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2- Adolphe Gatien-Arnoult, un érudit républicain au rectorat / Didier Foucault
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
FOUCAULT Didier
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Adolphe Gatien-Arnoult, un érudit républicain au rectorat, Didier FOUCAULT (Université Toulouse II-Le Mirail). Intervention filmée lors du colloque "Les recteurs et le rectorat d'Académie de Toulouse (1808-2008)", organisé par l'université Toulouse II-Le Mirail, le rectorat de Toulouse et l'équipe de recherche FRAMESPA à l'IUT de Blagnac, les 20-21 novembre 2008.- Une bibliographie est disponible dans l'onglet "A télécharger" [retrouver + de liens et de documents en allant sur l'intervention d'ouverture du colloque] Mot(s) clés libre(s) : Adolphe-Félix Gatien-Arnoult (1800-1886), circonscription scolaire (académie de Toulouse), recteurs d'académie
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Adolphe Gatien-Arnoult, un érudit républicain au rectorat / Didier Foucault
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 20-11-2008
/ Canal-u.fr
FOUCAULT Didier
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Adolphe Gatien-Arnoult, un érudit républicain au rectorat / Didier Foucault, in colloque "Les recteurs et le rectorat de l'académie de Toulouse (1808-2008)",
organisé conjointement par le rectorat de Toulouse et le laboratoire de recherche FRAMESPA
[France méridionale et Espagne, Histoire des sociétés du Moyen Âge à
l'époque contemporaine], Université Toulouse II-Le Mirail, IUT de Blagnac, 20-21
novembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : recteurs d'académie, Adolphe-Félix Gatien-Arnoult (1800-1886), circonscription scolaire (académie de Toulouse), recteurs d'académie (Toulouse)
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Bruno et Sanchez, deux philosophes à Toulouse autour de 1580 / Didier Foucault
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
FOUCAULT Didier
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Bruno et Sanchez, deux philosophes à Toulouse autour de 1580 / Didier Foucault. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session I : Giordano Bruno, figure de l'errance, 9 octobre 2014.
Au cours de sa vie aventureuse, Giordano Bruno n'a fait qu'un court séjour à Toulouse entre 1579 et 1581. De ce passage, il ne reste que peu de traces. Parmi les contacts intellectuels qu'il a eus, le plus notoire concerne Francisco Sanchez (1551?-1623).
Ce médecin probablement d'origine marrane, née à la frontière entre le Portugal et l'Espagne, a effectué l'essentiel de sa carrière à Toulouse. Il s'y installe en 1575 et devient régent puis doyen de la faculté de médecine de la ville. Ses travaux universitaires ont été publiés après sa mort dans les Opera medica (1636). Sanchez est aussi l'auteur d'un traité philosophique, le Quod nihil scitur (Il n'est science de rien) qui le classe, aux côtés de Jean-François Pic de la Mirandole, Corneille, Agrippa et Montaigne, parmi les plus éminents représentants du scepticisme de la Renaissance. Bruno possédait un exemplaire de ce livre mais n'appréciait guère son contenu. En retraçant le parcours intellectuel de Francisco Sanchez, cette communication s'efforce de mettre en évidence l'apport propre du penseur ibérique et ce qui le distinguait de la démarche du philosophe italien dont il a, brièvement, croisé la route. Mot(s) clés libre(s) : humanisme de la Renaissance, philosophie de la Renaissance, Bruno Giordano (1548-1600), Francisco Sánchez (1550?-1623), Toulouse (16e siècle), scepticisme (philosophie)
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Des Toulousains des Lumières face au cancer : Astruc et Bécane / Didier Foucault
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 21-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FOUCAULT Didier
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Des Toulousains des Lumières face au cancer : Astruc et Bécane / Didier Foucault. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (Université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 1 : Interrogations et incertitudes (1750-1890), 21 janvier 2011.Au milieu du siècle des Lumières, la connaissance du cancer reste profondément dépendante de la théorie humorale qui a vu le jour pendant l'Antiquité. Le corpus hippocratique a mis en évidence les différents degrés d'évolution de la maladie à laquelle s'attache l'image du crabe qui étire ses pattes dans toutes les direction et entraîne le patient vers une mort inexorable. C'est toutefois Galien qui a étroitement articulé la formation des tumeurs avec le déséquilibre des humeurs. Les praticiens arabes et ceux du moyen âge occidental sont restés fidèles à ces schémas, même si certains d'entre eux ont identifié de nouveaux types de cancers. La Renaissance et le XVIIe siècle témoignent d'un scepticisme grandissant à l'égard de la théorie galénique, mais les médecins retombent toujours sur les désordres humoraux pour expliquer l'apparition et le développement d'un cancer. Alors qu'au siècle des Lumières, le cancer suscite une attention soutenue des milieux médicaux, deux Toulousains se sont penchés sur cette maladie. Le premier, Jean Astruc (1684-1766), originaire du diocèse d'Alès et formé à Montpellier, a occupé une chaire de médecine à la faculté toulousaine de 1712 à 1716. Le reste de sa carrière le tient éloigné de la capitale du Languedoc, dont il est pourtant nommé capitoul en 1731. Il devient en effet un des médecins les plus en vue du règne de Louis XV. Pensionné par le roi et pourvu d'une chaire au Collège de France et à la faculté de Paris, il a écrit de nombreux ouvrages de médecine. Il s'intéresse au cancer dans le "Traité des tumeurs et des ulcères" (1752) et dans le "Traité des maladies des femmes" (1761-1765). Dans la lignée galénique, il place le cancer à l'intérieur du vaste ensemble des tumeurs et des ulcères. Toutefois, il appartient au groupe des médecins qui considèrent qu'un choc extérieur est de nature à faire apparaître squirrhes et cancers. Aux innovations prudentes d'Astruc s'opposent les vues les plus audacieuses de Bertrand Bécane. Né à Savignac (Gers, France) vers 1728, il exerce la chirurgie à Toulouse et enseigne à l'École royale de chirurgie de la ville de 1761 à1793. Que ce soit dans son "Abrégé des maladies qui attaquent la substance des os" (1775) ou dans ses "Observations sur les effets du virus cancéreux" (1778), il se rattache au courant qui postule une origine virale de la maladie. Sur le plan thérapeutique, ils ne s'accordent guère mieux. Astruc, qui a consacré de nombreuses recherches à la vérole, tend à rapprocher les deux maladies et à préconiser un traitement à base de mercure... Bécane, au contraire, considère que les caustiques ne font qu'aggraver le mal et se montre favorable à l'extirpation chirurgicale des tumeurs. Les écrits de ces deux Toulousains, s'ils ne peuvent revendiquer une grande originalité, apparaissent moins comme des révélateurs des timides avancées médicales dans ce domaines au XVIIIe siècle, que des incertitudes théoriques et pratiques qui laissent les praticiens impuissants face à ce mal. Mot(s) clés libre(s) : Bertrand Bécane (1728 ?-17..), cancer (thérapeutique), cancérologie (18e siècle), Jean Astruc (1684-1766), médecine (histoire), recherche médicale (cancer)
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Le sage, la loi, la coutume, chez Pierre Charron / Didier Foucault
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 28-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
FOUCAULT Didier
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Témoin des guerres de religion et disciple de Montaigne, dont il systématise les thèses, Pierre Charron montre dans "La Sagesse" qu’il n’y a rien de plus trompeur que la coutume qui tire son pouvoir de conviction du « général consentement ». Les sages n’en sont pas dupes. Mais ils ne sont qu’une minorité et c’est à ce titre qu’ils considèrent qu’il est nécessaire que le peuple respecte la « législation en vigueur »... Autrement dit : si la coutume et la loi sont respectables en un pays -qu’il s’agisse du régime politique, des mœurs ou même de la religion- ce n’est pas parce qu’elles s’inspireraient d’une vérité supérieure, mais parce que c’est à cette condition que sera préservée la paix civile…Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : droit coutumier, loi (philosophie), Michel de Montaigne (1533-1592), philosophie politique (16e siècle), Pierre Charron (1541-1603)
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Les sciences humaines et sociales et leur place dans la lutte contre le cancer : table ronde
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 21-01-2011
/ Canal-u.fr
POULAIN Jean-Pierre, CAZAUX Christophe, FOUCAULT Didier
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Les sciences humaines et sociales et leur place dans la lutte contre le cancer : table ronde. Présentée par Pierre C. Lile et avec Jean-Pierre Poulain, Christophe Cazaux, Didier Foucault. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Parenthèse dans ce colloque entièrement dédié à l'histoire, cette table ronde a pour but d'ouvrir un dialogue sur la place, dans la lutte contre le cancer, des disciplines rattachées aux domaines des Lettres et sciences humaines et sociales (SHS).Jean-Pierre POULAIN, sociologue, présente le rapport qu'il a rédigé à la demande du Conseil régional Midi-Pyrénées sur ce thème. Situant son enquête sur le terrain du grand Sud-Ouest, il met en évidence la place relativement faible de ces domaines dans les programmes engagés ces dernières années sur la thématique du cancer. Il montre quels sont les freins à une plus large coopération interdisciplinaire, tant du côté des sciences biomédicales et de la médecine que du côté des SHS. Les multiples interférences du cancer dans nos sociétés rendent pourtant ces coopérations nécessaires : non seulement au niveau de la recherche appliquée, mais à moyen terme, au stade de la recherche et du développement ainsi que, à plus longue échéance, pour une meilleure compréhension entre la société civile -malades, famille, entourage- et l'ensemble des acteurs médicaux, industriels, associatifs et politiques qui participent à la lutte contre le cancer. La communauté d'agglomération du Grand Toulouse a conscience que la réussite de l'Oncopôle de Langlade, en cours d'édification, ne doit pas être seulement le rassemblement sur un même site d'une clinique hospitalo-universitaire du cancer, de laboratoires de l'INERM et du CNRS et d'établissements de l'industrie pharmaceutique en pointe de l'innovation scientifique et thérapeutique.Christophe CAZAUX expose le projet "Toulouse Biodyssée". Cet équipement, tourné vers le grand public, s'intègre dans "l'Espace 31" destiné à accueillir les sièges sociaux d'associations (Ligue contre le cancer), du pôle de compétitivité Cancer Bio-Santé, un centre de remise en forme des convalescents (mais ouvert à tous) ainsi qu'un complexe d'hôtellerie et de restauration... "Toulouse Biodyssée" aura une vocation pédagogique. Il aura pour mission de sensibiliser le public, souvent mal informé de tout ce qui touche au cancer, en surmontant les tabous et peurs irrationnelles qui pèsent sur ce mal : depuis les avancées de la science biomédicale jusqu'aux implications sociales de cette maladie. Lieu de rencontre, la structure comportera des salles d'exposition, un amphithéâtre, des ateliers interactifs, un jardin de plantes médicinales... Didier FOUCAULT intervient en qualité de responsable de la diffusion des savoirs au sein de l'Université Toulouse 2-Le Mirail. Il insiste sur l'importance pour les Lettres et SHS de ne pas rester repliées sur elles-mêmes. Il en va de leur reconnaissance sociale. Un colloque comme celui-ci est un exemple de ce qu'elles peuvent apporter tant aux chercheurs qui traquent le cancer dans leurs laboratoires qu'à l'ensemble de nos concitoyens. Ces communications sont suivies d'un débat auquel ont participé de nombreux acteurs de la lutte contre le cancer présents dans l'assistance. Mot(s) clés libre(s) : cancer (prévention), centres de lutte contre le cancer, cancer (soin), coopération scientifique et technique, équipements sanitaires et sociaux (Toulouse), médecine et sciences humaines, oncopôle (Toulouse-Midi-Pyrénées), transdisciplinarité (lutte contre le cancer)
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Les sciences humaines et sociales et leur place dans la lutte contre le cancer : table ronde
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 21-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
POULAIN Jean-Pierre, CAZAUX Christophe, FOUCAULT Didier
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Les sciences humaines et sociales et leur place dans la lutte contre le cancer : table ronde. Présentée par Pierre C. Lile et avec Jean-Pierre Poulain, Christophe Cazaux, Didier Foucault. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Parenthèse dans ce colloque entièrement dédié à l'histoire, cette table ronde a pour but d'ouvrir un dialogue sur la place, dans la lutte contre le cancer, des disciplines rattachées aux domaines des Lettres et sciences humaines et sociales (SHS).Jean-Pierre POULAIN, sociologue, présente le rapport qu'il a rédigé à la demande du Conseil régional Midi-Pyrénées sur ce thème. Situant son enquête sur le terrain du grand Sud-Ouest, il met en évidence la place relativement faible de ces domaines dans les programmes engagés ces dernières années sur la thématique du cancer. Il montre quels sont les freins à une plus large coopération interdisciplinaire, tant du côté des sciences biomédicales et de la médecine que du côté des SHS. Les multiples interférences du cancer dans nos sociétés rendent pourtant ces coopérations nécessaires : non seulement au niveau de la recherche appliquée, mais à moyen terme, au stade de la recherche et du développement ainsi que, à plus longue échéance, pour une meilleure compréhension entre la société civile -malades, famille, entourage- et l'ensemble des acteurs médicaux, industriels, associatifs et politiques qui participent à la lutte contre le cancer. La communauté d'agglomération du Grand Toulouse a conscience que la réussite de l'Oncopôle de Langlade, en cours d'édification, ne doit pas être seulement le rassemblement sur un même site d'une clinique hospitalo-universitaire du cancer, de laboratoires de l'INERM et du CNRS et d'établissements de l'industrie pharmaceutique en pointe de l'innovation scientifique et thérapeutique.Yves CAZAUX expose le projet "Toulouse Biodyssée". Cet équipement, tourné vers le grand public, s'intègre dans "l'Espace 31" destiné à accueillir les sièges sociaux d'associations (Ligue contre le cancer), du pôle de compétitivité Cancer Bio-Santé,, un centre de remise en forme des convalescents (mais ouvert à tous) ainsi qu'un complexe d'hôtellerie et de restauration... "Toulouse Biodyssée" aura une vocation pédagogique. Il aura pour mission de sensibiliser le public, souvent mal informé de tout ce qui touche au cancer, en surmontant les tabous et peurs irrationnelles qui pèsent sur ce mal : depuis les avancées de la science biomédicale jusqu'aux implications sociales de cette maladie. Lieu de rencontre, la structure comportera des salles d'exposition, un amphithéâtre, des ateliers interactifs, un jardin de plantes médicinales... Didier FOUCAULT intervient en qualité de responsable de la diffusion des savoirs au sein de l'Université Toulouse 2-Le Mirail. Il insiste sur l'importance pour les Lettres et SHS de ne pas rester repliées sur elles-mêmes. Il en va de leur reconnaissance sociale. Un colloque comme celui-ci est un exemple de ce qu'elles peuvent apporter tant aux chercheurs qui traquent le cancer dans leurs laboratoires qu'à l'ensemble de nos concitoyens. Ces communications sont suivies d'un débat auquel ont participé de nombreux acteurs de la lutte contre le cancer présents dans l'assistance. Mot(s) clés libre(s) : cancer (prévention), cancer (soin), centres de lutte contre le cancer, coopération scientifique et technique, équipements sanitaires et sociaux (Toulouse), médecine et sciences humaines, oncopôle (Toulouse-Midi-Pyrénées), transdisciplinarité (lutte contre
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