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EMOIS Nancy 2011 - Alimentation d’un registre épidémiologique de pédiatrie
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BAYAT Sahar
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Alimentation d’un registre épidémiologique de pédiatrie. Comparaison d’une recherche plein texte sur le dossier médical versus PMSI.Résumé : L’alimentation des registres épidémiologiques repose sur un recueil manuel de l’information. Avec le développement des SIH apparaît la possibilité d’alimenter semi automatiquement ces registres à partir des dossiers patients informatisés. Cependant, les données médicales numériques sont encore largement en plein texte. Nous démontrons l’intérêt d’utiliser ces sources de données non structurées, pour l’alimentation du registre breton des malformations congénitales. Nous comparons notre méthode au PMSI.Méthode : Le système repose sur un entrepôt de documents et de données biocliniques associé à un système de recherche d’information. La recherche est basée sur des mots clefs décrivant les pathologies « spina bifida » et « épi/hypospadias ». Un enrichissement sémantique avec la terminologie Snomed internationale a été effectué. Les requêtes PMSI sont basées sur les codes des deux pathologies. Les requêtes concernaient une période identique, en excluant pour la comparaison avec le PMSI les consultations externes.Résultats : La population d’intérêt comptait 6620 patients (16 512 comptes rendus). La meilleure requête plein texte identifie pour spina : 14 cas (dont 11 vrais positifs (précision 78,5%)) et pour Epi/Hypospadias 116 cas (dont 102 vrais positifs (précision 87 ,9%)). En excluant les consultations, le PMSI repère pour spina : 6 cas (dont 5 VP) versus 10 cas pour le plein-texte (dont 8 VP) avec une couverture plein texte/PMSI=83%. Pour hypospadias, le PMSI retrouve 88 cas (dont 87 VP), couverture plein-texte/PMSI=96,5%. Pour les deux pathologies, le plein-texte a identifié, à partir des consultations, 22 cas (dont 15 VP). Aucun gain n’est constaté avec l’enrichissement sémantique. Les FP étaient dus au contexte (ex : antécédent familial).Discussion/Conclusion : Le système démontre un excellent recouvrement du PMSI. Il était impossible de se comparer aux données du registre puisque celui-ci n’existait pas encore. L’étape ultérieure sera de le faire. D’autre part le système a montré son intérêt pour repérer des cas au-delà du PMSI, dans les courriers de consultation (non utilisé dans le codage).Intervenant : BAYAT Sahar (Unité Inserm U936, IFR 140, Faculté de Médecine, Université de Rennes 1, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : PMSI et épidémiologie. Modérateurs : V. GILLERON (CHU de Bordeaux), E. SAULEAU (CHU de Strasbourg).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : codage, EMOIS Nancy 2011, épidémiologie, indexation, pédiatrie, PMSI, registre, SIH, système d'information hospitalier
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EMOIS Nancy 2011 - Utilisation des bases PMSI pour la détection d’effets indésirables médicamenteux.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BAYAT Sahar
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Titre : Utilisation des bases PMSI pour la détection d’effets indésirables médicamenteux.Objectif : Le système de notification spontanée d’effets indésirables médicamenteux (EIM) manque d’exhaustivité. L’objectif de cette étude était d’évaluer les performances des requêtes sur les codes diagnostics de la base de données PMSI pour l’identification d’EIM graves.Méthodes : Le Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) et le Département d’Information Médicale du CHU de Rennes ont établi une liste d’EIM potentiellement graves ainsi que les codes de la Classification Internationale des Maladies (CIM10) correspondants. La requête réalisée sur la base PMSI concernait les séjours effectués au CHU de Rennes en 2009. Tous les compte-rendus d’hospitalisation et les examens complémentaires disponibles ont été examinés afin de valider les cas d’EIM identifiés par cette requête. Parallèlement, les notifications spontanées des mêmes EIM faites auprès du CRPV sur la même période ont été recherchées dans la Base Nationale de Pharmacovigilance.Résultats : Sur 383 dossiers identifiés par la requête PMSI, 142 cas ont été retenus (37,1 %).Certains codes CIM10 avaient un rendement (proportion de cas retenus par rapport aux cas identifiés) intéressant, supérieur à 40% (T88.6 : Choc anaphylactique dû à des effets indésirables d'une substance médicamenteuse, L27.0 : Eruption généralisée due à des médicaments, J70.4 : Affections pulmonaires interstitielles médicamenteuses, G62.0 : Polynévrite médicamenteuse et N14.1 : Néphropathie due à d'autres médicaments). 79,5% des EIM ont été détectés par ces cinq codes. Sur la même période, 98 EIM du même type ont été déclarés auprès du CRPV. 22 cas étaient communs. La proportion de cas communs par rapport aux cas retenus à partir de la requête PMSI était de 15,5 %. La complémentarité des deux modes de recueil apparaît donc intéressante.Discussion : L’utilisation des requêtes PMSI peut constituer un outil de veille pour la détection d’EIM graves, en complément de la notification spontanée. Ainsi, les requêtes mensuelles sur les codes à haut rendement sont effectuées au CHU de Rennes.Intervenant : BAYAT Sahar (Département d’Information Médicale, CHU Pontchaillou, Rennes, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Surveillance et vigilance. Modérateurs : Marc BREMOND (Lyon), Jeanne FRESSON (Maternité Régionale Universitaire de Nancy).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CIM10, CRPV, DIM, effets indésirables médicamenteux, EIM, EMOIS Nancy 2011, pharmacovigilance, PMSI
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