et le capital. En fait, dans cette
optique, elle en a trois, car il faut ajouter le facteur « mystère »,
ou plutôt le « bouche trou », que dans la fonction de production la
plus simpliste, celle a deux facteurs seulement on mesure par la marge
d’erreur, l’écart type de l’ajustement aux deux premiers.
Ce « bouche trou » on l’appelle PGF, productivité
globale des facteurs a, c’est-à-dire la croissance du PIB résultant d’une
augmentation unitaire des deux facteurs de base, travail et capital. Une
question tout de même, qui semble
aujourd’hui « ringarde », le capital peut-il avoir une
productivité ? Une machine, une liasse de billets pour l’acheter, sont-elles
capables de produire sans les hommes ? A cette question les économistes
d’aujourd’hui répondent avec cette productivité globale des facteurs, qui
élimine la question en considérant que les deux facteurs ne font qu’un. En un
sens, c’est tant mieux, car cela évite de délicates questions de doctrine.
C’est sur cette productivité qu’aujourd’hui les questions se
posent. Cette productivité, elle est évidemment liée au progrès technique
incorporé dans le capital, mais aussi à celui qui est dans la tête des
travailleurs. D’ailleurs divers collègues ont écrit, à la suite de Cobb et
Douglas, des fonctions de production incorporant le progrès technique, ou la
quantité d’information technologique présente dans les machines et les têtes.
Devant la difficulté de « mathématifier » des
fonctions de production de plus en plus complexes, nombre de nos collègues ont
d’ailleurs fini par ignorer , en quelque sorte, les deux facteurs, et revenant
au célèbre Joseph Schumpeter, mettre le progrès technique devant, à long terme
au moins, au-delà de la conjoncture, comme seul facteur de croissance donc de
production. Schumpeter, ses grappes d’innovations cycliques, et sa
destruction-créatrice : destruction des vielles entreprises et de leurs
vieilles machines pour les remplacer par des neuves !
Je te laisse le soin de développer ou contredire, mais tu
n’échapperas pas s’agissant de la période actuelle, au paradoxe de Robert Solow,
prix Nobel 1987, qui, la même année, s’étonnait, je cite « que
l’introduction massive des ordinateurs dans l’économie, contrairement aux
attentes ne se traduisait pas par une augmentation statistique de la
productivité » .
Taux de croissance
annuels de la productivité globale des facteurs
1985-90
1990-95
1995-200
2000-07
2007-11
France
1,7
1,1
1,3
0,9
-0,3
Allemagne
1,4
1,1
1,1
0,1
Roy-Uni
0,4
1,6
1,4
1,5
-2,4
Etats-Unis
0,7
0,7
1,5
1,4
0,8
Japon
0,7
0,7
0,7
1,1
0,3
Source : OCDE et autres
Je ne sais pas si tu valides ce tableau de chiffre de la
productivité globale des facteurs. Elle laisse entrevoir un net ralentissement
pour la France, l’Allemagne, et le Japon, moins net pour les Etats-Unis et une
évolution chaotique pour cette Angleterre dont on fait un modèle. Or, effectivement, ces années sont celles de
l’explosion de l’informatisation, celle du passage à la production 2.0 puis
même aujourd’hui à la société 2.0. Comment
se fait-il que cette explosion ne se traduise pas dans les chiffres.
J’avance une explication : sur 2000-2011, il y a eu le
creux de 2008-2009. Or on mesure cette productivité avec une fraction dont,
sous une forme ou une autre, le numérateur est la production. Si elle baisse ou
ralentit, si le numérateur diminue, comme en 2008-2009, la fraction diminue
mécaniquement
Et il y a , je crois , une autre raison, que tu as d’ailleurs
expliquée un jour dans un article du Monde, et que sans doute tu vas
reprendre : l’informatique, c’est non seulement une augmentation de la productivité du travail- j’ai organisé
la dématérialisation des titres dans une banque , des chèques, des retraits
d’espèces et j’ai pu l’observer de près, mais c’est aussi une offre
surabondante de nouvelles informations, dont se servent les entreprises, mais
,qu’elles ne comptent pas dans leur production, et qui est pourtant produite quelque
part. C’est aussi, ces derniers temps, l’horizontalisation des échanges
sociaux, de transports, d’appartements, de repas …qui ne sont pas non plus, en
tous cas pas encore, relevés comme production, puisqu’ils ne sont d’ailleurs
pas encore taxés.
Je crois donc qu’il n’est pas tout à fait exact de dire que
la productivité baisse. Qu’en penses-tu ? Le progrès technique se ralentit-il ?
Avons-nous connu une période exceptionnelle dans l’après-guerre, certains
disent même depuis 250 ans, et rentrons nous dans la grande stagnation. Que
faire ? Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, productivité, PIB
|
Accéder à la ressource
|
|
EN-6. Water as the linchpin for sustainable development strategies
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 30-04-2015
/ Canal-u.fr
AROUA Najet
Voir le résumé
Voir le résumé
Najet Aroua discusses the perspective of an integrated management of the water resource. She comprehends this qualitative and quantitative question through the territorial scales which have to be taken into account, and on the basis of the local features of the water cycle. Mot(s) clés libre(s) : cycle, water, sustainable development, territories, cities
|
Accéder à la ressource
|
|
6. L'eau au cœur de la stratégie du développement durable
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 30-04-2015
/ Canal-u.fr
AROUA Najet
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans cette vidéo, Najet Aroua discute de la perspective d'une gestion intégrée de la ressource en eau. Elle appréhende cette question à la fois qualitative et quantitative à travers les échelles territoriales à prendre en compte et sur la base des caractéristiques locales du cycle de l'eau. Mot(s) clés libre(s) : villes, cycle, développement durable, territoires, eau
|
Accéder à la ressource
|
|
Les mondes ruraux latino-américains face aux changements globaux : débats et expériences quant à l'usage des sols / Xavier Arnaud de Sartre
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2016
/ Canal-u.fr
ARNAULD DE SARTRE Xavier
Voir le résumé
Voir le résumé
Les mondes ruraux latino-américains face aux changements globaux : débats et expériences quant à l'usage des sols / Xavier Arnaud de Sartre, in "Ressources et innovations dans les Amériques", 13e colloque international de l'Institut des Amériques organisé par l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut d'Études Politiques (IEP) de l'Université Toulouse 1 Capitole et la Maison Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015.
Au-delà des difficultés rencontrées, l’Amérique latine est également reconnue sur la scène mondiale pour l’amélioration de ses situations économiques, sociales et politiques, et pour ses capacités à expérimenter et à innover, dans des contextes à la fois complexes et stimulants. Afin de donner la mesure de ce que le continent américain peut proposer dans ce qu’il a de positif, de novateur, qui fait source et ressource, qui pousse à l'inventivité et à l’adaptation, qui tend au dépassement de certains problèmes, l’édition 2015 du colloque annuel de l‘IdA se donne pour objectif d’identifier et d’analyser les dynamiques d’innovations et de valorisation des ressources dans les Amériques.
La réflexion s’enracine dans les substrats socio-culturels et historiques du continent, nationaux et régionaux, afin d’apporter des éléments de compréhension des contraintes, des convoitises, des spoliations mais également des avancées, des créations, des expériences inédites, etc. Dans les Amériques, la prise en main de leur destin par un grand nombre d’individus et de sociétés, locales ou nationales, invite donc à (re)visiter les notions (sans opposition systématique
entre elles) de ressources matérielles / symboliques, naturelles / culturelles, historiques / patrimoniales, sociales / territoriales, expressives / artistiques, sous-valorisées / idéalisées, géopolitiques / géoéconomiques. Elle invite aussi à se pencher sur les innovations
techniques, productives, sociales, politiques, organisationnelles, etc.
Elle suppose de s’interroger sur les questions des conflits vs appropriation, épuisement vs préservation, normes vs illicite, développement durable vs développement économique, valorisation vs (co)gestion. Mot(s) clés libre(s) : production agricole (aspect économique), sols agricoles, agriculture durable, communs naturels, Argentine, Agroécologie, Amazonie (Brésil)
|
Accéder à la ressource
|
|
La Maison positive
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 30-05-2012
/ Canal-u.fr
ARDOUREL Yves, DECUQ Jean-Michel, MATHIS Frédérick
Voir le résumé
Voir le résumé
La Maison positive retrace une aventure pédagogique menée au Lycée professionnel du Sidobre à Castres, (Tarn, France) en 2010-2011 : la construction d'une maison à énergie positive par les lycéens eux-mêmes. Ce projet éducatif et écologique, conduit par Jean-Michel Decuq, professeur de génie climatique au Lycée du Sidobre, se veut être une illustration des multiples actions pédagogiques menées dans les établissements scolaires conçues pour l'éducation au développement durable.
Au delà de la sensibilisation aux enjeux écologiques et aux techniques de l'habitat durable, le film montre comment ce projet d'éco-construction a réussi à fédérer l'ensemble de la communauté scolaire du lycée, dépassant ainsi les cloisonnements disciplinaires.
Un autre objectif du film d'Yves Ardourel, enseignant-chercheur à l'Institut Universitaire de Formation des Maîtres (IUFM Midi-Pyrénées) est de susciter la réflexion des enseignants et futurs enseignants sur les expériences et les dispositifs éducatifs.
Conseiller au développement durable : Frédérick Mathis (directeur de l'Association 3PA).
Participants : Philippe Barboza, Jean-Michel Decabooter, Christine Guérineau, Antoine Parent, Luc Picard, Perrine Raynaud et les élèves du lycée du Sidobre.
* Ce film a reçu l'aide à la production de l'Université Virtuelle Environnement et Développement Durable (UVED). Mot(s) clés libre(s) : éco-construction, constructions et technique de l'environnement, architecture durable, innovations pédagogiques, projet éducatif (Tarn), réalisations d'élèves, éducation au développement durable
|
Accéder à la ressource
|
|