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L'usine chimique végétale
/ Science en Cours, Mission 2000 en France
/ 09-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BOUDET Alain-Michel
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Au-delà de leur capacité unique à convertir, en présence d'énergie lumineuse, le gaz carbonique de l'atmosphère en glucides, les végétaux chlorophylliens présentent collectivement une remarquable aptitude à synthétiser des dizaines de milliers de molécules différentes. Ces produits de l'usine chimique végétale relèvent de la " chimie lourde " : amidon, cellulose, lignines
polymères d'accumulation qui représentent une part importante de la biomasse végétale et ont souvent des utilisations industrielles. Ils peuvent aussi relever de la " chimie fine " illustrée par l'extrême diversité des substances naturelles végétales. Cette deuxième catégorie de composés a un impact important au niveau des relations entre la plante (organisme immobile) et son environnement biotique dans le cadre d'un subtil dialogue moléculaire. Ces composés qualifiés parfois de métabolites secondaires ont aussi des rôles déterminants dans la couleur et les propriétés organoleptiques des productions végétales. Ils sont également largement exploités en thérapeutique. Au total, ces molécules très diversifiées illustrent la diversité génétique des plantes et sont d'ailleurs exploitées pour l'analyser. Comment sont synthétisées et s' accumulent ces différentes catégories de substances ? Quel est leur rôle dans les chaînes alimentaires ? Peut-on jouer sur les profils biochimiques des plantes ? Quelles sont les exploitations de plus en plus diversifiées de l'extraordinaire panoplie chimique des plantes ? Ce sont quelques-unes des questions qui seront abordées dans cette présentation. Mot(s) clés libre(s) : biochimie, biosynthèse, biotechnologie, cellule végétale, composé chimique, ingénierie métabolique, physiologie végétale, plante, synthèse chimique, terpène, végétal
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L'oxygène, vecteur de la transdisciplinarité
/ BioMedia-UPMC
/ 24-03-2011
/ Unisciel
Debru Claude
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Le substrat de la fermentation (le sucre), mais également l'ammoniaque et des sels minéraux (des phosphates) constituent un milieu favorable à la multiplication de la levure. Un autre constituant en fait également partie, dont le rôle métabolique de condition suffisante mais non nécessaire fut brillamment établi par Pasteur : l'oxygène. Mot(s) clés libre(s) : Philosophie, sciences
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L'opéron lactose
/ BioMedia-UPMC
/ 26-03-2004
/ Unisciel
Borde Isabelle
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L'étude de l'opéron lactose permet de décrire un système de régulation des gènes. La régulation de l'opéron lactose est ici illustrée grâce à plusieurs panneaux qui s'ouvrent sur des séquences animées (logiciel d'animation Flash5). Différentes conditions de croissance sont présentées par un texte court et une animation, On peut ainsi voir : la régulation négative, la levée de l'inhibition de la transciption et la répression catabolique.. Mot(s) clés libre(s) : lactose, Biologie moléculaire
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L'odorat : un sens pas si archaïque
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 04-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LLEDO Pierre-Marie
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9e matinée des Œnologues - Bordeaux >> Neurosciences : les mécanismes de la perception du goût et l’objectivité de la dégustation Pierre-Marie Lledo, L’odorat : un sens pas si archaïque Yves Le Fur, Est-il possible de définir des espaces sensoriels détachés de toute subjectivité culturelle ? Sophie Tempère, Dégustation : Métrologie olfactive pour la formation des professionnels Que se passe t-il quand on prend plaisir à déguster un vin ? Quels sont les mécanismes de perception du goût ? Nos perceptions sont-elles objectives ?... Les interrogations sont nombreuses quant à la compréhension des mécanismes neurologiques et sensoriels qui forgent notre goût en matière de vin. Pierre-Marie Lledo, Yves Le Fur et Sophie Tempère, respectivement Directeur de recherche, Maître de conférence et Docteur en neurosciences, apportent quelques précieux éclaircissements sur ces questions et exposent les dernières découvertes sur ce sujet lors de la 9e matinée des œnologues. Mot(s) clés libre(s) : dégustation, goût, oenologie, perception, sens, vin
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L'Interférence par l'ARN et son utilisation chez les mammifères
/ BioTV
/ 16-10-2003
/ Canal-U - OAI Archive
HAREL- BELLAN Annick, DAUTRY François, CHELBI-ALIX Mounira
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1ere partie La découverte de l'interférence par l'ARN est l'une des grandes aventures de la biologie de ces dernières années. C'est à travers des études menées dans des organismes très variés : plantes, champignon, la levure S. pombe, le nématode C. elegans et la drosophile que les grandes lignes de ce mécanisme ont pu être caractérisées. En effet, l'interférence par l'ARN existe chez la plupart des organismes eucaryotes. Si l'existence de régulations génétiques inattendues avait été observée chez les plantes dès 1990, c'est en 1998 que A. Fire a décrit que ces régulations étaient induites par la présence d'ARN double brin dans les cellules. Le mécanisme implique deux grandes étapes, les molécules d'ARN sont d'abord transformées en petits fragments d'ARN double brin d'une vingtaine de nucléotides par une enzyme de la famille des RNase III, dicer, puis l'un de ces brin est incorporé dans un complexe protéique RISC (RNA Induced Silencing Complex) dans lequel il sert de guide pour la reconnaissance des séquences cibles. Si l'appariement avec la cible est parfait ou presque parfait (c'est à dire ne comprend qu'un ou deux misappariements) alors le complexe RISC coupera de manière endonucléolytique l'ARN cible. C'est cette activité de nucléase spécifique de séquence qui constitue l'élément central de l'interférence par l'ARN. L'introduction d'ARN double brin permet donc de reprogrammer sur une cible choisie par l'expérimentateur une activité nucléase normalement présente dans les cellules. Il devient dès lors possible d'inhiber l'expression de n'importe quel gène du moment que l'on connaît sa séquence. Dans le cas des mammifères l'existence d'autres réponses aux ARN double brin (induction de la kinase PKR et de l'oligoA synthétase) limite l'utilisation de molécules d'ARN double brin de grande taille à quelques situations particulières comme les cellules souches embryonnaires. Par contre, du fait de leur petite taille, les petits ARN interférants n'induise pas (ou très peu ces réponses supplémentaires et c'est donc avec des molécules de ce type qu'il est possible d'induire l'interférence dans les cellules de mammifère. En fait, l'interférence par l'ARN ne constitue que l'un des volets d'une famille de régulations de l'expression génétique contrôlées par de petits ARN. Ainsi, si l'appariement avec l'ARN cible conduit à la formation d'une bulle centrale, l'expression du gène ciblé n'est plus bloquée par dégradation de l'ARN messager mais par inhibition de la traduction. Ce mécanisme est probablement très proche de celui de l'interférence par l'ARN et constitue une autre voie pour contrôler sur l'expression génétique. 2ème partie : Dans la deuxième partie de cette émission, sont discutés les aspects « applications » de la technologie, avec un fort accent sur les applications chez les mammifères. La première partie porte sur les aspects pratiques, en particulier la longueur et la séquence cible du siRNA, la spécificité de l'inhibition et les différentes possibilités technologiques (siRNAs synthétiques et siRNA plasmidiques). Ensuite deux grands axes d'applications sont évoqués. Dans le premier, on met en évidence la fonction, inconnue, du produit d'un gène donné (un gène, quelles fonctions ? ). Dans le deuxième, on veut caractériser, par des approches « haut-débit » l'ensemble des gènes participant à une fonction (une fonction, quels gènes ?). Enfin, la dernière partie de l'émission porte sur ce que l'on peut imaginer des applications thérapeutiques chez l'homme.Voir les programmes de la collection :MECANISMES FONDAMENTAUX DE LA BIOLOGIEContrôle du développement du pancréas endocrineL'apoptose ou la mort cellulaire programméeL'apoptose, son utilité et ses désordresL'Interférence par l'ARN et son utilisation chez les mammifèresLe cycle cellulaire et la régénération du foieLe miniglucagon : Nouveau régulateur local de l'îlot de Langerhansphosphorylation et mémoire. Mot(s) clés libre(s) : diacer, interférence, oligonucléotide, RISC, siRNAs
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L'inné et l'acquis dans le comportement animal : deux gènes responsables du comportement sexuel
/ BioMedia-UPMC
/ 03-02-2011
/ Unisciel
Camus Gilles, Ibarrondo Françoise
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Est-il possible d'identifier des gènes qui influencent le comportement animal ?
Le doute est légitime : les gènes sont si nombreux à interagir entre eux que l'étude d'un seul gène pourrait bien ne rien apprendre de significatif sur un comportement. Ils interagissent avec leur environnement, et le débat nature/culture pourraient remplir des encyclopédies entières.
Pourtant, un élément de réponse a été apporté à cette question par l'étude de certains comportements innés peu influençables par l'environnement, et par les techniques actuelles de séquençage des gènes qui offrent tous les moyens d'en comprendre l'expression.
Il sera donc ici question de transcription de gènes et de sa mise en relation avec deux comportements innés, l'un chez les campagnols, l'autre chez la drosophile. Mot(s) clés libre(s) : Comportement, Gènes, Sexe
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L'inactivation du chromosome x chez les femelles de mammifères
/ BioMedia-UPMC
/ 03-02-2011
/ Unisciel
Camus Gilles, Ibarrondo Françoise
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Chez la plupart des Mammifères, les chromosomes sexuels des mâles, XY, sont très peu homologues (voir Fig 1) contrairement à ceux des femelles, XX. L'abscence d'un second X chez les mâles les désavantage-t-ils vis à vis des femelles dans le cas où leur seul X serait déficient pour un ou plusieurs gènes ? Non, car les cellules des femelles fonctionnent aussi avec un X unique, l'autre X étant inactivé.
Quelles sont les signatures de cette inactivation et quel en est le mécanisme ? Notons d'emblée que l'inactivation du chromosome X a été, jusqu'ici, bien plus étudiée chez les Mammifères placentaires (euthériens) que chez les Mammifères marsupiaux (métathériens) ou les Mammifères pondeurs d'oeufs (protothériens). Mot(s) clés libre(s) : Chromosomes, séquençage, phyllogénèse
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L'homme transgénique : des possibilités infinies - M. Radman, JC Weill
/ UTLS au lycée
/ 05-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
RADMAN Miroslav, WEILL Jean-Claude
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Une conférence du cycle : Qu'est ce que la vie ? Où en est la connaissance du génome ?
Miroslav Radman, Généticien, Université Paris 5, faculté de médecine Necker
Et
Jean-Claude Weill, Immunologiste, Université Paris 5, faculté de médecine Necker Mot(s) clés libre(s) : ADN, manipulation génétique
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L'homme et le singe - Michel Morange
/ UTLS - la suite
/ 12-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MORANGE Michel
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Une conférence du cycle : Qu'est ce que la vie ? Où en est la connaissance du génome ?Par Michel Morange, Biologiste moléculaire et historien des sciences, ENS Ulm et Université Paris 6 Mot(s) clés libre(s) : ADN, évolution, génétique
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L'expression aromatique des rosés: lien avec la couleur
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 04-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
POUZALGUES Nathalie
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9e matinée des Œnologues - Bordeaux >> Goût du vin : la pratique Patricia Taillandier, Impact des phases fermentaires sur le goût du vin Nathalie Pouzalgues, L’expression aromatique des rosés : lien avec la couleur Jean Lhéritier, Philippe Chabert, Jean-Claude Berrouet, Vin et consommateur : qui doit s’adapter ? Les attentes des consommateurs, les contraintes de marché, l’apparition des agences de notation… façonnent le goût pour le vin, ses arômes, sa couleur. Ce produit du patrimoine est en effet tributaire de facteurs socio-économiques. Dans ce contexte, il est juste de se demander qui du consommateur ou du vin doit s’adapter à l’autre. Spécialistes de la question vinicole, Patricia Taillandier, Nathalie Pouzalgues, Jean Lhéritier, Philippe Chabert et Jean-Claude Berrouet apportent quelques éléments de réponse Mot(s) clés libre(s) : arômes, oenologie, rosés, vin
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